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Que ce soit à domicile, en institution ou à l’hôpital, celui
qui a choisi de prendre soin de l’autre pratique un métier
à haut risque. Il ne travaille pas sur un ordinateur, pour un
client ou avec un usager mais face à un être humain ma-
lade, vulnérable et dépendant de lui pour ses besoins les
plus élémentaires et les plus intimes.
Il doit effectuer quotidiennement un travail difficile sans
perdre de vue le souci de l’autre tout en contlant ses
émotions.
Nous pensons qu’il faut prendre soin de celui qui soigne
afin qu’il ne perde pas son humanité et ne tombe, même
inconsciemment, dans les tentations dangereuses de l’in-
différence, de la banalisation et du pouvoir sur l’autre.

158, Boulevard Diderot
75012 Paris
Tél : 01 73 55 67 24
E-mail : bluesblanches@orange.fr
SARL au Capital de 4500 Euros
RCS 492 562 756 N° formateur 11754162475
LES FICHES TECHNIQUES DES FORMATIONS SONT DISPONIBLES SUR DEMANDE
DURÉE : Deux à trois journées par thème.
DATES : à déterminer selon vos possibilités
LIEUX : formation en intra dans vos locaux
PRIX : 1200 euros par jour pour un groupe de 14 participants maximum
Hors frais d’hébergement et de déplacement (si besoin)
PUBLIC :
Tous les professionnels du soin et de l’aide :
Hôpital, Clinique, Maison de retraite, Service d’aide à domicile, Association.
MÉTHODES PÉDAGOGIQUES :
Convaincus que l’on ne conçoit bien que ce que l’on ressent, nous travaillons avant tout
avec l’implication personnelle des participants. Les apports théoriques sont alimentés par
les témoignages, les cas cliniques et des mises en situation.
INTERVENANTS :
Formateurs issus du terrain ayant une pratique confirmée.
MODALITÉS ET RÉALISATION :
Pour chaque formation, une convention unique est établie pour tous les participants.
Elle mentionne les conditions de réalisation de la formation.
RÈGLEMENT :
Une facture vous est adressée en fin de formation, ainsi que les attestations de présence
des participants. La facture inclut les frais de formation et les frais de déplacements.
Hôpital Américain de Paris, Neuilly sur
Seine (92)
Hôpital Bellan, Paris 14e
Hôpital Foch, Suresnes (92)
Hôpital de Fontainebleau (77)
Hôpital de Maison-Blanche, psychiatrie,
Neuilly sur Marne (93)
Hôpital Gérontologique et Médico-Social
de Plaisir (78)
Centre Hospitalier dAvallon (89)
Fondation Hôpital Saint-Joseph,
Paris 14e
Fondation Œuvre de la Croix Saint Simon,
Paris 20e
Fondation de Rothschild, EHPAD et gériatrie,
Paris 12e
EPDHPAD du Creusot (71)
Association MONSIEUR VINCENT,
groupement de maisons de retraite
Association ISATIS, Établissements pour
personnes âes
UNASSAD, Paris 11e
FEHAP, siège Paris 15e
Société Philanthropique, Paris 15e

L’ÉCOUTE
dans la RELATION D’AIDE
Comment écouter l’autre
Ecouter l’autre est difficile. Il est nécessaire de
posséder des compétences et des dispositions in-
rieures sous-tendues par le respect de l’autre.
Comment l’aider à s’aider lui-même
La relation d’aide, c’est aider une personne à
s’aider elle-même en envisageant toutes les
possibilités qui s’offrent à elle. C’est écouter son
histoire, chercher les solutions qui marchent
pour elle, les options qu’elle peut élaborer elle-
même, c’est trouver avec elle une perspective.
Connaître les limites de l’aide
C’est accepter de ne pas tout comprendre de
l’autre, de gérer notre impuissance et admettre
les limites de l’aide à autrui. C’est admettre que
ce soit l’autre le maître du jeu.
LA RELATION du SOIGNANT
avec les FAMILLES
Les proches, soutien ou charge ?
La maladie, l’hospitalisation et l’institutionnalisa-
tion représentent un profond bouleversement
pour les familles. Cette rupture dans la vie quoti-
dienne vient remettre en cause des certitudes et
provoque le retour d’anciennes émotions.
Comprendre les réactions des familles
Pour tenter de retrouver un équilibre, chacun met
en place desfenses plus ou moins efficaces.
Comprendre nos réactions
et nos limites
Les soignants se situent dans cet espace transi-
tionnel parfois inconfortable entre la personne
dont ils s’occupent et sa famille. S’ils sont parfois
confortés dans leur fonction par des attitudes de
confiance, ils sont aussi confrontés à des compor-
tements qui heurtent leur personne ou leur sys-
me de valeurs et peuvent alors réagir par des
ponses soignantes inadéquates.
ACCUEILLIR le PATIENT
et sa FAMILLE
Comprendre l’impact et l’importance
de l’accueil
La façon dont on est accueilli a une répercus-
sion sur le moral, le mental, et donc le corps. La
qualité de l’accueil agit dans l’instant sur l’ap-
préhension, la peur ou l’angoisse qui saisissent
ceux qui entrent dans un lieu de soin.
Connaître le vécu des patients
et des familles
Les représentations du milieu médical et l’an-
goisse de la maladie conduisent à des compor-
tements qui peuvent être difficiles pour les
soignants. Aider les soignants à saisir les émo-
tions derrière les attitudes d’agressivité, les
réactions déconcertantes et les différences cul-
turelles.
Intégrer l’accueil
dans le projet de soin
L’organisation du service et la circulation de
l’information ont une incidence sur la qualité
de l’accueil.
GESTION du STRESS
et de la SOUFFRANCE
du SOIGNANT
Les comportements et les défenses
des soignants face à la souffrance
Etre soignant, c’est prendre soin d’un autre soi-
même souffrant, vulnérable, fragilisé. C’est ren-
contrer chaque jour l’angoisse, la souffrance, la
douleur, la demande, le désespoir.
Le soignant doit être disponible sans oublier ses
propres besoins, soigner en acceptant de ne pas
toujours guérir, trouver la juste distance pour
aider au mieux sans trop s’impliquer et connaî-
tre ses limites personnelles.
Prendre soin de soi pour mieux
prendre soin de l’autre
Pour se protéger, le soignant a besoin d’être re-
connu dans ses difficultés et ses limites. Il doit
accepter de se remettre en question et trans-
former les conflits d’équipe en échanges de
points de vue énergisants, prévenir et gérer le
syndrome d’épuisement professionnel.
Les moyens et les lieux
de ressourcement et de soutien
Le soignant doit pouvoir reconnaître les points
d’appui institutionnel qui lui sont nécessaires.
Il doit apprendre à communiquer efficacement
et travailler en équipe. Il doit aussi dissocier vie
professionnelle et vie privée et connaître ses
lieux personnels de ressourcement.
TRAVAIL en ÉQUIPE,
PLAISIRS et ÉCUEILS
La difficulté de la rencontre
avec l’autre
Entre préjugés et stéréotypes, la rencontre entre
deux personnes représente souvent un choc cul-
turel. Chacun est aux prises avec ses valeurs et
peut sentir son identité remise en cause.
Pour bien prendre soin de l’autre, il est impor-
tant que chacun se sente respecté et entendu.
L’impact des représentations
Repérer les appartenances (culturelles, profes-
sionnelles, générationnelles, religieuses, so-
ciales, etc) qui déterminent notre vision du
monde. Comprendre que chacun est porteur de
ses propres filtres et que ceux-ci influencent
notre représentation des autres. Découvrir le
monde avec les yeux de l’autre.
Vers une communication efficace
Savoir identifier ses propres valeurs pour se ras-
surer. Questionner pour mieux comprendre.
Décentrer son regard pour éviter les jugements.
Savoir trouver un compromis.
ANALYSE des PRATIQUES
et RÉFLEXION
sur les QUESTIONS ÉTHIQUES
S’interroger sur des actes, des compor-
tements, des attitudes
La rencontre quotidienne avec la souffrance de
l’autre peut conduire à des comportements per-
nicieux : banalisation, dramatisation, fuite, rou-
tine, agressivité, maltraitance, négligence
inconsciente, anxiété, fatigue…
Prendre un temps de réflexion sur les
actions menées
Les soignants fonctionnent dans l’action qui est
rassurante mais dangereuse : trop intensive, elle
peut conduire à oublier le sens de leur travail
fondé sur le souci permanent de l’autre.
Se questionner sur la toute-puissance
induite par la dépendance de l’autre
Ceux qui sont pendants pour les gestes les
plus élémentaires de la vie quotidienne sont à
la merci de ceux qui prennent soin d’eux. La re-
lation n’est plus égalitaire. C’est alors que
l’éthique du soin est capitale pour éviter le dan-
ger du pouvoir sur l’autre.
MOTS POUR MAUX
Cette formation approfondie sur quatre ou cinq
jours a pour but de travailler de manière inten-
sive avec une même équipe la relation avec les
patients/résidents, les familles, les collègues.
En analysant et en s’interrogeant sur leurs pra-
tiques, ils acquièrent une meilleure compréhension
des situations spécifiques rencontrées au quoti-
dien et trouvent d’autres clés pour mieux appré-
hender l’aide qu’ils peuvent apporter dans le
respect de l’autonomie et de la digni de l’autre.
Elle leur permet enfin d’apprendre à mieux com-
muniquer pour une meilleure efficacité profes-
sionnelle et un plus grand confort personnel.
SENS et PLAISIRS
dans les GESTES du QUOTIDIEN
A la découverte des cinq sens
Pour mieux rencontrer l’autre, se rencontrer soi:
aller à la recherche de son propre fonctionne-
ment sensoriel, pour ensuite pouvoir travailler
à stimuler les sens, les fonctions cognitives du
patient. Ce qui permet au soignant de retrouver
le sens initial de son travail.
Parce qu’animer, c’est donner vie…
Le soignant s’efforce de stimuler l’autonomie
du patient, valoriser ses capacités, travailler sur
son image, quand la maladie et/ou l’âge altè-
rent le goût de vivre, ce qui lui permet aussi de
lutter contre la routine qui décourage.
Parce qu’animer, c’est prendre soin
Le soignant qui pratique le soin relationnel vise
à une prise en charge curative du patient, dans
une dimension humaine qui aide aussi à dimi-
nuer le stress et le mal-être.
PRÉVENIR la MALTRAITANCE
Connaître la maltraitance
Ma pratique professionnelle est-elle maltrai-
tante ? J’ai peur d’être agressif…
Mes conditions de travail me rendent violent(e).
Suis-je responsable de la qualité de ma prise en
charge ? Les soignants inquiets souhaitent
connaître l’ensemble des comportements à
risque afin de les éviter.
Interroger sa pratique
La diversité des situations de maltraitance dé-
montre que sa prévention ne réside pas dans
son approche théorique. La pratique révèle fré-
quemment deux origines à la maltraitance : des
actes sous-tendus par de bonnes intentions
sans tenir compte du désir de l’autre et le trai-
tement de l’autre comme un simple objet.
Pratiquer la
bientraitance
Garder une vigilance constante sur l’autonomie
de chacun, avoir la conscience permanente de
l’altérité : c’est la prise en charge respectueuse
de la singularité de chacun qui garantit l’atti-
tude bientraitante.
L’ACCOMPAGNEMENT
de FIN de VIE
Qu’est-ce que la mort
et le travail de trépas
Dans certains services, la confrontation à la
mort est fréquente. Ce n’est pas une rencontre
anodine.
Les soignants sont face au travail de trépas de
celui qui va mourir (soins palliatifs, gériatrie,
cancérologie), face au décès de la personne,
face aux premières réactions de deuil de la fa-
mille et face à leur propre deuil.
Comment travailler et accompagner
dans ces moments difficiles
Soins techniques précis et soins relationnels indis-
pensables se conjuguent pour une prise en charge
de l’extrême pcarité physique et psychique.
En quoi les soignants sont importants
dans le travail de deuil des familles
Le travail de deuil est incontournable et les
étapes qui le jalonnent sont nécessaires, dou-
loureuses et inévitables. Premiers témoins d’un
événement intense, les soignants, par leur pré-
sence et leurs comportements ont un impact
important sur le travail de deuil des familles.
PARLER de la MALADIE
et de la MORT
Que dire ? Comment le dire ?
Comment se comporter ?
Que répondre ?
Qu’est-ce que la vérité ?
Le mal-être de soignants face aux questions di-
rectes ou implicites se répercute sur la relation
authentique qu’ils désirent avoir avec les pa-
tients et leurs proches.
Aide concrète au personnel soignant, cette for-
mation leur apporte un éclairage inédit sur leur
rôle et sur l’effet thérapeutique de la parole.
Développer sa propre aisance avec le
toucher
Ressentir l’ambiance émotionnelle de la per-
sonne soignée à travers la communication non
verbale. Utiliser le toucher comme médiateur
relationnel et thérapeutique.
Apprendre à observer les messages non ver-
baux et y pondre de façon adéquate par le
toucher empathique.
Adapter sa qualité de toucher à l’état émotion-
nel et aux besoins de la personne.
Harmoniser le geste et la parole dans une com-
munication globale.
La RELATION
des CADRES
avec leur ÉQUIPE
Reconnaître les difficultés
des responsables d’équipe
Le cadre est pris en étau entre différentes
contraintes : coordination et organisation, ges-
tion du temps et gestion des conflits, motivation
et autorité, soutien du personnel et prises de
décisions.
Aider le responsable
dans sa fonction de manager
Identifier les freins, les limites, les peurs par rap-
port à la fonction.
Développer la souplesse et
la maîtrise relationnelle, le
travail d’exemplari et le posi-
tionnement.
Optimiser le travail avec les
équipes, travailler les résistances au
changement.
Accompagnement individuel ou collectif des
responsables.
LE TOUCHER RELATIONNEL
Intégrer le toucher
Afin de mieux communiquer, développer, à par-
tir de gestes simples, une attitude d’accompa-
gnement caractérisée par la qualité de
présence, la congruence, le respect et l’empa-
thie.
L’importance du toucher
Comprendre sa signification dans le développe-
ment de la personne.
Utiliser le toucher dans les soins d’accompagne-
ment au quotidien : toilettes, changes, apaise-
ment de l’anxiété ou de l’agitation.
COMPRENDRE la PERSONNE ÂGÉE
Décrypter les représentations
de la vieillesse
La qualité de la relation entre le soignant et la
personne âgée dépend majoritairement du re-
gard porté sur l’autre.
L’image de la vieillesse oscille entre sagesse et
naufrage, entre maladie et vitalité, entre déclin,
mort et démence, y compris dans les milieux de
soin gériatrique. Il en découle des incompréhen-
sions, des intolérances et des prises en charge
inadaptées.
Comprendre la réalité du vieillissement
Au-delà des notions de santé, de handicap et
de fatigue, comprendre l’importance des pertes
réelles et les conséquences de l’accumulation
des deuils. Connaître les valeurs et les apparte-
nances générationnelles, l’histoire culturelle de
leur époque.
Vers une prise en charge adaptée
Respect de l’âge, douceur envers la fragilité,
égalité de l’altérité, adaptation aux handicaps,
appréhension des besoins et des attentes.
Le REFUS de SOIN
des PERSONNES ÂGÉES
Améliorer la prise en charge
au quotidien
Devant le nombre croissant de personnes âgées
souffrant de démence, les soignants sont de
plus en plus confrontés à des formes allant du
refus alimentaire au refus de soins techniques.
Comprendre les troubles
du comportement
Connaître les symptômes associés, analyser les
troubles du comportement, en rechercher les
causes.
Communiquer de façon adaptée
En comprenant leurs réactions et leurs limites
aux refus de soins, les soignants trouvent des
alternatives à la contention et établissent une
relation favorable aux soins.
Les SOIGNANTS et la SEXUALITÉ
des PERSONNES ÂGÉES
La sexualité des personnes âgées,
un tabou !
Les représentations et les croyances des soi-
gnants sur la sexualité des personnes âgées les
poussent à bannir cette question de leur dé-
marche professionnelle.
La sexualité désir, plaisir, image de soi, épa-
nouissement, intimi, choix de vie, curité,
tendresse – est pourtant un élément indispen-
sable à la qualité de vie d’un individu.
Connaître la sexualité
des personnes âgées
Rassurer les soignants sur la normalide la
sexualité d’un point de vue physiologique, psy-
chologique et social. Décrypter les besoins et
les demandes des résidents et les manifesta-
tions d’ordre sexuel chez les personnes dé-
mentes. Comprendre les réactions des familles.
Pour une réponse adaptée, s’interroger
et communiquer
Réfléchir sur les difficultés des soignants quant
à la diversité des situations rencontrées.
Questionner la nécessité d’une approche
respectueuse de l’intimité au sein de l’institu-
tion.
DÉNUTRITION
et DÉSHYDRATATION :
du dépistage à la prise en charge
Comment dépister la dénutrition et
la déshydratation ?
C’est parce qu’elles s’installent subreptice-
ment et que leur évaluation n’est pas toujours
aisée, que cela doit être l’affaire de tous. Leur
prise en charge entre à part entière dans le soin
à la personne.
Quelle stratégie pour prévenir ?
N’oublions pas la place de la gastronomie dans
notre culture. Plus qu’un apport nutritionnel
adapté, c’est surtout le plaisir de manger et la
convivialité du repas qui aideront à lutter contre
la dénutrition et la déshydratation.
Quelle stratégie pour prendre en
charge ?
Il est important de prendre en considération la
personne et ses soins dans la globalité. Cela si-
gnifie de repenser les régimes stricts, de consi-
dérer les situations particulières comme
l’escarre, la fin de vie, les troubles deglutition
et de définir, personnaliser les objectifs nutri-
tionnels.
CADRES et FAMILLES
en EPHAD
Identifier les demandes des familles
Certaines familles vivent difficilement l’institu-
tionnalisation de leurs parents.
Elles se tournent vers l’encadrement pour tenter
de trouver des solutions, des aides, des alliés
parfois et exercent alors sur celui-ci une pres-
sion psychologique importante.
Quels sont les besoinsritables derrière les de-
mandes : écoute ou action ?
Comprendre le vécu des familles
et les représentations du cadre
pour les familles
Les difficultés, les comportements et les at-
tentes des familles vis-à-vis de l’institution.
Qui est le cadre et de quel pouvoir est-il investi
par les familles ?
L’importance de la fonction.
Cerner les enjeux et les limites
du cadre dans cette relation
Comment se positionner entre le souci des
équipes et les difficultés des familles.
Comment écouter et aider sans y laisser son
temps et son énergie.
Le comportement du cadre garantit ou non la
qualité de l’institution en apaisant les familles
tout en communiquant avec ses équipes.
GÉRONTOLOGIE
BONNES PRATIQUES
EN GÉRONTOLOGIE
Neuf journées sur l’année pour une même
équipe sur des thèmes spécifiques à la vieillesse.
Un thème par journée : vieillissement, dénutri-
tion, bientraitance, plaisirs, refus de soin, conten-
tion, pertes, communication non verbale, mort.
(non exhaustif)
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qui a choisi de prendre soin de l’autre pratique un métier
à haut risque. Il ne travaille pas sur un ordinateur, pour un
client ou avec un usager mais face à un être humain ma-
lade, vulnérable et dépendant de lui pour ses besoins les
plus élémentaires et les plus intimes.
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perdre de vue le souci de l’autre tout en contlant ses
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afin qu’il ne perde pas son humanité et ne tombe, même
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