fOrMATIOn PrOfessIOnnelle cOn TInue LES FICHES TECHNIQUES DES FORMATIONS SONT DISPONIBLES SUR DEMANDE DURÉE : Deux à trois journées par thème. DATES : à déterminer selon vos possibilités LIEUX : formation en intra dans vos locaux PRIX : 1200 euros par jour pour un groupe de 14 participants maximum Hors frais d’hébergement et de déplacement (si besoin) PUBLIC : Tous les professionnels du soin et de l’aide : Hôpital, Clinique, Maison de retraite, Service d’aide à domicile, Association. MÉTHODES PÉDAGOGIQUES : Convaincus que l’on ne conçoit bien que ce que l’on ressent, nous travaillons avant tout avec l’implication personnelle des participants. Les apports théoriques sont alimentés par les témoignages, les cas cliniques et des mises en situation. INTERVENANTS : Formateurs issus du terrain ayant une pratique confirmée. MODALITÉS ET RÉALISATION : Pour chaque formation, une convention unique est établie pour tous les participants. Elle mentionne les conditions de réalisation de la formation. RÈGLEMENT : Une facture vous est adressée en fin de formation, ainsi que les attestations de présence des participants. La facture inclut les frais de formation et les frais de déplacements. QuelQues références • Hôpital Américain de Paris, Neuilly sur Seine (92) • Fondation Œuvre de la Croix Saint Simon, Paris 20 e • Hôpital Bellan, Paris 14e • Hôpital Foch, Suresnes (92) • Fondation de Rothschild, EHPAD et gériatrie, Paris 12 e • Hôpital de Fontainebleau (77) • EPDHPAD du Creusot (71) • Hôpital de Maison-Blanche, psychiatrie, Neuilly sur Marne (93) • Association MONSIEUR VINCENT, groupement de maisons de retraite • Hôpital Gérontologique et Médico-Social de Plaisir (78) • Association ISATIS, Établissements pour personnes âgées • Centre Hospitalier d’Avallon (89) • UNASSAD, Paris 11e • Fondation Hôpital Saint-Joseph, Paris 14 e • FEHAP, siège Paris 15e • Société Philanthropique, Paris 15e Blues Blanches POur une eTHIQue Du sOIn, PrenDre sOIn De celuI QuI sOIGne Que ce soit à domicile, en institution ou à l’hôpital, celui qui a choisi de prendre soin de l’autre pratique un métier à haut risque. Il ne travaille pas sur un ordinateur, pour un client ou avec un usager mais face à un être humain malade, vulnérable et dépendant de lui pour ses besoins les plus élémentaires et les plus intimes. Il doit effectuer quotidiennement un travail difficile sans perdre de vue le souci de l’autre tout en contrôlant ses émotions. Nous pensons qu’il faut prendre soin de celui qui soigne afin qu’il ne perde pas son humanité et ne tombe, même inconsciemment, dans les tentations dangereuses de l’indifférence, de la banalisation et du pouvoir sur l’autre. Blues Blanches 158, Boulevard Diderot 75012 Paris Tél : 01 73 55 67 24 E-mail : [email protected] SARL au Capital de 4500 Euros RCS 492 562 756 N° formateur 11754162475 L’ÉCOUTE dans la RELATION D’AIDE Comment écouter l’autre Ecouter l’autre est difficile. Il est nécessaire de posséder des compétences et des dispositions intérieures sous-tendues par le respect de l’autre. Comment l’aider à s’aider lui-même La relation d’aide, c’est aider une personne à s’aider elle-même en envisageant toutes les possibilités qui s’offrent à elle. C’est écouter son histoire, chercher les solutions qui marchent pour elle, les options qu’elle peut élaborer ellemême, c’est trouver avec elle une perspective. Connaître les limites de l’aide C’est accepter de ne pas tout comprendre de l’autre, de gérer notre impuissance et admettre les limites de l’aide à autrui. C’est admettre que ce soit l’autre le maître du jeu. LA RELATION du SOIGNANT avec les FAMILLES Les proches, soutien ou charge ? La maladie, l’hospitalisation et l’institutionnalisation représentent un profond bouleversement pour les familles. Cette rupture dans la vie quotidienne vient remettre en cause des certitudes et provoque le retour d’anciennes émotions. Comprendre les réactions des familles Pour tenter de retrouver un équilibre, chacun met en place des défenses plus ou moins efficaces. Comprendre nos réactions et nos limites Les soignants se situent dans cet espace transitionnel parfois inconfortable entre la personne dont ils s’occupent et sa famille. S’ils sont parfois confortés dans leur fonction par des attitudes de confiance, ils sont aussi confrontés à des comportements qui heurtent leur personne ou leur système de valeurs et peuvent alors réagir par des réponses soignantes inadéquates. ACCUEILLIR le PATIENT et sa FAMILLE Comprendre l’impact et l’importance de l’accueil La façon dont on est accueilli a une répercussion sur le moral, le mental, et donc le corps. La qualité de l’accueil agit dans l’instant sur l’appréhension, la peur ou l’angoisse qui saisissent ceux qui entrent dans un lieu de soin. Connaître le vécu des patients et des familles Les représentations du milieu médical et l’angoisse de la maladie conduisent à des comportements qui peuvent être difficiles pour les soignants. Aider les soignants à saisir les émotions derrière les attitudes d’agressivité, les réactions déconcertantes et les différences culturelles. Intégrer l’accueil dans le projet de soin L’organisation du service et la circulation de l’information ont une incidence sur la qualité de l’accueil. GESTION du STRESS et de la SOUFFRANCE du SOIGNANT Les comportements et les défenses des soignants face à la souffrance Etre soignant, c’est prendre soin d’un autre soimême souffrant, vulnérable, fragilisé. C’est rencontrer chaque jour l’angoisse, la souffrance, la douleur, la demande, le désespoir. Le soignant doit être disponible sans oublier ses propres besoins, soigner en acceptant de ne pas toujours guérir, trouver la juste distance pour aider au mieux sans trop s’impliquer et connaître ses limites personnelles. Prendre soin de soi pour mieux prendre soin de l’autre Pour se protéger, le soignant a besoin d’être reconnu dans ses difficultés et ses limites. Il doit accepter de se remettre en question et transformer les conflits d’équipe en échanges de points de vue énergisants, prévenir et gérer le syndrome d’épuisement professionnel. Les moyens et les lieux de ressourcement et de soutien Le soignant doit pouvoir reconnaître les points d’appui institutionnel qui lui sont nécessaires. Il doit apprendre à communiquer efficacement et travailler en équipe. Il doit aussi dissocier vie professionnelle et vie privée et connaître ses lieux personnels de ressourcement. TRAVAIL en ÉQUIPE, PLAISIRS et ÉCUEILS La difficulté de la rencontre avec l’autre Entre préjugés et stéréotypes, la rencontre entre deux personnes représente souvent un choc culturel. Chacun est aux prises avec ses valeurs et peut sentir son identité remise en cause. Pour bien prendre soin de l’autre, il est important que chacun se sente respecté et entendu. L’impact des représentations Repérer les appartenances (culturelles, professionnelles, générationnelles, religieuses, sociales, etc) qui déterminent notre vision du monde. Comprendre que chacun est porteur de ses propres filtres et que ceux-ci influencent notre représentation des autres. Découvrir le monde avec les yeux de l’autre. Vers une communication efficace Savoir identifier ses propres valeurs pour se rassurer. Questionner pour mieux comprendre. Décentrer son regard pour éviter les jugements. Savoir trouver un compromis. ANALYSE des PRATIQUES et RÉFLEXION sur les QUESTIONS ÉTHIQUES S’interroger sur des actes, des comportements, des attitudes La rencontre quotidienne avec la souffrance de l’autre peut conduire à des comportements pernicieux : banalisation, dramatisation, fuite, routine, agressivité, maltraitance, négligence inconsciente, anxiété, fatigue… Prendre un temps de réflexion sur les actions menées Les soignants fonctionnent dans l’action qui est rassurante mais dangereuse : trop intensive, elle peut conduire à oublier le sens de leur travail fondé sur le souci permanent de l’autre. Se questionner sur la toute-puissance induite par la dépendance de l’autre Ceux qui sont dépendants pour les gestes les plus élémentaires de la vie quotidienne sont à la merci de ceux qui prennent soin d’eux. La relation n’est plus égalitaire. C’est alors que l’éthique du soin est capitale pour éviter le danger du pouvoir sur l’autre. MOTS POUR MAUX Cette formation approfondie sur quatre ou cinq jours a pour but de travailler de manière intensive avec une même équipe la relation avec les patients/résidents, les familles, les collègues. En analysant et en s’interrogeant sur leurs pratiques, ils acquièrent une meilleure compréhension des situations spécifiques rencontrées au quotidien et trouvent d’autres clés pour mieux appréhender l’aide qu’ils peuvent apporter dans le respect de l’autonomie et de la dignité de l’autre. Elle leur permet enfin d’apprendre à mieux communiquer pour une meilleure efficacité professionnelle et un plus grand confort personnel. SENS et PLAISIRS dans les GESTES du QUOTIDIEN A la découverte des cinq sens Pour mieux rencontrer l’autre, se rencontrer soi: aller à la recherche de son propre fonctionnement sensoriel, pour ensuite pouvoir travailler à stimuler les sens, les fonctions cognitives du patient. Ce qui permet au soignant de retrouver le sens initial de son travail. Parce qu’animer, c’est donner vie… Le soignant s’efforce de stimuler l’autonomie du patient, valoriser ses capacités, travailler sur son image, quand la maladie et/ou l’âge altèrent le goût de vivre, ce qui lui permet aussi de lutter contre la routine qui décourage. Parce qu’animer, c’est prendre soin Le soignant qui pratique le soin relationnel vise à une prise en charge curative du patient, dans une dimension humaine qui aide aussi à diminuer le stress et le mal-être. PRÉVENIR la MALTRAITANCE Connaître la maltraitance Ma pratique professionnelle est-elle maltraitante ? J’ai peur d’être agressif… Mes conditions de travail me rendent violent(e). Suis-je responsable de la qualité de ma prise en charge ? Les soignants inquiets souhaitent connaître l’ensemble des comportements à risque afin de les éviter. Interroger sa pratique La diversité des situations de maltraitance démontre que sa prévention ne réside pas dans son approche théorique. La pratique révèle fréquemment deux origines à la maltraitance : des actes sous-tendus par de bonnes intentions sans tenir compte du désir de l’autre et le traitement de l’autre comme un simple objet. Pratiquer la bientraitance Garder une vigilance constante sur l’autonomie de chacun, avoir la conscience permanente de l’altérité : c’est la prise en charge respectueuse de la singularité de chacun qui garantit l’attitude bientraitante. La RELATION des CADRES avec leur ÉQUIPE Reconnaître les difficultés des responsables d’équipe Le cadre est pris en étau entre différentes contraintes : coordination et organisation, gestion du temps et gestion des conflits, motivation et autorité, soutien du personnel et prises de décisions. Aider le responsable dans sa fonction de manager Identifier les freins, les limites, les peurs par rapport à la fonction. L’ACCOMPAGNEMENT de FIN de VIE PARLER de la MALADIE et de la MORT Qu’est-ce que la mort et le travail de trépas Dans certains services, la confrontation à la mort est fréquente. Ce n’est pas une rencontre anodine. Les soignants sont face au travail de trépas de celui qui va mourir (soins palliatifs, gériatrie, cancérologie), face au décès de la personne, face aux premières réactions de deuil de la famille et face à leur propre deuil. Que dire ? Comment le dire ? Comment se comporter ? Que répondre ? Qu’est-ce que la vérité ? Le mal-être de soignants face aux questions directes ou implicites se répercute sur la relation authentique qu’ils désirent avoir avec les patients et leurs proches. Aide concrète au personnel soignant, cette formation leur apporte un éclairage inédit sur leur rôle et sur l’effet thérapeutique de la parole. Comment travailler et accompagner dans ces moments difficiles Soins techniques précis et soins relationnels indispensables se conjuguent pour une prise en charge de l’extrême précarité physique et psychique. En quoi les soignants sont importants dans le travail de deuil des familles Le travail de deuil est incontournable et les étapes qui le jalonnent sont nécessaires, douloureuses et inévitables. Premiers témoins d’un événement intense, les soignants, par leur présence et leurs comportements ont un impact important sur le travail de deuil des familles. LE TOUCHER RELATIONNEL Développer la souplesse et la maîtrise relationnelle, le travail d’exemplarité et le positionnement. Optimiser le travail avec les équipes, travailler les résistances au changement. Accompagnement individuel ou collectif des responsables. Intégrer le toucher Afin de mieux communiquer, développer, à partir de gestes simples, une attitude d’accompagnement caractérisée par la qualité de présence, la congruence, le respect et l’empathie. L’importance du toucher Comprendre sa signification dans le développement de la personne. Utiliser le toucher dans les soins d’accompagnement au quotidien : toilettes, changes, apaisement de l’anxiété ou de l’agitation. Développer sa propre aisance avec le toucher Ressentir l’ambiance émotionnelle de la personne soignée à travers la communication non verbale. Utiliser le toucher comme médiateur relationnel et thérapeutique. Apprendre à observer les messages non verbaux et y répondre de façon adéquate par le toucher empathique. Adapter sa qualité de toucher à l’état émotionnel et aux besoins de la personne. Harmoniser le geste et la parole dans une communication globale. Pour une réponse adaptée, s’interroger et communiquer Réfléchir sur les difficultés des soignants quant à la diversité des situations rencontrées. Questionner la nécessité d’une approche respectueuse de l’intimité au sein de l’institution. GÉRONTOLOGIE DÉNUTRITION et DÉSHYDRATATION : du dépistage à la prise en charge COMPRENDRE la PERSONNE ÂGÉE Décrypter les représentations de la vieillesse La qualité de la relation entre le soignant et la personne âgée dépend majoritairement du regard porté sur l’autre. L’image de la vieillesse oscille entre sagesse et naufrage, entre maladie et vitalité, entre déclin, mort et démence, y compris dans les milieux de soin gériatrique. Il en découle des incompréhensions, des intolérances et des prises en charge inadaptées. Comprendre la réalité du vieillissement Au-delà des notions de santé, de handicap et de fatigue, comprendre l’importance des pertes réelles et les conséquences de l’accumulation des deuils. Connaître les valeurs et les appartenances générationnelles, l’histoire culturelle de leur époque. Vers une prise en charge adaptée Respect de l’âge, douceur envers la fragilité, égalité de l’altérité, adaptation aux handicaps, appréhension des besoins et des attentes. Le REFUS de SOIN des PERSONNES ÂGÉES Améliorer la prise en charge au quotidien Devant le nombre croissant de personnes âgées souffrant de démence, les soignants sont de plus en plus confrontés à des formes allant du refus alimentaire au refus de soins techniques. Comprendre les troubles du comportement Connaître les symptômes associés, analyser les troubles du comportement, en rechercher les causes. Communiquer de façon adaptée En comprenant leurs réactions et leurs limites aux refus de soins, les soignants trouvent des alternatives à la contention et établissent une relation favorable aux soins. Les SOIGNANTS et la SEXUALITÉ des PERSONNES ÂGÉES La sexualité des personnes âgées, un tabou ! Les représentations et les croyances des soignants sur la sexualité des personnes âgées les poussent à bannir cette question de leur démarche professionnelle. La sexualité – désir, plaisir, image de soi, épanouissement, intimité, choix de vie, sécurité, tendresse – est pourtant un élément indispensable à la qualité de vie d’un individu. Connaître la sexualité des personnes âgées Rassurer les soignants sur la normalité de la sexualité d’un point de vue physiologique, psychologique et social. Décrypter les besoins et les demandes des résidents et les manifestations d’ordre sexuel chez les personnes démentes. Comprendre les réactions des familles. Comment dépister la dénutrition et la déshydratation ? C’est parce qu’elles s’installent subrepticement et que leur évaluation n’est pas toujours aisée, que cela doit être l’affaire de tous. Leur prise en charge entre à part entière dans le soin à la personne. Quelle stratégie pour prévenir ? N’oublions pas la place de la gastronomie dans notre culture. Plus qu’un apport nutritionnel adapté, c’est surtout le plaisir de manger et la convivialité du repas qui aideront à lutter contre la dénutrition et la déshydratation. Quelle stratégie pour prendre en charge ? Il est important de prendre en considération la personne et ses soins dans la globalité. Cela signifie de repenser les régimes stricts, de considérer les situations particulières comme l’escarre, la fin de vie, les troubles de déglutition et de définir, personnaliser les objectifs nutritionnels. CADRES et FAMILLES en EPHAD Identifier les demandes des familles Certaines familles vivent difficilement l’institutionnalisation de leurs parents. Elles se tournent vers l’encadrement pour tenter de trouver des solutions, des aides, des alliés parfois et exercent alors sur celui-ci une pression psychologique importante. Quels sont les besoins véritables derrière les demandes : écoute ou action ? Comprendre le vécu des familles et les représentations du cadre pour les familles Les difficultés, les comportements et les attentes des familles vis-à-vis de l’institution. Qui est le cadre et de quel pouvoir est-il investi par les familles ? L’importance de la fonction. Cerner les enjeux et les limites du cadre dans cette relation Comment se positionner entre le souci des équipes et les difficultés des familles. Comment écouter et aider sans y laisser son temps et son énergie. Le comportement du cadre garantit ou non la qualité de l’institution en apaisant les familles tout en communiquant avec ses équipes. BONNES PRATIQUES EN GÉRONTOLOGIE Neuf journées sur l’année pour une même équipe sur des thèmes spécifiques à la vieillesse. Un thème par journée : vieillissement, dénutrition, bientraitance, plaisirs, refus de soin, contention, pertes, communication non verbale, mort. (non exhaustif) fOrMATIOn PrOfessIOnnelle cOn TInue LES FICHES TECHNIQUES DES FORMATIONS SONT DISPONIBLES SUR DEMANDE DURÉE : Deux à trois journées par thème. DATES : à déterminer selon vos possibilités LIEUX : formation en intra dans vos locaux PRIX : 1200 euros par jour pour un groupe de 14 participants maximum Hors frais d’hébergement et de déplacement (si besoin) PUBLIC : Tous les professionnels du soin et de l’aide : Hôpital, Clinique, Maison de retraite, Service d’aide à domicile, Association. MÉTHODES PÉDAGOGIQUES : Convaincus que l’on ne conçoit bien que ce que l’on ressent, nous travaillons avant tout avec l’implication personnelle des participants. Les apports théoriques sont alimentés par les témoignages, les cas cliniques et des mises en situation. INTERVENANTS : Formateurs issus du terrain ayant une pratique confirmée. MODALITÉS ET RÉALISATION : Pour chaque formation, une convention unique est établie pour tous les participants. Elle mentionne les conditions de réalisation de la formation. RÈGLEMENT : Une facture vous est adressée en fin de formation, ainsi que les attestations de présence des participants. La facture inclut les frais de formation et les frais de déplacements. QuelQues références • Hôpital Américain de Paris, Neuilly sur Seine (92) • Fondation Œuvre de la Croix Saint Simon, Paris 20 e • Hôpital Bellan, Paris 14e • Hôpital Foch, Suresnes (92) • Fondation de Rothschild, EHPAD et gériatrie, Paris 12 e • Hôpital de Fontainebleau (77) • EPDHPAD du Creusot (71) • Hôpital de Maison-Blanche, psychiatrie, Neuilly sur Marne (93) • Association MONSIEUR VINCENT, groupement de maisons de retraite • Hôpital Gérontologique et Médico-Social de Plaisir (78) • Association ISATIS, Établissements pour personnes âgées • Centre Hospitalier d’Avallon (89) • UNASSAD, Paris 11e • Fondation Hôpital Saint-Joseph, Paris 14 e • FEHAP, siège Paris 15e • Société Philanthropique, Paris 15e Blues Blanches POur une eTHIQue Du sOIn, PrenDre sOIn De celuI QuI sOIGne Que ce soit à domicile, en institution ou à l’hôpital, celui qui a choisi de prendre soin de l’autre pratique un métier à haut risque. Il ne travaille pas sur un ordinateur, pour un client ou avec un usager mais face à un être humain malade, vulnérable et dépendant de lui pour ses besoins les plus élémentaires et les plus intimes. Il doit effectuer quotidiennement un travail difficile sans perdre de vue le souci de l’autre tout en contrôlant ses émotions. Nous pensons qu’il faut prendre soin de celui qui soigne afin qu’il ne perde pas son humanité et ne tombe, même inconsciemment, dans les tentations dangereuses de l’indifférence, de la banalisation et du pouvoir sur l’autre. Blues Blanches 158, Boulevard Diderot 75012 Paris Tél : 01 73 55 67 24 E-mail : [email protected] SARL au Capital de 4500 Euros RCS 492 562 756 N° formateur 11754162475