TD : Probabilité conditionnelles - Série 2 Correction 1 vert 1. roug e 7 8 ou o rang e 1 8 vert 11 20 rouge ou ora nge 9 20 vert 19 20 rouge ou ora nge 1 20 2. L’arbre de probabilité conditionnelle nous permet d’obtenir rapidement les probabilités suivantes : 7 9 63 P(E1 ∩ E2 ) = P(E1 )×PE1 (E2 ) = × = 8 20 160 7 11 77 P(E1 ∩ E2 ) = P(E1 )×PE1 (E2 ) = × = 8 20 160 1 1 1 P(E1 ∩ E2 ) = P(E1 )×PE1 (E2 ) = × = 8 20 160 1 19 19 P(E1 ∩ E2 ) = P(E1 )×PE1 (E2 ) = × = 8 20 160 La variable aléatoire peut prendre les trois valeurs 0, 1, 2 ; on a : 1 X =0 = E1 ∩ E2 =⇒ P X =0 = 160 X =1 = E1 ∩ E2 ∪ E1 ∩ E2 19 63 82 41 =⇒ P X =1 = + = = 160 160 160 80 77 X =2 = E1 ∩ E2 =⇒ P X =2 = 160 Par définition de la probabilité conditionnelle, on a : P(A ∩ B) PA (B) = P(A) P(A ∩ B) = PA (B)×P(A) P(A ∩ B) = 0,1×0,6 P(A ∩ B) = 0,06 Les évènements B et B forment une partition de l’univers Ω. D’après la formule des probabilités totales, on a : P(A) = P(B ∩ A) + P(B ∩ A) 0,6 = P(B ∩ A) + 0,06 P(B ∩ A) = 0,6 − 0,06 P(B ∩ A) = 0,54 Les évènements A et A forment une partition de l’univers Ω. D’après la formule des probabilités totales : P(B) = P(B ∩ A) + P(B ∩ A) = 0,28 + 0,54 = 0,82 On a la probabilité conditionnelle suivante : P(B ∩ A) 0,28 28 14 PB (A) = = = = P(B) 0,82 82 41 L’affirmation est donc vraie. Correction 4 D’après les données de l’énoncé, on déduit : PA (B) = 1 − PA (B) = 1 − 0,80,2 PA (B) = 1 − PA (B) = 1 − 0,6 = 0,4 Ainsi, on peut compléter l’arbre de probabilité de gauche : Correction 2 0, 8 1. Voici l’arbre de probabilité associé à cette expérience aléatoire : 0, 64 A 0, 7 0, 3 B B 0, 7 0, 4 A A 0, 5 0, 5 0, 2 0, 3 B 0, 36 a. Par lecture de l’arbre de probabilité, on a : P(A ∩ B) = P(A)×PA (B) = 0,64×0,3 = 0,192 P(A ∩ B) = P(A)×PA (B) = 0,36×0,5 = 0,18 b. A et A forment une partition de l’univers Ω. D’après la formule des probabilités totales, on a la formule : P(B) = P(A ∩ B) + P(A ∩ B) = 0,192 + 0,18 = 0,372 Correction 3 Par définition de la probabilité conditionnelle, on a : P(A ∩ B) PA (B) = P(A) P(A ∩ B) = PA (B)×P(A) P(A ∩ B) = 0,7×0,4 P(A ∩ B) = 0,28 Par complémentarité, on déduit la probabilité de A : P(A) = 1 − P(A) = 1 − 0,4 = 0,6 B 0, 6 B B 2. A B B Les évènements A et A forment une partition de l’univers Ω. D’après la formule des probabilités totales, on a : P(B) = P(A ∩ B) + P(A ∩ B) = P(A)×PA (B) + P(A)×PA (B) = 0,3×0,8 + 0,7×0,4 = 0,24 + 0,28 = 0,52 Par complémentarité, on a : P(B) = 1 − P(B) = 1 − 0,52 = 0,48 D’après la définition des probabilités conditionnelles, on a : P(A)×PA (B) 0,3×0,8 P(B ∩ A) = = ' 0,46 PB (A) = P(B) P(B) 0,52 PB (A) = P(B ∩ A) P(A)×PA (B) 0,3×0,2 ' 0,13 = = 0,48 PB P(B) Par complémentarité, on a : PB (A) = 1 − PB (A) = 1 − 0,46 = 0,54 PB (A) = 1 − PB (A) = 1 − 0,13 = 0,87 Ainsi, on peut compléter l’arbre de probabilité de droite : A 3 4 A N2 A b. D’après la formule des probabilités totales, on a : P B2 = P B2 ∩ B1 + P B2 ∩ N1 = P B1 ·PB1 B2 + P N1 ·PN1 B2 Correction 5 1. D’après les relations sur les différentes probabilités, on peut écrire les relations : P(A) = P(F ) ; P(C) = 2·P(F ) ; P(I) = 2·P(F ) L’univers des issues possible de cette expérience aléatoire est constitué des quatres évènements élémentaire F , A, C et I ; ainsi, on a : P(F ) + P(A) + P(C) + P(I) = 1 P(F ) + P(A) + P(C) + P(I) = 1 P(F ) + P(F ) + 2·P(F ) + 2·P(F ) = 1 6·P(F ) = 1 1 P(F ) = 6 On en déduit : 1 P(A) = P(F ) = 6 P(C) = 2 · P(F ) = 2× 2. 1 1 = 6 3 1 6 a. D’après la formule sur les probabilités conditionnelles, on a l’égalité suivante : 1 1 P(S ∩ A) = PA (S) · P(A) = 0,5× = 6 12 b. D’après la formule des probabilités totales, on a : P(S) = P(S ∩ F ) + P(S ∩ A) + P(S ∩ C) + P(S ∩ I) 1 = P(F )×PF (S) + + P(C)×PC (S) + P(I)×PI (S) 12 1 1 1 1 1 1 4 = × + + × + × 6 5 12 3 10 3 10 2 5 2 8 17 = + + + = 60 60 60 60 60 c. D’après la formule des probabilités conditionnelles, on a l’égalité : P(S ∩ C) P(C)×PC (S) PS (C) = = 17 P(S) 60 2 1 1 × 2 2 60 3 10 60 × = = = = 17 17 60 17 17 60 60 Correction 6 1. a. Voici l’arbre de probabilité complété : B2 1 2 N1 1 2 A 3 B 0, 13 0, 87 3 8 B2 N2 k+ 0, 4 P(I) = P(C) = B1 1 4 0, 46 0, 54 k 3 k+ 2 0, 5 B 2. = k 3 3 1 3k 3 × + × = + k+3 4 k+3 2 4·(k + 3) 2·(k + 3) = 6 3k + 6 3k + 6 3k + = = 4·(k + 3) 4·(k + 3) 4·(k + 3) 4k + 12 a. Etudions les gains possibles à ce jeu : Ayant misé 8 euros, s’il tire une boule noire, l’utilisateur perd sa mise : son gain est de −8 euros. Ayant misés 8 euros, s’il tire une boule blanche, l’utilisateur repmporte 12 euros : son gain 4 euros. Ainsi, la variable aléatoire X prend les deux valeurs −8 et 4 b. L’évènement X =−8 correspond à l’évènement : N : “La boule tirée est noire” D’après la formule des probabilités totales, on a : P X =−8 = P(B1 ∩N2 ) + P(N1 ∩N2 ) = P(B1 )×PB1 (N2 ) + P(N1 )×PN1 (N2 ) 12 1 3 1 4 1 1 1 = × + × = × + × 15 4 15 2 5 4 5 2 4 2 6 = + = 20 20 20 L’évènement X =4 correspond à l’évènement : “La boule tirée est blanche” D’après laformule des probabilités totales, on a : P X =4 = P(B1 ∩B2 ) + P(N1 ∩B2 ) = P(B1 )×PB1 (B2 ) + P(N1 )×PN1 (B2 ) 12 3 3 1 3 3 4 1 = × + × = × + × 15 4 15 2 5 4 5 2 9 4 17 = + = 20 10 20 c. L’espérance de la variable aléatoire X : E(X ) = 4×P X =4 + (−8)×P X = − 8 = 4× 17 6 68 48 20 + (−8)× = − = =1 20 20 20 20 20 d. Le jeux est favorable au joueur car pour chaque partie, le joueur gagnera en moyenne 1 euro. Correction 7 1. On a l’égalité suivante : R1 = A1 ∩ R1 De la définition des probabilités conditionnelles, on obtient : P A1 ∩ R1 ) = P(A1 )×PA1 (R1 ) = 0,6×0,2 = 0,12 2. On obtient le tableau de probabilité suivant : 0, 3 A1 0, 4 A2 0, 8 0, 7 A2 0, 8 0, 6 A1 R2 0, 2 R1 R2 0, 2 R1 De l’égalité R1 = A1 ∩ R1 , on en déduit la probabilité de R1 : P(R1 ) = P(R1 ∩ A1 ) = P(A1 )×PA1 (R1 ) = 0,6×0,2 = 0,12 A l’aide des probabilités conditionnelle, on a : P(A1 ∩ A2 ) = P(A1 )×PA1 (A2 ) = 0,4×0,7 = 0,28 La personne répond au questionnaire au second appel si, et seulement si, il était absent lors du premier appel et présent lors du second appel ; ainsi, on a : R2 = A1 ∩ A2 ∩ R2 = A2 ∩ R2 Ainsi, on en déduit la probabilité qu’une personne réponde au questionnaire lors du second appel est : P(R2 ) = P(A2 ∩ R2 ) = P(A2 )×PA2 (R2 ) = 0,28×0,2 = 0,056 Les deux évènements R1 et R2 sont disjoints et on a l’égalité R=R1 ∪R2 . On en déduit la probabilité qu’une personne réponde au questionnaire : P(R) = P(R1 ) + P(R2 ) = 0,12 + 0,056 = 0,176 3. On recherche la probabilité PR (R1 ). D’après la définition des probabilités conditionnelles, on a l’égalité suivante : P(R ∩ R1 ) PR (R1 ) = P(R) En remarquant que R ∩ R1 =R1 , on a : = P(R1 ) 0,12 = ' 0,68 P(R) 0,176 Correction 8 1. L’évènement C est l’intersection des évènements A et B : P(C) = P(A ∩ B) Les évènements A et B sont indépendants : = P(A)×P(B) = 0,02×0,01 = 0,000 2 2. Le sac est défectueux s’il présente au moins un des deux défaut : P(D) = P(A ∪ B) La formule de la propriété d’une réunion donne : = P(A) + P(B) − P(A ∩ B) = 0,02 + 0,01 − 0,000 2 = 0,0298 3. Le complémentaire de l’évènement E est l’évènement D : P(E) = P(D) = 1 − P(D) = 1 − 0,0298 = 0,9702 4. On cherche à connaître la probabilité PA (B). D’après la formule des probabilités conditionnelles, on a : P(A ∩ B) PA (B) = P(A) Les évènements A et B sont indépendants : = P(A)×P(B) = P(B) = 0,01 P(A) Ce résultat est assez logique puisque ces deux évènements sont indépendants.