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Pansement à base de gluconate de chlorhexidine pour intraveineuses
TegadermMC 3MMC
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É.U.
À 35 ans, Robyn Fox était parvenue à surmonter plus d’épreuves que
ce que la plupart des gens doivent traverser pendant toute une vie.
Ayant vaincu le cancer du sein, cette mère de deux enfants dynamique
et sociable se concentrait sur sa famille et non sur sa personne ou sur
sa santé.
Jusqu’à ce que le cancer atteigne ses poumons.
Armée (pour cette bataille qui lui était familière) d’un cathéter à port
implanté qui servait à faciliter les traitements de chimiothérapie, Robyn
exprima des inquiétudes quant à la présence d’une légère rougeur
autour du site d’insertion quelques jours après l’insertion du cathéter.
Bien que les cliniciens lui aient laissé entendre qu’il n’y avait pas lieu
de s’inquiéter, quelques jours plus tard, la rougeur s’était accentuée et
s’accompagnait de symptômes pseudo-grippaux.
Comme elle ne souhaitait pas inquiéter sa famille, elle cacha ses
symptômes dans l’espoir qu’ils disparaissent. Toutefois, comme son
système immunitaire était affaibli, elle n’était pas en mesure de les
combattre. Quelques jours plus tard, victime d’un choc septique, elle
fut admise à l’hôpital; son corps commençait à rendre les armes.
Le pronostic initial n’était pas encourageant. On la plongea alors dans
un coma médicamenteux et on l’intuba, lui faisant subir des dialyses
à intervalles réguliers afi n de veiller à ce que ses reins continuent de
fonctionner.
Une semaine après son admission à l’hôpital, alors qu’elle était toujours
dans le coma, on retira son cathéter et les cliniciens diagnostiquèrent
une infection associée au cathéter veineux central.
Les infections associées aux cathéters veineux centraux constituent les
infections nosocomiales les plus graves, les plus mortelles et les plus
coûteuses et elles menacent la vie des patients. Certains experts ont
révélé que chacune d’entre elles coûte plus de 50 000 $ au système de
santé canadien et qu’elles sont beaucoup trop fréquentes. En effet, un
patient sur six sera victime d’une infection; ainsi son séjour à l’hôpital
sera considérablement prolongé, comme ce fut le cas pour Robyn.
Près de deux semaines après son admission à l’hôpital et sept jours
après qu’on lui eut diagnostiqué une infection associée au cathéter
veineux central, l’état de santé de Robyn commença lentement à
s’améliorer. Elle était encore très faible, on lui administrait énormément
de médicaments et elle perdait et reprenait conscience en alternance.
Cependant, on pouvait déceler, par certains signes, qu’elle commençait
petit à petit à prendre du mieux.
Elle est demeurée à l’unité des soins intensifs pendant plus de cinq
semaines, cherchant à recouvrer ses forces dans l’espoir de reprendre
les traitements de chimiothérapie interrompus à la suite de son
infection.
Lorsqu’elle a fi nalement obtenu son congé de l’hôpital, près de trois
mois après son admission, un système de soutien étendu a dû être
mis en place pour elle. Cette femme autrefois indépendante avait alors
besoin d’aide pour la plupart des tâches quotidiennes; elle avait besoin
de physiothérapie et d’aide pour ses soins personnels et, plus important
encore, pour s’occuper de sa famille. Sa vie était bouleversée.
Une fois remise de son infection, elle reprit ses traitements de
chimiothérapie avec, cette fois-ci, un cathéter central introduit par
voie périphérique (CCIVP). Ce cathéter lui rappellerait quotidiennement
l’infection qui avait failli lui enlever la vie.
Même si Robyn s’est remise de son infection associée au cathéter
veineux central, elle aurait facilement pu être évitée. En suivant les
pratiques exemplaires, les hôpitaux peuvent éviter de causer du
tort aux patients qu’ils espèrent guérir. Heureusement, de nouvelles
percées technologiques permettent de réduire la régénération de la
fl ore cutanée qui peut causer des infections associées aux cathéters
veineux centraux.
Le pansement à base de gluconate de chlorhexidine TegadermMC
3MMC est un pansement transparent doté d’une compresse de gel
antimicrobien. En plus d’offrir une protection antimicrobienne continue
au niveau du site d’insertion du cathéter, il permet aux cliniciens de voir
en permanence le site d’insertion et, par le fait même, de détecter les
premiers signes et symptômes d’infection, comme la présence d’une
rougeur autour de ce dernier (comme ce fut le cas pour Robyn).
Si les cliniciens disposent des outils appropriés à portée de main
et connaissent en profondeur la marche à suivre pour prévenir les
infections associées aux cathéters veineux centraux dans un cadre
de conformité établi, les hôpitaux pourront prendre les mesures
qui s’imposent afi n de réduire le nombre d’infections dans leurs
établissements.
Le combat de Robyn Fox
pour rester en vie
Les infections associées
aux cathéters
veineux centraux :