VAUDON Patrick : essai sur une extension de la transformation de LORENTZ aux référentiels accélérés
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()
3
2
2
2
22
2
2
2
3
2
3
2
2
22
dt
dx
c
v
1
c
v
1v
dt
dx
dt
dx
c
a
dt
dx
c
v
1
c
v
1
a
dt
dx
c
v
1
c
v
1
²dtxd
'²dt 'xd
−
−−
+
−
−
−
−
−
=(V-7)
Le dernier terme s’annule car dx/dt = v. En effectuant cette substitution également dans
les deux premiers termes, on obtient en imposant d²x’/dt’² = 0 :
a
xd
2
= (V-8)
Le point matériel étant au repos par rapport à l’axe O’x’ du référentiel (R’), il est
cohérent de trouver son accélération identique à l’accélération relative de (R’) par rapport à
(R). Contrairement à la situation analogue du chapitre IV, l’accélération du point matériel ne
tend pas vers 0 lorsque la vitesse relative augmente puisque en imposant l’accélération relative
a et la vitesse relative v, on impose également l’accélération du point matériel et sa vitesse par
rapport au référentiel (R).
II-2 Transformation des accélérations suivant Oy
La relation de transformation générale est la suivante :
3
2
23
2
2
2
2
2
22
2
2
2
22
dt
dx
c
v
1
v
dt
dx
c
a
dt
dy
dt
dx
c
v
1
c
v
1
dt
dy
dtxd
c
v
dt
dx
c
v
1
c
v
1
²dtyd
'²dt 'yd
−
−
+
−
−
+
−
−
=
(V-9)
Dans les conditions exprimées en (V-4) et (V-8), on obtient :
2
2
2
2
2
2
22
c
v
1
1
dt
dy
a
c
v
c
v
1
1
²dtyd
'²dt 'yd
−
+
−
= (V-10)
Comme dans le chapitre précédent, même si le point matériel n’est pas accéléré
suivant Oy dans le référentiel (R) (d²y/dt² = 0), il peut apparaître une accélération suivant cette
direction dans le référentiel (R’), à condition que la vitesse dy/dt soit non nulle. Ce résultat ne
peut être déduit ni de la mécanique classique, ni de la relativité restreinte.
III – La transformation des masses
La relation de transformation est déduite de la relativité restreinte :