A chaque nœud, nous avons la somme des probabilités attachées à ce nœud égale à 1 :
P(A) + P(B) = 1 ; P
A
(C) + P
A
(D) = 1 ; P
B
(C) + P
B
(D) = 1 ;
et au bout de l’arbre : P(A∩C) + P(A∩D) + P(B∩C) + P(B∩D) = 1.
Remarque : Dans notre arbre, B =
.
Nous pouvons aussi faire un tableau pour représenter la situation ci-dessus.
Les fonctions
Trois types ont été utilisées en première :
a) Les fonctions affines f(x) = ax + b avec a et b réels donnant des droites.
b) Les polynômes de degré 2 f(x) = ax
2
+ bx + c, a réel non nul et b et c des réels (Paraboles).
c) Les fonctions rationnelles (f(x) =
bax +
avec c ≠ 0, a, b et d quelconques (Hyperboles) et
plus généralement f(x) = )x(Q )x(P P et Q étant des polynômes, Q au moins de degré 1)
Les dérivées
Soit f une fonction définie sur un intervalle [a ;b], le nombre dérivé de f en chaque point x
0
sera calculé en faisant :
)x('f
h)x(f)hx(f
lim
0
00
=
==
=
(h étant un réel petit 0,1 ou – 0,001 par exemple)
h
0
par définition, f ’(x
0
) s’appelle le nombre dérivé de f en x
0
.
On peut alors construire la fonction dérivée sur l’intervalle [a ;b] :
Pour tout x
0
∈
[a ;b], x
0
y = f ’(x
0
)
.
Une chose très importante :
la fonction dérivée f ’donne la vitesse instantanée de f en toute
valeur de l’intervalle où elle est définie
.
Théorème important
Soit une fonction f, définie sur un intervalle I et dérivable sur cet intervalle :
Si pour tout x∈
∈∈
∈ I, f ‘(x)>
>>
> 0 , alors sera strictement croissante sur I.
Si pour tout x∈
∈∈
∈ I, f ‘(x)<
<<
< 0, alors f sera strictement décroissante sur I.
Si pour tout x∈
∈∈
∈ I, f ‘(x) = 0, alors f sera constante sur I.
Evidemment, il faut bien connaître les formules donnant les dérivées et surtout :
Théorème 1 :
Dérivée d’une somme de fonctions dérivables
(u(x) + v(x)) ‘ = u ‘(x) + v ‘(x) ou plus simplement (u + v) ‘ = u ‘+ v ‘
.
Théorème 2 : Dérivée d’un produit de deux fonctions dérivables
(u(x) v(x))’ = u ‘(x) v(x) + u(x) v ‘(x) ou plus simplement (uv)’ = u’v + u v’
.