BIO janv 2014 corrigé

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1. La synthèse des ribosomes est associée à : (une réponse fausse)
a. La maturation d’un ARNr précurseurs en plusieurs ARNr de plus petite taille
b. L’import dans le noyau de protéines ribosomales
c. Un rapprochement spatial de gènes porteurs des gènes codants pour les ARNr
d. L’export vers le cytoplasme d’ARNr associé à des protéines ribosomiques
e. Un import des tRNA vers le nucléole
2. Dans les cellules eucaryotes, le noyau : (une réponse fausse)
a. A un diamètre de l’ordre de 10 µm
b. Est tapissé de lamines
c. Est très fortement stabilisé par l’actine
d. Est entouré d’une membrane lipidique reliée aux réticulum endoplasmique
e. Disparaît lors du passage en mitose
3. Les protéines histones possèdent les propriétés suivantes : (une réponse fausse)
a. Elles sont de petite taille (environ 10-20 kDa)
b. Elles sont conservées de la bactérie à l’homme
c. Elles sont riches en acides aminés basiques
d. Elles peuvent être modifiées chimiquement
e. Elles se lient à l’ADN
4. La chromatine existe : (une réponse juste)
a. Dans un état transcriptionellement actif appelé heterochromatine
b. Dans un état transcriptionellement inactif appelé euchromatine
c. Dans une état transcriptionellement inactif appelé hétérochromatine facultative
ou constitutive
d. Dans une état très compact appelé euchromatine (par opposition à l’héterochromatine
très peu compacte)
e. Dans un état structural très relâché (décompacté) appelé hétérochromatine.
5. L’existence d’un lien entre la distribution (position/compaction) de la chromatine dans le
noyau et sa fonction est illustrée entre autre par : (une réponse fausse)
a. Le fait que les gènes présents sous forme d’hétérochromatine facultative et
d’euchromatine diffèrent d’un type cellulaire à l’autre
b. Le fait que les gènes actifs sont localisés en périphérie du noyau, associés à de la
chromatine très compacte
c. Que le chromosome X inactif apparait sous la forme d’un territoire dense en ADN,
accolé à la périphérie du noyau
d. Que les gènes codants pour les ARNr portés par différents chromosomes se regroupent
dans le noyau au sein des nucléoles
e. Qu’un chromosome pauvre en gène a une position plus périphérique qu’un
chromosome riche en gènes
6. Lors de la transcription de ce fragment d'ADN (sens de la transcription indiqué par la flèche)
la séquence de l'ARN obtenu sera : (une réponse juste)
a.
b.
c.
d.
e.
5'-UCCGCGCAUC-3'
5'-TGGCGCGTAG-3'
5'-AGGCGCGUAG-3'
3'-AGGCGCGUAG-5'
5'-UGGCGCGUAG-3'
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7. La télomérase : (une réponse fausse)
a. Est constituée d’une molécule ARN et d’une entité protéique
b. Permet d’empêcher le raccourcissement des chromosomes à chaque cycle de
réplication
c. Possède une activité réverse transcriptase
d. Contient un ARN dont la séquence est complémentaire de l’extrémité 3’ sortante de
chaque chromosome
e. Une seule de ces propositions est exacte
8. Au cours de la phase S, la réplication de l’ADN se caractérise par les propriétés suivantes (une
réponse fausse)
a. Se produit d’abord au niveau des régions hétérochromatiques (début de phase S)
puis au niveau des régions euchromatiques (fin de phase S).
b. Se produit selon un mode semi conservatif
c. Se produit dans un sens 5’ vers 3’ (sens de progression du brin en cours de synthèse)
d. Nécessite la présence d’une extrémité 3’OH apportée par une amorce ARN
e. Progresse dans les deux directions à partir des origines de réplications.
9. Une de ces protéines est impliquée dans le processus de réplication de l’ADN. Laquelle ? (une
réponse juste)
a. L’ARN pol II
b. Les protéines snRNPs
c. Le complexe TFIID
d. L’hélicase
e. La polyA polymérase
10. A propos du couple cycline/cycline dependent kinase : (une réponse fausse)
a. Les cyclines s’accumulent à des phases particulières du cycle cellulaire
b. La phosphorylation des Cdk accompagne leur passage vers un état actif
c. Chaque cycline s’associe à une cycline dépendante kinase (cdk)
d. Les couples cycline/cdk s’accumulent dans un premier temps sous une forme inactive
e. Les phosphorylations qui se produisent sur les Cdk peuvent être inhibitrices ou
activatrices de l’activité des Cdk
11. Un de ces acteurs n’est pas impliqué dans le processus de transcription de l’ADN. Lequel ?
a. Negative Elongation factor (NEF)
b. Positive transcription elongation factor (PTEFb )
c. Primase
d. TATA box associated protein (TBP)
e. Domaine C terminal de l’ARN polymerse
12. La chromatine : (une réponse fausse)
a. Est présente chez tous les organismes vivants
b. Est organisée sous forme de nucléosome
c. Les protéines histones peuvent être acétylées ou non acétylées
d. Permet de compacter le génome
e. Permet de réguler l’activité transcriptionnelle
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13. Les nucléosomes peuvent être mis en évidence : (une réponse juste)
a. Grâce à des digestions de la chromatine par la nucléase micrococcale réalisée sur de
l’ADN nu
b. Grâce à des expériences de digestion de la chromatine par la nucléase
micrococcocale sur des noyaux isolés puis analyse de l’ADN par électrophorèse
c. Grâce à une électrophorèse de l’ADN suivie d’une digestion par la nucléase
micrococcocale réalisée sur noyaux isolés
d. Grâce à la technique de Southern blot
e. Aucune des réponses n’est juste
14. Les cellules eucaryotes provenant de tissus différents se caractérisent par le fait : (une réponse
juste):
a. Que les ARNs produits par ces cellules sont tous identiques contrairement aux
protéines qui sont produites
b. Qu’elles possèdent des variants d’epissage qui sont tous identiques
c. Que leurs gènes ne sont pas tous répliqués au même moment au cours de la phase
S
d. Que leurs gènes sont différents
e. Aucune de ces propositions n’est exacte
15. Au sein d’un noyau interphasique : (une réponse juste)
a. Les chromosomes sont spatialement appariés dans toutes les cellules
b. Les chromosomes homologues sont spatialement dissociés dans toutes les cellules
c. Certaines tendances sont observées comme par exemple le fait que les gènes
inactifs sont plutôt distribués en périphérie et les gènes actifs plutôt localisés au
centre des noyaux.
d. Les chromosomes inactifs ont une distribution au sein du noyau qui dépend de leur
taille
e. Aucune de ces réponses n’est exacte
16. Le G cap : (Une réponse fausse)
a. Protège les extrémités 3’et 5’ contre l’hydrolyse par les ARNases
b. Le nucléotide G est lié au premier nucléotide de l’ARN par une liaison 5’-5’
triphosphate
c. Permet le recrutement d’un facteur d’initiation de la traduction
d. L’addition du G cap est un processus post transcriptionnel
e. Les ARNm procaryotes n’ont pas de G cap
17. Les ARN : (Une réponse fausse)
a. Les ARNm représentent environ 5% des ARN cellulaires
b. Les ARNt représentent environ 15% des ARN cellulaires
c. Les ARNr représentent environ 80% de ARN cellulaires
d. Les ARNr forment une famille constituée de 4 molécules différentes chez les
procaryotes et de 5 molécules chez les eucaryotes
e. Les ARNt forment une famille constituée de 30 à 50 membres (selon les espèces)
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18. Les ARNt : (Une réponse fausse)
a. La transcription des gènes qui codent les ARNt génère des molécules de Pré-ARNt
b. La maturation des ARNt se produit dans le noyau des cellules eucaryotes
c. Il existe seulement 2 ARNases qui interviennent dans la maturation des ARNt,
l’ARNase P et l’ARNase Z
d. L’ARNase P rajoute 3 nucléotides à l’extrémité 3’ des ARNt
e. La séquence nucléotidique des ARNt varie au niveau de l’anticodon et en dehors de
l’anticodon
19. Le site d’initiation de la traduction sur l’ARNm est associé à une séquence de signal
(séquence de Kozac ou séquence de Shine et Dalgarno) parce que : (une réponse fausse)
a. On trouve de nombreux codons AUG dans la région 5’UTR de l’ARNm
b. Le codon AUG à lui seul n’est pas assez informatif pour être reconnu sans erreur par
la machinerie de traduction
c. En absence de cette seconde séquence signal la traduction pourrait être initiée à
plusieurs endroits
d. Cette séquence signal permet à la grande sous unité du ribosome de reconnaitre
le codon initiateur
e. Cette séquence signal permet la formation d’un complexe ARN-Ribosome stable
20. L’une de ces étapes du processus d’initiation de la traduction n’est vraie que chez les
eucaryotes, laquelle ?
a. Commence toujours au niveau d’un codon AUG
b. Le premier acide aminé intégré est toujours la méthionine
c. Les 2 sous unités du ribosome sont séparés sous l’effet de facteurs protéiques
d. Le facteur d’initiation lié à l’aminoacyl-ARNt hydrolyse le GTP ce qui entraine le
relargage des facteurs d’initiation liés à la petite sous unité du ribosome.
e. Les 2 sous unités du ribosome s’assemblent au niveau du codon initiateur
21. Chez les eucaryotes, le processus d’élongation commence au moment ou : (une réponse
fausse)
a. Le ribosome est assemblé au codon initiateur
b. Le complexe méthionine-ARNt est localisé au niveau du site P du ribosome
c. Le site A du ribosome recrute un aminoacyl-ARNt correspondant au codon numéro 2
d. Le site E du ribosome est vide
e. Aucun facteur d’élongation n’est encore recruté au niveau du ribosome
22. Pendant l’étape d’élongation de la traduction : (une réponse fausse) (ici deux réponses étaient
correctes et ont donc été validées)
a. N’importe quel aminoacyl-ARNt est capable d’entrer au site A du ribosome
b. Les aminoacyl-ARNt peuvent ressortir du site A du ribosome
c. Seul l’aminoacyl-ARNt dont le codon est complémentaire de l’anticodon est
retenu du site A du ribosome
d. Certains aminoacyl-ARNt peuvent entrer au site P du ribosome
e. Aucun aminoacyl-ARNt ne peut entrer au site E du ribosome
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23. l’Hydrolyse du GTP lié à eEF1 ou EF1-TU est nécessaire pour : (une réponse juste)
a. L’entrée de l’aminoacyl-ARNt au site A du ribosome
b. La fabrication de la liaison peptidique par la grande sous unité du ribosome
c. Le clivage entre l’acide amine et l’ARNt
d. La translocation du ribosome
e. Le relargage de l’ARNt au site E du ribosome
24. Lors du transfert des protéines dans les membranes du reticulum endoplasmique granuleux :
(une réponse fausse)
a. Les séquences signal internes et les séquences d’arrêt de transfert sont capables
de se lier à la SRP (particule de reconnaissance du signal)
b. Les séquences signal en position N terminale ne peuvent pas devenir des domaines
transmembranaires des protéines
c. Les séquences signal internes et les séquences d’arrêt de transfert sont des séquences
constituées d’acides aminés hydrophobes
d. Dans les membranes, les séquences signal internes et les séquences d’arrêt de transfert
se structurent en hélice alpha
e. Les séquences signal internes et les séquences d’arrêt de transfert ne sont jamais
clivées par la peptidase du signal
25. Le repliement des protéines : (une réponse fausse)
a. Se produit au moment du retrait des protéines chaperonnes
b. Peut se produire dans le cytoplasme ou dans la lumière du réticulum endoplasmique
c. Une partie des informations nécessaire au repliement des protéines est apportée
par les protéines chaperonnes
d. Les protéines chaperonnes empêchent les protéines en cours de synthèse de se replier
prématurément
e. Les protéines transloquées dans la lumière du réticulum endoplasmique ne sont jamais
associées aux protéines chaperonnes dans le cytoplasme.
26. Les lysosomes primaires : (une réponse fausse)
a. Dérivent de l’appareil de Golgi
b. Renferme des enzymes lytiques inactives
c. Ont un pH voisin de 7,0
d. Peuvent dériver des lysosomes secondaires
e. Possèdent des pompes proton/ATPase membranaires
27. le trafic vésiculaire : (une réponse fausse)
a. Le système endomembranaire est extrêmement labile et se déforme en permanence
pour former des vésicules qui peuvent fusionner avec d’autres systèmes membranaires
b. Les vésicules de sécrétion se forment au niveau de l’appareil de Golgi avant de
fusionner avec la membrane plasmique
c. L’appareil de Golgi permet de trier les protéines qui entrent dans les vésicules
d. Seules, les vésicules qui se forment à la face convexe de l’appareil de Golgi
peuvent fusionner avec la membrane plasmique
e. Des vésicules peuvent se former à la face concave de l’appareil de golgi
28. Quel échange vésiculaire n’est pas possible : (une réponse fausse)
a. Entre citernes golgiennes
5
b.
c.
d.
e.
Entre appareil de Golgi et membrane plasmique
Entre appareil de Golgi et REG
Entre appareil de golgi et endosomes tardifs
Entre lysosomes
29. Le processus de tri des protéines transportées par les vésicules : (une réponse fausse)
a. Les protéines à transporter peuvent subir des modifications post-traductionnelles
(glycosylation par exemple) qui constituent un signal d’adressage
b. Les protéines à transporter peuvent posséder une séquence d’adressage qui n’est pas
une modification post-traductionnelles
c. Les protéines transmenbranaires ont une séquence d’adressage localisée dans leur
domaine cytoplasmique
d. les protéines adaptatrices (AP ou GGA) peuvent lier les séquences d’adressages des
protéines transmembranaires
e. les protéines du manteau (COP) peuvent lier les séquences d’adressages des
protéines transmembranaires et des protéines luminales
30. les protéines adaptatrices : (une réponse fausse)
a. Sont activées par une protéine membranaire appelée GEF (Guanine nucléotide
Exchange Factor)
b. Sont recrutées par les protéines ARF
c. Ne sont nécessaires que lors de la formation des vésicules à clathrine
d. Recrutent les protéinés du manteau
e. Sont impliquées dans la sélection des protéines à transporter
31. Les systèmes biologiques sont caractérisées par : (une réponse juste)
a. Une entropie élevée
b. Une entropie faible
c. Leur dépendance vis-à-vis de la chaleur
d. Des réactions chimiques spontanées
e. Aucune réponse n'est exacte
32. Chez les cellules animales, la production d'énergie se fait par des réactions : (une réponse
juste)
a. De transamination
b. D'oxydation
c. De condensation
d. De phosphorylation
e. Aucune réponse n'est exacte
33. Les aliments (glucides, lipides protéines) sont oxydés par : (une réponse juste)
a. Les métaux
b. L'oxygène atmosphérique
c. Le coenzyme A
d. Des dinucleotides particuliers
e. L'ATP
6
34. Chez les animaux, lors d’un repas l'excès d’énergie produite par l’oydation des aliments sera
stockée sous forme : (une réponse juste)
a. D'ATP
b. De glucose
c. D'amidon
d. D’un gradient de proton transmembranaire
e. Aucune réponse n'est exacte
35. Dans l’oxydation du glucose en CO2 et H2O lors de la glycolyse et du cycle de Krebs : (une
réponse juste)
a. L’oxygène du CO2 provient du dioxygène atmosphérique+
b. La plus grande partie de l’énergie est dissipée sous forme de chaleur
c. L’énergie n’a pratiquement pas été dissipée
d. L’ensemble des réactions a lieu dans la matrice mitochondriale
e. Aucune réponse n'est exacte
36. Chez les animaux, la production d'ATP se fait majoritairement : (une réponse juste)
a. Lors de la glycolyse
b. Lors de la décarboxylation oxydative du pyruvate
c. Lors du cycle de Krebs
d. Lors de la réoxydation du NADH et du FADH2
e. Aucune réponse n'est exacte
37. Dans une mitochondrie, la membrane interne : (une réponse fausse)
a. Est de type bactérien
b. Est très riche en protéines
c. Est imperméable aux ions
d. Contient un canal composé de porine
e. Est chargée positivement à l'extérieur
38. L'ATP synthase mitochondriale : (une réponse fausse)
a. Est un moteur moléculaire
b. A un domaine membranaire composé de deux demi-canaux à protons
c. A une partie catalytique constituée de 6 grosses sous-unités
d. Possède 3 sites catalytiques
e. Possède une partie catalytique localisée dans la membrane
39. La chaîne mitochondriale des transporteurs d’électrons : (une réponse juste)
a. Expulse des protons hors de la matrice
b. Fait rentrer des protons dans la matrice
c. Produit de l’ATP
d. Réduit de NAD+ en NADH
e. Est composées de transporteurs d’électrons qui diffusent librement dans la membrane
40. Lorsque l’on crée un déséquilibre dans la concentration de protons de part et d’autre de la
membrane interne mitochondriale : (une réponse juste)
a. On stocke l’énergie sous forme d’un gradient de pH
b. On stocke l’énergie sous forme d’un potentiel électrique
c. On génère principalement de la chaleur
d. On stocke l’énergie sous forme d’un gradient électrochimique
e. Aucune réponse n’est exacte
41. La cellulose : (une réponse juste)
a. Contient des chaînes α1-4 et α1-6 de αDglucopyranose
b. Contient des chaînes α1-4 de αDglucopyranose
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c. Contient des chaînes β1-4 de βDNacétylglucosamine
d. Est une succession d’éléments répétitifs à deux oses
e. Aucune réponse n’est exacte
42. La paroi secondaire des végétaux : (une réponse juste)
a. Se forme sur des tissus végétaux en cours de différenciation
b. Se rigidifie par calcification
c. Contient un polyphenol complexe qui lui confère ses propriétés mécaniques
d. Ne contient plus de cellulose
e. Permet la turgescence des cellules
43. Les fibres de collagène : (une réponse juste)
a. Sont des polymères non covalents
b. Contiennent un grand nombre de leucines
c. Présentent des pontages entre chacune des extrémités des triples hélices
d. Nécessitent de la vitamine C pour se constituer
e. Aucune réponse n'est exacte
44. Lorsque la tubuline est polymérisée en microtubule : (une réponse juste)
a. Elle hydrolyse l'ATP
b. Elle hydrolyse le GTP
c. Elle échange l'ADP contre de l'ATP
d. Elle utilise la variation de ΔG pour fabriquer de l'ATP
e. Aucune réponse n'est exacte
45. Les microtubules sont : (une réponse fausse)
a. Des structures très dynamiques
b. Sont des structures formées de protofilaments
c. Polymérisent et dépolymérisent par insertion latérale de nouvelles sous unités
d. Ont une vitesse de dépolymérisation qui dépend des nucléotides présents
e. Subissent des phases aléatoires de polymérisation/dépolymérisation
46. Les kinésines sont des moteurs moléculaires : (une réponse juste)
a. Qui sont associés à l’actine
b. Qui interagissent de temps à autre avec les éléments du cytosquelette
c. Qui interagissent fortement avec le cytosquelette en présence d'ADP
d. Qui sont responsables de la migration des cellules animales
e. Qui interagissent fortement avec le cytosquelette en présence de GTP
47. Les jonctions adhérentes : (une réponse fausse)
a. Mettent en jeu des récepteurs de la famille de cadhérines
b. Sont reliées directement aux filaments intermédiaires
c. Sont reliées au cytosquelette via des caténines
d. Permettent la cohésion tissulaire
e. Sont issues de réactions homophiliques (même récepteurs) de deux cellules adjacentes
48. Les jonctions communiquantes : (une réponse juste)
a. Sont reliées au cytosquelette d’actine
b. Rattachent la cellule à la fibronectine
c. Mettent en jeu des cadhérines non classiques
d. Empêchent la diffusion de lipides entre le pôle basal et apical de l’épithelium intestinal
e. Sont constituées d’un oligomère de conexine
49. La membrane plasmique des bactéries à Gram négatif : (une réponse juste)
8
a.
b.
c.
d.
e.
Est différente de la membrane plasmique des bactéries à Gram positif.
Est composée de phosphatidylglycérol ou de phosphatidyléthanolamine.
Est une couche de phospholipide.
Contient moins de peptidoglycane que celle des bactéries à Gram positif.
Est une bi-couche de polysaccharide.
50. Le peptidoglycane : (une réponse fausse)
a. Est présent chez les bactéries à Gram positif et négatif.
b. Est constitué de chaînes polyosidiques reliées par des ponts peptidiques.
c. Est hydrolysé par le lyzozyme.
d. Est synthétisé dans le cytoplasme.
e. Contribue à la résistance de la cellule à la pression osmotique.
51. Une seule de ces propositions est vraie. Laquelle?
a. La diffusion facilitée est un mécanisme de transport actif.
b. Les systèmes de transport actif transportent les molécules dans le sens de leur gradient
de concentration.
c. Tous les systèmes de transport actif utilisent l'ATP comme source d'énergie.
d. Le transport du fer implique des molécules sécrétées par les bactéries qui
possèdent des récepteurs à la surface de la bactérie.
e. Les porines sont des transporteurs spécifiques présents dans la membrane externe des
bactéries à Gram négatif.
52. Une seule de ces propositions ne correspond pas à une différence dans la structure de
l'enveloppe des bactéries à Gram négatif et positif. Laquelle ?
a. Les porines sont des protéines associées à la membrane externe des bactéries à Gram
négatif.
b. Le lipopolysaccharide est spécifique des bactéries à Gram négatif.
c. Seules les bactéries à Gram négatif possèdent deux membranes.
d. Le peptidoglycane est spécifique des bactéries à Gram positif.
e. Les lipoprotéines de Braun sont spécifiques des bactéries à Gram négatif.
53. Le nucléoïde : (une réponse fausse)
a. Est un compartiment cellulaire qui renferme le matériel génétique des bactéries.
b. Est constitué d'acides nucléïques complexés à des protéines.
c. Est localisé en partie centrale du cytoplasme de la bactérie.
d. Est une structure compacte.
e. Est une structure dynamique.
54. Le flagelle bactérien : (une réponse juste)
a. Est constitué de lipides et de sucres.
b. Est constitué d'un corps basal et d'un crochet.
c. Est impliqué dans le transfert de matériel génétique entre bactéries.
d. Est une structure protéique.
e. Est assemblé dans le cytoplasme avant d'être exporté à l'extérieur de la cellule.
55. Dans la représentation en fer à cheval obtenue après incorporation de BrdU dans des cellules
en croissance on représente : (une réponse juste)
a. Intensité du marquage BrdU en fonction de l’intensité de l’iodure de propidium
(colorant fluorescent de l’ADN)
b. Intensité du marquage BrdU en fonction du nombre de cellules
c. Intensité du marquage BrdU en fonction de la phase du cycle cellulaire
d. Phase du cycle en fonction de l’intensité du marquage BrdU
e. Intensité du marquage iodure de propidium en fonction de l’intensité du marquage
BrdU
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56. Si l’on incube des cellules avec un déoxynucleotide marqué pendant un temps court (10
minutes ) et qu’on transfère ensuite les cellules dans un milieu ne contenant pas ce même
déoxynucléotide non marqué : (une réponse juste)
a. On observera que tout le volume des noyaux de certaines cellules est marqué
uniformément et de manière homogène
b. Que le marquage évolue vers un marquage cytoplasmique
c. Que certaines régions des noyaux de toutes les cellules est marqué
d. Que le marquage évolue avec le temps : certaines régions des noyaux initialement
marquées ne le sont plus, alors que d’autres le deviennent.
e. Que le marquage évolue avec le temps. Certaines régions des noyaux qui étaient
initialement marquées ne le sont plus.
57. Quelle méthode permet le mieux de déterminer la ½ vie d’une protéine ? Un marquage
métabolique suivi: (une réponse juste)
a. D’un western blot
b. D’une période de chase puis d’un western blot
c. D’une immunoprécipitation puis d’une électrophorèse puis d’une autoradiographie du
gel
d. D’une période de chase puis d’une immunoprécipitation puis d’une
électrophorèse puis d’une autoradiographie du gel
e. D’une période de chase puis d’une immunoprécipitation puis d’un western blot
58. La méthode de FRAP (Fluorescence Recovery After Photobleaching) est complémentaire de la
technique d’immunofluorescence parce qu’elle permet :
a. De déterminer le temps de demi-vie d’une protéine marquées à la GFP
b. D’analyser la concentration d’une molécule dans la cellule vivante
c. De visualiser une protéine sans avoir à fixer et à perméabiliser les cellules
d. D’étudier des colocalisation entre deux protéines
e. Aucune réponse n’est exacte
59. On dispose d’une sonde nucléique permettant de détecter un ARN codant pour une protéine.
On dispose également d’un anticorps dirigé contre la protéine codée par cet ARN (poly A). On
s’intéresse à l’impact d’un facteur de croissance à un niveau transcriptionnel et posttraductionnel. Ces outils peuvent nous permettre de déterminer (une réponse fausse) :
a. Si la protéine est codée par un ou plusieurs ARN
b. Si la protéine existe sous la forme de plusieurs variants d’épissage
c. La taille des transcrits avant et après leur maturation dans le cytoplasme
d. Si l’activation du gène est transitoire après ajout du facteur de croissance
e. Si les ARNs transcrits sont stables dans le temps
60. L’immuno-précipitation: (une réponse fausse)
a. Est réalisée à partir d’un lysat cellulaire (et non sur des cellules entières)
b. Est réalisé avec un anticorps auquel on attache une bille de sépharose
c. Permet de purifier une protéine et les protéines qui lui sont éventuellement associées
(alors appelée co-immunoprécipitation)
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d. Nécessite une étape d’hybridation avec une sonde nucléique
e. Nécessite une étape de centrifugation
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