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publicité
par Frédérique David
Actualités
Files d’attente
Une solution pour obtenir un rendez-vous
à la clinique sans rendez-vous...
Une vingtaine de cliniques médicales au Québec ont déjà opté pour le service téléphonique offert par Bonjour-santé, division de l’entreprise Tootelo
Innovation basée à Boucherville, et officiellement lancé le 3 avril dernier. « La longue file d’attente matinale est chose du passé »,
se réjouit Julie Lessard, coordonnatrice des cliniques Camu de Longueuil et de Saint-Amable.
E
ntièrement gratuite pour les
cliniques, la solution proposée
comprend une ligne téléphonique, avec un numéro que les
patients composent pour obtenir
un rendez-vous à la clinique sans
rendez-vous. Cette ligne peut recevoir jusqu’à cinq appels simultanés
et peut enregistrer les rendez-vous à
partir de l’heure choisie par les gestionnaires de la clinique, que ce soit
le matin même ou la veille au soir.
Chaque patient obtient la première
heure disponible et recevra un appel 45 minutes avant son rendezvous pour lui rappeler de se rendre à
la clinique ou lui permettre d’annuler son rendez-vous. « En tout
temps, le patient peut annuler son
rendez-vous, ce qui permet de réduire l’absentéisme, précise Benoit
Brunel, président de Bonjour-santé.
Le taux d’absentéisme dans les cliniques varie entre 5 % et 10 %, parfois même 15 %. En annulant son
rendez-vous, le patient libère une
place pour quelqu’un d’autre. » La
Pour les patients comme Nicole...
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puissant des
symptômes.
Pour le traitement du trouble
dépressif majeur, choisissez PRISTIQ :
• Un IRSN qui s’associe à un taux d’abandon en raison
d’effets indésirables comparable à celui du placebo
Taux d’abandon dans des essais cliniques de 8 semaines : 4,1 %
pour PRISTIQ à 50 mg vs 3,8 % pour le placebo
• Effet semblable à celui du placebo sur le changement
pondéral après 6 mois
†
Aucune différence significative par rapport au placebo en ce qui
concerne le changement pondéral moyen (p = non sign.)
• Faible fréquence d’effets indésirables d’ordre
sexuel après 8 semaines
Fréquence ≥ 1 % après 8 semaines : dysfonction érectile (3 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs 1 % pour le placebo), baisse de la libido chez
l’homme (4 % pour PRISTIQ à 50 mg vs 1 % pour le placebo), baisse
de la libido chez la femme (1 % pour PRISTIQ à 50 mg vs
< 1 % pour le placebo), retard d’éjaculation (1 % pour PRISTIQ à
50 mg vs < 1 % pour le placebo), absence d’éjaculation (1 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs < 1 % pour le placebo), anorgasmie (1 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs 0 % pour le placebo), anomalie de l’orgasme
(1 % pour PRISTIQ à 50 mg vs < 1 % pour le placebo).
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secrétaire de la clinique a accès à un
extranet, avec un mot de passe,
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de la journée à la clinique sans rendez-vous.
En plus d’éliminer la file d’attente
contraignante pour les usagers,
Bonjour-santé améliore la qualité
de vie du personnel des cliniques
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’efficacité à court terme de PRISTIQ,
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, a été démontrée par des essais contrôlés par placebo
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence ≥ 5 %
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
et de la noradrénaline (IRSN) ou d’autres médicaments
sérotoninergiques. Ces interactions se sont manifestées par les
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
nausées, vomissements, bouffées de chaleur, étourdissements,
hyperthermie aux caractéristiques évoquant le syndrome
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
neurovégétative accompagnée parfois de fluctuations rapides
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
raison de la demi-vie du succinate de desvenlafaxine, il faut
attendre au moins 7 jours après l’arrêt de ce dernier avant de
commencer un traitement par un IMAO.
PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients présentant une
hypersensibilité au succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, au chlorhydrate de venlafaxine ou à l’un des
excipients de la préparation. L’administration concomitante
de PRISTIQ avec un produit contenant de la venlafaxine n’est
pas recommandée.
Des analyses récentes des bases de données sur
l’innocuité recueillies dans le cadre d’essais cliniques
contrôlés par placebo portant sur des inhibiteurs
sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) et
d’autres antidépresseurs récents semblent indiquer
que l’administration de ces médicaments à des
patients de moins de 18 ans pourrait être associée à
des changements comportementaux et émotionnels,
y compris un risque accru d’idées et de comportements
suicidaires, par comparaison avec un placebo.
Les petits dénominateurs des données d’essais
cliniques, de même que la variabilité des taux
liés au placebo, ne permettent pas de tirer
des conclusions fiables sur les profils d’innocuité
relative des médicaments appartenant à cette
classe. Des rapports d’essais cliniques et de postcommercialisation ont décrit la survenue de
manifestations sévères de type agitation chez des
enfants et des adultes recevant des ISRS ou d’autres
antidépresseurs récents. L’acathisie, l’agitation, la
désinhibition, la labilité émotionnelle, l’hostilité,
l’agressivité et la dépersonnalisation sont des
manifestations de type agitation. Dans certains
cas, ces manifestations sont apparues plusieurs
semaines après le début du traitement.
Peu importe l’âge du patient, on recommande un suivi
clinique rigoureux des idées suicidaires et des autres
indices de comportements suicidaires possibles, y
compris la surveillance des changements émotionnels
et comportementaux de type agitation, surtout au
début du traitement ou à l’occasion d’un changement
de dose ou de schéma posologique.
Les patients qui prennent PRISTIQ NE DOIVENT
PAS cesser brusquement le traitement en raison
du risque d’apparition de symptômes liés à l’arrêt
du traitement. Une fois prise la décision médicale
de cesser l’utilisation d’un ISRS ou d’un autre
antidépresseur récent, on recommande de réduire
graduellement la dose au lieu d’arrêter soudainement
le traitement.
Veuillez consulter la monographie de PRISTIQ pour obtenir les
renseignements thérapeutiques complets.
Référence : Monographie de PRISTIQ, Pfizer Canada inc.,
24 juin 2011.
PRISTIQ MD de Wyeth LLC,
Pfizer Canada inc, licencié
M.C. de Pfizer inc, utilisée sous licence
© 2012 Pfizer Canada inc
Kirkland (Québec) H9J 2M5
CA0111PRI048F
Veuillez consulter le Résumé des renseignements
posologiques à la page 68-69
xx
3/22/12 9:51 AM
sans rendez-vous. « Cela fait gagner
énormément de temps aux secrétaires, qui peuvent ainsi se consacrer à d’autres tâches pour assister
les médecins, confirme Benoit Brunel. Selon la taille de la clinique, ce
sont entre 100 et 800 appels par
jour qui sont ainsi éliminés. » Autre
avantage non négligeable : ce système permet de réduire le nombre
de personnes dans la salle d’attente,
ce qui entraîne une diminution de
la propagation des virus.
Bien que le service téléphonique
soit entièrement gratuit pour la clinique et les patients, un coût est exigé lorsque ces derniers se servent de
l’outil Web Périscope, offert par
Bonjour-santé. Moyennant des
frais de 12 $, le patient peut trouver
une place dans une clinique sans
rendez-vous de sa région. « Pour
ceux qui sont prêts à se déplacer et à
se rendre ailleurs que dans leur clinique habituelle, le système vérifie
s’il y a des disponibilités parmi les
cliniques qui offrent le service Bonjour-santé, explique Benoit Brunel.
Ce petit pourcentage de personnes
devrait suffire à couvrir les frais de
la plateforme. »
« il faudra s’assurer
que le montant exigé
pour le service Internet
ne devienne pas un
montant à payer pour
l’accès prioritaire à un
médecin de famille. »
La RAMQ ne s’est pas encore prononcée sur la légalité des frais exigés pour ce service complémentaire sur Internet. « Nous faisons
des vérifications sur ce type de service », indique Paule Saillant, porteparole de l’organisme. À la FMOQ,
le président se montre prudent :
« Nous sommes en faveur de tout
système favorisant la vie du patient
et la vie du médecin dans la gestion
de ses activités et qui n’entraîne pas
de frais pour les patients, indique le
Dr Louis Godin. Par contre, il faudra s’assurer que le montant exigé
pour le service Internet ne devienne pas un montant à payer
pour l’accès prioritaire à un médecin de famille. »
Le président de Bonjour-santé se
dit confiant. « Nos avis juridiques
sont concluants puisque les rendezvous disponibles dans le Web sont
les mêmes que ceux offerts gratuitement par téléphone, précise-t-il.
Ce que nous vendons dans le Web,
c’est une convivialité. Nous ne donnons pas accès à un médecin plus
rapidement et nous ne versons aucune ristourne aux médecins ou
aux professionnels de la santé. » <
www.ProfessionSante.ca – 9 mai 2012 – L’actualité médicale – 15
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