www.Professionsante.ca 9 mai 2012 LactuaLité médicaLe 15
fiLes d’attente
Une solution pour obtenir un rendez-vous
à la clinique sans rendez-vous...
Une vingtaine de cliniques médicales au Québec ont déjà opté pour le service téléphonique offert par Bonjour-santé, division de l’entreprise Tootelo
Innovation basée à Boucherville, et officiellement lancé le 3 avril dernier. « La longue file d’attente matinale est chose du passé »,
se réjouit Julie Lessard, coordonnatrice des cliniques Camu de Longueuil et de Saint-Amable.
Entièrement gratuite pour les
cliniques, la solution proposée
comprend une ligne télépho-
nique, avec un numéro que les
patients composent pour obtenir
un rendez-vous à la clinique sans
rendez-vous. Cette ligne peut rece-
voir jusquà cinq appels simultanés
et peut enregistrer les rendez-vous à
partir de l’heure choisie par les ges-
tionnaires de la clinique, que ce soit
le matin même ou la veille au soir.
Chaque patient obtient la première
heure disponible et recevra un ap-
pel 45 minutes avant son rendez-
vous pour lui rappeler de se rendre à
la clinique ou lui permettre dannu-
ler son rendez-vous. « En tout
temps, le patient peut annuler son
rendez-vous, ce qui permet de ré-
duire labsentéisme, précise Benoit
Brunel, président de Bonjour-santé.
Le taux dabsentéisme dans les cli-
niques varie entre 5 % et 10 %, par-
fois même 15 %. En annulant son
rendez-vous, le patient libère une
place pour quelquun dautre. » La
secrétaire de la clinique a accès à un
extranet, avec un mot de passe,
pour obtenir la liste des inscriptions
de la journée à la clinique sans ren-
dez-vous.
En plus déliminer la file dattente
contraignante pour les usagers,
Bonjour-santé améliore la qualité
de vie du personnel des cliniques
sans rendez-vous. « Cela fait gagner
énormément de temps aux secré-
taires, qui peuvent ainsi se consa-
crer à dautres tâches pour assister
les médecins, confirme Benoit Bru-
nel. Selon la taille de la clinique, ce
sont entre 100 et 800 appels par
jour qui sont ainsi éliminés. » Autre
avantage non négligeable : ce sys-
tème permet de réduire le nombre
de personnes dans la salle dattente,
ce qui entraîne une diminution de
la propagation des virus.
Bien que le service téléphonique
soit entièrement gratuit pour la cli-
nique et les patients, un coût est exi-
gé lorsque ces derniers se servent de
loutil Web Périscope, offert par
Bonjour-santé. Moyennant des
frais de 12 $, le patient peut trouver
une place dans une clinique sans
rendez-vous de sa région. « Pour
ceux qui sont prêts à se déplacer et à
se rendre ailleurs que dans leur cli-
nique habituelle, le système vérifie
s’il y a des disponibilités parmi les
cliniques qui offrent le service Bon-
jour-santé, explique Benoit Brunel.
Ce petit pourcentage de personnes
devrait suffire à couvrir les frais de
la plateforme. »
La RAMQ ne s’est pas encore pro-
noncée sur la légalité des frais exi-
gés pour ce service complémen-
taire sur Internet. « Nous faisons
des vérifications sur ce type de ser-
vice », indique Paule Saillant, porte-
parole de lorganisme. À la FMOQ,
le président se montre prudent :
« Nous sommes en faveur de tout
système favorisant la vie du patient
et la vie du médecin dans la gestion
de ses activités et qui n’entraîne pas
de frais pour les patients, indique le
DrLouis Godin. Par contre, il fau-
dra s’assurer que le montant exigé
pour le service Internet ne de-
vienne pas un montant à payer
pour laccès prioritaire à un méde-
cin de famille. »
Le président de Bonjour-santé se
dit confiant. « Nos avis juridiques
sont concluants puisque les rendez-
vous disponibles dans le Web sont
les mêmes que ceux offerts gratui-
tement par téléphone, précise-t-il.
Ce que nous vendons dans le Web,
c’est une convivialité. Nous ne don-
nons pas accès à un médecin plus
rapidement et nous ne versons au-
cune ristourne aux médecins ou
aux professionnels de la santé. » <
ACTUALITÉS CLINIQUES
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
et de la noradrénaline (IRSN) ou d’autres médicaments
sérotoninergiques. Ces interactions se sont manifestées par les
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
nausées, vomissements, bouff ées de chaleur, étourdissements,
hyperthermie aux caractéristiques évoquant le syndrome
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
neurovégétative accompagnée parfois de uctuations rapides
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
raison de la demi-vie du succinate de desvenlafaxine, il faut
attendre au moins 7 jours après l’arrêt de ce dernier avant de
commencer un traitement par un IMAO.
PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients présentant une
hypersensibilité au succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, au chlorhydrate de venlafaxine ou à l’un des
excipients de la préparation. Ladministration concomitante
de PRISTIQ avec un produit contenant de la venlafaxine nest
pas recommandée.
Des analyses récentes des bases de données sur
l’innocuité recueillies dans le cadre d’essais cliniques
contrôlés par placebo portant sur des inhibiteurs
sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) et
d’autres antidépresseurs récents semblent indiquer
que l’administration de ces médicaments à des
patients de moins de 18 ans pourrait être associée à
des changements comportementaux et émotionnels,
y compris un risque accru d’idées et de comportements
suicidaires, par comparaison avec un placebo.
Les petits dénominateurs des données d’essais
cliniques, de même que la variabilité des taux
liés au placebo, ne permettent pas de tirer
des conclusions fi ables sur les profi ls d’innocuité
relative des médicaments appartenant à cette
classe. Des rapports d’essais cliniques et de post-
commercialisation ont décrit la survenue de
manifestations sévères de type agitation chez des
enfants et des adultes recevant des ISRS ou dautres
antidépresseurs récents. L’acathisie, l’agitation, la
désinhibition, la labilité émotionnelle, l’hostilité,
l’agressivité et la dépersonnalisation sont des
manifestations de type agitation. Dans certains
cas, ces manifestations sont apparues plusieurs
semaines après le début du traitement.
Peu importe l’âge du patient, on recommande un suivi
clinique rigoureux des idées suicidaires et des autres
indices de comportements suicidaires possibles, y
compris la surveillance des changements émotionnels
et comportementaux de type agitation, surtout au
début du traitement ou à l’occasion d’un changement
de dose ou de schéma posologique.
Les patients qui prennent PRISTIQ NE DOIVENT
PAS cesser brusquement le traitement en raison
du risque d’apparition de symptômes liés à l’arrêt
du traitement. Une fois prise la décision médicale
de cesser l’utilisation d’un ISRS ou d’un autre
antidépresseur récent, on recommande de réduire
graduellement la dose au lieu d’arrêter soudainement
le traitement.
Veuillez consulter la monographie de PRISTIQ pour obtenir les
renseignements thérapeutiques complets.
Référence : Monographie de PRISTIQ, Pfi zer Canada inc.,
24 juin 2011.
PRISTIQ MD de Wyeth LLC,
Pfi zer Canada inc, licencié
M.C. de Pfi zer inc, utilisée sous licence
© 2012 Pfi zer Canada inc
Kirkland (Québec) H9J 2M5 CA0111PRI048F
Pour le traitement du trouble
dépressif majeur, choisissez PRISTIQ :
Un IRSN qui s’associe à un taux d’abandon en raison
d’e ets indésirables comparable à celui du placebo
Taux d’abandon dans des essais cliniques de 8 semaines : 4,1 %
pour PRISTIQ à 50 mg vs 3,8 % pour le placebo
Eff et semblable à celui du placebo sur le changement
pondéral après 6 mois
Aucune diff érence signifi cative par rapport au placebo en ce qui
concerne le changement pondéral moyen (p = non sign.)
Faible fréquence d’e ets indésirables d’ordre
sexuel après 8 semaines
Fréquence ≥ 1 % après 8 semaines : dysfonction érectile (3 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs 1 % pour le placebo), baisse de la libido chez
l’homme (4 % pour PRISTIQ à 50 mg vs 1 % pour le placebo), baisse
de la libido chez la femme (1 % pour PRISTIQ à 50 mg vs
< 1 % pour le placebo), retard d’éjaculation
(1 % pour PRISTIQ à
50 mg vs < 1 % pour le placebo), absence d’éjaculation
(1 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs < 1 % pour le placebo), anorgasmie
§
(1 % pour
PRISTIQ à 50 mg vs 0 % pour le placebo), anomalie de l’orgasme
§
(1 % pour PRISTIQ à 50 mg vs < 1 % pour le placebo).
Veuillez consulter le Résumé des renseignements
posologiques à la page xx
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
Faites confiance à PRISTIQ
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
PRISTIQ est indiqué dans le traitement symptomatique du
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
trouble dépressif majeur. L’e cacité à court terme de PRISTIQ,
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
comprimés de succinate de desvenlafaxine à libération
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
d’une durée allant jusqu’à 8 semaines.
prolongée, a é démontrée par des essais contrôlés par placebo
Faites confiance à
PRISTIQ
pour un soulagement
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
et de la noradrénaline (IRSN) ou d’autres médicaments
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
et de la noradrénaline (IRSN) ou d’autres médicaments
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
sérotoninergiques. Ces interactions se sont manifestées par les
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
sérotoninergiques. Ces interactions se sont manifestées par les
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
sérotoninergiques. Ces interactions se sont manifestées par les
nausées, vomissements, bouff ées de chaleur, étourdissements,
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
nausées, vomissements, bouff ées de chaleur, étourdissements,
symptômes suivants : tremblements, myoclonie, diaphorèse,
hyperthermie aux caractéristiques évoquant le syndrome
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
hyperthermie aux caractéristiques évoquant le syndrome
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
hyperthermie aux caractéristiques évoquant le syndrome
neurovégétative accompagnée parfois de uctuations rapides
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
neurovégétative accompagnée parfois de uctuations rapides
malin des neuroleptiques, crises convulsives, rigidité, instabilité
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
neurovégétative accompagnée parfois de uctuations rapides
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
neurovégétative accompagnée parfois de uctuations rapides
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
des signes vitaux, et changements d’état mental incluant
raison de la demi-vie du succinate de desvenlafaxine, il faut
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
raison de la demi-vie du succinate de desvenlafaxine, il faut
une agitation extrême évoluant vers le délire et le coma. En
attendre au moins 7 jours après l’arrêt de ce dernier avant de
commencer un traitement par un IMAO.
attendre au moins 7 jours après l’arrêt de ce dernier avant de
commencer un traitement par un IMAO.
attendre au moins 7 jours après l’arrêt de ce dernier avant de
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), y compris le
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
linézolide, un antibiotique, et le bleu de méthylène, une teinture
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
employée lors de certaines interventions chirurgicales, ou qui
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
en ont pris un au cours des 14 derniers jours, car il existe un
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
risque d’interaction médicamenteuse grave, parfois mortelle,
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
sérotonine (ISRS), les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine
entre les IMAO et les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
Les manifestations indésirables qui ont été observées le plus
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
souvent chez les patients prenant PRISTIQ (incidence 5 %
et au moins le double de celle obtenue avec le placebo) sont
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les nausées (22 %), les étourdissements (13 %), l’hyperhidrose
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(10 %), la constipation (9 %) et la diminution de l’appétit (5 %).
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18 ans. PRISTIQ est contre-indiqué chez les patients qui prennent
PRISTIQ n’est pas indiqué chez les enfants de moins de
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puissant des
symptômes.
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Pour les patients comme Nicole...
Comptez sur
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Nicole
*
, 37 ans
Nicole
*
, 37 ans
dépassée par les événements
« Je me sentais déprimée et
presque tous les jours. »
* Il ne s’agit pas d’une véritable patiente. Cas ctif pouvant ne pas être représentatif de tous les patients.
IRSN : inhibiteur du recaptage de la sérotonine et de la noradrénaline
Résultats de l’évaluation nale d’une phase à double insu, contrôlée par placebo d’une durée de 6 mois qui s’inscrivait dans un essai au long cours chez des patients ayant répondu à un traitement par PRISTIQ au
cours d’une phase initiale ouverte de 12 semaines.
Chez l’homme seulement.
§ Chez la femme seulement.
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11262_Pristiq_DPS_JA_FR 11262_Pristiq_DPS_JA_FR L’Actualite Medicale
15.75” x 10.75” 16” x 11” 15” x 10” 100
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68-69
par Frédérique David ACTUALITÉS
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