Jean-Paul Sartre: philosophe existentialiste qui était (et il est encore

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Jean-Paul Sartre: philosophe existentialiste
qui était (et il est encore) énormément influente
de Anne Malina
Jean-Paul Sartre était une philosophe existentialiste au cours du vingtième siècle qui était
salué pour sa philosophie. Bien que la célèbre amante de Sartre, Simone de Beauvoir est connue
pour ses efforts en le au mouvement féministe, Sartre était sans doute plus influente que De
Beauvoir, même s'il n’était pas une partie du mouvement féministe. Sartre a popularisé
l'existentialisme et même s'il n'était pas une féministe, il présentait de nombreuses femmes fortes
et indépendantes dans son travail. Après une enquête approfondie, on peut dire que son influence
dans la promotion de l'existentialisme indirectement/ a souligné ses tendances intolérantes qui
peuvent être vues dans plusieurs de ses œuvres, tels que Huis Clos ou Les Mouches même s'il
était pour les droits humains des noirs. En court, il c’était un homme compliqué et mystérieux.
Jean-Paul Sartre décrit l'existentialisme comme l’idée que << l'existence précède
l'essence >> (L’existentialisme est un humanisme 26). Cette phrase dit que chaque humain peut
choisir son essence. C’était une nouvelle nouveau idée du vingtième siècle parce qu'elle est
l’idée que tout le monde est responsable pour son esprit et il n'y a personne qui qu’on peut
accuser sauf soi-même. Donc il croit <<qu’il n’ya pas de nature humaine>> (Ecole 165). C'est
une théorie intéressante parce qu’il y a peut-être une tendance humaine à accuser les autres pour
ses difficultés mais avec cette idée, il n’y a rien qu’on peut puisse blâmer. Essentiellement, Sartre
croyait qu’on n'a pas d'excuses pour être mécontent ou méchant. On décide son destin/e.
Un expert sur les études philosophes, Jean Ecole a dit que Sartre croyait que l’homme lui
appartient de créer son essence et en se créant ainsi de créer l'homme en quelque sorte, ou si l'on
veut de forger l'espèce humaine>> (Ecole 171). Donc nous créons notre espèce en choisissant
notre essence humaine. Ecole dit aussi qu’il <<faut bien que l'essence abstraite précède
l'existence à titre de possible, de possible à réaliser, c'est-à-dire à l'état d'idée, car sans cette idée
comment expliquer que l'homme soit un homme et non pas un chien ou un parapluie? S'il n'y
avait pas d'essence abstraite possible qui puisse se réaliser justement par l'existence, celle-ci
resterait à jamais indifférenciée et sans aucun sens>> (171-172). L’essence que nous créons pour
nous-mêmes détermine que nous sommes humains. Sans l’essence que nous créons, ce seraits
comme Ecole a dit: nous serions un chien ou un parapluie, en ce cas.
Plus intéressant que le fait que Sartre croyait qu’il n’y a pas d’excuses, est ce que cela
signifie. <<M. Sartre nous dit en effet, d’une part que chez l’homme l’existence précède
l’essence et, d’autre part, que l’homme n’a pas d’essence, qu’il n’y a pas de nature humaine>>
(165). Et c’est l'élément intéressant. S’il n’y a pas d’excuses, il n’y a pas de nature humaine.
Mais si c’est vrai, il n’y a pas maladies mentales. La Dépression n'existerait pas, ni anxiété, ni
trouble de stress post-traumatique. Ce n’est pas réaliste. En réalité, ces maladies existent et elles
sont un problème en société. Donc l’existentialisme n’est pas une philosophie sympathique à la
majorité des humains.
En fait, Une scolaire un érudit qui était prof et un expert sur Jean-Paul Sartre à the
University of California Los Angeles (UCLA), Oreste F. Pucciani, a mené une entrevue avec
Jean-Paul Sartre en 1961 où Sartre a élaboré sur le sujet de la justice. <<Existential
psychoanalysis is concerned with normal people,>> Sartre a expliqué, << Conventional
psychoanalysis as it is practiced today in America and France is a plague. It encloses the
individual in his malady. There is no way out>> (An Interview with Jean-Paul Sartre 17). Donc
ce que j’ai dit avant est supporté par ce que Sartre a dit. Pas tout à fait, car Sartre prétend que la
psychanalyse conventionnelle est erronée dès son point de départ. Mais peut-être il y a y a-t-il
quelque chose de vrai ici. Il y a des gens partout aux pays développés qui se croient malades,
mais ils sont vraiment justes en deuil ou en train de faire face à quelque chose d’ordinaire en
d’une façon ordinaire. Mais les médecins leur donnent des médicaments de la médecine et les
gens ne savent jamais qu’ils ne sont pas malades! Alors, c’est une philosophie très intéressante et
pas sans mérite.
Sartre est venu à son sa philosophie par son manque de croyance en Dieu. Sa raison a
commencé (bizarrement) avec un coupe-papier. On peut suivre son raisonnement dans la citation
ci-dessous.
« Lorsqu'on considère un objet fabriqué, comme par exemple un livre ou un coupepapier, cet objet a été fabriqué par un artisan qui s'est inspiré d'un concept ; il s'est référé au
concept de coupe-papier, et également à une technique de production préalable qui fait partie du
concept, et qui est au fond une recette. Ainsi, le coupe-papier est à la fois un objet qui se produit
d'une certaine manière et qui, d'autre part, a une utilité définie, et on ne peut pas supposer un
homme qui produirait un coupe-papier sans savoir à quoi l'objet va servir. Nous dirons donc que,
pour le coupe-papier, l'essence - c'est-à-dire l'ensemble des recettes et des qualités qui permettent
de le produire et de le définir - précède l'existence ; et ainsi la présence, en face de moi, de tel
coupe-papier ou de tel livre est déterminée » (L'existentialisme est un humanisme 26-27).
Ici, il raisonne qu’il n’y a pas de créateur, donc il n’y a pas de fin pour notre existence. Le
coupe-papier a une fin parce qu’il a un créateur mais nous sommes seuls dans nos vies. Donc,
nous n’avons personne à blâmer sauf nous-mêmes pour nos problèmes. Sartre ne cherchait pas
les excuses pour ses fautes.
Et même si Sartre croyait dans un Dieu, ses convictions seraient restées les mêmes. Il a
écrit la fameuse phrase que: << même si Dieu existait, ça ne changerait rien>> (L’existentialisme
est un humanisme 95). Alors son athéisme n'était pas important. Sa philosophie serait restée le
même, sans l'athéisme.
Oreste F. Pucciani écrivait que << Sartre avait aboli la nature humaine au lieu de lui
rendre seulement sa liberté>> (51). Cela signifie que Sartre ne cherchait pas une philosophie qui
serait de lui absoudre de tous les torts. Mais avec cette idée, vient le concept qu’un acte pourrait
signifier qu’on est condamné figurativement à l'enfer.
Ce concept est évident avec une œuvre de Sartre très célèbre, Huis Clos. En cette pièce, il
y a trois personnages qui sont en enfer ensemble. Un personnage qui s’appelle Garcin se
demande si ses actes d'héroïsme était un rêve parce qu’il a seulement fait une mauvaise chose.
Donc une autre qui s’appelle Inès lui dit: <<Seuls les actes décident de ce qu’on a voulu>> (Huis
clos 90). Dans une sens, c’est vrai. La manière qu’on se comporte montre si on veut être bon ou
méchant. Donc il n’y a pas de rédemption pour personne.
Mais il y a un problème avec cette philosophie. Pucciani a dit que <<sans trancher les
dilemmes nous fournissait des idées susceptibles de dénoncer le mal. A cet égard la culture qu'on
nous avait inculquée était une faillite complète>> (52). Et c’est parce que << Les options
simplistes qu'on nous proposait ne dépassent guère le dilemme de Barrés: ou bien il fallait croire
en Dieu et le bien absolu existait; ou bien on n'y croyait et nous étions condamnes aux
incertitudes et aux flottements du relativisme>> (Pucciani 52). Fondamentalement, cela signifie
que l'on doit soit de croire en Dieu ou être condamné à l'enfer. C'est tout ou rien. Il faut être une
personne absolument parfaite. Une erreur et vous êtes déclaré incurablement méchant. Mais si on
le croit et on fait une erreur, il n’y a pas de raison à essayer d’être bon après ça parce que le
destin de cette personne est final, donc la société s'effrite.
Aussi en Huis clos, les damnés en enfer ne sont pas de tueurs en série, ou des violeurs, ou
des pédophiles. Les damnés sont les gens qui ont fait des choses terribles pendant leurs vies mais
ils n'étaient pas l'épitomé du mal. Un de ces gens est Garcin, qui abusait de sa femme
émotionnellement. Il demandait qu’elle lui serve le petit-déjeuner au lit pendant il était au lit
avec sa maîtresse. Estelle a quitté son mari pour son amant, puis elle avait un bébé avec son
amant. Mais elle a laissé tomber le bébé avec l’intention de le tuer ; donc son amant s'est suicidé.
Inès conduisait son cousin au suicide parce qu’elle aimait sa femme, puis la femme a allumé le
gaz et les deux femmes sont mortes pendant elles dormaient.
C’est vrai que ces personnages sont terribles mais ils auraient pu peuvent être pires. Ils
pouvaient être des dictateurs brutaux les ou des violeurs ou des sadiques ou des meurtriers en
série. Sartre souligne qu’il n’importe pas si on a fait une mille de bonnes actes si on fait quelque
chose qui est mauvaise parce que nous sommes tous responsables pour nos actions--chaque
action individuelle. Même si le but de ces personnages était à prouver son point, il est aussi
important à donner une raison d’essayer d'être bon. C’est vrai que les damnés décrits de Sartre
sont méprisables mais cela n’importe pas. Si on fait quelque chose de mauvais mauvaise chose il
n'y a pas de rédemption et de pardon, donc il n’y a pas de raison d'être bon. C’est comme
Pucciani a dit.
Pendant son entrevue avec Pucciani, Sartre a élaboré sur le sujet de la justice. <<[T]he
words “good” and “bad” have no meaning in history,>> a dit Sartre, <<The more one goes along,
the more one realizes that the “good” were “bad” and that the “bad” were “good.” It is a sort of
mystification. The terms really mean nothing. There is no justice in history>> (An Interview with
Jean-Paul Sartre 14). Donc, il admet qu’il ne croit pas en la justice. Alors nous avons la raison
pour la le manque ça en ses pièces. C’est pourquoi il croit qu’un acte peut décident si on est bon
ou pas.
Supplémentairement, il y a la célèbre citation de Huis Clos: <<l’enfer, c’est les autres>>
(93). Cela signifie que les autres nous jugent. Il n’y a pas d’enfer parce qu’il n’y a pas de dieu
donc les autres construisent notre enfer. C’est un point intéressant parce que Sartre dit que nous
sommes responsables pour nos actions mais nous sommes punis par les autres pour nos
mauvaises actes. Par conséquent l’un mauvais acte qu’on commet mérite le jugement par les
autres. Tous les bons actes n’importent pas parce qu’on a fait quelque mauvaise chose.
Cette idée est présente dans une pièce de Sartre qui s’appelle Les Mouches. En cette
pièce, Oreste retourne dans sa ville natale (Argos) ou les dieux avaient envoyé les mouches pour
punir les péchés commis là-bas. La reine et son amant ont tué le roi et c’est la cause de la
punition. Oreste dit que: <<La justice est une affaire des hommes, et je n’ai pas besoin d’un Dieu
pour me l’enseigner Il est juste de t’écraser, immonde coquin, et de ruiner ton empire sur les
gens d’Argos, il est juste de leur rendre le sentiment de leur dignité>> (Les Mouches 205). Donc,
un Dieu n’est pas important aux humains. Seuls les humains sont responsables pour leurs actions
et leurs punitions.
L’autre sujet que nous devons discuter est le fait que les dieux punissaient tous les gens
en d’Argos, pas seulement les coupables. Mais peut-être c’est a cause de la bêtise et lâcheté des
gens. En plus, la longueur de la punition était indéterminée. Plus tard, Electre qui est la sœur
d’Oreste, a l’aidé à venger la mort de leur père. Après cela ça, elle a des remords donc elle
embrasse la peine que les Erinnyes lui offrent. Mais elle est punie bien qu’elle n’a pas fait de
crime directement. Son frère a tué leur mère et son amant mais Electre n'était pas vraiment un
meurtrièreer ; c’était, pourtant, bien complice au meurtre. Ici, il n’y a pais de justice vraie. En
plus, c’est typique que Sartre décrit la femme comme faible. C'était le même en Huis Clos.
Évidemment son célèbre amant ne lui a beaucoup pas influencé.
Bien que Sartre n’ait avait pas une nature qui pardonne l'humanité, il avait quelques
vertus. Conformément à Lewis R. Gordon, une philosophe américaine, les droits des noirs
semblaient soutenus par les convictions de Sartre. <<La position résolue de Sartre sur la liberté
incarnée a suscité des discussions critiques de sa pensée parmi les apôtres de la libération
noire>> (Gordon 92). La pensée de Sartre résonne avec la communauté noire et les gens contre
le racisme parce que tout le monde est responsable pour ses actes. Donc il n’y a pas de raison
d'être raciste. Il était un des premiers partisans de la liberté et de l'égalité dans l'Ouest. Parce qu’il
n’y a pas de dieu qui peut dire que l’homme blanc est supérieur à l’homme noir, il était facile de
conclure que le racisme est injuste et cruel.
En plus, il supportait soutenait les juifs. Il a écrit en 1985 en son œuvre, Réflexions sur la
question juive que l’Homme « ne connaît pas le Juif, ni l'Arabe, ni le Nègre, ni le bourgeois, ni
l'ouvrier : mais seulement l'homme, en tout temps, en tout lieu pareil à lui-même.» Il voyait
qu’un homme est un homme. Sa religion et sa couleur de peau n’importent pas de tout. En cette
façon, la philosophie de Sartre avait un effet très influent.
En outre, Sartre croyait que ce n’est pas la Juif spécifiquement que les antisémites
détestent, c’est l'idée de quelqu’un qui est diffèrent. « Loin que l'expérience engendre la notion
de Juif, c'est celle-ci qui éclaire l'expérience au contraire ; si le Juif n'existait pas, l'antisémite
l'inventerait. » (Réflexions sur la question juive 14). Fondamentalement il dit qu’il y aura
toujours un bouc émissaire. Mais le point est que Sartre était un homme avec une vision. Il savait
qu’une raciste n’a pas d’excuse.
Avec cet esprit, Ecole expliquent en outre le but de Jean-Paul Sartre en cela ça. Ecole
croîts qu’il y a une justice profonde que Sartre voulait.
<<Il serait injuste de ne pas souligner le mérite profond qu'a M. Sartre d'insister comme il
le fait, sur la réalité de la liberté, que toute une philosophie de l'homme baignée dans le
déterminisme avait anathématisée, ainsi que sur cette idée profonde que la réalité
humaine n'est pas quelque chose de tout fait, mais qu'il appartient à l'homme de se faire et
de se créer, et que cette création est sans cesse à recommencer, car cette création de
chaque instant est le caractéristique et l'enjeu de la moralité>> (Ecole 173).
Il est évident ici que les croyances de Sartre n'était pas simplement inventées par lui pour qu’il
puisse aurait pu expliquer comment les humains sont des échecs; il voulait montrer que la liberté
dépende sur de notre indépendance morale.
Et on peut dire, en plus, que l’homme est jamais satisfait avec de son essence. En fait,
Thierry Delooz, un autre expert sur le sujet de Jean-Paul Sartre est son sa philosophie dit quelque
chose comme ça. <<Ainsi, dans l'ontologie sartrienne, si l'être-en-soi est toujours trop plein au
point d'être de <trop pour l'éternité> l'être-pour-soi, quant à lui, est <son propre néant> et, en ce
sens, il n'est jamais assez!>> (Delooz 319). Alors il y a évidence que Sartre croyait que l'être
n’est pas assez pour quelques gens même si l’être est tout. Il n’y a pas d’autre chose qu’on peut
faire. Il faut simplement être. C’est tout. Si on n’est pas satisfait avec ça, c’est dommage!
C’est vrai que Sartre n’est pas un homme très optimiste. Sara Vassallo, écrivain pour le
journal Rue Descartes, écrivait que <<Sartre s'est chargé...dans l'introduction à "L'Etre et le
Néant" de souligner que sa perspective n'est pas idéaliste>> (21). Donc Sartre a admis qu’il n’a
pas une de vue idéelle du monde ou de l'humanité mais il est encore une philosophe excellente.
Vassallo aussi dit que:
<<La cohérence de la démarche de Sartre est totale, si l'on tient compte du fait que,
malgré l'incrimination...de l'identification du poète avec l'objet-poème, l'opération qui
finit par se mettre en place prolonge celle de l'ontologie phénoménologique dans la
mesure où ce qui est toujours mis en exergue est un désir d'être illusoire qui tend à
occulter la béance par laquelle le Pour-soi s'est séparé de l'être de l'En-soi >> (23).
Donc c’était une idée compliquée, mais en essence Vassallo dit que l'ontologie
phénoménologique diminue la béance entre les idées sartrienne du <<Pour-soi>> et de <<l’Ensoi.>> L’En-soi est l'état d'être sans conscience de son existence, comme les pierres ou les
arbres. Le Pour-soi est caractérisé par sa conscience d'être: les humains. Donc, s’il y a une
béance entre les deux, il y a un problème. L'humanité faut doit en être conscient.
Alors, Jean-Paul Sartre était un homme privé mais il était très influent. Il inspirait (et il
inspire encore) d'innombrables personnes ordinaires et philosophes et chercheurs partout. C’est
vrai que son amante, Simone De Beauvoir était influente en raison de sa promotion du
féminisme, mais Sartre certainement fait plus d'un impact durable que ce qu'elle a fait. La
philosophie de Sartre était controversée à cause de son athéisme et le manque de rédemption en
ses pièces. Toutefois, il a lutté contre le racisme et l’intolérance en générale. Il était courageux et
extrêmement intelligent. Sartre sera surement influencer les générations à venir avec sa
philosophie.
Ouvrages cités
Delooz, Thierry. <<DE LA « MÉONTOLOGIE » CHEZ SARTRE.>> Les Études
Philosophiques No. 3 (1983): 317-28. Web. 8 Nov. 2013.
Ecole, Jean. <<Essence et existence chez Sartre.>> Les Études Philosophiques ns 6.2 (1951):
161-74. JSTOR. Web. 27 Oct. 2013.
Gordon, Lewis R., and Florence Perronin. <<Sartre et l'existentialisme noir.>> Cités No. 22
(2005): 89-97. JSTOR. Web. 21 Oct. 2013.
Pucciani, Oreste F. <<Sartre et notre culture.>> Dalhousie French Studies 54 (2001): 5153. JSTOR. Web. 20 Oct. 2013.
Sartre, Jean-Paul. L’existentialisme est un humanisme. Paris: Gallimard, 1996.
Sartre, Jean-Paul. Huis clos suivi de Les mouches. Paris: Gallimard, 1947.
Sartre, Jean-Paul and Oreste F. Pucciani. An Interview with Jean-Paul Sartre. The Tulane Drama
Review, Vol 5, No.3 (Mar.,1961), pp. 12-18.
Sartre, Jean-Paul. Réflexions Sur La Question Juive. Folio, 1985.
Vassallo, Sara. <<Du Texte Philosophique Au Texte Littéraire: D'un Double Sujet De
L'énonciation Chez Sartre.>> Rue Descartes No. 47.Sartre Contre Sartre (2005): 19-30.
JSTOR. Web. 10 Nov. 2013.
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