l'existence à titre de possible, de possible à réaliser, c'est-à-dire à l'état d'idée, car sans cette idée
comment expliquer que l'homme soit un homme et non pas un chien ou un parapluie? S'il n'y
avait pas d'essence abstraite possible qui puisse se réaliser justement par l'existence, celle-ci
resterait à jamais indifférenciée et sans aucun sens>> (171-172). L’essence que nous créons pour
nous-mêmes détermine que nous sommes humains. Sans l’essence que nous créons, ce seraits
comme Ecole a dit: nous serions un chien ou un parapluie, en ce cas.
Plus intéressant que le fait que Sartre croyait qu’il n’y a pas d’excuses, est ce que cela
signifie. <<M. Sartre nous dit en effet, d’une part que chez l’homme l’existence précède
l’essence et, d’autre part, que l’homme n’a pas d’essence, qu’il n’y a pas de nature humaine>>
(165). Et c’est l'élément intéressant. S’il n’y a pas d’excuses, il n’y a pas de nature humaine.
Mais si c’est vrai, il n’y a pas maladies mentales. La Dépression n'existerait pas, ni anxiété, ni
trouble de stress post-traumatique. Ce n’est pas réaliste. En réalité, ces maladies existent et elles
sont un problème en société. Donc l’existentialisme n’est pas une philosophie sympathique à la
majorité des humains.
En fait, Une scolaire un érudit qui était prof et un expert sur Jean-Paul Sartre à the
University of California Los Angeles (UCLA), Oreste F. Pucciani, a mené une entrevue avec
Jean-Paul Sartre en 1961 où Sartre a élaboré sur le sujet de la justice. <<Existential
psychoanalysis is concerned with normal people,>> Sartre a expliqué, << Conventional
psychoanalysis as it is practiced today in America and France is a plague. It encloses the
individual in his malady. There is no way out>> (An Interview with Jean-Paul Sartre 17). Donc
ce que j’ai dit avant est supporté par ce que Sartre a dit. Pas tout à fait, car Sartre prétend que la
psychanalyse conventionnelle est erronée dès son point de départ. Mais peut-être il y a y a-t-il
quelque chose de vrai ici. Il y a des gens partout aux pays développés qui se croient malades,