Sur les zéros des et polynômes hypergéométriques des polynômes de Stieltjes THÈSE PRÉSENTÉE A L'ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE DE ZURICH POUR L'OBTENTION DU TITRE DE DOCTEUR ES SCIENCES MATHÉMATIQUES PAR CHARLES VUILLE DE LA SAGNE RAPPORTEUR : CO-RAPPORTEUR ZURICH, 164 : M. LE PROF. D' A. HURWITZ M. LE PROF. HIRSCH 1916 —•rZ^T^~ GENÈVE IMPRIMERIE ALBERT 1916 KUNDIG D' A. Leer - Vide - Empty Sur les zéros des polynômes hypergéométriques et des polynômes de Stieltjes INTRODUCTION Le premier objet dans le ce travail est l'étude de la des nombres des zéros des plan hypergéométriques. vaux sur de complexes Il existe un les zéros de la fonction importants sont ceux de assez répartition polynômes grand nombre de tra¬ hypergéométrique; les plus : Klein, Ueber die Nullstellen der hypergeometrischen Reihe, Mathematische Annalen, ßd 37, S. 573. 1890. Hurwitz, Ueber die Nullstellen der hypergeometrischen Reihe, Mathematische Annalen, Bd 38, S. 432, 1890. Ueber die NuUstellen der hypergeometrischen Funktion, Mathematische Id. Annalen, Bd 64, S. 517, 1907. SriEi/rjES, Correspondance avec Hermile, t. II, p. 132, 134, 142, 1891. , Van Vleck, A determination nf the number of real and imaginary roots of hypergeometric series, Transactions of the American Mathematical Society, vol. 3, 1902. Hilbert, Ueber die Discriminante der im Endlichen abbrechenden hyper¬ geometrischen Reihe, Crelles Journal, Bd 103, S. 337, 1887. Laguerue, Sur la distribution dans le plan des racines d'une équation algé¬ brique dont le premier membre satisfait à une équation différentielle the linéaire du second ordre, Œuvres, t. I, p. 161, 1882. - 4 — Ces deux derniers travaux traitent où la série aussi le hypergéométrique cas que nous plus spécialement réduit à se un le polynôme; cas c'est étudions ici. chapitre premier rappelle la définition du point dérivé et un théorème important permettant d'étudier, d'après une mé¬ thode indiquée par Laguerre, la distribution dans le plan des Le zéros d'un polynôme satisfaisant à une équation différentielle linéaire du second ordre. Les trois l'application de cette polynômes hypergéométriques ; des résultats sommes parvenus, quelques-uns sont nouveaux, chapitres méthode aux auxquels nous suivants traitent de les autres coïncident par Laguerre1 Dans le Laguerre f(z) avec l'équation différentielle A(z), B(z) trois polynômes en z. démontrons nous sommes 1 un théorème parveuus. Œuvres, t. I, p. 165. Comptes rendus, t. 155, p. 767. déjà un = 0 CO) et Nous donnons démonstration d'un théorème établi 2 : (z). f"{z) + B(z). f'{z) + C(z). f{z) où nous démonstrations chapitre, nous appliquons la méthode de équations algébriques dont le premier membre aux A puis sans implicitement. ceux-ci dernier satisfait à désignent énoncés ceux comprennent ou par M. peu une nouvelle Georges Pôlya2 plus général auquel CHAPITRE PREMIER Définition du Soit une de équation algébrique f(z) désignant z dérivé et théorème fondamental. point = une degré a0zn + üiZ»-1 + n : + ... an 0 = quantité complexe quelconque, (1) . formons l'ex¬ pression (2) t=i-nmLes quantités des nombres pour Si, par deux nomme et Ç. s le point Ç = point : dérivé du zéro, Ç point z par 0 '. pour la valeur considérée z, la dérivée rente de f'{z) est diffé¬ différente de z; général correspond un point bien déterminé Ç; les points 0. Ç coïncident lorsque z est racine de l'équation f(z) point au et points : représentées dans le plan points que nous appellerons être peuvent l'équation f{z) à rapport et Ç complexes abréger Laguerre z a une valeur finie et en z z = Soient zit z2> représenterons On ..., zn les racines de aussi par des un circonférence point quelconque telle que tous les d'un même côté de cette z par rapport même côté de la 1 à z du le fait on z4, z2 circonférence, l'équation f (z) nous : plan, points que plan. peut démontrer le théorème suivant Si, par point points l'équation (I) du ... passer une z„ soient situés point £ dérivé du 0 se trouve aussi du Sur la résolution des équations numériques. = circonférence (flg. 1). Laguerre, Œuvres, t. I, p. 56 r 6 — En effet, si X, peut s'écrire courantes, passant par le point z(x, y) : A[(X = des coordonnées désignent Y d'une circonférence l'équation K(X, Y) — oc)2 + (Y - B(X — y)*] - x) — C(Y- y) — = 0 (3) . Cette circonférence divise le deux régions, l'inégalité K(X,Y) < 0, Supposons soient situés dans la risée Nous en partie, A[(xk — ••• > éventuellement — h Zn[ÛCn, y m) caracté¬ ces points trouver, se yf] =. — B 1, 2, (œk ..., x) — n — C(yk —y^O . : B(xk (xk — — x) + C(yk xf + (yk y) y)2 — — A (4) . part, de la définition (2) du point dérivé, D'autre points : ocy + (yk d'où l'on tire par la circonférence. sur alors avons les région K(X, Y)^0; par peuvent tous ou l'autre tous que Vi)' Z^[X^, Pîlt i en > 0. K(X,Y) z\ \xi plan caractérisées l'une par duisons successivement nous dé¬ : n rw t — + m z n Posons : z = x + iy, zk — +... + z 1 xk + iyk, £ = £ + iy. zn 7 — Il vient : n (X — 2i -g (a?t ,7„ —y) x) f — i()j —y) a;) + — (y* » — y) ou : le réel de séparant — {xk üc) i{yk ,«)a + (y, — — -g (a* - l'imaginaire y) — - y)2 : X xf + aXk -^ri : ,S! = n (u yf (a* yf — — — ($ <^ç n v 4 n _ - X — ^ en - y) y)« iti (I - — — — d'où t(n oof + („ x) — — (g n (x« se.*)* + (y« — y) n n n Q — -sb y (^r^-»-+-(ïJ la Multiplions par — _ yf première yk 2 (^ - de ces #) _ égalités y — (y^-1/)2 + par — , • la seconde et additionnons-les membre à membre. Nous obtenons B(a>* B(d?fc : — d'après (4) et 1 xj 1_-^ -^J (a* -g : A[(| - - - bien : - <r)2 + (v, point Ç est points zlzi Le ... - y)2] - B($ - x) - zn. région est alors de même du que le point points tous les y) - ^ 0 . 0. Q. F. Ü. zizi...zn sont tous dans la en C(« donc du même côté de la circonférence que les La démonstration est évidemment la il y) y)" — — B(g —a;) + Cfo —y) 2/)a *)2 + (« (I ou <») + C(y* a?)2 + (yt —— (xi- w n - — — x) + C(» y) «)2 + (» —y)2 _ - _ B(Ç (5 Ç est sur zizi ... point Ç. lorsqu'il seulement dans ce les points K(X7 Y) ^ 0 ; Notre calcul la circonférence zn et si même caractérisée par nous en montre est ainsi de cas. Le théo- 8 — — rème reste naturellement vrai dans le circonférence se réduit à tion f(z) = 0. Considérons quelconque l'équation m z — particulier où la droite. une Soit maintenant zt l'une cas des racines de de degré n — =0 l'équa¬ 1 : (5) z, point dérivé Ç, du point zx par rapport à l'équa¬ Ç est le point dérivé d'un point quelconque z, nous et calculons le tion (5). Si avons d'après la définition : m K=z-{n-l)tiw\' — d'où, en posant Ç = z Zi : — {n — 1) 2! et pour Les de z = n— zl : 1 racines de l'équation f(z) une = 0. l'équation (5) sont les racines z^z3... zn Si, par le pointy, nous faisons passer circonférence telle que tous les points même côté de cette circonférence, le d'après le théorème démontré, férence. Or Zi est l'une f(z) = point z%... zn soient d'un Ç, trouvera aussi quelconque des racines de l'équation 0. Nous pouvons donc énoncer le théorème vant : se du même côté de cette circon¬ fondamental sui¬ — z,, z2, l'un une ... — z„ étant les racines de quelconque zk des n circonférence (ou points 9 points une l'équation f(z) z,, za, ... droite) telle zn , point Çk défini par = ,t-2(n est situé du même côté de cette a n 0, si, par /««Y — passer 1 autres circonférence, le : çt Laguerre1 on que les soient situés d'un même côté de celte = énoncé ce -1)^ circonférence. théorème et a montré comment à l'étude de la distribution dans le on des plan équation algébrique dont le premier membre satisfait à une équation différentielle linéaire du second ordre. Nous étudierons, d'après cette méthode, la répartition dans le plan des zéros des polynômes hypergéométriques qui, comme on le sait, satisfont justement à une telle équation différen¬ pouvait l'appliquer racines d'une tielle. Laguerre les résultats thode a énoncé, auxquels dont le 1 ce aux travail. Œuvres, t. I, p. 161-166. donner les l'avait conduit équations hypergéométrique. Nous de sans en premier démonstrations, l'applicatio^ membre est retrouverons ces de un résultats sa mé¬ polynôme au cours CHAPITRE II Première Considérons la série F(a,b,c,z) qui satisfait z{\ la série se degré n. b par a employer par n 1 a une — * — ' a valeur entière . b . F(z) 0 = négative: — : . n; polynôme hypergéométrique un de la notation de + \, n linéaire du second ordre 1)*]F'(*) b + + z l2c^{c + i) x , Laguerre, remplaçons ß étant des quantités réelles et polynôme : n(n-l).«.(« + !) l.2...n.(ß — n — , , 1) n+\)...ß : rW—.-£<• où le ß : ,)nn.(n-l)...\.a...(oc + 'rK bien (a + Nous obtenons le + ( ou — réduit alors à c + y^z paramètre au Pour et hypergéométrique l'équation différentielle à quelconques. - l + z). ¥"(z) + [c — Donnons Y(~\ = du théorème fondamental. application ^ 1.2..k.(ß-n+l).(ß-n+2)..(ß-n+k)~ premier coefficient Afin que ce est égal { ' à 1. polynôme soit bien de degré n et que ses coeffi- 11 — cients aient des valeurs finies, les conditions suivantes : ^ a — v z(\ — ) l'équation z)F"(z) + [(ß posant n Z(l — - 1 = p. différentielle n — ... terons dans %i 9 *ä> ' • • zn Zn Calculons, [(n ((i + l) *F(z) d'où l'on tire — + n \)z}F'(z) 0 - «)z + ß = l'équation = 0 de - p]F'(z) (2) . degré n : (3) 0, les le plan des nombres les points point dérivé complexes par . une fois pour toutes, zt par rapport par définition obtenons, - . polynôme liypergéométrique. Soient racines de l'équation (3) que nous représen¬ avons *,(1 ß : (a l'expression à en nous - oc)zi + ß = - 0 _ F"(*,) faisons __ii(Lziii)__ (p —a)*, +ß~fj. z 0. = : (xjF'iz,) : F'(*,) = : remarquant que F(z,) zJF'iZi) + [fc du l'équation —~^— Si, dans l'équation différentielle (2), nous et « notre Ç, d'un point racine Nous = + FW zt, zt, à : Considérons maintenant (z) désignant — 2)Y"(z) + F 1) + a.nF(s) + ou en imposer 0,1,2, ...,n-\ = v satisfait à F(z) devons nous ) _ p^v - = 0 zit — On trouve alors pour Ç4 £i ou bien zt = y : ? — l'expression +2p. — 12 *,) tx)zt + ß *«(1 (ju. — g + : p — — u (4) *«( — f* Supposons que z{ soit la racine ou une tion des racines de (3) plus grande solue est. la +y décrivons et l'origine une autour zt est centre comme point zt imaginaire, tre par un second racine l'axe des sera comprise. D'après de même du point d'après (4) et en cercle |/3 + p — que z3,... .eeïistëéfé, cir¬ le théorème fondamental, il dérivé Ç, ; c'est-à-dire que \zt | n'est pas nul en nous aurons : = remarquant à l'intérieur : 15,1 zif zl,, rapport l*i ou ou¬ de pointsz2, zn sont situés à du en œ. Tous les conférence par la cir¬ point conjuguée symétrique Si (flg. 2). conférence passera 2. de circonférence passant par le Vh> l'équa¬ dont la valeur ab- : zt(* + p)I^IO* —«)*i + ß-p\ 13 — Posons zt = j(/3 ^ {(/3 + y[) 4*ti(a:\ + p) - ^(«Hh^f + Z/Ka }' + &(« + 03 + f*)2 yD - la racine absolue est la plus petite, analogue à (« a;, _ + l'inégalité obtenons successivement nous 2x,\ (« «G»! désignait - ^) - + Si zx iyl ; xt + De (5) « nous p)(/9 + ^ - point (/S *i(« ou - + une fx)2 a)2 - 03 ~ f*)â + • f)(« ~ fO ! ^ 0 ß) + ß ' ^ o (5) • des racines dont la valeur serions conduits par nous ~ un calcul : + /3) + /3^0 (6) . > 0. tirons < Le pi) - «(*»!+#) —*i(« Supposons — + : y\ - (l oc, + ^ ^ + zt est situé à l'intérieur du cercle X* 4. y* — x (\ + Ê\ 4-^ = 0 . : 0 , circonférence comprise. Nous ier avons deux \ß\ > cas : a cas ou à considérer : 1/31 LC-! a cercle I ou (flg. 3). Dans les deux autour de sera > 1. Le point du cercle II suivant que l'origine de même à cas comme plus il sera centre ß est à l'intérieur du z. est positif ou négatif à l'intérieur du cercle décrit avec — pour rayon et il en forte raison pour toutes les autres racines 14 — de l'équation F(z) 0. = Nous tième théorème énoncé par — ainsi démontré le hui¬ avons Laguerre1 : Ißlf "ex. [ Fig, Théorème VIII l'équation -F'(z) 2e cas: \ß\ < . — a Si 0 ou 131 — et (fig. 4); décrit autour de |/3| > comprises cas « il se l'origine comme ß .3, est à l'intérieur du est positif centre avec négatif l'unité pour rayon 0. Nous retrouvons ainsi le = neu¬ : Œuvres, t. I, p. 165 ; faute d'impression. Les théorèmes d'après l'ordre dans lequel Laguerre les a énoncés. 1 ou trouve à l'intérieur du cercle forte raison de toutes les autres plus l'équation F(z) vième théorème de Laguerre tot4es /es racines de à l'intérieur du cercle < 1. Le point est de même à racines de 3. du cercle II suivant que ou dans les deux en > 0 sem£ cercle I et il a. ) lk 0 sont numérotés ici 15 — Théorème IX Si : Véquation F(z) = a. > 0 0 ,ço«£ — |ß| et < comprises les racines toutes « à l'intérieur du de cercle (0, 1)\ l'inégalité (6) Considérons maintenant Fig. signe la racine plus petite, la (0,1): ou une 4. des racines dont la valeur absolue est et introduisons l'inversion par oc' _ __ y' . x-^fy> y~^r+-y< L'inégalité (6) devient -s-^—i a?. + y. bien ou — ^(a^ 4- «Vi) dé- J4 V 0 où ou , rapport i 1*1 i _ ~\7\- : (« + /3)-„ .' «• „ + y. + ß ^ 0 : ß(tf + tf)-(* + ß)<+«^o Supposons /3 < 1 Egalement 0. Alors : faute d'impression chez Laguerre. au • cercle 16 — Le point z[ se circonférence Nous 1er du cercle I (flg. 5). de |«| ou trouve à l'intérieur du cercle comprise. avons cas: nouveau > ,J3| deux cas à considérer Dans les deux cas l'origine : > 1. Le point z[ est à l'intérieur ou du cercle II suivant que décrit autour de Donc — il est a négatif ou positif trouve à l'intérieur du cercle se comme centre a pour rayon. avec \z\\ < H Fig. Or 1 \z,\ 77, d'où 5. : *• > Le de point zi est donc situé à l'extérieur du cercle décrit autour l'origine avec plus forte raison Nous ß avons ß - comme rayon et il des autres racines de ainsi démontré le en sera de même à l'équation F(z) quatrième théorème de = 0. Laguerre : 17 Théorème IV l'équation F(z) 2e |«| cas: du cercle I il se rieur = ou ß < Si 0 et \ß\ < J«| ou ß < 1. Le du cercle II suivant que a autour de ( 0, est à l'intérieur point est négatif ou positif les deux trouve à Tinté- cercle du toutes les racines de 0 sont situées à l'extérieur du cercle |/3| < dans (flg. 6); cas : — +y> décrit l'origine avec l'unité pour rayon. Donc conclut |.si| < 1 d'où |^,| > 1. point Le zt et à l'on plus forte raison aussi toutes les racines autres l'équation F(z) situés à = de 0 sont l'extérieur du cercle unité. Nous retrouvons ainsi le cinquième de Laguerre Fig. théorème 6. : Théorème V l'équation F(z) : Si ß < 0 et |ßj > | a | toutes les racines de =0 sont situées à Vextérieur du cercle unité (0, 1). 2 CHAPITRE III application Deuxième Soit .* m une + my + p réelle quantité 0, p étant = du théorème fondamental. quelconque. Considérons un paramètre variable, cette droite elle-même parallèlement depuis oo du point (-|- qu'elle ce {x\ -i > oo, racine de VA) 0, F(*) gnant toujours xi + X m(y ?/,) — Toutes les autres racines zt, z3 ... zn de sont du même côté de cette droite que le en est de même, dérivé qui = nous £, + donne Çf Le le théorème a alors : 0 l'équation F(z) point (+ oo 0) , fondamental, du = 0 et il point : Ç, ce d'après notre Cette droite équation = dési¬ poly¬ hypergéométrique (flg. 7). pour l'équa¬ (z) F = nôme 7. 0) jusqu'à un point passe par tion Fig. à point le dans la direction 0) (— , la droite déplaçons et *„, =zt+ l'inégalité — xi + signe > devrait être 2? S-[l~,Zfi (fj. — a)*, + ß — p. : m(ytx — y,)> remplacé 0 par le (1) . signe = dans le 19 — où toutes les racines zt, 22, cas n'est possible que ou réelle. Donnons à pour réelles, pour notons que en une (1) m = m zn sont sur la si toutes peut éventuellement m indiquant Posons m + ^; d'où, tg = en et transformer , remarquant que cos 9 est >o parenthèse. entre entre z z — . — ~- et positif: . Introduisons la transformation de coordonnées : er bien , x sont partie quelconque se supposé compris étant p ç, 0 quantité RK^-zM'9) ou qui 0. = réelle de la partie la ce : R[(Çt-*f)a -im)}> R droite, les racines valeur réelle finie une m pour peut s'écrire ... x, — 0 si toutes les racines ont la même l'inégalité (1) égalité — = 1 • x cos <p %j cos 9 + x' sin 9 — y sin 9 = —7^—=== (x' — my') (2) y = obtenue de en -Tr={\j + mx') = V 1 + m2 faisant tourner le système Oxy de l'angle 9 autour l'origine. Notre inégalité devient (1') : R(Ç\ Nous avons d'autre Si -i part - - z\) > 0 . : ' (p — a)zt + ß — ;x 20 — d'où par notre transformation — : (Ç1-z'i)e*=2!x (n ï\ - z\ = 2p (ljL (1') BWei — *)z'te'* — ß-n + + ß n — devient: d'où: RjY((l - z't e*)^ a)z'te-^ + - ß y)} > - 0 , 2'j désignant le conjugué de z\. R[z\z't(e-^ donne qui ce - z't)(n (/3 p.) [a/, (1 — ou en «) + 03 -f*)^(l — + ijî) (cos 9 œ\ cosy + y\ — sin 9) divisant tous les termes par aft) + (u — (a* + 2/7)(1 ou — enfin (« - v)[x\ (VTr w"2 — > 0 — a) > O 1 cos 9 — , Vl + V/r+w*)(<* <r', — nr «) a', + y, m) + ^ (œ\ m j/t)]>0 + : p) « + ?/>', V/TT^1 + V9)] 2/\ (x\ sin9 + */', cos9)] r\ + (jS — : « + — 2(ß Supposons - fj.)mœ\ tft d'abord + + (2p - - /3) < + (ß (ß- fi)aft V\~+ri> > : « a — p. > 0 . 0 - . a) tf (3) 21 — Divisons -—- a termes obtenons nous : q = les tous — de (3) par (« p) — et posons : p — (oc': + y'l)oc\ Vï+W» (1 + q)tf + (q - V'T+m? + 2mqx\y\ + qx\ Remarquons en > \)y'l - 0 (4) . passant que la racine l/l + m2 doit être prise positivement puisque cos <p =-- toujours est . Vl-\-m2 po- sitif. Considérons la courbe du troisième f(x', y') y'2(q + = régions partage ces l'autre en de deux comme le plan portions se — ,_ compose rapport la de deux : . (5) le point une de plan si la branches, flgure schématique à y' l'équation (5) : — Fig. (x' VT+»P + 3 x' bien 0 (flg. 8). mqx'+ V"m2q2x'2 ou = f(x', y') 0 ; distinctes du Nous pouvons résoudre par x'2(l + q) d'ailleurs être formée l'indique ci-contre — deux en particulier f(x', y') < par régions peut courbe y'2)x' V\ +m2 caractérisées, l'une par > 0 qui contient z\; + : 1) + 2mqx'y'+ qx' \/T+m? — Cette courbe (a/2 degré — ]/l + l)(V3Vl + »t2 m- +2 — 1 — 8. xn(\ + q) + qx' Vl + w") 22 où et «j sont racines de act l'équation X se et VT+ «, d'où: 1 g= «, \/l _ + «2 *,.«, Nous avons duit q{q — cas: deux + 4g(g — + 1)(1 +m2) w (7) = VT+ = cas o = m' 2V/1 nous avons : 1er -<z(?-i) • — q{q OT2 1) — à considérer suivant le signe du pro¬ et la somme 1). q(q — 0. Alors le 1) < produit a,. a2 HC' «, o ^+"Ç> y Fig. «f -+- a2 sont positifs réels, et compris ; donc être notons Les sur points point 2\/l et «2 sont aussi dans l'intervalle 0 que, suivant les valeurs aussi «, 9. respectives l'axe des w' les + m" — =r. ,^ vT+ imaginaires. Supposons «, et «2 sont positifs, points 0, d'ailleurs de qet m, d'abord «,, «s et Il est clair m" a, et a2 peuvent et «2 réels et «, 1 lA symétriques s'ils sont + par (fig- 9). m rapport au 23 L'équation (6) nous montre que y' n'est réel valeurs de x' comprises entre 0 et «4 d'une part, d'autre —-v==^ donc dans entre les deux droites x' 1 a« à la gentes x' =0, x , v/rr m' courbe, la première et compose l'une comprises quatre droites particulier en se a2 ai, l'autre entre les deux Ces :. — = et entre 0 = de deux branches distinctes ce cas droites x' fix', y') La courbe part. V \ + m1 que pour les au sont tan¬ point 0 lui- même. La courbe possède l'asymptote 1-J œ suivant que q est > - \/l < ou les deux droites x' entre œ x = VT+ : ~ = + cette 0, œ' Dans le :. m' asymptote = cxt, ou premier est comprise entre les droites la courbe cas se m" compose d'une branche infinie située dans le premier inter¬ valle et d'une branche fermée comprise dans le second inter¬ valle. L'inverse second a2 sont 1 VY+m? ces -7~> imaginaires, est réel pour toutes les leurs de x' et lieu dans le cas. Si «! et y' a comprises l +x' va¬ entre 0 et seulement ' pour * " Fig. 10. valeurs. La courbe prise En se entre les résumé, compose donc d'une seule branche infinie tangentes x' nous = 0, x' voyons que, 1 = \/l+ma quels que soient com- (fig. 10). «4 et a3, notre ! 24 — courbe du troisième degré est entièrement entre les comprise deux droites 1 x' -=0, f(x',y') f(x', y') pour f{x', y') est en sera VY+ c'est-à-dire le en = = point z, (x,, yt) de 0 (2) : >0 point (+ oo , > 0 est donc du même côté de la droite d, que le (signe : x, + myt Le signe points ces — = faisant la transformation inverse de bien tous — x, + my, ou 0 sont d'un = 0 x' oo ) ; tous les points pour lesquels y' 0 et donc à droite de cette droite x' seront positif ainsi en particulier du point z\ (x\, y\) ; d'où : x\ > et m- de la droite x' gauche le même signe, a = courbe; par conséquent pour même côté de la il situés à points Tous les x 0) ; il : x -j- my en sera de toutes les autres racines de de = 0 même, à plus l'équation F(z) = forte raison, 0, d'après la définition même du -s. (flg. 11). Nous dire : m que, toutes une situées = Fig. il. racines F (z) du côté de la droite 0que le quan¬ quelcon¬ les l'équation sont donc pouvons étant tité réelle finie de point x = 0 même + my point (+ oo,0). Si l'on fait varier m, cette 25 — droite tourne autour de tions l'origine toutefois coïncider sans que toutes les racines de positives, Si a. et tion F(z) 2e cas : Dans — ce cas leur produit leur somme deux points triques par 2V/1 + dans — intervalle 1 1) < 0 = Il x. négatif : l'équa¬ positives. ou q > 1. toujours «j et «2 sont réels ; et les symé¬ a2, rapport ; résulte en 0 sont réelles et toutes les racines de > 0 d'où q < 0 positive xt, au point comprennent m2 leur q(q et — les deux nombres est l'axe des l'équation F(V) 0 sont réelles et q(q peut prendre toutes les posi¬ et avec pouvons énoncer le résultat suivant nous > 0 p. — - intervalle 0 le 2e Fig. v/rr m" 12. (fig. 12). L'équation (6) valeurs de x' ~7== et a, La courbe tinctes x' x'— ' «2. et, par montre que comprises entre y' et «t n'est réel que pour les 0 d'une part et entre d'autre part. f(x', y') comprises, 0, = nous l'autre =0 l'une entre se les les deux Suivant que q est > 1 conséquent, compose de deux branches dis¬ entre ou < deux tangentes œ'=at, tangentes x' 0 — l'asymptote x'- —.-_ V\ + m2 , !_-g_ Vl+m2 la branche infinie de la courbe sont com¬ premier intervalle ou dans le second. La courbe comprise entre les deux tangentes x'= xl, la droite x' x, Xi. Tous les points situés à gauche de d'un même côté de la courbe; par conséquent pour tous prises dans le est donc entièrement x' = sont — ; points f(x', y') a le même signe, c'est-à-dire le signe tous les points pour lesquels f(x', y') est positif sont donc nécesces — — 26 — sairement à droite de cette droite x' = particulier : du point z\ (af^ ?/,) x't et ; d'où «, — xt + myt V\ + est ainsi en en > 0 faisant la transformation inverse de en et il at «. m2 (2) : >0 ou xt Le d«, + myt point zK{xu yt) : x + my — «, a, — \/l + m2 > 0 est donc situé du même côté de la droite l/l + ma = 0 que le point (+ en est ainsi, raison, 0) et il plus forte oo, à de autres racines de tion F(z) les toutes l'équa¬ (flg. 13). 0 = Nous pouvons dire ni étant réelle finie toutes une quantité quelconque, les racines l'équation F(z) situées du point (+ oo même , loppe de di côté que le 0). Cherchons 13. de 0 sont = de la droite rf2 Fig. : l'enve¬ lorsque m varie. Si nous remplaçons de cette droite «, par la valeur trouvée peut s'écrire : (7), l'équation 27 — d'où, en dérivant par rapport ô- 2'V/l on tire en + paramètre au 4q(q ?/ + 4q(q — — — m : \)m 1) (1 + ni2) : y et en l'équation (8) introduisant cette valeur du radical dans , mq{q 1 x + my — — ï-^ - 2 1) „ = 0 ,v d'où x *-2 m = Remplaçons l'équation Nous obtenons au — ö + y au l'équation (8) après second membre et élevé les deux carré. : 1 x i) — par cette valeur dans m avoir fait passer le radical membres de q(q q(q—D 1 1 X = q{q— \)—y2 4+?(î-l) l + </2 — ; (q(q-l)-yr ou x X (q{q-\)-y*y iq»(q—iy = \+q(g-l) 1 +?/s — (g(g-i)-2/2)2- X (q(q—l) — ïr2 y- q(q ~ !)[?(? - 1) - y"l = 7 + QÜ - ]) 28 — — d'où œ-ï + \ + 9(S-l)'9(a ou 1 = -1) bien x y* q{q S La droite — d2 enveloppe demi-axes (9) __ 1) — Vq{q et ellipse une — 1), de centre ou plus de et 0 2' exactement la demi- ellipse BiAiBü puisque d2 rencontre l'axe des x en un point d'abscisse négative : «, l/l + m2. Cette ellipse a les points (0, 0) et (1, 0) comme +YS <4 I \ foyers (fig. 14). A Considérons cette ^~ B1 '-. E et soient diverses 0 i 4- prend • ellipse d2', d2", d'"a, ... positions la droite que d2 lorsque varie; toutes les racines de l'équation 0 F(z) m y Ri.----' i, = sont situées du même côté Fig. 14. de chacune de que lorsque vers devient de m une position limite, à l'axe des Si tion a. — F(z) plus x. [x = Nous > 0 q(q vers la tangente x: à , la droite — 1) B„C2. droites oo, da 0); tend l'ellipse parallèle déduisons le résultat suivant : > 0 toutes les racines de demi-ellipse Bt A,B2 B^ ces point (-4- plus grand, 0 sont situées à t'intérieur de la limitée par la à l'axe des et en en le portion et par les deux l'équa¬ de plan parallèles 29 — Pour limiter à droite la comprises les — du région racines, dans plan considérons de laquelle nouveau sont droite la paramètre variable, et déplaçonsla parallèlement à elle-même depuis le point (+ oo, 0) dans la direction du point (— oc 0) jusqu'à ce qu'elle passe par un racine de 0. Cette droite a point *s(#s, 2/s) l'équation F(z) œ + my + p 0, p étant = un , = alors pour équation oc : — a-2 + {y m Toutes les autres racines de ys) — = 0 . l'équation F(z) 0 = du même côté de cette droite que le point (— «3,0) de même, par dérivé k* d'où = conséquent, *. + h, l'inégalité chapitre lité en est commencement de ce (\ z + 2p et il : z) — j-—^xT-ri— r (a — a) ^2 -f ß — fx (i* m à celui conduirait après y«) < — fait au ° • la transformation (2) à l'inéga¬ : (« + xt + — analogue nous -, point trouvent : £, Un calcul = du se (ß d'où, — - ;/)K + y':).x\ l/FT^T2 oc) y': + 2(jS en - fi)mjc't y', supposant de termes de (10) par (« — + nouveau (ß a + — — u.) et posant ß + y':)x\ X/T+m^ + Considérons /•(«•', y') = ( 1 + encore notre — ß)a? tx)x', \ZY+nT' < u 0 (10) > 0, divisant tous les — — w q)x': courbe q : u + 2mqafiy'i + qoc\ VT^m% < du (q 0 - l)j£ . troisième (11) degré 0. Supposons d'abord : q(q 1) < 0. Dans — — ce — = a {x't (2n ce cas, comme nous l'avons vu, la — courbe est x' =0, x' entièrement = -t-y====. 1 tangente x'- V\ 30 — comprise les entre Tous les deux points situés tangentes à droite de la sont donc d'un même côté de la courbe : + m2 conséquent, pour tous ces points f(x', y') a le même signe, c'est-à-dire le signe + (signe de f(x', y') pour x'= + oc, y' 0) ; tous les points pour lesquels f(x', y') est négatif sont par = donc à en gauche de cette droite x' particulier du point (x't, y\) 1 = ; donc 1 en Le x : faisant la transformation inverse de a?2 + m«/j point zt(x3, ys) + my — — 1 < 0 (2) : . est donc situé du même côté de la droite 1=0 que le point (— et il , F(z) est racines — 15). d'après 0 Donc réelle finie point (z) = même x 0 point (— varier m, la droite toutes les Il en positions sans résulte que toutes les racines de réelles et — oo l'équation = 0 plus petites que 1 ; nous que le 0). Si l'on fait , avec : et prend l'axe des l'équation F(z) pouvons dire du droite la de 1 tou¬ situées sont d3 tourne autour du point (1, 0) toutefois coïncider (fig. quantité une côté -f my z2 quelconque, tes les racines de F la défini¬ : étant m l'équation de tion même du 15. d3: oo en ainsi, à 0) plus forte raison, des au¬ tres Fig. est ainsi en m" <0 i/rr m' et et il V7+ = x. 0 sont 31 — Si a tion et F(z) (z) = > 0 a — p. q(q et — > 0 q(q et Nous avons pose q = a — Nous pouvons 1er C/3 distinguer a (a — : l'équation -\- \. 1) = -—. ^— : > 0 p entre 0 et -—~; donc: et les conditions deviennent précédemment 0 toutes les racines comprises l'équa¬ que -f- 1 ; celui trouvé avec 1) < — 0 sont réelles et = plus petites résultat ce toutes les racines de 1) < 0, 0 sont réelles et combinant en Si F [j. — — a) (/3 — deux a) < — 0 . cas : cas : ce fi — >0 j «-/3<oj /3 Des deux dernières tredit la F - inégalités < 0 on déduit « — fi < 0 qui con¬ première inégalité. est donc Ce cas 2e cas : impossible. a [J. — 0 > ß-ix>0) a Des deux dernières mière qui est donc ß > - inégalités on j 0 déduit par addition la pre¬ superflue. Nous pouvons énoncer le théorème Si ß — cines de < a l'équation F(z) guerre, p. 165) Supposons q(q — f{oc', y') x' — x,, 0 et [x — x' 0 ou u. < ß < 0 sont réelles comprises entre 0 et «, toutes (théorème les ra¬ I de La- + 1. maintenant: 1) > = et ß < — : 0. Nous avons 0 est entièrement = «2; tous les vu que, dans comprise points à droite ce cas, la courbe entre les deux de la tangentes tangente #'= a2 sont du même côté de la courbe et pour tous ces points f[x', y') — a le même f(œ', y') et signe : le signe +. Donc tous les points pour lesquels négatif sont à gauche de cette droite oc' «2 et il -= particulier en point zt(ûGt, yt) est «ä \/\ + m2 Le + my l/l (2) : : + m2 < 0 . donc du même côté de la droite = — a, — ; d'où point z\(x\, t/s) du faisant la transformation inverse de en œt + wiy3 x — est est ainsi en 32 0 que le point (— de même, à et il dt : 0) plus forte raison, oo , en est de toutes les autres racines de l'équation F(a) Donc m = 0 (flg. 16). : étant finie une quantité quelconque, racines de réelle toutes l'équation F(z) les = 0 sont situées du même côté de la Fig. 16. droite (— », dk le que point 0). Quelle est l'enveloppe de la droite dt lorsque trouvée œ d'où — I — 2 en de dt |v/l nous tire remplaçons peut s'écrire «2 par la 4q(q = m — valeur : + *g(g— l)(i + m*) dérivant par rapport à \ On varie ? Si (7), l'équation + my en m l)m v/F4T4?(^^Kf+^? = 0 0 (12) 33 et - introduisant cette valeur du radical dans en + nu/ x (q 1 — 1) ma '-^— rr 2 - l'équation (12) : 0 y d'où \ x 2_ m g(g y m q(q y cette par l'équation deux membres de Nous obtenons — expression avoir fait passer la racine après — _ — — Remplaçons oc - au au i) l'équation (12) dans second membre et élevé les carré. : 1 X l + y2 q{q—\)—y''A x ce qui nous 2 conduit au 1 4 x- + qia. 2/3 1 + i) — "2, (q(g-i)-yYl précédemment même résultat que : r x — y = q La droite d2 ou plus rencontre : point a2 l/l + (flg. m% c\ —_ .*'' Soient d'td", <%•• diverses sont situées du -W ;*• "~ y.; 1 Ui 1 0 J/ >%* 1 B* droites que le point Fig. n. ]\ 1 .4 même côté de chacune de ces -JXV 1 [ positions que prend la droite d4 lorsque m varie; toutes les racines de l'équation 0 ellipse, y s = de cette Taxe 17). F(s) . B, A2B2 d'abscisse x en un positive 1 di enveloppe donc la même ellipse E que la droite exactement la seconde moitié puisque d4 des 1) q{q — tX * 34 — (— oc 0) , vers une lorsque ; Si a. F(z) tion > 0 y. — On x. = en q(q et En ß) (a — trouvé — — ß) > 0 et 1) > 0, : dans précédemment a. > 0 \>. — a portion D'après sont cas y. les < a plan de parallèles et par les deux et = (;x ß) (« — et possibles Ces — ß) > 0, celui avec peut on ï_ , (0, 1) a. toutes les racines de à l'intérieur de F ellipse: — pour « =1 foyer». > 0, (u. — ß) (« — ß) > 0 : conditions rentrent dans théorème VIII, p. 14, où \ß\ > a. comprises portion au de cercle > 0, a Les racines de l'équation F(z) ront plus celles du générales parti¬ cas comme culier +y peut s'écrire 0 résultat hypothèses, mêmes comprises 0 sont conditions < ß. les ce : points (0, 0) les l'équa¬ toutes les racines de combinant en (x-ïï 1° l'ellipse parallèle à , l'équation F(z) deux tangente demi-ellipse B, A2B2 x : énoncer le théorème qui la B,^ B.2C'ä. remarquant que la condition q(q— 1) > à l'axe des Si vers : déduit le résultat suivant 0 sont situées à l'intérieur de la limitée par la (n augmente indéfiniment, la droite dt tend m limite position à l'axe des — plan 0 = se¬ dans la commune ( 0. ^ j et à l'ellipse. 2° ß < p < «. Ce empiète sur celui du Fig. 18. rème IX, p. 15, ,où « cas théo- > 0, 35 — |/31 < \ß\ Si l'on suppose a. < — < p qui «, cas rentre à la fois dans les deux 0 précédents, les racines de l'équation F(z) comprises à l'intérieur de la portion de plan commune cercle (0, 1) et à l'ellipse (flg. 18). = seront au Le théorème XVI énoncé par Si a — ii > 0 et (p /3)(a — Laguerre, ß) > — 0 p. 165 : : a—fi exprime simplement entre les deux des les toutes que tangentes comprises racines sont ellipse, parallèles à notre l'axe à x. Remarque: Si q(q 1) — = 0 déduit q en on 1 = = -—- a d'où ß Le = cas q 0, c'est-à-dire ß = mencement afin que le En considérant de q(q arrive Si F(z) — au « — = 1) 0, < fj. > 0 z)F"(z) + devient tion — 1) = été exclu dès le com¬ ait des coefficients finis. 0, soit comme cas limite de q(q — limite 1) > 0, on : = toutes a., l'équation les racines de = f(,u «, - comprises entre 0 et 1. l'équation différentielle : a)z + ß - voyons que dans F(z) - a n, - u\F'(z) + (fj. + l)«F(z) = 0 : a)(l —,s)F'(*) + U + 1)«F(*) ce cas z = \ est une racine de = 0 l'équa¬ =0. Revenons à (a q(q comme cas ß et z{[—z)F"(z) + (a et nous fx 0 sont réelles et ß - soit = polynôme F(z) ce cas : même résultat D'ailleurs si *(1 — oc. l'inégalité (3) : a)« + y':)x\ \zr+7i? + Up.—« + 2(ß — a)mx\ij\ + (ß — - ß)x: + os—*)y': u)aft V\ + m2 > 0 — 36 — z\(x\, y\) correspond, dans la première racine zt de l'équation F(z) transformation où çant la droite point (— le depuis Supposons Si par , 0) ijï)x', VY+lr? + -—^ courbe f{x\, y,) deux nouveau q(q cas 0 que le q(q cas: foc', y') = — Pour tous les f(x', y') a 1) < points 1) + 2mqafly'i - . dans région point (— Nous 0. du oo avons comprise le même à droite de la signe gauche x', ce limitée Nous signe le le cas, plan 0). , point parla aurons du qu'alors vu de produit : le tangente x' signe + le — t=L= ; point ^(.r,, yj + my = est 0 que le — 1 < 0 situé du point (— oo Vl+m2' est donc nous avons : < 0 \/i+m2 x\ + my\ 1 tangentes -- point z\ faisant la transformation inverse de (2) — la courbe entre les deux de cette droite et 1 Le désignant + m* nécessairement à œ < 0 à considérer suivant 0 est entièrement V\ ou en y['(q + que, la même en 1). — ier — montre l'inégalité précédente : par q VV+m* + qx\ inégalité nous z'iixfi, y\) est situé dans dépla¬ à elle-même obtenons nous x'ï{\ + q) - Cette et sens a—(I (x: la , les termes de précédemment commme parallèlement point (+ qo 0). en à : de change le (2), 0 rencontrée 0 = vers maintenant [x, elle — oo divisons tous nous « + my + p x = : . même côté de , 0). Donc : la droite 37 étant ,m quantité réelle une racine^ de l'équation F(s) droite x + my + p point (— 0) oQ, œ Dans ne ce cas du portion nous plan l'équation F(z) point (+ le vers côté de la droite + my 1 — °o, == laquelle 0. Tout ce la depuis point (— limiter à comprises nous que première déplaçant le est située du même 0), plus sont en à elle-même 0 que le pouvons donc dans = 0 rencontrée = la quelconque, parallèlement 0 z= finie 0). ce, gauche la les racines de pouvons dire est ceci: Quelle que soit la droite passant par le point (1,0), des axe existe au excepté, x +y il moins une racine de F(X> = toujours l'équation 0 située du même côté de cette droite que le point(—oo.O) (flg.19). Pour cela, il faut suffit, comme l'indique, qu'il moins une et il notre figure existe Fig. au partie réelle soitplus petite que -f-1. cer le résultat suivant Si a cine de — 19. racine dont la \j. < 0 et Nous pouvons donc énon¬ : q(q l'équation F(z) 1) < 0, — = 0 ayant il existe sa au partie moins réelle une ra¬ plus petite que -\- 1. 2e cas : tièrement q(q — 1) > comprise 0. Alors la courbe entre les deux f(œ', y') tangentes #'=«,, = 0 est en¬ œ' =. «2 ; pour tous les situés à droite de la tangente x' = a2, f{x', y') ; le a le points signe + cette droite et point z\(œ\, y',) nous avons : JO ou en est donc à M j <o faisant la transformation inverse de xA + my, — a2 l/ï (2) + m2 < 0 : . gauche de — point Le x + my — situé est zt olzV\ + m2 38 du 0 — — côté même la point (— le que de oo \ dit lorsque l'ellipse E Nous +X dire *t 0). Nous , m : varie, en¬ moitié la veloppe dt que la droite avons vu •Y J droite de (flg. 20). donc pouvons : Quelle soit que la tangente d4 à la demiil existe ellipse B,AaB2, toujours Fig. 20. racine de F(z) 0 = même tangente que le point (— oo, moins au une l'équation située côté ' de du cette 0). Ön voit facilement, d'après la figure, que, pour que cela ait lieu, il faut et il suffit qu'il existe réelle soit partie 1 que + g Si « que £ [x < 0 et q (q l'équation F(z) + - 0 dont la il existe partie au moins réelle est une ra¬ plus petite 1 q-2 l'inégalité (10) (i)(x'I + y',')x', VT+ + 2(ß où racine dont la 0A2, c'est-à dire plus petite que 1) > 0, — = Revenons maintenant à (ce une Donc Q — cine de plus petite moins au -!x)mx',y', z't(afa, î/2) correspond, m* + + (ß {2y. - - « : — ß)x'l + (0 ^x'MV+Tn* dans la transformation mière racine zs de — «)tf < 0 (2), 0 rencontrée l'équation F(z) la droite de x + my + p placement parallèle point (+ oo, 0) vers le point (— oo 0). = =• à la pre¬ dans le dé¬ 0 depuis le , Supposons de nouveau « — ^ < 0. En divisant tous les - ß — M = - trouvons nous q « + y'l)x\ V\ + m2 + inégalité Cette même le région point (+ dérer ier prise q(q 1) < 0 q(q points signe : le cette tangente à signe point z\ x' — 1) > en point z\ + my x (+ ne oo, 0 = 0). le point cas, nous que Dans ce pouvons donc pas plan contenant l'équation F(X) Quelle moins 0, mais soit il existe point (+ —.==. 0, fix', y') a Pour le même trouve dès lors à droite de 0 > 0 du (2) : . même côté de la droite région du nous la racine droite axe des toujours au située du même côté de cette droite que le = = com¬ : que une à consi¬ plus non passant par l'origine, excepté, 0 que = les racines de = pouvons dire situé donc est limiter à droite la x se x' faisant la transformation inverse de point zt cas nous avons : j-ä + my* Le f{x', y') 0. de la droite x' x\ > d'où, est situé dans la 0. La courbe est alors entièrement 0 et = 1) + 2mqx\ij\2 les deux encore tangentes «'=0, ; le posant en . par la courbe avons q(q gauche — — montre que le 1) < — y'a\q + q) + > 0 et entre les deux tous les <(1 - Nous et u a : plan, limitée 0). °c, par qx\VT+m? nous du — cas : - l'inégalité précédente de termes 39 oc, 0) (fig. 21). Fig. 21. Pour cela, il faut et il suffit, d'après 40 — figure, qu'il existe notre réelle soit Donc Si a. < 0 et q(q p. partie L'inégalité q(q et nous réelle est 1) < — moins trouvé dans les mêmes ß ft < 0 et — ß : < 0, p. — « a — a moins une racine de positive est plus petite 2e cas : et ß < ou < ß < a. l'équation F(z) moins au 0 signe gente q(q —• 1) > x + m —; et nous avons : (2) : point z^ix^, y3) l/l + m2 my a, : = oo , moins = la 0 est en¬ = »,, x' «,, f(x', y') = en a, \/l — + m2 > 0. point (+ : Si a go d2 : 0). Lorsque , demi-ellipse B^B«, (fig. 22). toujours au pour que cela ait une «2- faisant la transfor¬ ou 0 que le racine dont la l'abscisse de A15 c'est-à-dire Donc est donc à droite de cette tan¬ moins — « racine dont la < 0 et lieu, il faut partie Nous partie réelle — est l'équation tangente que le point et il suffît réelle soit plus grande q(q racine de une 0 située du même côté de cette 0); au Quelle que soit la tangente c?2 à la demi-ellipse BiA,!^, il existe une la droite ac'= > 0, xt + myt varie, d2 enveloppe (+ a, — = est situé du même côté de la droite pouvons dire au x\ — F(f) celui avec partie réelle f(x', y') 0. Alors la courbe points à gauche de le point z's se trouve mation inverse de Le ß < 0. que + ]. Pour tous les le < 0, partie réelle tièrement comprise entre les deux tangentes x' a ^ // existe m, 0 dont la = racine dont la une — et dire : hypothèses — une ra¬ : les deux conditions 0 par les suivantes 1) < au positive. peut s'écrire 0 remplacer pouvons il existe 1) < 0, — Nous pouvons réunir le résultat énoncé ci-dessus Si partie racine dont la une positive. — — moins au : cine dont la Q(Q — qu'il existe plus grande que 1 que 1) > 0, F — il existe plus grande au moins 1 que - — — De l'inégalité q(q 1) > — 41 — 1 = A' 2 1 q— . + = q~2 ^ dou • l , g4" ? —; = compte dans les mêmes de la remarque que au — moins [x 1 nous venons et racine dont la a — /x moins au plus grande que Si avec de ß — une partie 1 celui trouvé faire, et en nous précé¬ tenant pouvons : < 0 et q < 0, c'est-à-dire si une ß- = hypothèses (p. 38) énoncer les deux théorèmes suivants « 5 et ? En combinant le résultat ci-dessus demment et \—q alors 1 = l • dou: 2~q 2° ? > 1 Si possibilités 0 résultent deux < 0 alors 1° q a < réelle est racine dont la f* < ß, il existe plus petite que partie réelle est a < 0 et ^ > 1, c'est-à-dire si ß < « < p., il existe 42 - au moins et -—- a — une racine moins au — partie réelle dont la plus petite que partie réelle racine dont la une est est plus u. grande que 1 — - . a Nous — n ainsi obtenu avons combinaisons des trois théorème pour chacune des six un grandeurs relatives. Nous pouvons réunir suivant, bleau racines de < ß < 1. p où r s = = suivant leurs valeurs u. six théorèmes dans le ta¬ désigne + il l'équation ¥{z) ß, a, ces quelconque l'une Toutes les racines sont réelles et «. des 0. comprises entre 0 et 1. 2. < f* comprises Toutes les racines sont < |3. a dans la /32 de portion lipse E plan commune cercle au -f- y2 x- = ^—r et à ]'el¬ se : IV + IV « jS < 3. rieur de s < 5. s — a < 1 < — et au « au (i) (ß — t = racines sont — Il existe moins moins au telle que une s racine une > 1 moins et Il existe au au moins une moins — s une Il existe telle que au s moins > 0. une que -—- > — j7. racine telle que -—-. a u.. telle . une telle que y. < ß < à l'inté¬ comprises E. < /3. -—- • f*)2 a a 1 a) - fi x 6. et rzô - (ce Toutes les a. < p. a 7* (/3 2/ [i. l'ellipse -—- a < « ,3 < 4. — ' —fx racine telle que s < 1 CHAPITRE IV Autres théorèmes. Jusqu'ici Laguerre. nous avons Le but de autres. Nous y retrouvé six des théorèmes énoncés par chapitre ce parviendrons est de démontrer les douze facilement introduisant deux en substitutions linéaires. Considérons de degré n : F(z) = F(— duisons la substitution dont l'inverse est z, polynôme hypergéométrique le nouveau n, a, ß — u —^~ 1 = (l devient dans notre cas : F(—n,a,ß = ou en — uiz) posant ß — F(— n,a,ß p . — — s)-" F déjà (a, par Gauss c b, — (l—zTF(—n,ß-t<L — de 1 et intro¬ — La relation bien connue, établie = z) oùm — : z F(a,b,c; z) ; m = « n;z) = = «, et r = (l— z)n F(— n, Désignons pour abréger F(— n, «,, ß F,^,) est un polynôme du degré n en — zt zK c;^-^) *,ß — !l;j^-^ : «,, — : ß p ; — a ; zt) . zt) par F,(^,) et les racines ; de — l'équation F(^)=-0 0 au moyen F, (.s,) = aussi s'écrire 44 — déduisent des se (1). de la relation racines de l'équation qui peut Cette relation, : (z-\)(zt- 1) 1 = , représentée géométriquement par une inversion par rapport au cercle de centre (1, 0) et de rayon 1, combinée avec une symétrie par rapport à l'axe des œ (flg. 23). Nous pouvons ainsi 0 à celle des ramener l'étude des racines de l'équation F(z) racines de l'équation F, (zt) 0. est — = Or le satisfait à polynôme F^-s,) l'équation différentielle : î1(l-^)Fl(51)+[(M.-«1)^ + /S-^lF1(^)+(/Jt+l)(x1Ff(^) Nous F,(-!) = pouvons appliquer directement donc aux l'équation F(z) de 0 l'équation à 0 les théorèmes démontrés relativement = racines 0; = nous obtenons ainsi six théorèmes sur les racines de F,(-,) ,.-"'m j \o rèmes, tX l'équation dans 0; si, = ces remplaçons nous théo«d par 1 ß a — nous veaux — et y. par zt déduisons en six , nou¬ théorèmes relatifs racines de aux 0. l'équation F(^) d'abord à appliquons 0 les quatre l'équation Fi(z,) IL chapitre = Ainsi = théorèmes démontrés Le théorème IV Si ß < 0 et | au donne nous ß| < | «, |, il en : résulte | zi | > — : nous en duisons le Théorème VI : Si z ß < — l 0 et > \ß\ < \ß 1/3 I ß- — « — «, : dé- 45 — Dans prises cas, les racines de ce à l'extérieur du cercle correspond dans rieur du cercle rème VI l'équation Ft(z,) cercle K qui, respond au donc que, dans les conditions l'équation F(z) ß < cercle déduit, en 0 et V 0, > remplaçant Les racines de (0, 1); K4 0 = : Le théo¬ énoncées, les trouvent à l'extérieur du se rapport au cercle (1, 1), cor- ß „ ß — appliqué \ß\ Théorème VII cercle Au cercle 24. dans l'inversion par Le théorème V Si (flg. 24). K4 correspond l'extérieur du cercle K. Fig. de ( 0, K, 0 sont com¬ = notre transformation le cercle K et à l'exté¬ signifie racines — à |«J, «t a. — fj. l'équation F,(~() il par ß Si ß < 0 et en — x |/3| l'équation F, (zt) à ce cercle |^,| résulte — correspond 0 — a — nous donne: > 1 d'où l'on ^ et ^ par > 1/3 = = f*| ^£_-y : » le >1- 0 sont à l'extérieur du dans l'inversion la droite 46 — ce et à l'extérieur du cercle — de cette droite x le droite demi-plan à (flg. 25). — - Le théorème VII correspond exprime que, dans les conditions énoncées, les toutes racines l'équation F(z) situées droite dire droite à œ = ^ réelle de ces leur ont la c'est-à- , que toutes cines de 0 sont = ra¬ partie plus grande que ^. Le théorème VIII ap¬ Fig. > 0 De «, 25. j|3| > et pliqué à F, (s,) 0 donne: il résulte a,, = l'équation d'où l'on dé- < duit le Théorème XIII z — < \ ß « — f* > 0 — et \ß\ ß > — « 1/31 ß a — — K,: ( 0, — u l'équation F^z,)-—0 Les racines de cercle Si : ) ; à ce cercle sont à l'intérieur du correspond dans l'inversion le cercle K et à l'intérieur de Kj correspond l'extérieur de K (flg. 26). Le théorème XIII du cercle K correspond v qui, Appliquons Si «) sons le (0, \ encore Nous obtenons > 0 et =0 sont situées à dans l'inversion par cercle au donc que, dans notre cas, signifie l'équation F(z) les racines de à ) 7—— ß - a rapport - au l'extérieur cercle (1, 1), . F.) l'équation F,0?,) = 0 le théorème IX. : |ß| < «,, il en résulte | z, | < 1, d'où nous dédui¬ 47 — Théorème XII Les racines de cercle x = Si : ß « — — l'équation F! (.zv) l'intérieur du à p-, de la droite x = que, dans les conditions Le -. Ffc) = que toutes ces Dans le Laguerre F(z) — = 0 sont à \ß\ < III nous - l'inversion le théorème XII « — la u : droite demi-plan exprime toutes les racines de à donc l'équa- 26. de la droite x = racines ont leur partie réelle plus chapitre ß 0 sont à l'intérieur du correspond énoncées, gauche = et dans cercle Fig. Si ß y. > 0 (0, 1) auquel correspond gauche tion — avons -, c'est-à-dire petite que 5. retrouvé le théorème I de : a < 0 et fj. — 0 sont réelles et ß <0, toutes nous avons les racines de ajouté : l'équation comprises entre 0 et 1. Ce théorème, appliqué à l'équation F,(^,) Si ß — a,<0etfji — ß < = 0, nous donne : 0, toutes les racines de l'équation 48 — F^Oj) réelles de zi compris Donc, par notre 1, entre 0 et Si : l'équation F(z) = ix ß — < réelles sont 0 entre 0 et — qo z . obtenons le nous + p. < 0 et a. compris z sera transformation, Théorème II de des valeurs réelles de correspondent d'après (1) et si z{ est cines entre 0 et 1. A des valeurs comprises 0 sont réelles et == — 0, toutes et nous les ra¬ pouvons ajouter: négatives. Il est du reste évident que les racines doivent être ce nous pouvons énoncer, relativement puisque, sont positifs. Enfin, l'équation F,(z,) Si ai — = 0, le théorème l'équation Fi(zi) de lipse (,u p. > 0 et — ß) (a, 0 sont = ß) > Cette (1, 0) 2) à l'intérieur de l'el¬ + V, ellipse ayant, comme comme nous foyers, désignant 2^=^-\ le et w) (j8 + l-,-l| de axe = « aussi s'écrire : , qui l'ellipse est ici égal à est > 1. ellipse "correspond dans notre quatrième degré dont l'équation peut A cette z z points (0, 0) l'avons vu, les équation peut son grand qui 1 = (j8 — («i-v-Y l*.l ou 0, toutes les racines comprises 2 du racines de : — !Y 1\» a aux : x, et négatives polynôme F(z) cas, tous les coefScients du dans — + \ 1 z — inversion s'écrire courbe une : 1 r 11 — a bien où a = 2ß~ -"-1 ß + r= ß — a cc — 2 ix 49 — courbe, qui Cette construite soit l'inversion, («g. 27) soit 1 correspondante directement par sur l'axe des droite une or les l'une une l'axe des OfC4 ... être dans suivante sur série de droites x les cette droite à un segment parallèles points B,!^ avec menons l'axe des par le un x 27. l'autre des deux directions ou 0 et 1 et d faisant quelconque différent de 0. Portons Traçons sur peut l'ellipse de construction la points Fig. angle entier dans le fini, en courbe : Marquons point est située comme — ... et à OA sur partir de 1 dans 1 égal — A à - . (Xi qui déterminent la droite d les ; il est clair que le cercle décrit autour de points l'origine et coupe le passant par l'un quelconque B& des points B,B2 le 1 et du autour cercle décrit point corres¬ passant par point ..., pondant Ct trième en deux points appartenant à notre courbe du qua¬ degré. D'autre part, à l'intérieur de l'ellipse correspond l'extérieur 4 50 — de cette courbe de l'ellipse. Si ß cines de le centre de l'inversion est à l'intérieur Nous pouvons donc énoncer le théorème suivant « — puisque — 2p. (ß > 0 et l'équation F(z) courbe du — fi.) (a + n) > 0, |z| : + 1 = -z——-—p- Afin de retrouver le théorème XVII de prises • Iz Laguerre, quons que les racines zt de entre les deux ; toutes les ra¬ 0 sont situées à l'extérieur de la = quatrième degré — 11 — . remar¬ 0 sont l'équation F1(5,) à tangentes l'ellipse parallèles à = com¬ l'axe des x, c'est-à-dire entre les deux droites V(ß y A - a)(ß -«,)__,_ ß- ces deux droites les deux cercles les deux droites deux cercles K,, Kä et à la correspond portion cines de cercles 2p l'équation F(*) — a. la de plan comprise entre 28. portion de plan extérieure aux (fig. 28). Nous pouvons donc dire ß *P dt, d% correspondent, dans l'inversion, Fig. Si V(ß -/»)(«+ fi) — K,, Kä. > 0 et = : (ß — ju) (ex + ft) > 0, toutes les ra¬ () sont situées à l'extérieur des deux 51 - Il est évident d'ailleurs entièrement De Z, et = l'inégalité qu'elles r z — lui sont = nous on iy x—l tire Vi = TT^l—ï '> + y 7 {x—1) : ,V|<V3ES±2 et tangentes. ~ r—, + 1 deux circonférences sont ces que à l'intérieur de notre courbe du qua¬ comprises degré trième — <^E^±S Ud devient- pouvons formuler le Théorème XVII Si : ß — « 2u>0 et (ß — \/(fi \y\ {œ— l)8 + 2/2^ Revenons encore une fois à t) (a - /3 « — — + u) (z + p.) — + : fT) 2H l'équation différentielle *(l-s)F>)+[(p--«)* + /3-M]F^) >0 : (p+l)a.F(*) = 0. Introduisons la substitution linéaire z et posons = sera = Nous - Si 0 nous férentielle = d'après 0 bien déduisent se la relation - - zt) F, (z,) = . en n ^ et les racines de racines des de l'équation (2j. F"(l et introduisons la substitution nous obtenons *,)-« Ffo) - + ou Fi(zi) avons : F'(l (1 = polynôme du degré un l'équation F(z) F, (zt) (2) zt — : F(l-zi) F, (z,) 1 (2) - z,) dans = Ffo) . l'équation dif¬ : {([x - «)(1 - (!x + Y)aFi(zi) z,) + ß = - HF',(*J 0 : zt(\-zi)ri(zt)-^[(ii — lx)zi+a-ß\F'i(zt) + (ii + \)ocYl(zl) = 0. 52 — Le polynôme F, (zt) satisfait l'équation même forme que vons l'écrire posant /3, = a Nous pouvons uns F(z) -f ßt par veaux 0; a. — primitive; p de pou¬ p — l'équation F^z,) à trouvés relatifs j3 et zt par 1 théorèmes relatifs La relation (2) que = 0 jS. — aux nous z — z, nous racines de quelques- —0 l'équation racines de aux si dans les résultats ainsi obtenus + nous x)zl+ßt—[l]F\(2l) + (it+l)*Fi(zt) appliquer des résultats = équation différentielle à une différentielle : zi(l-zt)ri(zi) + [(p en — en remplaçons nous déduisons de l'équation F(z) pouvons écrire nou¬ 0. = : 1 -\- zt 2 montre que le point fixe ( x = -, 0 1 est le milieu du seg- y ment zzt. Notre transformation est à une +y symétrie par Le théorème IV l'équation F,(^() Si +JC £,<() résulte en rapport point (flg. 29). ce et appliqué = 0 |/3,|<|a|, |?,|> à donne: -' il d'où ' Z nous déduisons le Théorème — Fig. Ce théorème l'équation F(*) (1, 0) 29. = et H> exprime que, et de rayon dans ce : Si ß — ?. /3_«_/x<|a|; ß cas, toutes les racines de 0 sont situées à l'extérieur du cercle de centre r- . I« L'application duit à f/.>0 XV : du théorème V à l'équation F, (zt) = 0 con¬ 53 — Si Il /31<0 |/34| >|«|. et — alors \zt\> 1. 0 y. > et résulte le en Théorème XIV ß Si : « — — \ \ ß < a. « — p — : |z— 1|>1. l'équation F(z) Alors toutes les racines de 0 sont situées = (1,1). à l'extérieur du cercle Le théorème VIII donne: Si sons ||3,|>a, >0 et « |^,|<L^, alors d'OÙ dédui- nOUS le Si Théorème X: \ß > 0 et a — « — ^| > « : l5_l|<!£=JpiLl. Dans ce à l'intérieur du cercle ( comprises Le théorème IX Si a > 0 l'équation F(z) toutes les racines de cas appliqué IjSjI et < «, à il 1, - — ~ l'équation F, (.s,) en résulte = J 0 sont = . 0 donne : d'où l'on dé¬ ],?,;< 1, duit le Théorème XI Si «>0 et : Alors toutes les racines de nous Si a Ft(z,) + [x < 0 et p. D'après est négatif, — /*| < F (.s) l'équation l'équation F, {zt) ßi — 0 sont réelles et = a « : |z 0 sont = — 11 < 1. comprises = 0 le théorème II; : la relation 2, à encore obtenons — (1, 1). à l'intérieur du cercle Appliquons \ß (2), 0, toutes les racines de l'équation négatives. si zi est réel, plus grand sera z < sera z aussi réel, et si Nous pouvons donc que 1. énoncer le Théorème III cines Enfin nous Si a. + p. < 0 et l'équation F(z) de ajouter : : plus grandes appliquons obtenons : à = 0 sont ß — a. < réelles 0, et toutes les nous ra¬ pouvons que -f- 1. l'équation F, (s,) = 0 le théorème XVII; 54 — ft Si — a >0 2(* — nous par 1 — déduisons, -y/(g |y| + Si par « et yt par ß + [x<0 (« et — cercle — a ß — et ^< ?/ : ß) (oc + a) > 0 : (1, 1) —Ss—:— ~ Le théorème XVIII — exprime « — parallèles à l'axe • eu que les racines Y(z) +y = 0 z l'équation de situées sont l'extérieur des deux cles ~à 4 U ^ correspondent facilement du en + fx)(«-/3) y2 y2 z _y(ß V/(a + — z,, cercles de ces trouvent remplaçant < par le bien x2 + 1 l'inégalité, résultat On obtient y/(« se théorème signe ±y aux équations Les deux cercles 30. x2 + z= K',, K', (flg. 30). dans Fig. à cer¬ dans la K,, K2 qui, transformation +x >!ix V exprime, 0 = K'2 correspondant dans l'inversion par à deux droites dt, rf2 p, ou + appliquée l'équation F,O,) à la distance ± hr p\ : 2f* l'avons vu, que les racines zl sont situées à l'exté¬ rieur de deux cercles K',, x x — résulte en M)(a^6) Le théorème XVII des — a »I /3 + /x comme nous au — remplaçant z, c'est-à-dire xt par 1 x2+y2<- rapport /3, y\ en Théorème XVIII: u) (a + //.)> °> — -,< (^-ir + d'où Q3, et — + n) il)(*~ ß) =0 XVIII, signe le =. — ou enfin 55 — : «,. + (y± _=£ + JL=Y= <ß + ^ 2 l/(a + a) (« V i5)/ /3) 4(« + p) (a - énoncer, relativement Nous pouvons aussi l'équation F^) —0, précédemment. Si ßt le théorème que 2^ > 0 et (ß, 0 l'équation F4(^,) du quatrième degré : a. — — — cines de courbe d'où Si nous ß + déduisons le [i < 0 l'équation F(z) = quatrième degré Cette courbe une (a et : se a a ici — a. nouveau — > racines de démontré avons toutes les 0, ra¬ o. — ï.-l 2[x théorème: ß) (a + ;jl) > 0, toutes les racines de 0 sont situées à Veoctérieur de la courbe du |z — 11 + 1 2a + u-ß une rapport par autre , = , P + F déduit de celle trouvée simple symétrie constante n)(x + p) J8, + ßt nous aux sont situées à l'extérieur de la = + .1 . - au valeur; précédemment point ($, les rôles des 01, mais points par la 0 et 1 sont intervertis. Nous avons retrouvé tous les guerre. On une des l'autre, pourrait croire substitutions on çoit qu'il n'en théorèmes aux arriverait à de au théorèmes énoncés par La- premier abord, qu'en appliquant théorèmes obtenus nouveaux est rien et que l'on retrouve déjà démontrés. au théorèmes, mais toujours moyen on de s'aper¬ les mêmes CHAPITRE V Sur la distribution des zéros de l'équation satisfaisant à A(,)^fÄ Soient + B(z)^ A(z), B(z), C(z) commun à tous les p -f Bfz)^- + trois, le l'équation A(:)¥ Heine1 toujours a degré conséquent n en des z. et BWI + CW'J=:0 (1) (z) admette polynôme C(z) comme ces y s'élève à l'équation (1); f(z) un polynôme intégrale telles que un poly¬ : de *(„,„ degré n, = ,. solution de nous avons Décomposons la fraction rationnelle -~x A(*) Handbuch der il existe déterminations et par k{z)f"(z) + B(z)f\z) + C(z)f{z) 1 : (1) • B(z) étant donnés, et Le nombre de polynômes = . — („,p)=öi±m^^t+i^i> Soit donc y 0 différentielle linéaire du second ordre montré que, A différentielle = polynômes en z sans diviseur degré de A(z) étant quelconque 1. G(z) au plus égaux à p et p certaines déterminations du l'équation nôme du + C(z)y trois 1, les degrés de B(z) Considérons + polynômes différentielle Kugelfunktionen, t. I, p 472-476. = en 0 . (2) fractions sim- — pies et supposons que cette B<X> A(z) Si Pt __ décomposition ait P* , = C(z) z <74 — 0 a une B(-) et, cette racine annule A(z), B(f) — . la forme suivante Pi , '" z l'équation A(^) et 57 simples racine différente de a,, a2, à cause (2), de n'ont pas de diviseur obtenue ou du moins des ••• #;> f(z) puisque aussi commun. l'équation A(^) 0 sont des racines simples de l'équation = la fraction à 0 le dénominateur de posant égal en «j — Les autres racines at, «2... ai de racines /3) ' 5: (72 — : simplifiée. -r~~ proposition suivante: 0 sont réelles et si l'équation k{z) toutes les quantités pipi... pt sont réelles et positives, l'équa¬ tion f(z) 0 a aussi toutes ses racines réelles et comprises dans le plus petit intervalle qui renferme toutes les racines de 0. l'équation A (z) M. Polya2 a généralisé ce résultat en l'étendant au cas où 0 sont quelconques; il a dé¬ les racines de l'équation A (s) Stieltjes1 a démontré la Si toutes les racines de = — = — montré le théorème suivant Si, dans la formule (3), positifs, nombres := plus petit polygone complexes, qui A(z) tion f(z) le = : tous les nombres 0 ; si toutes les racines de 0 polygone est située sur forcément confondue A(z) = se A(z) réduit à la avec une = plan sont des l'équa¬ 0 sont situées de des sur la segment de. droite; un des racines de frontière ce l'équation polygone, racines de elle est Véquation 0. Nous allons d'abord démontrer des le pt contient toutes les racines de dans tous les autres cas, si l'une — dans convexe, ... 0, contient aussi toutes les racines de l'équation même droite, le f(z) p,, p% points dérivés. mathematica, Bd. (>, 1 Acta 2 Comptes rendus, t. 155, p. 321-32G. p. 767. ce théorème par la méthode 58 — A cet une effet, considérons réelle finie quantité point (+ oo , droite 0) jusqu'à l'équation f{z) = x quelconque, + my + p = déplaçons et 0, étant m cette droite point (— oo, 0) vers le depuis qu'elle passe par un point zt, racine le à elle-même parallèlement de une — ce 0. Si zi est aussi racine de l'équation A.(Y) 0, = on peut énoncer immédiatement le résultat: Si la droite considérée, x + my + q 0, où = particulière 0 l'équation A.(z) que le point (+ oo. 0), la valeur m a est telle que toutes les racines de soient situées du même côté de cette droite il en est de même de toutes les racines de zx ne soit pas racine de Supposons que La droite passant par œ — ce point œt -\- Les autres racines de = l'équation f{z) l'équation k(z) alors pour a m(y y,) — = 0 l'équation f(z) point (+ = 0. : 0 x, sont situées du 0), et il en est même, d'après le théorème fondamental, du point dérivé Ç, c'est-à-dire que = «i + ira signe f(z) = xt + — *, m — (», x sur m (y nous f'(zl)_ alors pour expression {, = — y,) — yt) faisons /"(*.) a ~ l)^y ^ 0 la même droite xt + — Si, dans l'équation (2), Ç, 2{n , toutes les racines de ayant lieu lorsque 0 sont situées = = : nous avons : £4 le 0. . = même côté de cette droite que le de équation = A(zt) B(*,) 0 = . zit nous obtenons ' : ,.+ 2(. - l'équation : = z (4) 1)4$ , : 59 — d'où nous déduisons successivement S, *, - 2(n— Ç, —*, zl £i + ^i — -2, , a?, 4 « («i ^)ä + («i >n ^)2 - — - Vif + («. - 2/i)2 bien 2(n— Il -äj (x, l ^ 2(n - «J "*> ~ - + *'& a,)3 - «/ (y, + Pttex -§ (^ 1 ) — : mPk(l/i — ßk) ^ ~ - &à ßk? ßu + (y, après simpliflcations + ißk - /3t)2 : 0 : ' Considérons tous les : - ak + — P* l'imaginaire devient alors ^ feto ak • S ^ ! > — yt_ L'inégalité (4) ou 2(n 2/i) le réel de (É. - , ^ 1 séparant - y£ 0 •*, + «/, = = — et en (£, o/t — A(zt) B(*,) 1) 2(n—l)Jj^-«fc l)"A(*f)~ 1 |, - : posant en ?i 2(n = où d'où — ?„ une points ak cette droite que le *k + mßk - droite fixe = <xk + ißk point (+ — 9 > ° oo, : œ ^ + my />*(«*+ w/3*) — q = 0 telle que soient situés du même, côté de 0) ; °" nous avons xk + alors mßk > 1 : 60 — d'où ou en bien tous les pk supposant — positifs : : i i d'où xi + myi > q xt + my^ point Le 2, et K(z) . point (f 0) ; il 00, forte raison des autres racines de pouvons dire nous Si q > 0 est donc aussi situé du même côté de la (<r,, yt) droite considérée que le plus — une est de même à en l'équation f(z) = 0; : droite est telle que les racines at «2 at de l'équation ... =0 soient situées du même côté de cette droite que le il point (+ 00, 0), l'équation f(z) 0 ; celles-ci = vu, les racines de seulement a, a2 est de en k(z) ... = même de toutes les racines de comprennent, comme nous 0 différentes de n, er2 ... a( mais toutes les racines de l'avons ax\ donc A(z) = non 0 sont aussi du même côté de la droite. Nous obtenons le même résul¬ tat que celui énoncé directement dans le racine cidait ~, avec racine de une Si maintenant parallèlement l'équation déplaçons nous elle-même à 00, 0) jusqu'à 0, et si l'équation f(z) point (— ce = la depuis (z) A = droite le la où première 0. + my -\- p x point (+ qu'elle passe par exprimons que 00, une nous Ç2 est du même côté de cette droite que le obtenons cas rencontrée dans le déplacement de la droite coïn¬ le point (— 0) = vers 0 le racine zt de point 00, dérivé 0), nous l'inégalité (£, et le même calcul a?,) + m(v72 — fait changent simplement — 2/2) précédemment, de sens, conduit ^ 0 mais où les au (4') inégalités résultat suivant : 61 — Si A(z) point ( 0 soient situées du même côté de cette droite que le oo, - 0), il l'équation f(z) A(z) avec avait tat est lorsque à l'axe des parallèle vrai encore lorsque des côtés du polygone l'équation f(z) il particulier, rackies de f{z) = droite A(z) = qui en 0; nous à chacun venons d'énoncer toutes les racines : sur une même droite, les- racines de dans le plus petit segment de x nous A(z) = une droite ce cas point le passant par z, racine de racine de fiz) = polygone ne l'équation A(z) ... = al. 0 at at points qui ces se ... at de peut ne ne — ne ... a, sont être un sur cette 0 est située sur peut que coïncider l'équation A(z) réduit pas à polygone ne 0 l'équation f{z) polygone considéré, elle des racines a, a2 Et l'on voit aussi que le points cette droite. Notre calcul montre que sur la frontière du racines a, a2 Stieltjes. des un cette 0. Si cette droite est retrouvons le théorème de une de x. contenant toutes appliquant en droite. Donc si où le 0 résulte immédiatement que si toutes les 0 sont = donc pas tous situés cas à l'axe des convexe et laissant d'un même côté les autres de avec une + my + p = limite, c'est-à-dire parallèle à démontrer contient les racines de Considérons dans m que 0 sont aussi comprises à l'intérieur du comprises 0 sont l'axe des 0. supposé x est de en considéré. polygone En = la droite le résultat que théorème retrouvons le = avons l'on passe à la l'équation A(z) Véquation ; mais il est clair que le résul¬ petit polygone Considérons le plus de x la droite considérée devient les racines de nous nous flnie, c'est-à-dire que valeur n'était pas l'équation f(z) proposition établir cette une : droite, il 0 soient situées du même côté de celte même de toutes les racines de Pour donne précédent le droite est telle que toutes les racines de une = racines de de même de toutes les est en 0. = Ce résultat combiné Si l'équation droite est telle que toutes les racines de une = — = 0 dans le segment de droite. contenant toutes les racines peut avoir sur son périmètre que les 62 — Revenons maintenant à A(*) f(z) étant f"\z) l'équation différentielle (2): B{z)f(z) + polynôme un — de degré C(z)f(z) + n en z = 0 et considérons le déve¬ loppement (3): BQ) A(z) Pi _ z at — cette fois que Supposons P* , naires aient tous leur k(z) z B(s) et partie ... une = 0a polynômes être Dans = racine une soient des positive. portion du plan l'équation f(z) l'équation k{z) «; — qui peuvent pl réelle facilement trouver toutes les racines de Si Pi , oä — coefficients réels et que pt, pä, peut aussi , "" z ce à imagi¬ cas on contenant 0. imaginaire, la racine elle a aussi imaginaire conjuguée. Supposons imaginaires conjuguées; on voit alors fa¬ cilement que pl et p2 sont aussi imaginaires conjugués. 0 parallèlement à elleDéplaçons la droite x + my + p donc que a, et a.2 soient deux racines = depuis même ce qu'elle le passe par Si z, coïncide A(z) 0 = point (— cas Supposons avec = une des racines a, öä... a, de f(z) = — ak 5*= 0 où k signe f(z) Nous = \, 2,... I; alors toutes oo, 0) et il en est ainsi du y,) ^ 0 point dé¬ d'où : |, — l'équation 0 sont situées du même côté de la droite considérée que le point (+ le le précédent (page 58). donc zi les racines de rivé Ç, 0) peut énoncer immédiatement le même résultat on que dans le point (+ oo, 0) jusqu'à 0. point z, racine de l'équation f(z) un oo, vers = — a-, + m (tit ayant lieu dans le 0 sont sur — cas la même droite x où toutes les racines de — x, -f- avons : * = '• + (5) *<»-»%& m (y — ?/,) = 0. — 63 — d'où 1 B(;,) 2(n—l)A(*f) 1 = lt — Zt 1 ^ = 2(n—\)1£zi-ak- Posons ?i = Çi + *'«,, Alors *!=.», +«y,. «* œt) + bien ou i (ïi, - .V.) *(n 2(»-i)â ~^ ofa ^ = /*1 + *vt. — 1) H + -Jj (a-, — «,) ûk + i(yf -t &) — «<», —y.) (*,-«/ +<y.-& '*' le réel de séparant en 9( jot : (,— ^) d'où et ^ 1 = - «*+ «A : 1 (|, = l'imaginaire: __^^K— «t)4-vt(y,— &) *—^ n \l,-*•.)"+(»,-y,)* n ; *,-y, «,-«.)'+(«.-y.)1 L'inégalité (5) s> («-,-«*)' +(y,-/st)» _^^^.-^)-^(^-"t) ~ïâ to - «J2 + (y. - ' ßk)2 devient: ^l>.k\(i\-*k)+m{yi—ßk)\+vk\(ijl-ßk)--m(x,—xK)\ Nous la partagerons les termes de cette somme en deux classes première comprenant tous les termes pour lesquels positif, et qui pourra s'écrire : c'est-à dire pk réel et F = N!P*lfcf-«*) + »'&- M vk = : 0, 64 — et la deuxième — comprenant les termes, pour lesquels autres Vk9é0: ' Mi F vk \ (a-, - ßk) \ + vk \ (yt en — pk + de ph = pk — + m(y, «*) /**[(«• ou — 0t)] -f vk[(y, <xA)2 4- (2/, — - «*) + m(y« + &)] (a;, bien ou m(xt - «t) j imaginaires conjugués; à ak = = — à ßk) a.h + «ft — ißh «/3ft et les : — m(sct — «,)] &)* - " akY - correspondant de ah. ivk correspondant ivk corrrespond à (<r, + - nombre pair: 2v de un ak deux termes correspondants réunis donnent F*[(«"< ßk) - seul terme les deux termes un conjuguées deux valeurs t= F renfermera somme les ph sont deux à deux puisque réunissons Soit pk alors pk m(y, + ta-«,) +(y.-/s*)' Cette seconde termes ect) - "*[(& + (y, + &) ßkY + — m{xx — «,)] : 1 Ko?, - at)' + (?/, - &)»] [(^, - . a,)2 + (y, + &)»] [ta-«*)"+(y.+At)l,J- |^[(«I-«t)+w(y1-^it)] + vt[fy1-/3t)-w(a;1-at)l | j [(^i-«i)"+(j/i-^),3-{l*t[(*i-«i) + »n(y,+ßt)]-vtL(yi+^t)-m(a!,-«i)l} ) La somme F contiendra Remplaçons dans les v termes de cette forme. sommes E et F, œ% et y, par œ0 et y0 et supposons que chacun des termes des nouvelles ait une région valeur du plan sant à cette 2, (*i Vi) » négative. ne Si nous contenant que des condition, nous sommes E0. F0 parvenons à déterminer une points (oc0,ya) satisfai¬ pourrons être certains que le n'est pas dans cette région. point 65 — Considérons un — ak + Vo-*k)* et supposons Alors ce (y0 m somme E0 : ßh)] — + O/0- ~W négatif, terme de la quelconque terme Hk[x0 — étant par ah hypothèse positif. : x0 — m(y0 ak + — Pour que le terme considéré soit ßh) négatif, soit du même côté de la droite (x0, y0) x cck + — m (y <0 il suffit que le 0 = passant par le point ah que le point (— 00, 0). Si donc, par tous les points ah pour lesquels pk positifon faitpasser des droites et si l'on considère celle de prochée du point (— 00, parallèles ces 0), E0 elle-même est aussi E0 somme est égalité F0 plus rap¬ point (— négatif; donc la du 0), 00, somme négative. Considérons maintenant l'un quelconque des somme est la point (x0, y0) situé même côté de cette dernière droite cl que le chacun des termes de la est réel et àladroite x-\-my = 0 droites, cl, qui pour tout point : 8h) — . et supposons ce terme négatif; v nous termes de la obtenons l'in¬ : \ H [>o — «ft + m + | F Ja'o - «k + m (î/o — ßh)} + vh\j/o — ßh — m(xo — *hy\ j JK-«fe)2 + (//o-/3fe)2j Û/o + /5ft)] - »s L'/o + ßh — m(x0- «ft)] j < 0 — ou bien |K - «ft)2 enfln 11 ^h K yl + ß'h + 2yoßh\ — «ft) ~ + + a-o(3«ft^ft 2mHßk + 2»ft&o îA){x0 + y°(vkßh + ß\H Hah) - supposons + 2«kßhvk) 2mvfe(a-0 my0(«\H -f- positif et désignons devient — «•„(3«' ß\ + + -« + ,6^ - inégalité le rapport Vh — *oOV/< + 3aft) 2ma-0y0(«Ä + /SftAk) — 2*hßklk) + ßl)(«h + + + j<0 y en angle + 2/3ft«ftvh) par pft que . nous par X,. Notre in- ^(*A niy0{«l-ß\ ß„h)<0 + = 7-/T=r^=2(y' + V\ +~m* faisant tourner le y tel que tgy — — aft) 2ahßh\) (7) • : [ V\ +m2 et + 5-. «k) ßl)(Xhhi + ßh,k)<0 Introduisons la transformation de coordonnées d'un — : Oo + 2$ (a-0 + m^o) obtenue 2vh ßk j 2«c?/o («ft«ft + ßh*h) — Divisons tous les termes de cette + — - my<>) -<(yhßh + 3a/!/xfe) + -Uk égalité 2^ my0 : y-h{< + — : + ou 66 moß') (8) \ système de coordonnées Oœy m, a> étant compris entre —-£ — L'inégalité (7) (œ: + devient — : y:)af0\/Y+~m2 1 + ï^m^' + — 67 m , « + m'y',' + m2œ': + — 2mx'ay'Q) (3«fc 2mxJ^o) OSA ~ + ßk).k) «*) y+^*^lJ'°~m2^°y'" + maf° ~my"}(ah+ßhlh) ^7=^,^0-^o)(3< + ß'h + 2«kßh}k) + 1/1 -)-m2 ou bien : {x:+y'ïïx'yv+w* + x':c^h - + Ï7?%=ï(3a'< + ^ + 2a^X« 2my» V/l + ;(«; + m' ft) - (4 + ßkik) + = (x" + ft)(«ft iJ*)afVT+m* + + + x .-7== V I + m2 V«l + ft + °~«A\ + -,/?=(«;+^ 1/ 1 + m2 - ßkK) degré x'2 — i/Hßk\ y:wkik - «,) 2m'a*^i* + m2<~ w2^: Considérons la courbe du troisième >(«•', y') + 3xk *k) + (9) . : + ßklk) 2mx'y'(ak 2m\ßkXk - < o + + ßklk) m*«\- m'® («;+/nx«.+/w = o — ou bien — : - y 68 mx'(«k + = ßl) + .-/==,(«; + V 1 + )«' ßklk) «Vl + m»0fcXfc— ± ^W7) ak où R(^) = J_ ma?'(at + 0^) + ^===(«*t + ft) (<r'\/l +m!+ /3AXA r7r=f=^(3a* + Ä + at) - + U'Vl + m2 - R(W) = - expression peut j {x'VT+ri* où r, et r2 sont racines de r^ r2 ou jStXt) + &)(«* + &**){ mettre sous la forme j j {œ' - r,\x' - n) j : ^2/s; + ^ - «; _^ : _t/i/lAl *'h «h l/l +m2 bien + se ß\ + l'équation + V V 1 c'est-à-dire «J2 ^« *' 9 - 1 ,. + 2«A>*+ ^2«A^ + »24-^X) («; et l'on trouve que cette a'«(3«t ++m2m2 +m2/5;x;i + w2/s'; 1 + + «-a; m : W{r(yTmWkt + ^ß\ r, On voit que V/l + m2 R(œ') n'est v positif, 1 + 8 c'est-à-dire que y' n'est réel, 69 que pour les valeurs de x' comprises du troisième •entre les deux xe' Il = tangentes x' r,, = (fig. 31). r, = entre r, et r2. La courbe 0 degré f(x', y') entièrement comprise donc •est — résulte que pour tous les en *, points situés à gauche de la droite äo'=pi l'expression <p(x', y') a le même signe: ces points z'0; nous signe le donc fmn* Tous —. sont donc des avons points x'0 V < r, Fig. 31. d'où, par la transformation in¬ (8) de verse : x0 + my0 < remplaçant et en r, par oc0 + my0 ou Y/, *- ^ rt\/\ valeur sa |/(1 <ah~ + m2 : + ?)ß\K + *ß\ bien «fc + mh + Xr\ l'inégalité (7); somme F0 est pour tous côté de la droite que le lesquelles x que le inégalité, satis¬ points le terme consi¬ à cette ces point (x0, y0) oo. |/(T'+~m*)^k~+~?>Wk est du même pk est x H + mv = 0 0). pour toutes les racines lèles à la droite (10) < 0 : ak + my + point (_— Donc pour — m*ßl négatif. L'inégalité (10) exprime x + points (x0, y0) qui satisfont Tous les font aussi à déré de la |/(1 +m*)ßl\ imaginaire + my = +1/( * 0 + ak = ak + ißh de A(^) considérons les droites = paral¬ : m") ßl *h + ßlm* = o 0 ai) 70 — et considérons rapprochée du — particulier celle de ces droites qui est la plus point (— oo, 0). Pour tout point (xs„, y0) situé du en même côté de cette dernière droite que le cun des termes de la somme v elle-même est Si ment, négative. réunissons nous nous point (— «, 0) cha¬ F0est négatif; donc la somme F0 résultat ce pouvons dire avec celui trouvé précédem¬ : Considérons le système de droites parallèles formé par 1° Les droites par les réel et parallèles points ak, positif. 2° Les droites racines de et a sa racine une partie A(z) = ayant pour équations réelle + my x A(z) 0 pour — positive, 0 et = pk est : ~m*fk + laquelle = ph est et considérons celle de est la : passant lesquelles 0 pour [/{{ +^n')ßlhrk oc-oLh + my + où ak est à la droite 0 imaginaire ces droites, qui plus rapprochée point (— oo, 0). point (œ0, y0) situé du même côté de cette dernière droite g% que le point (— oo, 0) les sommes E0 et F0sont négatives, donc g,, aussi leur du somme E0 + F0. Pour tout point Le aussi toutes les autres racines de f{z) même côté de cette droite g, que le Si à nous déplaçons une droite ce exprimons qu'elle passe par que le droite que le point point (— une dérivé oo, 0), Ç3 oo, point (+ 0) racine vers ~2 conséquent, par 0 sont donc situés du + my + p x elle-même, depuis le point (+ jusqu'à z, et, = de 0). oo, parallèlement = 0 le point (— f(z) = oo. 0), 0 et si nous est situé du même côté de cette un calcul analogue fait voir que l'inégalité (6) change simplement de sens ; si nous cherchons à déterminer une région du plan ne contenant que des points (œo> Vo) Pour lesquels tous les termes des sommes E0 et F0 soient positifs, nous sommes conduits à la même courbe du troisième degré et d'où nous obtenons la condition x0 s> ri 71 — Nous arrivons au résultat — : Considérons le système de droites 1° Les droites parallèles points ak positif. sant par les réel est racines de x où ak pk est — *k + my <xk+ ißk est imaginaire et a = celle de ces — |/(1 une sa + my pour = partie pk es* : k(z) réelle est la : 0 et pas¬ lesquelles m*)~FkX\ +m*j?k + racine de droites, g%, qui x A(j)=0 équations 2° Les droites ayant pour formé par parallèles à la direction = 0 0 pour = laquelle et considérons positive, plus rapprochée du point y0) situé du même côté de point ~0 (x0) point ( + oo, 0) les sommes E0 et F0 sont aussi donc E0 + F0. La racine z% et, par conséquent, positives 0 sont situées toutes les autres racines de l'équation f(z) (+ oo, Pour tout 0). cette droite #2 que le = du même côté de la droite g^ que le Quelle est x l'enveloppe -cck + my + lorsque point (— de la droite g, j/(i"+ rn>)ß\\\ 0). oo, : m*Pk + = 0 (12) varie? m Dérivons l'équation (12) par rapport à m : mßskAl+mßl d'où: |/(1 et en + m*)Fktk + m*ß\ = -mpk 1 + k introduisant cette valeur du radical dans 1 + V, x - «k + mv - m&*—y— d'où y (ce m = — «.) W+X)~-y* = n y l'équation (12) ° : 72 — Remplaçons fait passer la racine membres [ x bien (x — carré ; y2(x + —x, ou au expression par cette m -^ Ä0 + obtenons K) a (12) après dans élevé et membre second au nous — — avoir les deux : *' y\ - : ) « if{x (x — «J2(l + Xs,) a,)' + — xk)2 OU: (1 + V,)(œ ou - >;.[,/' - fill + !•)] = 0. enfin te C'est l'équation et ak— ißk, - **)2 d'une 2 + ^W, ellipse ayant racines de A(z) = i = les deux points a.h + î/3t 0, pour foyers et pour demi- axes UAlel|^/l +\\ La droite #, cisse du point enveloppe : (fig. 32) demi-ellipse B, A, B^ puisque d'intersection de gt l'indique (12) plus petite droite g^ la . avec l'axe des x est l'abs¬ comme que <xk. On verrait de même que la — enveloppe 73 la seconde moitié de — l'ellipse B,A9B2 lorsque : m varie. Nous pouvons énoncer le résultat suivant Considérons le système de droites Fig. 1° Les droites sant h(z) les par = 0 pour 2° Les tie réelle points ak lesquelles tangentes parallèles racine de parallèles à la droite 0 k(z) positive. = x 0, -f my de = 0 et pas¬ l'équation positif; ellipses — w racines ißk, pk est réel et + my : 32. a.k + à toutes les formé par parallèles à la direction = : : où ak pour laquelle pk est —- «k + imaginaire ißk et est une a sa par¬ comprises entre système dt, dï. Il est clair que ce résultat est général et renferme celui trouvé directement dans le cas où la première racine de Toutes les racines de l'équation f{z) les deux droite extrêmes de ce 0 sont = : 74 — f(z) est = déplacement parallèle 0 k(z) 0 rencontrée dans le des racines ak de une Si maintenant rème suivant nous = faisons varier m, de f(z) est un polynôme l'équation différentielle : A(~) B(z) et de la droite . obtenons le théo¬ nous : Si où — sont deux degré quelconque polynômes solution de à coefficients réels et où polynômes A(z), B(z), C(z) n'ont pas de diviseur com¬ trois, le degré de A(z) étant quelconque : p + 1, 1. degrés de B(z) et C(z) au plus égaux à p et p les trois mun — B(*)_ A(z) p, z et construisons les ellipses — a.k ± p, ! ö, — (x ayant les points : z — ! a, '*' que l'on ait Supposons _ les à tous les Pi l z — a; : a,)2 k' :± -I ißk, I = racines de A (-s) 0, pour foyers, = où ak = «k + {ßk Pk = V-k + ïvk h = ~ rk Si <xk + elles de lk = ißk, se k(z) 0 (vk a.k — = 0), = 0; alors Si toutes les positives, le se racines de A (.s) ißk réduisent à ellipses ces un point «k sur réduisent = 0; si aux en deux outre points ßk = 0, l'axe des x, racine réelle : quantités plus petit pt p.2 ... contour leurs p{ ont fermé parties réelles convexe renfermant /o toutes ces f(z) 0. = ellipses, renferme loutes les racines de Ce contour est formé d'arcs communes figure à deux ci-dessous ellipses, (fig. 33). d'ellipses comme et de l'équation droites, tangentes l'indique par exemple la CURRICULUM VITiE Je suis né à La 1893. Je Sagne (canton l'école fréquentai de primaire gymnase de La Chaux-de-Fonds d'où Neuchâtel) de je mon sortis le 26 février village puis en 1910 certificat de maturité. En octobre de la même année l'Ecole polytechnique mathématiques ment des au et j'obtins mathématiques en ce pour m'a exprimer professeurs ses à 1914 le en et de la diplôme physique. pour l'enseigne¬ Je fus alors nommé professeur Kollros, poste que j'oc¬ moment. Je tiens à mes j'entrai le fédérale de Zui'ich dans la section de poste d'assistant de M. le cupe avec le et en ici ma profonde particulier à M. reconnaissance à tous le professeur Hurwitz bienveillants conseils et pour l'intérêt constant témoigné au cours de ce qu'il travail. Charles Vuille. Zurich, mai 1916.