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Image tirée de Anomalous medical Image tirée avec permission du logiciel Bite-Fx Image tirée avec permission du logiciel Bite-Fx
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Image tirée de Anomalous medical
ressort étiré, il ne peut revenir à sa longueur
normale. Il en résulte que le ménisque ne
revient plus à sa position initiale sur la tête
du condyle. Il reste légèrement déplacé et
lorsque le déplacement devient assez grand
on entend un bruit dans l’ATM. Ce bruit
est le fameux « craquement » qu’on connaît
tous si bien.
B) La deuxième façon de déplacer un ménis-
que est par trauma à la mandibule. Lors
d’un coup reçu directement, ou par effet de
« whiplash » (coup de lapin), les condyles
viennent frapper le fragile tissu rétro-discal
et il s’en suit un œdème. Cet œdème se
répand dans la fosse glénoïde, et puisque le
condyle est maintenu fermement en place
par les muscles, la partie la plus facile à
déplacer est le ménisque. Celui-ci glisse
alors hors de sa position normale sur la
tête du condyle, vers une position plus
antérieure (Figure 5). Encore une fois
on peut entendre le « click » si bien connu
(Figure 6).
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Toute forme d’œdème dans l’ATM qu’il soit
secondaire à un trauma, une inflammation, une
maladie systémique ou autre, a le pouvoir de
déplacer le condyle. Le déplacement le plus
fréquent est bien sûr, le déplacement du ménis-
que qu’on vient de voir, mais il arrive dans
certaines conditions que ce soit le condyle qui
se déplace. Dans ces cas, le condyle se déplace
verticalement vers le bas et le patient vous dira
qu’il n’est plus capable de fermer ses dents
postérieures sur le côté affecté.
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Bien que peu fréquentes, les tumeurs dans
l’ATM existent et le premier signe sera une
déviation rapide de la mandibule (déplacement
des lignes médianes) vers le côté opposé à la
tumeur.
Comment le déplacement méniscal,
et donc condylien, affecte l’occlusion.
Dans sa position normale, le rebord posté-
rieur du ménisque arrive légèrement posté-
rieur au centre de la tête du condyle. Dans
la (Figure 7), on dit que le ménisque est à la
position 1 h 00.
Lorsque le ménisque amorce son déplacement
vers l’avant, que ce soit par traction du pté-
rygoïdien ou par conséquence d’un trauma, le
rebord postérieur épais du ménisque glisse de
la position 1 h 00 vers la position 12 h 00. Ce
déplacement de la partie plus épaisse, oblige
le condyle à « descendre » verticalement pour
accommoder cette épaisseur nouvelle entre lui
et la fosse glénoïde qui bien sûr, elle, ne bouge
pas (Figure 8). Cet état de chose provoque une
occlusion avec une béance postérieure du côté
atteint, et une déviation de la ligne médiane
vers le côté opposé au côté affecté. Si les deux
condyles sont affectés simultanément, le patient
aura les incisives qui « cognent ». Il y aura donc
des contacts prématurés aux incisives.
À mesure que le ménisque poursuit sa progres-
sion vers l’antérieur, son rebord postérieur se
coince entre la pente postérieure de l’éminence
et le condyle, ce qui provoque une remontée du
condyle vers le distal (partie postérieure de la
fosse) (Figure 9). Le condyle coince alors les
tissus rétro-discaux qui deviennent douloureux
(Figure 10).
Puisque le condyle recule dans la fosse, nous
avons cette fois le mouvement dentaire inverse.
La ligne médiane dévie alors vers le côté
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