5
3. HO2C
—
CH
—
O2C
—
CH(OH)
||
CH3CH3
(n – 1)
4. Hydrolyse du polyester.
29.
1. C5H10O2.
2. a. M(A) = 74 g . mol-1 ;
A est l’acide propanoïque : CH3
—
CH2
—
CO2H
b. E est le propanoate d’éthyle :
CH3
—
CH2
—
CO2
—
CH2
—
CH3
30.
1. A : acide phényléthanoïque :
C6H5
—
CH2
—
CO2H
B : 2-méthylpropan-1-ol : (CH3)2CH
—
CH2OH
2. C6H5
—
CH2
—
CO2H + (CH3)2CH
—
CH2OH
= C6H5
—
CH2
—
CO2
—
CH2
—
CH(CH3)2 + H2O
3. a. n0(A) = 0,10 mol ; n0(B) = 0,22 mol ; l’acide est
le réactif limitant.
b. n(E) = 0,060 mol ; .
31.
1. a. Voir le document A de la fiche technique
n˚ 4, page 350.
b. Le chauffage à reflux permet de réaliser la réaction
à la température la plus élevée possible (celle de
l’ébullition du mélange) sans perdre de réactifs ou de
produits ; cela permet au système d’évoluer avec la
plus grande vitesse de réaction possible.
La pierre ponce permet d’homogénéiser la tempéra-
ture du mélange lors de l’ébullition.
2. Voir le document D de la fiche technique n˚ 4,
page 351. La phase aqueuse est la phase la plus
dense, c’est donc la phase inférieure. Le solide blanc
en suspension est un excès d’acide benzoïque peu
soluble dans l’eau.
3. Il s’agit du dioxyde de carbone CO2 formé lors de
deux réactions acido-basiques :
H3O+ + HCO3
– = CO2 + 2 H2O
C6H5CO2H + HCO3
– = CO2 + C6H5CO2
– + H2O
4. Sécher la phase organique signifie en éliminer toute
trace d’eau.
5. Voir le document C de la fiche technique n˚ 4,
page 351. La première fraction (34 ˚C) est de l’éther
éthylique et la seconde (97 ˚C) est du propan-1-ol.
Le résidu est du benzoate de propyle.
6. n(acide) = 0,082 mol ; n(alcool) = 0,27 mol ;
n(ester) = 0,065 mol ; ρ = 80 %.
7. Chromatographie sur couche mince ; mesure de
l’indice de réfraction ; mesure de la température
d’ébullition.
8. Les espèces chimiques manipulées étant toxiques
et, pour deux d’entre elles, inflammables, il convient
de travailler sous la hotte ou dans un laboratoire très
aéré et en l’absence de toute flamme.
32.
1. Acide salicylique : HO
—
C6H4
—
CO2H
et méthanol : CH3OH
2. a. n(acide) = 0,10 mol ; d’où V(alcool) = 41 mL.
b. Le méthanol est un alcool toxique ; d’où la néces-
sité de la hotte.
3. a. Test au papier-pH.
b. Ions HCO3
–, ions Na+, ions Cl–, ions SO4
2–, ions
salicylate et méthanol.
H3O+ + CO3
2– = HCO3
– + H2O
HO
—
C6H4
—
CO2H + CO3
2–
= HCO3
– + HO
—
C6H4
—
CO2
–
4. a. Boucher l’ampoule, la retourner et ouvrir le
robinet pour laisser le gaz s’échapper ; l’agiter jusqu’à
cessation du dégagement gazeux. Refermer le robinet
et replacer l’ampoule sur son support avant de la
déboucher à nouveau et de laisser décanter.
b. Phase organique supérieure : cyclohexane , salicy-
late de méthyle et des traces de méthanol.
Phase aqueuse : voir sa composition au 3. b.
5. a. et b. Voir le T.P., page 281, pour ces trois étapes
de la synthèse :
– pour le séchage, ajouter du sulfate de magnésium
anhydre jusqu’à ce qu’il ne s’agglomère plus ;
– pour la filtration, filtrer de préférence sur laine de
verre afin de pouvoir essorer en fin de filtration ;
– pour la distillation, voir le document D de la fiche
technique n° 4, page 351.
c. Un peu de distillat commence à passer vers 65 ˚C
(méthanol), puis une quantité plus importante passe
vers 80 ˚C (cyclohexane). Dans le ballon, il reste le
salicylate de méthyle.
d. n(alcool) = 1,0 mol ; n(acide) = 0,10 mol ;
n(ester) = 0,057 mol ; d’où ρ = 57 %.
33.
1. C6H5
—
CH2
—
CO2
—
C2H5
2. L’éthérisation désignait l’estérification.
Elle met en jeu ici l’acide phénylacétique
C6H5
—
CH2
—
CO2H et l’alcool éthylique ou
éthanol C2H5OH.
3. a. L’éthanol absolu est de l’éthanol pur sans
aucune trace d’eau.
b. Son emploi est préférable lors d’une estérification
pour éviter toute réaction d’hydrolyse de l’ester
formé.
4. C6H5
—
CH2
—
CN + C2H5
—
OH + H2O
= C6H5
—
CH2
—
CO2
—
C2H5 + NH3
5. a. C’est le chlorure d’hydrogène ou acide chlor-
hydrique.
b. En solution aqueuse, il est sous forme d’ions
oxonium H3O+ et chlorure Cl–.
c. Dans les deux synthèses, il joue le rôle de cataly-
seur.
34.
1.
CH3
—
CO2
—
CH2
—
CH2
—
CH(CH3)2 ;
A : acide éthanoïque CH3
—
CO2H et
3-méthylbutan-1-ol (CH3)2CH
—
CH2
—
CH2
—
OH.
2. n(alcool) = 0,40 mol ; d’où V2 = 23 mL.
3. Un réfrigérant à boules assure une plus grande
surface de contact entre les vapeurs et l’eau de réfri-
gération qu’un réfrigérant droit.
冋
冋
ρnE()
nA()
---------- 60 %