Prix - Baromètre de l`immobilier - Juin 2016

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Le baromètre de l’immobilier par les Notaires de l’Ouest
www.notaires-ouest.com
Juin
2 016
Bretagne
>>
PRIX
é di t o
Marché immobilier breton : « ÇA VA MIEUX ! »
La reprise amorcée en 2015 sur le marché de l'immobilier s'est
confirmée au premier trimestre 2016. L'année pourrait être
marquée par la fin de la baisse des prix sur la région.
Les acquéreurs n’anticipent plus
de baisses de prix dans l’ancien, le
nombre de transactions progresse :
+22 % pour les appartements et
+19% pour les maisons. Du côté
du neuf, les investisseurs sont de retour : +29% pour les appartements.
La construction repart également,
les ventes de terrains ont progressé
de 10%.
« Tous les voyants
sont au vert ! »
En 4 ans, le prix des maisons anciennes a baissé de 5 % sur la région
et les taux de crédit immobilier de 2
points. La conjonction de ces deux
éléments dope le pouvoir d’achat
des ménages qui n’hésitent plus à
acquérir leur logement.
Aujourd’hui, nous assistons à une
évolution des critères d’achat. Pour
la résidence principale, la situation
prévaut sur le bien : les acquéreurs
veulent se rapprocher du cœur
des villes ou des bourgs pour avoir
toutes les commodités et réduire
les frais de déplacement. La tendance est à acquérir un «immobilier
utile», c’est-à-dire qui correspond
exactement aux besoins.
Pour la résidence secondaire, même
constat, la proximité des services
est essentielle, d’autant que de
nombreux acquéreurs envisagent
à terme d’en faire leur résidence
principale.
Concernant le neuf, la loi PINEL a
redynamisé le marché, les investisseurs apprécient les métropoles régionales de Rennes ou de Nantes,
régulièrement classées en tête des
villes où « il fait bon vivre » et où la
demande locative est soutenue.
Pour les mois à venir, la tendance
devrait se poursuivre, « tous les
voyants sont au vert ». Pour le neuf,
face à la volatilité des marchés financiers, ainsi qu’à la faible rémunération des supports d’épargne, les investisseurs s’intéressent de nouveau
à l’immobilier dont le rendement et
la stabilité rassurent. Aujourd’hui, les
prix comme les taux de crédit sont
bas. L’activité économique semble
repartir. Selon l’INSEE, la confiance
des ménages s’améliore : l’indicateur
qui la synthétise a gagné 4 points, en
mai 2016, et atteint 98, son niveau le
plus haut depuis octobre 2007. Enfin, dans son étude biannuelle sur les
marchés de l’immobilier en Europe
de mars 2016, l’agence de notation
Standard & Poor’s table sur une stabilité du prix de la pierre en France
en 2016 et une remontée des prix
(+3%) pour 2017.
Maître Loïc LECUYER, Président
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Région
Prix de vente par département et évolutions sur 1 an
Tendances régionales par type de bien
Appartements
neufs
Appartements
anciens
Maisons
Terrains à
bâtir
+3,6%
-3,6%
+1,6%
+2,1%
Le Conseil régional des notaires communique des prix médians. Le prix médian sépare les biens en 2 catégories : 50% des biens se sont vendus à un prix
inférieur et 50% se sont vendus à un prix supérieur. Pourcentages d’ évolution calculés par rapport à 2015.
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Répartition des ventes selon le type de biens sur la région
Volume des ventes en Bretagne
Evolution 2015/2016 :
Appartements anciens
Appartements neufs
Maisons anciennes
Terrains à bâtir
+22%
+29%
+19%
+10%
60000 50000 40000 30000 20000 10000 0 2006 2007 2008 Appartements anciens 2009 2010 2011 Appartements neufs 2012 2013 Maisons anciennes 2014 2015 Terrains à bâ?r 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Côtes d’Armor
Prix de vente par secteur et évolutions sur 1 an
Côtes d’Armor
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Evolution du prix
Evolution
Evolution
1 an
5 ans
10 ans
Appartements anciens
-7,6%
-9,7%
-8,6%
Appartements neufs
-19,9%
-10,9%
+19,5%
1 an
5 ans
10 ans
Maisons anciennes
+0,6%
-9,1%
-4,1%
Terrains à bâtir
-0,2%
-7,7%
+38,9%
2009 2011 4 000 € 160 000 € 3 500 € 140 000 € 3 000 € 120 000 € 2 500 € 100 000 € 2 000 € 80 000 € 1 500 € 60 000 € 1 000 € 40 000 € 500 € -­‐ € 20 000 € 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Appartements neufs
2012 2013 2014 2015 -­‐ € 2016 2006 2007 Appartements anciens
2008 2010 Maisons anciennes
Part des acquisitions selon l’âge
100% 16,4% 90% 2013 2014 2015 2016 Terrains à bâtir
8,3% 9,8% 13,1% 17,3% 2012 80% 70% Terrains à bâ=r 60% 71,8% 50% 71,8% 79,7% 75,6% 73,8% Maisons anciennes Appartements neufs 40% Appartements anciens 30% 20% 2,0% 0,1% 0,4% 8,6% 0,5% 11,8% 0,6% 10,8% 9,9% 29 ans et moins 30 à 39 ans 40 à 49 ans 50 à 59 ans 10% 0% 17,9% 60 ans et plus 8000 Volumes des ventes
7000 6000 5000 Appartements anciens Appartements neufs 4000 Maisons anciennes 3000 Terrains à bâ?r 2000 1000 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
Côtes d’Armor
Analyse par département
La reprise de l’activité s’est
confirmée, en volume, sur
le marché immobilier
ancien : +27% pour les
appartements et +22%
pour les maisons.
En revanche, les ventes de
terrains et d’ appartements
neufs accusent un nouveau
repli.
L’ attractivité du littoral costarmoricain ne se dément pas
La maison demeure le cœur du marché
immobilier dans les Côtes d’Armor. Elle a
représenté 75% des ventes immobilières sur
l’année écoulée. L’offre y est abondante et chacun
peut trouver celle qui correspond à ses besoins
ou aspirations en termes de situation comme
de prix. Les prix s’échelonnent de 55 000 € à
Rostrenen à 299 000 € à Lancieux !
Les ventes d’appartements, quant à elles, se
concentrent sur le littoral et dans les villes.
Saint-Brieuc et son agglomération
A Saint-Brieuc, si les ventes sont reparties, les
prix restent orientés à la baisse en appartement
(-7,4%) comme en maison (-5%). La ville
enregistre à nouveau les prix les plus faibles des
villes bretonnes. Pour une maison ancienne, par
exemple, le prix médian est de 115.000 € contre
145 000 € à Quimper, 240 000 € à Vannes ou
encore 305 000 € à Rennes. Point positif, les
prix étant accessibles, les jeunes peuvent devenir
propriétaires.
« Les maisons représentent
75% des ventes immobilières. »
L’agglomération
briochine, quant à elle,
affiche des prix plus
élevés (prix médian :
149 600 €).
Naturellement, ce sont
les communes situées
à proximité du
littoral qui sont les plus
prisées : 180 000 € à
Langueux comme à
Pordic.
Le littoral
18,9%
des acquéreurs
sur le
littoral de
Plestin-lesGrèves à Binic
sont
franciliens
L’attractivité du littoral costarmoricain ne se
dément pas. La résidence secondaire continue de
dynamiser le marché et représente entre 50% et
60% des ventes. Côté prix, l’heure est à la
stabilisation, en appartement comme en maison
dans la majorité des stations.
Sur la côte, grâce à la baisse des prix, les locaux
peuvent à nouveau accéder à la propriété.
Villes moyennes et secteurs ruraux
Dans les secteurs ruraux, la tendance des prix
reste orientée à la baisse sur les bassins de
Caulnes, Plouaret-Rostrenen ou encore Lamballe,
les ventes se concluant après négociations.
En revanche, dans les villes moyennes, la pression
de la demande favorise la reprise des prix :
Dinan +7,1% soit 180 500 € ou Lannion +5,7%
soit 140 000 €.
Le neuf : absence d’offres
Appartements neufs
Dans les Côtes d’Armor, les notaires ne
constatent pas, comme à Rennes ou à Nantes
« d’effet PINEL ». Les promoteurs continuent
d’être frileux, l’offre est réduite, les programmes
se concentrent sur de petits collectifs autour des
villes ou sur le littoral.
Les ventes se portent sur de petites surfaces,
70 % des appartements sont des 2 ou 3 pièces.
Le prix du m2 reste sage : 2 730 €.
Toutefois, Plérin a profité de l’ouverture, en
janvier dernier, du nouvel hôpital privé des Côtes
d’Armor, et affiche un prix médian de
3 230 €/m2.
Terrains à bâtir
Dans les Côtes d’Armor, les terrains à bâtir ont
représenté 12% des ventes immobilières sur la
période étudiée, c’est-à-dire le même volume
que les appartements anciens.
Le marché des terrains est animé à 50% par des
acquéreurs de moins de 40 ans.
Saint-Brieuc -
Les ventes de terrains ne profitent pas de la
reprise : les volumes sont à nouveau en légère
baisse (-2,9%). Les acquéreurs jugent souvent les
normes de construction trop coûteuses.
En 2016, le prix médian des terrains reste stable :
64€/m2, soit +0,9%. Toutefois, il masque des
disparités importantes selon les secteurs. Ainsi,
dans le bassin de Caulnes, le m2 se négocie à 20€
contre 90 € dans l’agglomération briochine.
Enfin, les terrains sont toujours plus petits, les
surfaces médianes s’échelonnent de 450 m2 dans
l’agglomération briochine à 880 m2 dans le bassin
de Guingamp.
Prix de vente par quartier
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Finistère
Prix de vente par secteur et évolutions sur 1 an
Finistère
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Evolution du prix
Evolution
Evolution
1 an
5 ans
10 ans
Appartements anciens
-2,4%
-8,9%
+0,3%
Appartements neufs
+2,7%
-1,8%
+24,0%
3 500 € 1 an
5 ans
10 ans
Maisons anciennes
+1,5%
-4,8%
+2,8%
Terrains à bâtir
-1,7%
-1,0%
+26,1%
180 000 € 160 000 € 3 000 € 140 000 € 2 500 € 120 000 € 2 000 € 100 000 € 80 000 € 1 500 € 60 000 € 1 000 € 40 000 € 500 € -­‐ € 20 000 € 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Appartements neufs
2012 2013 2014 2015 2016 -­‐ € Appartements anciens
10,04% 11,40% 90% 2007 2008 2009 2010 2011 Maisons anciennes
100% Part des acquisitions selon l’âge
2006 10,17% 9,59% 8,14% 67,61% 65,28% 66,84% 2012 2013 2014 2015 Terrains à bâtir
80% 70% 55,07% 60% 72,26% 50% Maisons anciennes Appartements neufs 40% 0,54% 30% 20% Appartements anciens 3,45% 2,80% 19,75% 21,68% 22,22% 40 à 49 ans 50 à 59 ans 60 ans et plus 2,47% 34,35% 0,54% 10% 0% Terrains à bâ=r 15,81% 29 ans et moins 30 à 39 ans 12000 Volumes des ventes
2016 10000 8000 Appartements anciens Appartements neufs 6000 Maisons anciennes Terrains à bâ?r 4000 2000 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
Finistère
Analyse par département
Le volume des ventes est en
hausse quel que soit le type
de bien, y compris le neuf
jusque-là à l’arrêt : +16%
pour les appartements
anciens, +76 % pour les
neufs, +14 % pour les
maisons anciennes et +13%
pour les terrains.
Marché de l’ancien : le Finistérien privilégie la maison
Les prix le permettant, tous les Finistériens
aspirent à devenir propriétaires de leur maison.
Ce type de bien représente 65 % des ventes du
département. Il se vend plus de maisons dans le
Finistère qu’en Ille-et-Vilaine ! L’offre est
abondante et variée en termes de prix, de
situation comme de prestations.
Les ventes d’appartements, quant à elles,
représentent 23% des ventes immobilières du
département.
Les villes et leurs agglomérations
54% des ventes d’appartements se concentrent à
Brest. Malgré la reprise de l’activité, les prix sont
toujours en baisse, ils s’échelonnent de
960 €/m2 (-5,9%) dans le quartier de Bellevue
à 1 450 € (-3,6%) dans le Centre-Reconstruit.
Les acquéreurs restent jeunes : 34% ont moins
de 30 ans. Ces derniers disposent d’un budget
médian de 80 000 €, qui leur permet d’acquérir
un 3 pièces dans le Centre ou un 4 pièces dans le
quartier de la Cavale Blanche.
Pour les maisons, l’offre est moindre. Les prix
« Il se vend plus de maisons dans
le Finistère qu’en Ille-et-Vilaine. »
s’apprécient
légèrement (+2,3%),
mais restent inférieurs
à ceux de
l’agglomération :
157 000 € à Brest
contre 173 000 € en
couronne.
Plougastel-Daoulas,
qui bénéficie d’une
situation privilégiée,
reste la commune la
plus prisée à
192 500 €.
A Quimper, même
constat les prix des appartements baissent et
ceux des maisons s’apprécient. En revanche, les
acquéreurs sont plus âgés : 44 ans en moyenne à
Quimper pour un appartement contre 40 ans à
Brest.
En revanche, à Morlaix, le prix médian des
appartements repart à la hausse +14%, mais le
prix reste bas : 900 €/m2 et celui des maisons
recule (-5,9%).
16,2%
des acquéreurs sur le littoral
Penmarch à
Clohars-Carnoët
sont
franciliens
Le littoral
Les ventes sur la côte sont reparties. Grâce à la
baisse des prix, les locaux peuvent à nouveau
acheter leur maison. Dans le même temps, la
résidence secondaire séduit toujours, d’autant
que dans le Finistère, les prix restent plus
accessibles que dans les départements voisins.
Les Franciliens sont très présents, ils interviennent
dans 15% des transactions.
Côté prix, le marché n’a toujours pas trouvé son
équilibre, notamment, en maison. Ainsi, certaines
stations balnéaires enregistrent à nouveau des
baisses, c’est le cas de Bénodet ( -17% soit
215 000 €) tandis que d’autres constatent des
hausses significatives, comme Fouesnant (+9%
soit 225 000 €).
Villes moyennes et secteurs ruraux
Dans les secteurs ruraux ou les villes moyennes,
le constat est le même que sur le littoral. Il est
difficile de dégager une tendance. L’équilibre du
marché n’est toujours pas atteint.
Le neuf et la construction, reprise des ventes dans le neuf
Appartements neufs
Le marché du neuf reste marginal dans le
département. Les programmes se concentrent
à Brest. Depuis le printemps 2015, les notaires
constatent une timide reprise des ventes. Le
+76% en volume traduit l’arrêt total de l’activité
sur la période précédente. Il convient de préciser
que le Finistère ne représente que 4,5% des
transactions d’appartements neufs sur la Bretagne
historique (la Loire-Atlantique concentrant 59%
des ventes).
Côté prix, ils restent stables et raisonnables :
2 900 €/m2 sur le département, 2 930 €/m2 à
Brest.
Terrains à bâtir
Sur la période étudiée, les terrains à bâtir ont
représenté 10% des ventes immobilières du
département.
La construction permet une meilleure maîtrise
du budget que la rénovation. Par conséquent, le
terrain reste le type de bien privilégié des jeunes
ménages : un acquéreur sur cinq a moins de 30
ans. Il investit en moyenne 39 000 €.
Sur le département, l’agglomération brestoise
demeure le secteur le plus prisé, le prix médian
est de 61.300 € pour une surface de 520 m2.
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Brest et Quimper
Prix de vente par quartier
BREST
QUIMPER
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Ille-et-Vilaine
Prix de vente par secteur et évolutions sur 1 an
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Ille-et-Vilaine
Analyse par département
Le volume des ventes est
reparti quel que soit le type
de bien : +21,8% pour les
appartements anciens, +47%
pour les neufs, +29,9% pour
les maisons et +15,5% pour
les terrains à bâtir. En
revanche, pour les prix le
marché demeure très
hétérogène.
Ancien : le prix des maisons s’apprécie légèrement
En Ille-et-Vilaine, 29% des ventes ont porté sur
des appartements anciens et 48 % sur des
maisons. Les prix des maisons s’apprécient
légèrement (+1,4%) tandis que celui des
appartements s’érodent à nouveau (-1,5%).
Rennes et ses couronnes
75% des ventes d’appartements se concentrent
sur l’agglomération rennaise. L’activité est
soutenue, le volume des ventes est en hausse
mais les prix accusent à nouveau un léger repli, à
Rennes comme dans les couronnes.
A Rennes, les prix s’échelonnent de 1 480 €/m2
dans le quartier du Blosne à 2 670 €/m2 dans le
centre-ville. Le marché est animé,
essentiellement, par des investisseurs qui privilégient les petits logements. Ainsi, dans le centre,
près de 50% des ventes portent sur des studios
ou des 2 pièces.
Concernant les maisons, les prix s’érodent à
nouveau à Rennes, aucun quartier n’échappe au
repli, ni le très prisé quartier du Thabor, ni celui
de la Gare qui enregistrait jusqu’à présent de
« Les investisseurs privilégient
les petits appartements. »
régulières hausses.
En revanche, dans
l’agglomération les
prix s’apprécient
légèrement.
Saint-Grégoire
demeure la commune
la plus prisée avec un
prix médian de
341 500 €.
Le littoral
15,1%
des
acquéreurs sur le littoral
du département
sont
franciliens
Sur la côte, si les
ventes sont
reparties, les prix sont toujours en baisse. La
résidence secondaire demeure le cœur du
marché sur le littoral : elle représente près de 70
% des ventes d’appartements. L’arrivée de la LGV
à Rennes, qui mettra Saint-Malo à 2 heures de
Paris, devrait doper les ventes auprès des
Franciliens, qui interviennent d’ores-et-déjà dans
une transaction sur cinq.
Sur le littoral l’âge moyen des acquéreurs
demeure supérieur à la moyenne : 53 ans pour
un appartement contre 44 ans au niveau
départemental et 50 ans pour une maison contre
42 ans.
Villes moyennes et secteurs ruraux
Dans les villes moyennes, comme dans les communes rurales, les notaires constatent une réelle
reprise de l’activité, les prix comme les volumes
sont en hausse : Vitré +15,4% soit 195 000 €,
Plélan-le-Grand +15,4% soit 150 000 €,
Dol-de-Bretagne +6,9% soit 155 100 €. Seul le
bassin de Fougères accuse un léger repli : -2,6%.
Le neuf et la construction, les investisseurs sont de retour
Les appartements neufs
L’Ille-et-Vilaine concentre 31% des ventes
d’appartements neufs de la Bretagne historique.
Les investisseurs sont de retour dans la capitale
bretonne. Le volume des ventes a enregistré une
hausse de +48%. Ils profitent de la loi PINEL et
des projets ambitieux qui accompagnent l’arrivée
prochaine de la LGV. Les ventes se concentrent
sur les petites surfaces : 45 m2 en moyenne à
Rennes.
Les prix s’apprécient sur l’ensemble de
l’agglomération rennaise. A Rennes, ils
s’échelonnent de 3 630 €/m2 dans le quartier
Vern-poterie à 4 610 €/m2 dans le quartier du
Thabor. Dans l’agglomération, il faut aller en
seconde couronne pour trouver des
appartements à moins de 3 000 €/m2.
Sur le littoral, les programmes sont rares.
A Saint-Malo, les prix au m2 sont à la baisse. En
revanche, Dinard, qui est la station balnéaire
bretonne la plus prisée, enregistre +6,1% soit
4 650 €/m2.
Les terrains à bâtir
Les ventes de terrains à bâtir se concentrent sur
la seconde couronne rennaise (33% des ventes
Rennes -
Prix de vente par quartier
du département) et le bassin de
Montauban-de-Bretagne (25% des ventes). Les
acquéreurs sont essentiellement des
primo-accédants, 60% ont moins de 40 ans.
Les terrains sont toujours plus petits, par
exemple : 390 m2 sur l’ensemble de
l’agglomération rennaise (en première comme en
seconde couronne).
Le prix du m2 est en baisse, -3,8% soit 111 €.
Cette médiane masque des disparités
importantes entre les communes, ainsi sur le
littoral des terrains de 1 000 m2 se sont vendus à
plus de 330 000 €.
Ille-et-Vilaine
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Evolution du prix
Evolution
Evolution
1 an
5 ans
10 ans
Appartements anciens
-1,5%
+2,8%
+3,7%
Appartements neufs
+6,5%
+26,5%
+60,9%
4 000 € 1 an
5 ans
10 ans
Maisons anciennes
+1,4%
-1,1%
+1,7%
Terrains à bâtir
-5,3%
-8,9%
+3,2%
250 000 € 3 500 € 200 000 € 3 000 € 2 500 € 150 000 € 2 000 € 100 000 € 1 500 € 1 000 € 50 000 € 500 € -­‐ € 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 Appartements neufs
2013 2014 2015 -­‐ € 2016 Appartements anciens
Maisons anciennes
Part des acquisitions selon l’âge
100% 90% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 12,9% 16,5% 17,2% 8,6% 6,9% 40,7% 42,0% Terrains à bâtir
80% 70% 60% Maisons anciennes 50,5% 46,8% 57,9% 50% Appartements neufs 20% 3,2% Appartements anciens 12,7% 4,9% 32,8% 10% 0% 14,1% 19,7% 40% 30% Terrains à bâ=r 29 ans et moins 37,0% 31,0% 20,8% 23,8% 30 à 39 ans 40 à 49 ans 50 à 59 ans 60 ans et plus 10000 Volumes des ventes
9000 8000 7000 6000 Appartements anciens 5000 Appartements neufs 4000 Maisons anciennes 3000 Terrains à bâ?r 2000 1000 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
Loire-Atlantique
Prix de vente par secteur et évolutions sur 1 an
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Loire-Atlantique
Analyse par département
L’ensemble du marché a
profité de la reprise quel que
soit le secteur ou le type de
bien. Les volumes de ventes
sont en hausse : +21% pour
les appartements anciens,
+34% pour les appartements
neufs, +18% pour les
maisons et +10 % pour les
terrains.
Marché de l’ancien : des volumes en hausse mais des prix sages
Le marché de l’ancien demeure le cœur de
l’activité immobilière dans le département : 28%
des ventes ont porté sur des appartements
anciens et 47% sur des maisons.
Nantes et ses couronnes
L’agglomération nantaise représente 80% des
ventes d’appartements anciens. Si les ventes sont
reparties, la tendance des prix reste orientée à la
baisse. A Nantes, les prix s’échelonnent de
2 100 €/m2 dans le quartier de Doulon-Bottière
à 2 800 €/m2 dans le centre-ville.
Les acquéreurs s’orientent vers de petites
surfaces : 59 m2 en moyenne. Sur l’agglomération,
les prix sont plus bas et les ventes portent sur
des logements plus grands : 65 m2 en moyenne.
Concernant les maisons, les prix se stabilisent. A
Nantes, le quartier Hauts-Pavés-Saint-Félix
demeure le plus prisé avec un prix médian de
422 500 €. Nantes et la première couronne
attirent essentiellement des cadres supérieurs. Les
primo-accédants, quant à eux, privilégient la
seconde couronne où les prix sont plus
accessibles.
« L’agglomération de Nantes
concentre 80% des ventes
d’appartements. »
Le littoral
19,0%
La résidence
secondaire continue
de dynamiser le
marché. Les
acquéreurs sont
souvent des Nantais
ou des
Angevins qui
souhaitent avoir un
pied-à-terre au bord
de l’eau, à proximité
de leur résidence
principale. Les
Franciliens sont
également présents et interviennent dans une
transaction sur cinq sur la côte d’Amour. La Baule
demeure la station la plus prisée, comptez
330 000 € pour un appartement de 80 m2 ou
500 000 € pour une maison de 150 m2.
des
acquéreurs sur le littoral
Nord Loire
sont
franciliens
Villes moyennes et secteurs ruraux
Dans les villes moyennes, la pression de la
demande favorise la reprise des prix : Blain +6,7%
soit160 000 €, Châteaubriant +3,4% soit
120 000 €, Clisson +3,1% soit 175 300 € ou
Saint-Nazaire +2,2% soit 171 800 €.
Dans les communes rurales, les ventes se
concluent après négociations, la tendance
des prix reste souvent orientée à la baisse.
Le neuf et la construction, la reprise se confirme
Les appartements neufs
Le marché de la promotion immobilière, depuis
la mise en place du dispositif PINEL, est très
dynamique sur le département. Les ventes ont
progressé de +33,5% en un an et le
département a enregistré 59% des ventes de
neuf sur la Bretagne historique. Les investisseurs
privilégient Nantes ou sa première couronne et
disposent d’un budget médian qui se situe entre
170 000 € et 200 000 €. Les ventes portent
essentiellement sur de petites surfaces (2 ou 3
pièces).
Côté prix, la tendance est à la hausse : +5,9% à
Nantes soit 4 080 €/m2 et +1,9% en première
couronne soit 3 430 €/m2. A noter toutefois, qu’à
Nantes,dans le quartier des Hauts-Pavés SaintFélix, les appartements de plus de 5 pièces, qui
sont destinés à de la résidence principale, se
négocient à plus de 5 000 €/m2.
Sur le littoral, depuis quelques années, les
promoteurs sont plus frileux. L’offre est faible et
les prix se maintiennent autour de 4 000 €/m2.
Les terrains à bâtir
Contrairement aux appartements neufs, les
ventes de terrains à bâtir se concentrent sur la
seconde couronne nantaise (34% des ventes du
département) et dans les secteurs plus ruraux.
Les terrains sont toujours plus petits, le prix du
m2 progresse à nouveau de +4,3% soit127 €/m2.
Nantes reste la commune la plus prisée
(140 000 € pour un terrain de 300 m2). En
revanche, dans le nord du département, sur les
bassins de Châteaubriant ou de Guéméné il est
possible de trouver des terrains de 1 000 m2 à
moins de 30 000 €.
Loire-Atlantique
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Evolution du prix
Evolution
Evolution
1 an
5 ans
10 ans
Appartements anciens
-2,7%
+0,2%
+13,3%
Maisons anciennes
Appartements neufs
+2,6%
+5,8%
+32,6%
Terrains à bâtir
1 an
5 ans
10 ans
+2,6%
+2,6%
+11,4
0%
-1,5%
+12,9%
250 000 € 4 000 € 3 500 € 200 000 € 3 000 € 2 500 € 150 000 € 2 000 € 100 000 € 1 500 € 1 000 € 50 000 € 500 € -­‐ € 2006 2007 2008 2009 2010 Appartements neufs
2011 2012 2013 2014 2015 -­‐ € 2016 Appartements anciens
Maisons anciennes
Part des acquisitions selon l’âge
100% 9,0% 11,4% 15,1% 90% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Terrains à bâtir
5,9% 5,0% 40,1% 41,1% 80% 70% Terrains à bâ=r 51,2% 46,6% 60% 60,0% Maisons anciennes 50% 14,7% 26,6% 40% Appartements neufs Appartements anciens 4,6% 19,1% 30% 7,4% 20% 39,2% 33,7% 10% 0% 29 ans et moins 21,3% 20,7% 30 à 39 ans 40 à 49 ans 27,3% 50 à 59 ans 60 ans et plus Volumes des ventes
14000 12000 10000 Appartements anciens 8000 Appartements neufs 6000 Maisons anciennes Terrains à bâ?r 4000 2000 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
Nantes et Saint-Nazaire
Prix de vente par quartier
NANTES
SAINT-NAZAIRE
PRIX - Baromètre de l’immobilier
La résidence secondaire : un bon choix patrimonial
On parlait de «maisons de villégiature» au
18ème siècle, de «maisons de campagne»
début 20ème. Les temps modernes sont
moins poétiques, le terme de « résidence
secondaire » est aujourd’hui le plus utilisé
pour ces logements de loisirs.
Quelle est la réalité de ce marché ?
Depuis les années 1950, la quantité de résidences secondaires en France n’a cessé de croître.
Aujourd’hui, c’est un peu plus de 3 millions d’habitations, qui représentent plus ou moins 10 % du
parc résidentiel national. La France pourrait bien détenir à ce titre un record mondial.
Un point ne trompe pas, les sites Internet consacrés au sujet se multiplient. Et c’est un phénomène
qui ne connaît pas de frontières sociales, tous les âges et tous les milieux y sont représentés.
Un marché en souffrance
Bien sûr, le marché des résidences secondaires,
comme l’ensemble du secteur immobilier a
souffert ces dernières années. La crise, le tour
de vis fiscal, y compris sur les impôts locaux, ont
poussé certains à revendre leur maison de
vacances.
Bretagne, certaines maisons en bon état partent
pour quelques dizaines de milliers
d’euros. Le petit coin de paradis, ouvert aux
week-end ensoleillés et période de vacances, est
à la portée de presque toutes les bourses. Le
tout pour un prix inférieur à une chambre de
bonne en région parisienne !
Se constituer un patrimoine
Des britanniques moins présents
Le parc de résidences secondaires évolue : l’image
d’Epinal de la recherche d’une maison au centre
d’une station balnéaire à la mode n’est plus
l’unique réalité. Dans le même temps, nos amis
britanniques ont longtemps pesé sur le marché
des résidences secondaires en Bretagne, générant
des opérations nombreuses et une hausse parfois
artificielle de certains marchés locaux. La
configuration n’est plus la même et certains
d’entre eux ont même remis en vente ces
maisons parfois acquises à prix d’or.
A la portée de toutes les bourses
Avec la baisse des prix, le marché est favorable
aux acquéreurs. A la campagne, dans le centre
Les taux d’emprunt sont particulièrement
favorables, certains l’ont bien compris.
Lorsque l’on habite une ville où les prix de
l’immobilier demeurent soutenus, acquérir une
maison de vacances, c’est à la fois se constituer
un patrimoine, créer un lieu auquel la famille
puisse s’attacher et se ménager la possibilité d’un
logement pour sa retraite.
Ce dernier argument est d’ailleurs de plus en plus
présent à l’esprit des acquéreurs : rejoindre sa
résidence secondaire pour en faire sa résidence
principale au jour de sa retraite peut permettre
de compenser la perte de revenus liée à son
arrêt d’activité.
« Le marché est favorable aux
acquéreurs. »
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Morbihan
Prix de vente par secteur et évolutions sur un an
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Morbihan
Analyse par département
L’ensemble du département
a bénéficié de la reprise de
l’activité, y compris le
marché de la résidence
secondaire. Dans l’ancien,
les volumes de ventes ont
progressé : +31% pour les
appartements et +15 % pour
les maisons. En revanche,
le marché du neuf reste à la
peine.
Ancien : un marché très hétérogène
La maison demeure le cœur du marché
immobilier dans le Morbihan. Elle a représenté
63 % des ventes immobilières sur l’année
écoulée. Le marché demeure très hétérogène :
les prix médians s’échelonnent de 52 000 € à
Guéméné-sur-Scorff à 455 000 € à
La Trinité-sur-Mer.
Comme dans les Côtes d’Armor, les ventes d’appartements, se concentrent sur le littoral et dans
les villes.
Les villes et leurs agglomérations
A Vannes comme à Lorient, les ventes sont
reparties, mais les prix baissent quel que soit le
type de bien.
Pour les maisons, Vannes reste plus onéreuse :
240 000 € contre 171 000 € à Lorient et les
acquéreurs y sont plus âgés, 47 ans contre 42 ans.
Dans l’agglomération vannetaise, Baden, qui
bénéficie d’une situation privilégiée, reste la
commune la plus prisée à 317 000 €. Sur
l’agglomération de Lorient, les prix sont plus
accessibles. Il est possible d’acquérir une
petite maison de 80 m2 avec travaux à moins de
120.000 €.
En appartement, le constat est le même : Vannes
« La Trinité-sur-Mer demeure la
station bretonne la plus chère. »
reste plus chère, par
conséquent, les
acquéreurs chosissent
des logements plus
petits : 50 m2 à Vannes
contre 66 m2 à
Lorient.
Le littoral
17,0%
des
acquéreurs sur le littoral du
département
sont
franciliens
La résidence
secondaire dans le
Golfe du Morbihan
séduit à nouveau les
Franciliens comme les
Rennais ou les
Nantais. Ce marché représente entre 50% et 60%
des ventes selon le type de bien. Côté prix, de
nombreuses stations très prisées enregistrent à
nouveau de fortes décotes, notamment en maison : -14,8% à Carnac soit 270 000 € ou -14,2% à
Arzon soit 274 600 €.
Villes moyennes et secteurs ruraux
Dans les secteurs ruraux, les ventes se concluant
après négociations, la tendance des prix reste
orientée à la baisse sur les bassins de Gourin,
Ploërmel ou Questembert.Toutefois, les prix se
maintiennent dans les villes moyennes : Ploërmel
+4,1%, Pontivy -0,1%, Auray 0%.
Le neuf et la construction, des marchés toujours à la peine
Les appartements neufs
Dans le Morbihan, les notaires ne constatent
pas, comme dans certains départements voisins,
« d’effet PINEL ». Les promoteurs continuent
d’être frileux, l’offre est réduite, les programmes
se concentrent sur de petits collectifs à Vannes,
Lorient ou sur le littoral.
Les acquéreurs, quant à eux, investissent dans de
petites surfaces : 87 % des appartements vendus
sont des 2 ou 3 pièces.
Dans le département, le prix médian du m2 est
raisonnable : 2 990 €.
Toutefois, sur le littoral, les prix peuvent s’envoler,
ainsi le prix médian à Larmor-Plage s’établit à
4 840 €/m2 et à 4 420 €/m2 à Quiberon.
Terrains à bâtir
Dans le Morbihan, les terrains à bâtir ont
représenté 14% des ventes immobilières sur
la période étudiée. Ils profitent de la reprise :
les volumes sont en hausse de 15% et les prix
s’apprécient de +3,2% soit 98 €/m2. Les surfaces
sont toujours plus petites, la médiane s’établit
à 550 m2. Le marché est animé à 50% par des
acquéreurs de moins de 40 ans. Les ventes se
concentrent autour des villes de Vannes (17%), d’
Auray (16%) ou sur le littoral (32%).
Le marché est hétérogène avec des stations
balnéaires qui enregistrent des prix supérieurs à
300 €/m2 comme à Arradon ou à Larmor-Plage
et des communes rurales qui ont des prix
médians autour de 25 €/m2.
Les notaires constatent, souvent, que de jeunes
acquéreurs préfèrent la rénovation à la
construction, la jugeant moins contraignante en
termes de normes et moins coûteuse.
Lorient et Vannes
Prix de vente par quartier
VANNES
LORIENT
Morbihan
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Evolution du prix
Evolution
Evolution
1 an
5 ans
10 ans
Appartements anciens
-5,9%
-10,4%
-5,9%
Appartements neufs
-1,8%
+6,7%
+18,7%
1 an
5 ans
10 ans
Maisons anciennes
-0,7%
+0,6%
+5,2
Terrains à bâtir
+3,1%
+4,0%
+30%
200 000 € 3 500 € 180 000 € 3 000 € 160 000 € 2 500 € 140 000 € 120 000 € 2 000 € 100 000 € 1 500 € 80 000 € 60 000 € 1 000 € 40 000 € 500 € 20 000 € 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Appartements neufs
2012 2013 2014 2015 -­‐ € 2016 Appartements anciens
Part des acquisitions selon l’âge
18,4% 90% 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 Maisons anciennes
100% 9,3% 10,4% 14,4% 19,0% Terrains à bâtir
80% 70% 60% 53,5% 50% 66,4% Terrains à bâ=r 59,9% 65,7% 66,6% Maisons anciennes Appartements neufs 40% Appartements anciens 30% 4,2% 1,7% 20% 26,3% 10% 0% 29 ans et moins 2,9% 1,7% 1,1% 13,6% 17,3% 21,0% 30 à 39 ans 40 à 49 ans 50 à 59 ans 26,6% 60 ans et plus 9000 8000 Volumes des ventes
-­‐ € 7000 6000 Appartements anciens 5000 Appartements neufs 4000 Maisons anciennes 3000 Terrains à bâ?r 2000 1000 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 PRIX - Baromètre de l’immobilier
Maisons anciennes
Classement des 20 communes* les plus chères de la région
Classement des 20 communes* les moins chères de la région
* Communes de la région dont les
références sont suffisantes pour calculer
une médiane
PRIX - Baromètre de l’immobilier
Appartement anciens
Classement des 20 communes* les plus chères de la région
Classement des 20 communes* les moins chères de la région
* Communes de la région dont les
références sont suffisantes pour calculer
une médiane
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