Moscou accuse l’OTAN de se focaliser sur une menace russe «qui n’existe pas» Moscou a dénoncé le 10 juillet 2016 la focalisation de l’Alliance atlantique sur une menace russe «qui n’existe pas», après le sommet de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord, largement consacré à renforcer son flanc oriental, à Varsovie. «Une analyse préliminaire des résultats de la rencontre montre que l’OTAN continue de voir le monde politicomilitaire à travers une sorte de miroir déformant», a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. «Contrairement à l’intérêt objectif de maintenir la paix et la stabilité en Europe […] l’Alliance concentre ses efforts sur la dissuasion d’une menace qui n’existe pas venant de l’est», poursuit la déclaration. L’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) a tenu à afficher son unité lors d’un sommet qui s’est tenu les 8 et 9 juillet à Varsovie consacré aux grands défis auxquels elle doit faire face : l’action de la Russie en Ukraine, en proie à une insurrection pro-russe dans sa partie orientale et le rattachement de la Crimée à la Russie. D’après l’Otan : «Les actions de la Russie portent atteinte à l’ordre en Europe» «Les actions de la Russie, en particulier en Ukraine […] portent atteinte à l’ordre fondé sur des règles en Europe», indique le document adopté par les 28 pays de l’OTAN. L’Alliance a décidé de déployer quatre bataillons dans les Etats baltes et en Pologne, un défi sans précédent envers Moscou depuis la fin de la guerre froide. «Nous ne voyons aucune menace immédiate vis-à-vis d’un allié de l’OTAN» venant de la Russie, a toutefois assuré le 10 juillet le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg. Le président russe Vladimir Poutine avait accusé fin juin l’OTAN de vouloir entraîner son pays dans une course aux armements «frénétique» et de rompre «l’équilibre militaire» en vigueur en Europe depuis la chute de l’URSS. #OTAN et #Russie : «Regardez comment leur pays est proche de nos bases militaires» https://t.co/B5SvWAOzqthttps://t.co/kr4rHUjjPe — RT France (@RTenfrancais) 9 juillet 2016 L’enfer n’existe pas et Adam et Eve ne sont pas réels, revendique le Pape François ! Un homme qui est là pour ouvrir de nombreux anciens «secrets» dans l’église catholique est le Pape François. Certaines des croyances qui ont cours au sein de l’église, mais contraires à la nature aimante de Dieu sont maintenant mises de côté par le Pape qui a été récemment nommé l’homme de l’année par TIME Magazine. Pape_Fran_ois.jpg © Inconnu Dans ses dernières révélations, le Pape François dit : « À travers l’humilité, la recherche de l’âme, et la contemplation de la prière, nous avons acquis une nouvelle compréhension de certains dogmes. L’Église ne croit plus en un véritable enfer où les gens souffrent. Cette doctrine est incompatible avec l’amour infini de Dieu. Dieu n’est pas un Juge mais un ami et un amant de l’humanité. Dieu ne cherche pas à condamner, mais seulement à embrasser. Comme la fable d’Adam et Eve, nous voyons l’enfer comme un dispositif littéraire. L’enfer est simplement une métaphore de l’âme isolée, qui, comme toutes les âmes, seront finalement unies dans l’amour avec Dieu. » Dans un discours choquant qui résonne à travers le monde, le Pape François a déclaré que : « Toutes les religions sont vraies, parce qu’elles sont vraies dans les cœurs de tous ceux qui croient en elles. Quel autre type de vérité y-a t-il ? Dans le passé, l’église a été dure envers celles qu’elle jugeait moralement répréhensibles ou pécheresses. Aujourd’hui, nous ne sommes plus juges. Comme un père aimant, nous ne condamnons pas nos enfants. Notre église est assez grande pour les hétérosexuels et les homosexuels, pour les pro-vie et pro-choix ! Pour les conservateurs et les libéraux, les communistes sont les bienvenus et même nous ont rejoints. Nous aimons tous et adorons le même Dieu. » Au cours des six derniers mois, les cardinaux, les évêques catholiques et les théologiens ont délibéré dans la Cité du Vatican, en discutant de l’avenir de l’Église et pour redéfinir des doctrines et des dogmes catholiques de longue date. Le Troisième Concile Vatican II, est le plus grand et le plus important depuis que le Concile Vatican II a été conclu en 1962. Le Pape François a convoqué le nouveau conseil à « enfin terminer le travail du Concile Vatican II ». Le Troisième Concile Vatican II s’est conclu, le Pape François annonçant que… Le catholicisme est maintenant une « religion moderne et raisonnable », qui a subi des changements évolutifs. Le temps est venu d’abandonner toute intolérance. Nous devons reconnaître que la vérité religieuse évolue et change. La vérité n’est pas absolue ou gravée dans la pierre. Même les athées reconnaissent le divin. Par des actes d’amour et de charité l’athée reconnaît Dieu ainsi, et rachète son âme, devenant un participant actif dans la rédemption de l’humanité. Une déclaration dans le discours du pape a envoyé les traditionalistes dans un accès de confusion et d’hystérie… « Dieu est en train de changer et d’évoluer en tant que nous- mêmes; Dieu vit en nous et dans nos cœurs. Lorsque nous diffusons l’amour et la bonté dans le monde, nous touchons notre propre divinité et Le reconnaissons. La Bible est un beau livre saint, mais comme toutes les grandes et anciennes œuvres, certains passages ne sont pas à jour. Certains appellent même à l’intolérance ou au jugement. Le temps est venu pour voir ces versets comme des interpolations plus tard, contrairement au message d’amour et de vérité, qui rayonne autrement par l’Écriture. Conformément à notre nouvelle compréhension, nous allons commencer à ordonner des femmes cardinaux, des évêques et des prêtres. À l’avenir, j’espère que nous aurons un jour un pape féminin. Que personne ne ferme aux femmes les portes qui sont ouvertes aux hommes ! » Quelques cardinaux de l’église catholique sont contre les dernières déclarations du Pape. Commentaire : […] Ce renversement complet des finalités de l’Église catholique est a marque de fabrique de tous les papes depuis Vatican II. Lors de son message de Noël en 2005, Benoît XVI a encouragé les hommes à s’engager « dans l’édification d’un nouvel ordre mondial ». […] Toujours selon le principe hégélien, l’Église catholique depuis Vatican II présente des éléments conformes à la Tradition et, parallèlement, propose des réformes allant dans le sens contraire au dépôt de la foi. C’est toute l’habileté du système de mélanger une affirmation et son contraire ce qui permet à chacun de voir « midi à sa porte » et aux dirigeants suprêmes d’imposer par le haut une agapè inversée. Cette méthode est appelée gestion des contraires. Extrait de La décomposition des nations européennes – De l’union euro-atlantique à l’État mondial, Pierre Hillard, p. XXIII et XXIV, 2010, deuxième édition augmentée Source via Sott.net