Une aventure collective Un projet d`entreprise La découverte d`un

■ Une aventure collective
■ Un projet d’entreprise
■ La découverte d’un média

Expérimenter tous les métiers de la presse, conce-
voir un site Internet, imaginer et réaliser un journal,
enquêter, interviewer, atteindre un chiffre d’affaires
publicitaire, rassembler une force de vente et en n
partir à la conquête des lecteurs : le « Dé L’Express
Grandes Ecoles », c’est une aventure protéiforme
qui, depuis plus d’un quart de siècle, unit le journal
fondé par Jean-Jacques Servan-Schreiber et Fran-
çoise Giroud aux générations montantes et aux en-
seignants qui les encadrent.
Les étudiants qui s’engagent dans ce projet sont
pleinement responsables de la création d’un numé-
ro complet du magazine et doivent explorer tous les
aspects de cette formidable entreprise. Bâtir un site
dédié, réussir la mobilisation des réseaux sociaux et
assurer l’animation de la communauté réunie sont
aussi des épreuves décisives pour emporter le dé , à
l’instar du développement éditorial et de la prospec-
tion commerciale.
Le « Dé », c’est choisir des sujets, des angles, en-
quêter, écrire, mais aussi se préoccuper des infogra-
phies, des photos et des titres, ainsi que de la fabri-
cation du journal ; sans oublier, donc, la publicité et
la diffusion, parce qu’un magazine qui ne séduit pas
les annonceurs et les lecteurs est comme un théâtre
vide. Elaborer un journal, c’est un travail d’équipe,
un enthousiasme commun, une volonté partagée.
C’est aussi savoir se serrer les coudes dans les mo-
ments dif ciles et savoir faire la fête quand la mis-
sion est accomplie !
Telle est la philosophie de l’association entre L’Ex-
press et les Grandes Ecoles, un engagement partagé
par notre partenaire historique, M 6. Journalistes,
commerciaux, managers : tous les collaborateurs
de L’Express attachent une importance particulière
à cette entreprise et parrainent les étudiants qui y
participent. Ainsi, concrètement, se met en place une
formation utile et ambitieuse, la mise en commun de
notre expérience et de l’audace de la jeunesse. Les
suppléments réalisés deviennent de vrais numéros
spéciaux de L’Express, des éléments à part entière de
notre journal, qui engage à cette occasion son image
et son crédit, parce que nous avons toute con ance
dans les étudiants des Grandes Ecoles, cette perma-
nente « nouvelle vague » célébrée par Françoise Gi-
roud et Jean-Jacques Servan-Schreiber. ●
Le mot
de Christophe Barbier/
Directeur de la rédaction de L’Express
■ 28e édition
■ La participation, depuis son lancement, de plus de 4 000 étudiants en Instituts d’études
politiques, écoles de journalisme et communication, écoles de commerce.
■ Des parutions sur 28 villes sur l’ensemble de la France.
■ En 2014, 75 000 exemplaires vendus, 90 pages de publicité.
■ 14 numéros chaque année, soit en diffusion le 52e numéro de L’Express.
■ En 2014, plus de 190 000 visiteurs uniques ont consulté le site dédié à l’opération sur
Lexpress.fr, soit plus de 365 000 pages vues.
LE DÉFI L’EXPRESS DEPUIS 1989
DÉFI L’EXPRESS GRANDES ÉCOLES

En quoi consiste
le Défi L’Express ?
A travers le Défi L’Express, le magazine propose de réaliser
un supplément régional de 20 pages consacré à une thématique sur
une ville. Pendant six mois, les étudiants vivent l’expérience, grandeur
nature, de la réalisation d’un journal sous ses multiples facettes.
Chaque école est représentée par une équipe de 10 étu-
diants. Sa mission :
● RÉDACTION : effectuer un entretien avec une per-
sonnalité choisie pour son lien avec la ville ou la région,
prendre des contacts, réaliser des interviews, rédiger un
dossier de Une après une enquête sur le terrain, rédiger
deux pages de brèves et un agenda.
● WEB : faire vivre ce projet bi-média sur le Web, d’oc-
tobre à juin. Les étudiants doivent nourrir le contenu du
site (bonnes adresses, la ville en image, invités, agen-
das…) et interagir avec les membres de la communauté
regroupée autour du projet et les réseaux sociaux.
Ils disposent pour cela d’un site dédié à leur ville sur
Lexpress.fr et d’un blog sur lequel faire vivre le « making
of » du projet.
● ICONOGRAPHIE : assurer (pour le print et le Web)
la production et la recherche iconographique.
● GESTION/COMMUNICATION : assurer la gestion
du projet et la communication autour de la réalisation
de ce numéro spécial, conclure des partenariats, créer le
« buzz » en amont de sa parution via des interventions en
radio, télévision, conférences de presse…
● PUBLICITÉ : démarcher des annonceurs, remplir
un objectif publicitaire chiffré, à raison de 7 pages pour
20 pages de publication, au prorata de la taille de la ville.
● DIFFUSION : mobiliser des équipes de vente, soit
un maximum d’étudiants motivés au sein de l’école, lors
de la semaine de parution pour accompagner la vente du
numéro sur des points presse identiés. Chaque numéro
spécial de L’Express est joint à L’Express national de la
semaine.
Un concours national
Une fois paru, chaque numéro spécial est jugé par un
jury : niveau du dossier, du grand entretien et des brèves ;
pertinence et qualité technique des photos ; montant pu-
blicitaire ; nombre d’exemplaires vendus ; respect des
délais ; engagement de l’équipe et de la direction de
l’école… Les lauréats se voient récompensés par des
stages au sein du groupe Express ou du Groupe M 6, des
billets d’avion et des cadeaux multimédia.
Le plus : le parrainage de professionnels
Tout au long de ce projet d’équipe complet et forma-
teur, validé par l’école dans le cadre de leur cursus, les
étudiants bénécient du parrainage de journalistes pour
la partie rédactionnelle et du soutien des équipes com-
merciales du magazine pour la publicité et la vente au
numéro.
DÉFI L’EXPRESS GRANDES ÉCOLES
ANIMATION Lors de la semaine de
vente, les étudiants sont mobilisés
dans les points presse de leur ville.

Comment s’organisent les équipes ?
Chaque école est représentée par une équipe, composée de
10 étudiants, sélectionnés par la direction de l’école. Chaque
membre de l’équipe s’engage à assumer une fonction :
• la coordination de l’équipe et la gestion
• la rédaction (3 étudiants)
• la publicité (3 étudiants)
• la photo et la vidéo (print et Web)
• la promotion des ventes
• le community manager
Le planning
La réalisation du supplément régional suppose un engage-
ment de toute l’équipe sur le projet de la mi-octobre, date
de la journée de formation à L’Express, jusqu’à la n du
mois de mars, date de parution du numéro spécial.
La participation active à l’alimentation du site Internet
jusqu’à cette date est déterminante.
Le jury
Chaque année, lors de la remise des prix à Paris, un
grand jury composé de personnalités des médias, de la
culture ou du monde économique décerne le palmarès de
l’édition.
Parmi toutes celles et ceux qui ont honoré de leur pré-
sence cette soirée de prestige au l des ans, quelques
noms : Nicolas de Tavernost, président du directoire du
Groupe M 6, Jérôme Bureau, président de Paris Pre-
mière, François Busnel, directeur de la rédaction de Lire,
présentateur de la Grande librairie sur France 5, Jean-
Michel Aphatie, journaliste à RTL, chroniqueur politique
sur Canal +, Thomas Legrand, chroniqueur sur France
Inter, Guy Lagache, présentateur et aujourd’hui direc-
teur des magazines et de l’information sur D 8, Thomas
Sotto, journaliste sur Europe 1, Irène Frain, écrivain,
Clara Gaymard, présidente de GE France, Christine
Kelly, journaliste, ancien membre du CSA…
Vivre une expérience enrichissante, humainement et professionnellement.
L’o pp or tu ni té d e découvrir l’univers des médias en bénéficiant des conseils de
professionnels aguerris. Une aventure collective, exigeante, comparable à celle
que vit, au quotidien, la rédaction d’un magazine. Un projet bi-média reconnu
pour son exigence, son ancienneté, sa dimension formatrice à travers le travail
en équipe ; un « plus » dans le cursus des étudiants qui s’y engagent.
Pourquoi relever le Défi ?
DÉFI L’EXPRESS GRANDES ÉCOLES
BRAINSTORMING L’équipe de
SciencesCom Nantes planche
sur le projet lors de l’édition 2014.

Patrick Le Floch, directeur de Sciences Po Rennes
« Audace, ouverture, excellence : le Dé L’Express, c’est du concret, mais aussi des va-
leurs. Dans un monde en perpétuelle mutation, nous sommes particulièrement attentifs à
ce que de telles initiatives puissent permettre à nos étudiants de s’investir dans des projets
professionnalisants. La réalité du monde du travail implique désormais de faire preuve
de souplesse ; à Sciences po Rennes, nous recherchons cette adaptation permanente, par
exemple en construisant une section dédiée au développement durable, ou en ouvrant à
la rentrée prochaine un master dédié à l’ingénierie de la concertation. Mais ce qui reste
essentiel, c’est de rester dèle avant tout à ses valeurs. L’accueil de 40 % de boursiers
dans nos promos nous permet de former les meilleurs lycéens, indépendamment de leur
capital social ou nancier. C’est ça aussi la marque Sciences po. Ma plus grande satis-
faction ? De voir nos anciens étudiants réaliser leurs rêves et exprimer leur passion ! »
Nicolas Barriquand, journaliste pigiste pour le service Villes
de L’Express, étudiant lors du concours 2005-2006, parrain
lors du concours 2011-2012
« Bouclerons-nous les articles à temps ? A-t-on choisi la meilleure photo pour la Une ?
Les ventes seront-elles au rendez-vous ? Cette excitation du concours de L’Express, je
l’ai vécue comme participant. Je l’ai retrouvée comme parrain. Lyon, année scolaire
2005-2006. Nous sommes dix étudiants de l’Institut d’études politiques à débattre sans
n du choix de la couverture, à enquêter, pour les uns dans les caves du Beaujolais, pour
d’autres sur les exorcistes lyonnais, à démarcher et démarcher encore des annonceurs, à
recruter, enn, les copains pour vendre à la criée « notre » Express. Rouen, année sco-
laire 2011-2012. Ils sont dix étudiants de la Business School à débattre sans n. Cette
fois-ci, je vis le Dé Grandes Ecoles de l’autre côté, dans le rôle du parrain. Passionnant.
Car, c’est aussi tout l’intérêt de ce concours, il fait la part belle à la transmission. »
Luc Buckenmeyer, directeur de l’ECS-IEJ Strasbourg
« L’ECS-IEJ Strasbourg est chaque année ère de participer au Dé L’Express Grandes
Ecoles. Les victoires successives de nos écoles de Marseille et de Toulouse ont été riches
d’enseignements pour nous. Elles conrment notamment le besoin d’exigence de nos
élèves et la qualité de notre encadrement. Ce Dé valorise en outre de manière formi-
dable le travail en équipe cher à notre pédagogie. Belle aventure collective où ils en
apprennent énormément en quelques mois sur les métiers des médias. »
Ils soutiennent
le Défi L’Express
Nicolas Pinault, grand reporter au service francophone
de Voice of America (Washington)
« Notre victoire et notre parcours dans ce Dé L’Express Grandes Ecoles, je m’en sou-
viens comme si c’était hier... Coordinateur d’une équipe de neuf supers nanas, nous
avons appris pendant un an la (dure ?) réalité d’une entreprise de presse. Au-delà de la
simple écriture des articles, nous avons découvert l’importance et pris goût à la recherche
des annonceurs publicitaires et à la promotion des ventes. Comme les « vrais » journaux,
les trois sont indissociables et c’est tout l’intérêt de ce concours : nous donner la chance
d’être pris au sérieux, voire remarqués par des professionnels exigeants. Le stage rému-
néré, réservé aux vainqueurs, nous a permis d’acquérir une expérience professionnelle
unique. Dix ans après, je garde de bons souvenirs de ce Dé et je recommande aux po-
tentiels journalistes, chef de pub et autres experts en marketing d’y participer. »
DÉFI L’EXPRESS GRANDES ÉCOLES