sentiment pour avoir accès à toutes mes forces de conviction. Cela m’aidera
aussi à réagir si l’on me coupe la parole, et à faire respecter ma place dans
l’échange.
Se débarrasser de la peur du jugement et communiquer en toute
liberté
2e proposition : Au-delà des mots que j’utilise pour communiquer, il existe une
autre forme de langage bien plus importante : la façon dont je vais
transmettre ces mots, comme un papier cadeau qui emballerait mon
message. Il existe 6 niveaux de langages avec lesquels je peux communiquer
de manière plus encore plus sincère, et qui parlent de moi bien plus que mes
mots :
o L’apparence physique (tenue vestimentaire, sexe, âge,…) ;
o Le regard (on enlève la communication lorsqu’on « enlève les
yeux ») ;
o Les mimiques (c’est important qu’elles traduisent l’ouverture) ;
o Le geste et la posture (créer un fil avec chacun.e dans un groupe
permet d’inclure l’ensemble des participant.e.s) ;
o La voix et les « paralangages » transcrivent les émotions (mettre des
silences permet de gagner en intensité) ;
o La distance avec mon interlocuteur.rice.
Si je maîtrise ces différents niveaux de langage, je maîtrise ma
communication et j’arrive à être convaincant.e. Je ne laisse plus personne
me déstabiliser.
Décoder tous nos niveaux de langage pour mieux les maîtriser
3e proposition : C’est par la respiration et mes postures quand je m’apprête à
parler, que j’arrive à me faire entendre. II existe différentes respirations :
claviculaire, pulmonaire, abdominale. Parler en public est un « travail
d’athlète ». En sachant gérer mon stress par des techniques toutes simples
utilisées par les chanteurs et les comédiens, je gagne en conviction, car rien
ne vient perturber le discours que j’avais prévu et qui est important pour moi.
Connaître les techniques pour gérer son stress et gagner en conviction