La sécurité du patient est une préoccupation constante l ’ ét abl i ssement ,àt out esl esét apesdesapr i seenchar ge. de Dans le domaine de la présence des patients Ce dépliant vous donne quelques exemples variés dans différents domaines : ﻻCertains lieux sont surveillés par des caméras (nous ne divulguerons pas ces Dans le domaine des soins ﻻDes rondes sont effectuées sur les parkings en particulier la nuit, par un salarié ﻻVotre pathologie et/ou une période prolongée en position couchée peuvent pr ov oquerdes l ési ons surv ot r e peau,appel ées escar r es.Af i n d’ évi t er l ’ appar i t i ondecesl ési ons,l eséqui pesv ousai dentàchangerdeposi t i on, installent des matelas spéciaux, pratiquent des soins particuliers. Une alimentation spécifique peut vous être donnée sur prescription médicale. Si ,mal gr écesact i ons,l esescar r essur v i ennent ,l ’ ét abl i ssementdi sposede produits et pansements particuliers pour les traiter. Cependant, en fonction de la taille de la lésion, des raisons de son apparition, les escarres sont parfois résistantes à la guérison. Toutaul ongdel ’ année,desenquêt essontmenéespourv ér i f i ersil essoi ns sont effectués selon « l es r ègl es de l ’ ar t».Le nombr e d’ escar r es est régulièrement contrôlé par des enquêtes « flash ». ﻻLeschut esausei ndel ’ ét abl i ssementsontr égul i èr ementanal y sées.Tout pat i entv i ct i me d’ une chut e estpr i s en char ge parun pr at i ci en quipeut prescrire des examens et/ou des soins, chaque chute est analysée par les équipes concernées, des consignes particulières peuvent être données au patient ou à ses proches. Auni v eaudel ’ ét abl i ssement ,unt r av ai lr égul i èr ementmi sàj ouretév al ué est réalisé par un groupe de professionnels pour identifier les patients à risque et prévenir leurs chutes soit par une prise en charge thérapeutique, soit par des séances de kinésithérapie, soit par des aides matérielles (tapis anti-dér apant ,mat ér i el adapt é, …) . lieux). d’ uneent r epr i sespéci al i sée,et parl ’ équi pedesécur i t é.Les portails sont clos en période de nuit. Les entrées sont filtrées. ﻻEncasdedi f f i cul t é,uneconnexi ondi r ect eav ecl ecommi ssar i atd’ Angoul ême per metunei nt er vent i onr api dedesf or cesdel ’ or dr e,cequiassure la protection du personnel et des patients. A noter : Vous pouv ezdemanderàcequev ot r epr ésenceàl ’ hôpi t alnesoi tpas divulguée lors de votre séjour ; vous êtes alors en « confidentialité ». Votre identité appar aî tcependantsurl esécr ansdel ’ ét abl i ssementetestment i onnéesurv ot r e dossier. Vous pouvez demander à ce que les visites de certains de vos proches ne soient pas permises. Attention ! Si vous êtes à nouveau hospitalisé, veillez à signaler si vous souhaitez conserver ou non cette option de confidentialité. Dans le domaine de la sécurité incendie ﻻUne équipe de sécurité incendie estprésent e24h/ 24et7j / 7.L’ hôpi t alest équi pé d’ un système de sécurité incendie centralisé et surveillé par du personnel 24h/24. ﻻTous les l ocauxdel ’ hôpi t alsontmuni sd’ undét ect euri ncendi er el i éàce système centralisé. ﻻLami seensécur i t édesbât i ment s,l or sd’ uni ncendi e,estr éal i sabl egr âce aux isolements des locaux (clapets et portes coupe-feu) et au désenfumage. Sel on l es ser v i ces,d’ aut r es él ément s sontr el i és à l a cent r al ei ncendi e (coupure électrique et/ou gaz, ascenseurs, déverrouillage des issues de secour s…) .Cesmat ér i el ssontt est ésparl eséqui pesde sécur i t éi ncendi e chaque année mais aussi contrôlés par des experts (partenaires et bureaux de contrôle). Dans le domaine alimentaire ﻻDes normes t r ès st r i ct es d’ hy gi ène doi ventêt r er espect ées: le personnel prépare les plateaux repas avec des gants et des bonnets à usage unique dans un l i eu spéci f i que cl oi sonné où l at empér at ur e estbasse af i n d’ évi t ert out e contamination alimentaire. De même, l ’ ut i l i sat i ond’ uncer t ai nnombr edepr odui t s n’ estpasaut or i séesousl eurf or mehabi t uel l e:œuf s,l ai tparexempl e,enr ai son de leur fragilité bactérienne. ﻻTous les jours, des relevés de température des chambres froides et réfrigérateurs sont effectués et notés ; des prélèvements quotidiens sont réalisés sur les plats préparés pour le patient afin de vérifier leur qualité bactérienne ; des contrôles de la Direction des Services Vétérinaires sont réalisés à dates régulières. ﻻUne liaison permanente existe entre les services et la cuisine qui prépare environ 3000 repas par jour. Dans le domaine de l ’ hygi ènedesl ocaux ﻻLes professionnels chargés del ’ ent r et ien des locaux sont régulièrement formés aux t echni ques d’ ut i l i sat i on des pr odui t s etmét hodes de net t oy age parl ’ uni t é d’ hy gi ènedel ’ ét abl i ssement . ﻻAu Cent r eHospi t al i erd’ Angoul ême,unepar t i edel ’ ent r et i endesl ocauxetl a vitrerie est confiée à des prestataires extérieurs. Ils entretiennent essentiellement l escommunsdel ’ hôpi t al( bur eauxadmi ni st r at i f s,ci r cul at i ongénér al e)etcer t ai ns services de soins sans hébergement (radiothérapie, explorations f onct i onnel l es, …) . ﻻDes professionnels de santé del ’ ét abl i ssement entretiennent la chambre du patient et son environnement. ﻻL’ ent r et i endel ’ ensembl edesl ocauxetl espr at i quesdenet t oy agef ontl ’ obj et d’ uneév al uat i onr égul i èr e. ﻻDes techniques spécifiques sont développées sur des sites particuliers : bloc opér at oi r eparexempl e,oul or sdel asor t i edupat i ent ,not amments’ i lavai tune pathologie infectieuse afin de prévenir tout risque de transmission. ﻻEnfin, une vigilance est apportée au tri des déchets. Une trentaine de filières de tri est enpl aceauj our d’ huiauCent r eHospi t al i erd’ Angoul ême. Partenariat Direction des Relations avec les Usagers –Service Qualité Associations - Juin 2009