Couche limite atmosphérique

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Couche limite atmosphérique
Micrométéorologie
Équations du mouvement turbulent
Équations primitives
Air sec
Approximations
Approximation anélastique
Approximation de Boussinesq
Équations de Boussinesq
Équations de Reynolds
Équations qui gouvernent le
mouvement turbulent
• Identification des équations de la couche limite
• Approximations
– L ’air est un gaz parfait
– approximation de Boussinesq
– air sec
Équation de Navier Stokes
dui
 dV   Ti d    Gi dV

dt
V

V
dui Ti


  Gi
dt xi
Tenseur de stress
 T1    11  12  13 
  

   T2    21  22  23 
 T3    31  32  33 

  
 ij   p ij   ij
Symétrie du tenseur de
contraintes
 21
12
13
 23
.x
3
 13
 22
 23
 21
11
x1
x2
12
  r  T  d   2  21  12   0   21  12
S
Forces de surface dues à la
viscosité
-F
U1
A
B
F
U2
Tenseur de viscosité
 ui u j
 ij   

 x j xi

 2 u
   ij
 3 x
Équation de mouvement
dui Ti


  Gi
dt xi
dui
 2ui   2u
p


 2 
  Gi
dt
xi
x 3 xi x
Si on est dans le référentiel local, non inertiel
u
1

2
 u u  g 2  u  p   u      u 
t

3
II
IV
III
I
V
VI
La première loi de la thermodynamique
du   q  pd
 q  dh   dp
Pour un gaz parfait
 q  c p dT   dp
Dans le cas d ’un processus adiabatique
 p0 
 T  
 p
Rd
c pd
q  0
La première loi de la thermodynamique
Rd T
 q  c p dT   dp  c p dT 
dp
p
 q dT Rd dp


c pd T
T c pd p
Rd
+
 p0  c pd
 T  
 p
d dT Rd dp



T c pd p
d  1 dq 

 S
dt T c pd dt T
La première loi de la thermodynamique
d
 S
dt
 condensation   solidification    condensation solide 
S  



-evaporation

fonte
sublimation

 
 

 convergence des flux radiatifs   dissipation d'énergie cinétique 



divergence
des
flux
radiatifs
par
le
mouvement
moléculare

 

 dissipation de chaleur 


par
diffusion
moléculaire


Lp E
 v
1
2
*
 u  v      v 
Q 

t
cp
 c p VI

I
II

II
IV
V
Équations primitives
Conservation de la quantité de mouvement :
u
1

2
 u u  g 2  u  p   u      u 
t

3
II
IV
III
I
VI
V
ui
ui
 2ui   u
1 p
 uj
  i 3 g 2 ijk  j uk 
 2 
t
xj
 xi
x j 3 x j x
III
I
IV
II
V
VI
Équations primitives
Équation de conservation d ’énergie
Lp E
 v
1
2
*
 u  v      v 
Q 

t
cp
 c p VI

I
II

II
IV
V
*

 Lp E

Q
 v
 v
 v
1
j
uj
 



 
2
t
x j
x j  c p  x j   c p
2
Équations primitives
Définition de température potentielle
 p0 
 v  Tv  
 p
R
cp
Équation d ’état :
p  Rd Tv
mv
v
q

m  air
Tv  T 1  0.61q 
c p  c pd 1  0.84q 
Équations primitives
Équation de continuité :
d
   u  0
dt
 
  u j

0
t
x j
u j
d

0
dt
x j
Équations primitives
Équation de continuité pour n ’importe
quelle quantité scalaire de concentration c:
c
 u c   c 2 c  Sc
t
c
c
 2c
uj
  c 2  Sc
t
x j
x j
Équations primitives
Équation de continuité pour
la substance eau :
mv
q
m
qT
qT
 2 q SqT
uj
 q 2 
t
x j
x j  air
Vapeur d ’eau
q
q
 2 q Sq
E
uj
 q 2 

t
x j
x j  air  air
mL
qL 
m
Eau liquide
qL
qL
uj

t
x j
SqL
E


air air
Équations primitives
On a 9 équations à 9 inconnues
p
v
u,v,w
vitesse

densité
pression
température potentielle virtuelle
Tv
q
température virtuelle
quantité de vapeur d ’eau
par unité de masse
qL
quantité d ’eau condensée
par unité de masse
Approximations
Dans un premier temps on considèrera les équations pour
l ’air sec. Le terme de divergence radiative est négligeable,
puisqu ’on ne considère que l ’air sec… (???)
ui
ui
 2ui   u
1 p
 uj
  i 3 g  2 ijk  j uk 
 2 
t
xj
 xi
x j 3 x j x
u j
d

0
dt
x j


 2
uj
  2  
t
x j
x j
7 équations et 7 inconnues
 p0 
 T  
 p
p   d Rd T
Rd
c pd
Approximations : approximation anélastique
– L ’état thermodynamique de
l ’atmosphère dans la couche limite
s ’écarte peu d ’un état de base qui est
hydrostatique et adiabatique
– Le nombre de Match (v/c) est petit,
c ’est-à-dire, les variations spatiales et
temporelles de la pression sont petites
devant la pression elle-même
Approximations : approximation de
Boussinesq
– Approximation anélastique
+
– L ’échelle verticale des mouvements est
petite devant l ’épaisseur effective de
l ’atmosphère : hypothèse de convection
peu profonde (shallow water)
Approximation de Boussinesq
• La viscosité moléculaire,
= , est constante
• La conductivité thermique
moléculaire  =   est
constante.
• |1 / b|<<1, où best la densité
de l ’état de base (adiabatique
et hydrostatique) et 1 est la
perturbation de cet état de
base (1 =  - b).
• La chaleur générée par les
contraintes visqueuses peut
être négligée dans l’équation
thermodynamique.
• Le rapport |T1 / Tb|<<1, où Tb
est la température de l ’état
de base (adiabatique) et T1 est
la perturbation de cet état de
base (T1 = T - Tb) .
• |p1 / pb|<<1, où pb est la
pression de l ’état de base
(hydrostatique) et p1 est la
perturbation de cet état de
base (p1 = p - pp).
• L’échelle verticale du
mouvement est petite par
rapport à l ’échelle de
l ’hauteur de l ’atmosphère.
Équations de Boussinesq
ui
ui 1
 2ui
1 p1
uj
 g i 3  2 ijk  j uk 
 2
t
x j b
b xi
x j
u j
x j
0


 2
 uj
  2
t
x j
x j
p   d Rd T
 p0 
 T  
 p
Rd
c pd
p0  1000 mb
Équations qui gouvernent le mouvement turbulent
• Expansion de la dérivé totale en tendance locale et
advection
• Décomposition de Reynolds
• Application de la moyenne de Reynolds aux
équations
• Utilisation de l ’équation de continuité pour mettre
les termes en forme de flux
Équations de Reynolds
ui
0
xi
ui
0
xi
ui
u
1 p1 1

uj i  
 i3 g  2ijk  j uk 
t
x j
b xi b
x j


 ui





u
u

j i


 x j




  
 ui

 ui
 
t
xi xi  xi

Tb
g

 d
z
c pd
p  b Rd T
 p0 
  T  
 p 
  b  1
Rd
c pd
pb
 b g
z
7 équations et 16 inconnues ...
p  pb  p1
b  cst  0
b  cst  0
  cst
   cst
Paramètres d ’échelle de la couche de surface
Dans l ’atmosphère
 
  u 

w'u '
   
z  z 
z
Les flux turbulents moyens de surface sont utilisés comme
paramètres d ’échelle dans la couche de surface
_____
  0 u ' w'
(quantité de mouvement)
_____
QH  c pd 0 ' w'
(chaleur)
_____
E  0 q' w'
(humidité)
Échelles de vitesse, température et humidité
dans la couche de surface
Les flux turbulents dans la couche de surface sont pratiquement constants
(varient moins de 10 %). On les utilise pour définir des échelles de grandeur
caractéristiques de la couche de surface :
Vitesse de friction
 _____ 2
 , ,
1
2
_____  4
, , 
u*  u w  v w




Échelle de température
 *sl 
_____
, ,
s
 w
u*
Échelle d‘ humidité
q*sl 
_____
, ,
s
wq
u*
QH  w 
,
 
u*  w u
, ,
,
1
2
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