Education secondaire au lycée agricole des
Salésiens de Bon Bosco à Giel (Orne),
d'où il dit avoir hérité
«le refus, la haine de l'autorité » :
« Pour ces prêtres salésiens, l'intellectuel,
c'était la fille, la pédale. Ils ne valorisaient
que le travail manuel, la force physique. »
Mais Michel Onfray y découvre une attirance
pour la philosophie, « tout simplement parce
qu'elle me parlait : Marx m'évoquait
l'exploitation de mes parents, Freud abordait
la masturbation adolescente, Nietzsche
m'enseignait à vivre...»