S = Y – C = Y – 40 – 0,6Y = 0,4Y – 40
S moyenne :
S marginale :
EXO A FAIRE pour le 24 mars :
C = 50 + 0,75Y
I = 400
G = 200 (dépense publique)
Y = C + I + G
Représenter sur un graphique (en abscisse : Y ; ordonnée : C, G et I) La fonction de consommation, la
fonction d’I, les dépenses publiques, la fonction de S et la demande globale (= C + I + G)
Exposer les 2 limites de l’approche Keynésienne selon le courant néo-classique.
CORRECTION SUR FEUILLE
Effet multiplicateur : injecter de l’argent dans l’économie (incitation à la conso ou investissement) qui
augmente la production plus que proportionnelle que rapidement que l’investissement.
Equilibre ex post
Si on introduit des impôts, cela provoque une diminution du multiplicateur, pourquoi ?
Si dG = 100
Dans une économie, une variation d’une des composantes de la demande globale et en particulier
une variation des dépenses publiques provoque une variation plus qu’élevée du niveau de la
production du fait d’une réaction positive de l’investissement à l’augmentation de la demande.
Le multiplicateur Keynésien montre qu’un investissement effectué provoque une hausse plus que
proportionnelle de la production, cette production ayant un impact sur les revenus. Les revenus sont
ensuite utilisés de 2 manières : une part se transforme en épargne et l’autre est dépensée. La partie
épargnée sort pour un laps de temps indéterminé du circuit de consommation. L’autre partie est
réinjectée, elle stimule la production donc les bénéfices escomptés. Ces bénéfices sont les principaux
déterminants de l’investissement.
L’effet multiplicateur met en évidence que l’investissement stimule le niveau de la demande en
fonction de la propension à consommer. Plus la part des revenus issus de I dépensé est forte, plus la
production est stimulée
Critique de l’approche Keynésienne par les néo-classiques