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— la vérification du théorème d’équipartition de l’énergie cinétique pour un gaz parfait et réels,
— l’observation de la statistique des observables (classiques) xet p,
— la vérification de l’existence de pression partielle,
— les déviations à la loi P V =N kBTpour un gaz réel,
— l’observation de phénomènes transitoires (thermalisation d’un gaz parfait ou réel),
— la transition liquide-gaz, visible dans la statistique de l’observable x−x′,
— la variation de la densité en fonction de l’altitude, en présence de la gravité (potentiel externe)
— l’étude de compressions adiabatiques, isotherme, ...
— ...
La majorité (toutes) des expériences numériques réalisables passe par la simulation de la cinétique du gaz
puis par la mesure de la statistique (moyenne, variance, distribution) d’observables à un corps (position, vitesse,
énergie cinétique, ...) ou à deux corps (énergie potentielle d’interaction, corrélations en position, ...).
Ainsi, pour la réalisation de ce projet, il peut être judicieux (ou pas) de se doter
— d’une classe représentant une particule ayant des propriétés telles qu’une masse, une position, une vitesse,
un type (sphère dure, hydrogène, diazote, dioxygène, ...),
— d’une classe de base représentant un potentiel d’interaction, et de classes dérivées pour des potentiels
d’interaction concrets (sphères dures, molles, potentiel de Van der Vaals, particules chargées, ...),
— de deux classes de base donnant un interface décrivant les observables à un et deux corps, et de classes
dérivées décrivant des observables concrètes (vitesse, distance relative, ...),
— d’un objet représentant ou permettant de calculer la statistique (moyenne, variance, distribution, ...)
d’une observable à un ou deux corps,
— d’une classe permettant de simuler l’évolution des particules dans une boîte,
— éventuellement, d’une classe représentant une paroi de boîte (pouvant être mobile, ou en contact avec un
thermostat, ...) en vue de simuler des thermostats ou des compressions adiabatiques ou isothermes,
— ...