- Dans le cas d’un projet/programme à plusieurs phases : évolution attendue du partenariat, des rôles des différents acteurs et du niveau
d’autonomie du/des partenaire(s) local(aux) au cours du projet.
Qualité globale du projet :
- Clarté et conformité du document de projet ;
- Cohérence générale du projet et adéquation entre les objectifs, les activités et les moyens prévus ;
- Indicateurs de résultats précis et cohérents avec les objectifs et résultats attendus ;
- Prise en compte des enseignements tirés des actions antérieures (et des évaluations réalisées), dans le cas d'une nouvelle phase ;
- Cohérence du budget prévisionnel du projet avec les actions prévues, justification des coûts unitaires ;
- Cohérence des ressources humaines et des moyens techniques mobilisés avec les objectifs du projet ;
Méthode et dispositif de suivi et d'évaluation :
- Qualité du dispositif et des méthodes prévus en matière de suivi-évaluation et d'études d'impact. L’évaluation externe est fortement
encouragée ; pour les projets à plusieurs phases, elle est exigée à la fin de chaque phase.
Pérennité et durabilité :
- Perspectives de pérennisation et de durabilité des actions et des acquis à l'issue du projet.
Stratégie de désengagement prévue par l’OSC française et calendrier envisagé (la notion de calendrier n’implique pas forcément des dates
précises de désengagement mais suppose d’inscrire la stratégie de sortie dans le temps, même si ce temps dépasse la durée du
projet/programme présenté. Ce point devra être particulièrement développé dans le cas d'un projet/programme à plusieurs phases).
La prise en compte du genre, des impacts sur l’environnement et le climat, de la jeunesse ou le caractère innovant du projet seront fortement
encouragés et analysés spécifiquement.
Budget prévisionnel du projet et seuils de cofinancement pour les projets de terrain :
50 % maximum : part maximale de cofinancement sur fonds publics français, incluant AFD, FFEM, ministères français (services centraux et
déconcentrés, établissements sous tutelle de l'Etat)
25 % maximum : valorisations publiques ou privées (sans contrainte de répartition)
25% minimum : autres fonds d'origine privée ou publique française et internationale (collectivités territoriales françaises ou locales -dans le pays
d'intervention-, agences, établissements publics hors tutelle de l'Etat, pouvoirs publics dans le pays d'intervention, organismes internationaux)
dont 10% minimum de fonds d'origine privée pour les OSC ne mobilisant pas déjà 15% de ressources d'origine privée dans leurs budgets
annuels (moyenne sur les 3 dernières années)
La part maximale de cofinancement sur fonds publics français (AFD, FFEM, ministères français - services centraux et déconcentrés, établissements
sous tutelle de l'Etat-) pour les programmes concertés pluri-acteurs (PCPA) s'élève à 75%.