UE 7 A :
Chapitre 1 : Anthropologie de la santé
Une an très contemporaine, et pas de lʼhistoire de lʼan. Lʼan est une science. Les contacts
entre culture et société on alimenter une relation dʼordre en anth, cette littérature retrace
des rencontres, des étonnements devant des cultures, des traditions différentes. Au début
lʼantr était une collecte de fait singuliers, (écrits des voyageurs) cʼest en découvrant ces
diff que lʼon découvre aussi des singularités, mais aussi a quel point ces autres peuvent
nous ressembler aussi. Par ex : le partage du travail entre les sexes. Ils repèrent des
dynamiques communes. Cependant ces différences sont comparables dans la mesure ou
il nʼexiste pratiquement pas de peuples ou on peut les observer ou on puisse reperer des
modalités de vie communes. => introduire un certain ordre, et lancer le travail des anth.
Aujourdʼhui en an nous étudions comment les sociétés fonctionnent, comment elles se
structurent, comment elles changent, nous étudions des formes de vie sociale. Les
sociétés peuvent avoir des effectifs très variables. Nous étudions ces sociétés dans leur
diversité, mais elles nʼexistent que par les individus qui composent cette société et qui la
font exister au quotidien. Puisque une société est composée dʼindividus, elle est aussi
composée de relations et de tensions entre individus : rapports sociaux; et de sens :
signification culturelle.
Nous cherchons toujours a cerner en quoi les évènements de la vie ont un sens dans
lʼexpérience vécue des individus.
Définition : Lʼan est la science dont le projet général est de comprendre lʼH en tant
quʼindividu social cad un individu inséré dans une société à partir de laquelle il va
construire ses manières dʼetre, ses savoirs sur lui meme, sur lʼenvironnement qui
lʼentoure, sur les évènements quʼil rencontre, une société dans laquelle et a partir de
laquelle il construit ses conduites quotidiennes, a partir de laquelle il prend des décisions,
donc a partir de laquelle il construit ses expériences quotidiennes (autour du corps malade
et des soins).
I- Approche des sociétés et des cultures
1- Questionner les tensions entre individu, société, culture
Ces sociétés fonctionnent comme des environnements structurés par des règles, des
normes qui façonnent en partie chaque existence individuelle, cad que chaque histoire
singulière vient retirer une partie de sa substance dans ces environnements que lʼon
appelle société par divers mécanismes. Une société est bien un groupe dʼetre humains qui
vont vivre ensemble, qui vont auto reproduire leur existence collective en fonction dʼun
système de normes et de règles qui vont encadrer nos actions. Ces sociétés et ce quʼelles
contiennent ont une durée de vie qui excède celle de chaque individus. Les sociétés sont
donc des environnements organisés autour dʼéléments matériels (les institutions, école,
hopital) et immatériels (mémoire, histoire commune, valeurs). Depuis notre naissance ces
sociétés vont façonner nos manières dʼetre, et donc nos expériences : en nous donnant
des cadres qui vont borner certains possibles pour chacun dʼentre nous. Il en existe bcp
des éléments de cadres.
Premier élément : les statuts: chacun de nous est amené a investir un ou plusieurs statuts
que lʼon ne choisit pas toujours et que lʼon doit investir sur un temps bref ou plus long (au
sein dʼune meme famille par ex). Ces sta nous contraignent dʼune certaine manière. Le st
nous met en relation avec au moins un autre ou plusieurs autres. Ces st correspondent a
des places. Tout individus occupent tjs un statut. Nous sommes en relation avec des indi
qui constituent le meme statut : notion de groupes ce qui va produire du social (alliance,
conflits).
A ces st sont associés des roles qui sont attendus des personnes qui occupent ce statut.
On peut donc dire le role cʼest la dimension dynamique des statuts : cʼest ce que lʼon doit
faire, ce qui est attendu de nous en fonction du statut que lʼon occupe. Cette attribution de
sta va conduire la personne devenue patient(e) dʼinvestir ce statut en tenant le role
attendu : il va avoir a vivre des manipulations sur son corps qui doivent etre acceptées, il
doit se plier a cela (emploi du temps). Le role du patient est de supporté ca. Son
expérience va etre contrainte par ce statut car il doit se plier a une organisation en tant
que patient. Role et statut vont liés un système de contraintes qui va orienter le mode de
vie individuel mais sur un mode collectif.
Les normes sociales. Toute société produit des normes avec lesquelles et a partir des
quelles les individus et les groupes sociaux vont fonctionner au quotidien. Travailler a
partir des normes permet de comprendre des attitudes. Définition ; une norme est ce qui
doit etre dans une société donnée, cʼest une facon de faire prescrite et admise
socialement, cʼest un attitude valorisée dans un groupe social. Les normes varient en
fonction des sociétés, et dans les sociétés elles varient en fonction des milieux sociaux.
Les normes comme les st et comme les roles ne sont pas de lʼordre du matériel, elles
nʼont pas besoin dʼetre formulées précisément, on est dans de lʼimmatériel mais elles sont
inscrites en nous, dans nos consciences, et cʼest ainsi quʼelles existent. Mais comme les
st et comme les roles, les normes ont des conséquences bien concrètes car elles
produisent de lʼaction, des attitudes et permettent pour les an de comprendre des attitudes
attendues, des formes de relations entre indiv attendues et cerner lʼévolution de ces
normes, de leur usage, de leur conséquence (travail des an et des sociologues de la
médecine). Une norme actuelle est celle du patient «actif», cette norme la sʼimpose de
plus en plus dans le paysage médical, mais aussi dans des pays du sud, face a la maladie
chronique. On attend du patient quʼil soit observant et quʼil participe au travail médical.
Cette norme est contemporaine car il a fallut quʼun certain nombre dʼacteurs de la santé
par ex soient en capacité de reconnaitre quʼil y a du savoir valable, utile, intéressant pour
la prise en charge de la maladie et que ce savoir peut etre produit dans lʼexpérience
vécue. On sʼintéresse a ces évolutions de normes et le SIDA a joué a faire existé ce
malade comme partenaire de ces soins. Ces normes participent a structuré le
fonctionnement des sociétés. Et une fois établie elles constituent un certain ordre moral
que chacun de nous connait, et avec ce cadre nous organisons nos vies et nos rapports
aux autres mais de manière non consciente (routine mentale).
Ces sta ces roles ces normes nous sommes disposés a réfléchir a juger a agir a partir de
ces éléments et avec ces éléments. En ce sens on peut dire que nous sommes des ind
imparfaitement libre (on ne décide pas de recevoir ces éléments : catégorie de lʼacquis).
Cela nous permet de comprendre une des formes dʼinterdépendances entre les indi.
Une société fait cohésion autour dʼune culture. Le mot culture peut etre employé dans 2
sens principaux , selon si lʼon évoque la culture en général ou des formes particulière de
cultures. Culture en général : une culture est un ensemble complexe incluant des savoirs,
des valeurs, des croyances, sur le monde qui permettent a chacun de nous de produire du
sens sur ce monde, cet ensemble est acquis par lʼH vivant en société pour penser,
manipuler, controler son environnement (domaine de lʼimmatériel mais on peut aussi
parler de culture matérielle : lʼart). La culture est inhérente a la condition humaine, cʼest un
attribut distinctif (séparation de lʼanimal, de lʼH). Toutes les sociétés sʼinterrogent sur ce
que signifie naitre vivre mourir ... Interrogations existentielles communes, et on trouve des
réponses spécifiques selon les cultures. Les éléments qui sont contenus dans une culture
vont nous servir de ressources pour donner du sens a notre environnement (à la maladie)
à certaines réalités rencontrées, observées. Ce qui permet de comprendre des
oppositions de racialités. Double dimension de la réflexion an qui consiste dʼune part à
regarder vers dʼautres cultures très différentes de celle de lʼobservateur et il sʼagit aussi
dʼapprendre a regarder sa propre culture de loin (comme sʼil appartenait lui meme a une
culture différente), de pouvoir porter un regard éloigné sur sa propre société. Deuxième
fonction : elle permet dʼaffirmer que dʼautres attitudes que les notre permettent a des
communautés humaines de trouver le bonheur. Lʼanalyse de la culture et des éléments de
culture est aussi centrale pour comprendre les manières indi et collectives de produire e la
pensée. Ces éléments de culture vont etre intérioriser en nous de manière formelle ou in
et de les transmettre a notre tour. Il y a une unité de la condition humaine parce que
chaque individu porte en lui une culture. Il y a aussi une diversité de culture qui met en
avant les différences. Les cultures comme les sociétés ne sont pas des entités closes,
parce quʼelles existent au travers des individus qui les portent, qui les font se transformer.
La culture et les éléments de nos culture va permettre de construire des manière dʼetre
commune : de lʼidentité.
Les valeurs sont des traits culturels normatifs (qui font partie des normes), ce sont des
idéaux quʼune société ou un groupe social se donne et le travail sur ces valeurs permet
aussi de comprendre des attitudes et des comportements. Les valeurs sont relatives, elles
varient. Les valeurs circulent avec les indi, se percutent dʼun pays a un autre et cʼest par
ce biais que se créer de lʼacculturation, du changement, des transformations sociales.
2- Eléments de méthodologie pour travailler les tensions entre le singulier et le collectif
Les sociétés et les cultures vont influer sur la manière dont on construit sa vie. On a là un
cadre de vie que nous nʼavons pas créer nous meme, que nous recevons en héritage,
avec un ensemble dʼéléments que nous intériorisons a partir de notre naissance, un
habitus (pierre bourdieu). Ce cadre la est la manière dont dʼentre nous va lʼinvestir derrière
chaque conduit individuel. Pour nous ce squelette socio culturel doit etre compris a travers
la manière dont les individus vont sʼen saisir, et le font exister dans leur quotidien. Parler
de la manière dont les individus sen saisissent, permet de dire quʼon est acteur, sujet de
ce quʼil nous arrive. On est donc des individus uniques mais aussi prévisible : on parle
dʼorientation de lʼaction.
Lorsquʼon construit une recherche en anth, on part vers les acteurs pour construire le
savoir que lʼon cherche a avoir. On pose aussi que ces fameux cadres sont dʼabord
collectif avant de devenir individuels, il sʼinscrivent dans les éléments individuels de
chacun part lʼéducation et part le bais de la socialisation. Lʼune des dynamique est la
socialisation qui permet dʼétudier les tensions entre la société et les individus qui
composent la société. Le premier lieu de socialisation pour un enfant qui vient au monde
est la famille, puis lʼécole, et ensuite on traverse des lieux ou on construit notre
socialisation. La socialisation cʼest lʼapprentissage de tous ces éléments dont on va avoir
besoin pour exercer son métier. Cʼest lʼapprentissage de la vie sociale. Il y a stigmatisation
dʼune personne dʼun groupe lorsque des personnes sont déplacées, dévalorisées en
raison dʼune identité qui leur est attribuée. Stigmatiser est un acte social, dʼun groupe
dʼindividu qui en juge un autre : cʼest une relation, a partir de ce que sa société lui donne a
penser comme étant normal.
La douleur cʼest un ressenti très subjectif, difficilement mesurable. Entre lʼidée quʼon se fait
de la douleur et la réel douleur il y a lʼindividu. Lʼan va travailler lʼexpérience de la douleur
et sur les comportements et parfois les changements quʼelle induit. On part de lʼidée que
dès quʼun individu dit ressentir ou éprouver de la douleur alors elle existe, car elle produit
de la souffrance. Cette douleur renvoit a un contexte personnel et social qui va moduler le
ressenti. Une douleur peut etre ressentie sans lésions décelables. Il y aurait une douleur
physique et une souffrance. La douleur est inscrite dans une histoire sociale. Les anth ne
cherchent jamais a vérifier si il y a une douleur. La parole et lʼhistoire du malade est ce qui
occupe le coeur de notre travail. La douleur sera un phénomène et un individu pour les
prouver a travers son histoire personnelle.
En terme de méthodologie, lʼune des manière de cerner les individus cʼest de partir du
point de vue des individus et des catégories des individus, on part donc des propos tenus
des indi sur ce qui leur arrive. Faire des observations et des entretiens ( entretients) pour
trouver du sens, des logiques, qui vont nous permettre de comprendre ce que lʼon
observe. On part toujours des catégories EMIC, celles des acteurs en oppositions aux
catégories étiques (celles des acteurs).
Lʼan appliquée au domaine de la santé cʼest mettre en lien des manières de penser, la
santé la maladie les soins, mais aussi le risque lʼefficacité la prévention. Cʼest donc
considérer tous ces éléments quʼen mettant tjs des constructions sociales (la médecine en
fait partie). Chaque société a sa définition de la santé. Conception de la santé reliée a la
dimension du monde.
La première conséquence de cette mise en lien est de considérer que tous ces objets
comme des constructions sociales (savoir de la médecine en fait partie). Dire que la
douleur est une construction sociale, ca nous amène nous à travailler sur la notion
dʼexpérience douloureuse, on va interroger un individu sur sa douleur sociale . On va donc
rechercher les dimensions culturelles et sociales, dʼou la diversité des attitudes possibles
pour des malades qui sont affectés par ces memes symptomes. Les situations de
douleurs diverses et variées peuvent toucher toutes les population mais pour autant elles
ne sont pas toujours percues comme étant digne d'intérêt (dignes dʼappeler un médecin).
Des personnes habituées a vivre très durement peuvent rester indifférentes a la douleur
qui sont vécues comme des déchirement pour dʼautres personnes appartenant a dʼautres
milieux sociaux. (valeur dʼavantages associés a certains milieux sociaux par rapport a
dʼautres). Ces valeurs sont inscrites en chacune des personnes socialisées dans ces
milieux sociaux. Plusieurs études ont montré cette récurrence dans notre société.
Personnes dans les milieux populaires ont une tolérance a la douleur plus bcp important
que des indiv appartenant a des classes moyennes et privilégiée. Il y a donc une sorte
dʼécran culturel et nuancé par chacun mais qui amène en tendance ces personnes a
percevoir certains troubles comme relevant du banal de la vie => recours thérapeutique
plus tardif comparé à dʼautres milieux sociaux. Lʼactivation physiologique ne suffit pas a
faire lʼexpérience de la douleur, ou dʼun sentiment précis. Cet entité non humain avec
laquelle les humains cohabitent peuvent sanctionner les humains si ils se conduisent mal,
si ils outrent passe certaines valeurs et les sanctions concernent les problèmes de santé.
On est bien dans la manière ou le culturel vient attribuer des malheurs au corps. On va
voir se multiplier les causes potentielles de maladies, de mort, donc les causes
socialement acceptables. Plus on compare les sociétés et plus on voit a quel point les
sociétés fonctionennt avec des idées sur le monde qui ne sont pas tjs très scientifiques.
Des attitudes qui peuvent paraitre comme normales, nʼa le statut dʼévidence comme
normale que parce que cʼest ce que le plus grand nombre de personne dans une société
admet comme normal a un moment donné de lʼhistoire ce dette société. Aller consulter un
médecin est une convention sociale.
Comment et quoi ils façonnent le domaine de la santé ? Cela permet de dire que toutes
les attitudes, toutes les conduites, et donc toutes les actions qui en découlent et que nous
observons dans nos recherches nous les considérons tjs en mettant en partie associé aux
grandes structures générales dʼune société. Ca nous conduit aussi a dire que les
conduites de chacun de nous sont tjs immergées dans une dimensions plus globale qui
nous dépasse nous individus et donc qui dépasse ce qui se passe directement au travers
de notre conscience immédiate. Une partie de la logique de nos attitudes nous dépassent
en partie. Une société est une entité qui nous dépasse pourtant cette dimension la, elle
agit sur nos conduites quotidiennes. On peut sʼautoriser a dire que nos attitudes,
dépendent en grandes parties de nos désirs, de nos volontés propres : nous sommes des
individus imparfaitement libres. Ces grandes structures, nous sommes incapables de les
modifier individuellement. Mais nous pouvons en nous nous lʼapproprier.
Deux orientations principales permettent de tisser ces liens : tout dʼabord on peut se
demander en quoi la compréhension des sociétés et des cultures peut nous apporter a la
compréhension de formes de prises en charges de la santé, sa nous permet aussi
dʼanalyser le fonctionnement des sociétés et plus précisément ces changements et ces
mutations (le SIDA nous a permis de comprendre certaines mutations de la société
francaises et les rapports entre soignants et soignés et le rapport au savoir).
II- Le corps : approche de ses dimensions sociales
1- Le corps est une matière socialisée : comment penser la «socialisation du
biologique» ? Mobiliser le concept de «genre»
Le corps est un objet centrale pour les antr, parce que ce social et ce culturel il leur faut de
la matière pour sʼexprimer, cʼest lʼélément matériel privilégié sur lequel les données
sociales et culturelles viennent sʼinscrire. Cʼest un objet que nous partageons avec la
médecine. Lʼan cherche à creuser la complexité des articulations qui sʼétablissent entre le
corps et les environnement socio culturels dans lesquels nous évoluons.
On ne peut pas se contenter de le penser comme étant un programme génétique, il est ni
naturel ni culturel, on le regarde comme étant le produit dʼune interactions entre cette
matière et ces environnement socio culturels incorporées de la naissance a la mort
notamment nous la forme dʼhabitus, mais aussi dʼautres concepts cad une base matérielle
sui voit imprimer en elle des codes, des signes et des langages culturels, mais on voit déjà
que les différentes manières de se représenter le corps cad de construire du sens sur le
corps, sont pour nous des contractions sociales. Le point commun qui est de dire que le
corps ne suffit pas a lui seul pour faire un etre humain, il est seulement la base pour le
faire, mais cʼest le corps plus tous les suppléments de sens qui font lʼetre humain. Comme
tout le reste on est encore dans un entre deux, il est ni strictement social, ni strictement
individuel. Une grande partie des études sʼintéressent au corps mais qui est de
questionner les raison et la des manières a travers lesquelles nous avons un corps
dompté, socialisé, mise au normes des sociétés.
Le premier antr a avoir travaillé sur ce corps est Marcel Moss, il a posé les bases qui
continent a étayer nos questionnement sur le corps. Sa question : comment le social fait le
corps ? On le considère comme un des pères fondateurs. Il a montré comment il était
faconner par des habitus, il a donné les premières définitions de cet habitus cad quʼil a
travaillé sur les techniques du corps au travers de gestes simples il a montré des
récurrences dans les sociétés. Tous ces usages techniques qui sont fait du corps, il a
montré comment tout cela était basé sur un fond organique, mais par de très longues
descriptions il a montré que ce sont des techniques qui sont des éléments appris dans
une société. Il a fait les premières études sur les manières dʼapprivoiser son corps et de le
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