JOURNAL DE DISTRICT
Gérard GONDRY
RÉGIE PUBLICITAIRE
Vous le savez, le nerf de la guerre de la presse dépend pour une bonne part de ses ressources
publicitaires. Nous avons fait ce choix en 2006 afin de ne plus confier la régie publicitaire à un
organisme extérieur. Mais cela impose que chacun d’entre nous, selon nos moyens relationnels et
nos acticités professionnelles, utilise à son profit ou s’investisse dans la vente des encarts
publicitaires de notre journal.
C’est ainsi que je rêve toujours de voir des Lions qui exercent des activités professionnelles
compatibles avec une expression publicitaire montrer l’exemple en communiquant leurs produits et
leurs services dans les pages de notre journal.
En effet, comment vanter l’efficacité d’un support publicitaire lorsqu’il est visiblement boudé par les
annonceurs. Comment vendre un support publicitaire en montrant un modèle vierge de toutes
publicités ?
Et pourtant, nous ne manquons pourtant pas d’arguments pour intéresser d’éventuels
annonceurs :
La diffusion garantie de notre journal à 1 630 destinataires parfaitement identifiés socialement
et géographiquement, soit un potentiel total annuel d’environ 10 000 contacts, en intégrant nos
proches et nos conjoints.
Il est également possible de morceler la diffusion des publicités avec des encarts diffusés
exclusivement sur la zone de chalandise de l’annonceur. Une souplesse qui a déjà été exploitée
par la Société Générale.
Une tarification publicitaire qui n’est pas dissuasive avec des prix variant de 90 € pour un 1/8°
de page à 600 € pour la dernière page de couverture. Des tarifs et un bon de commande qui sont
toujours disponibles au téléchargement sur le site de notre district en suivant le lien suivant :
http://www.lions-france.org/centre-est/du_district-71.html
Faut-il rappeler le laboratoire Amplifon, audioprothésiste, qui pendant trois ans a souscrit un
abonnement sur l’ensemble de nos parutions, illustre concrètement qu’il a trouvé dans le lectorat
de notre journal un nouveau potentiel de clientèle… ?
L’enjeu économique de la vente des publicités est pourtant simple : couvrir nos frais d’édition et de
routage Retenez simplement que si chaque numéro contenait au moins l’équivalent de 7 pages
publicitaires notre journal serait intégralement autofinancé.
Nous n’avons eu que deux années de recette significative : 2006/2007 avec 3 700 € facturés, et
2008/2009 avec 3 200 € encaissés. Encore convient-il de relativiser puisqu’il faudrait près de
15 000 € pour atteindre le point mort annuel soit l’équivalent de 7 pages de publicité par numéro.
Avec le dernier numéro de septembre, la régie publicitaire de notre journal pour l’année 2012/2013
a très mal commencé, avec un chiffre d’affaire totalement nul. Le numéro de décembre ne
s’annonce pas plus prospère… Vous l’aurez compris, il est donc urgent de trouver des
annonceurs.