les bénéfices de la connectivité enfin mesurés!

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LES BÉNÉFICES DE LA
CONNECTIVITÉ ENFIN
MESURÉS!
Retour sur la première étude d’impact menée au service
de Pneumologie du CHU de Clermont-Ferrand
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SOMMAIRE
Les bénéfices de la connectivité
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Rappel : La connectivité des appareils biomédicaux
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Contexte du CHU de Clermont-Ferrand
Le CHU, un précurseur en connectivité
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Le service de pneumologie, un pilote de choix
Du DPI à la connectivité
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Etude de l’impact de la connectivité
L’approche ethnographique
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L’histoire d’un projet Pourquoi le choix des solutions de Capsule Technologie ? L’implémentation en pratique
Méthodologie de l’étude
Résultats
Phase témoin : le métier d’infirmière 64% des constantes vitales enregistrées automatiquement Une exploitation accrue du dossier patient informatisé
9 minutes gagnées pour les patients
Moins de stress, plus de disponibilité… L’équipe de pneumologie
a adopté le Capsule Neuron
Les bénéfices de la connectivité démontrés
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LES BÉNÉFICES DE LA CONNECTIVITÉ
Selon un rapport de mai 2013, 75% des hôpitaux français disposent
ou sont en cours d’implémentation d’un Dossier Patient Informatisé
(DPI).1
La mise en place progressive d’un DPI vise à répondre au besoin
de partage de l’information patient par l’ensemble des acteurs
de sa prise en charge. Le DPI assure la traçabilité de l’information
et de toutes les actions effectuées. Pour les équipes soignantes, le
DPI constitue une évolution technologique, organisationnelle et
culturelle majeure qui améliorent la qualité des soins mais influent
également sur la charge de travail infirmier.2
Conscient de cet impact sur les équipes soignantes, les équipes
informatiques du CHU de Clermont-Ferrand ont initié une politique
d’amélioration continue de la prise en charge des patients
au travers de solutions innovantes telles que la connectivité.
Permettant d’automatiser la remontée des signes vitaux depuis
les appareils biomédicaux vers les dossiers patients, les solutions
de connectivité optimisent les processus infirmiers. La société
Capsule Technologie a été retenue lors de l’appel d’offres dédié
afin de déployer ses solutions au sein du CHU.
Comment les infirmières ont-elles vécu l’introduction des nouvelles
technologies de connectivité ? Quels sont les bénéfices des
solutions de connectivité pour les équipes soignantes et pour les
patients ? Quels impacts pour l’adoption de l’informatisation ?
C’est pour répondre à ces questions que pour la première fois en
Europe, une étude a été menée afin de mesurer concrètement et
objectivement l’impact de l’introduction de la connectivité sur le
quotidien des infirmiers.
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Direction Générale de l’offre de soins. Atlas 2013 des SIG. Mai 2013.
Direction Hospitalière – Observatoire National de l’Emploi et des Métiers de la FPH. Etude prospective des métiers de la
FPH. http://www.metiers-fonctionpubliquehospitaliere.sante.gouv.fr/
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RAPPEL : LA CONNECTIVITÉ DES APPAREILS
BIOMÉDICAUX
L’arrivée du Dossier Patient Informatisé implique l’enregistrement
et l’importation de toutes les données et constantes du patient
au sein des programmes informatiques. Or, les données produites
par les moniteurs, les ventilateurs et autres appareils biomédicaux
présents au chevet du patient, sont encore aujourd’hui
régulièrement retranscrites manuellement par les infirmières dans
le dossier patient.
La connectivité des appareils biomédicaux a pour objectif
d’envoyer les données issues des appareils biomédicaux
directement dans le dossier patient sans aucune saisie manuelle
ou recopie, et ce quel que soit la marque des appareils ou des
systèmes DPI.
Ainsi la problématique de la connectivité est double. Elle réside à la
fois dans le manque d’interopérabilité des appareils biomédicaux
entre-eux mais également dans la diversité des solutions DPI
présents dans l’hôpital.
La finalité étant d’optimiser et d’accroître la sécurisation des
processus et la fiabilité des données tout en dégageant du temps
infirmier pour une meilleure qualité de soins.
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CONTEXTE DU CHU DE CLERMONT-FERRAND
LE CHU DE CLERMONT-FERRAND, UN PRÉCURSEUR EN
CONNECTIVITÉ
Partenaire historique de Capsule Technologie, le CHU de ClermontFerrand a été le premier établissement français à lancer un appel
d’offre exclusivement dédié à la connectivité.
L’HISTOIRE D’UN PROJET
En 2006, la Direction informatique du CHU de Clermont-Ferrand
a initié le passage au dossier informatisé avec deux éditeurs de
logiciels: Philips Healthcare pour la réanimation en soins intensifs
et McKesson pour les services de soins généraux.
Conscient de l’importance de la connectivité, les équipes
informatiques s’étaient alors rapprochés de Capsule Technologie
afin de s’appuyer sur un interlocuteur unique, et ce, quel que soit
le dossier patient informatisé implémenté. Ainsi les services de
Réanimation du CHU ont été équipés des solutions de connectivité
Capsule.
POURQUOI LE CHOIX DES SOLUTIONS DE CAPSULE
TECHNOLOGIE ?
Capsule Technologie est le leader historique des solutions de
connectivité. Ses solutions sont implémentées dans plus de 1 250
hôpitaux à travers le monde. Capsule a une expertise éprouvée
dans la mise en place de ses solutions et ce quelques soit le DPI
et les appareils biomédicaux grâce à des partenariats forts avec
plus de 30 éditeurs de dossiers patient et plus de 660 appareils
biomédicaux issus de l’ensemble des fabricants d’appareils.
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LE SERVICE DE PNEUMOLOGIE, UN PILOTE
DE CHOIX
Le service de Pneumologie a été choisi comme service pilote
pour l’implantation des solutions de connectivité. C’est dans ce
service qui compte 17 infirmières diplômées d’Etats (IDE) et 17
aides-soignantes que l’étude a été réalisée.
Composé de 35 lits, le service de Pneumologie prend en charge
les patients atteints de maladies pulmonaires diverses : asthme,
BPCO*, syndrome d’apnées du sommeil, allergies (abeille, guêpe,
graminées, pollens, alimentaire, médicamenteuse), oncologie
thoracique,… La durée moyenne de séjour oscille entre 1 semaine
et 15 jours.
DU DPI À LA CONNECTIVITÉ
En 2009-2010, le service de Pneumologie fut le premier service
à implémenter la solution Crossway version 7.1 de McKesson
qui offre une prise en charge informatisée des patients, depuis
les fonctions administratives et prise des rendez-vous jusqu’à la
gestion médicale sur le dossier de soin et la prescription.
Après le déploiement de Crossway de McKesson, le service de
Pneumologie fut à nouveau choisi pour être pilote des outils de
connectivité.
L’IMPLÉMENTATION EN PRATIQUE
3 Smartlinx Neuron reliés à un appareil de pression non invasive
(dinamap) ont ainsi pris place au sein du service de Pneumologie.
Ils permettent de collecter, valider et envoyer automatiquement
les données associées – constantes vitales relevées - vers le dossier
de soins informatisé, directement depuis la chambre du patient.
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BPCO : Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive
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ETUDE DE L’IMPACT DE LA CONNECTIVITÉ
L’APPROCHE ETHNOGRAPHIQUE
Co-meet, institut indépendant spécialisé dans les études marketing
qualitatives et quantitatives, a été mandaté par Capsule
Technologie pour étudier l’impact des solutions de connectivité
sur le personnel soignant en soins généraux. L’objectif était de
comprendre comment l’introduction de la connectivité, au cœur
des enjeux de la numérisation de l’hôpital, pouvait également
influer sur le quotidien des infirmières.
Cette étude pré- et post- implantation des solutions de connectivité
a été dirigée par un ethnologue. Cette approche ethnographique
d’immersion réalisée au sein du service de Pneumologie a permis
d’être au plus proche des pratiques des personnels soignants
et de ne pas perturber le travail et le quotidien des infirmières.
L’étude a été menée auprès des infirmières volontaires et avec
l’accord des patients.
L’équipe de Co-meet a donc suivi le plus discrètement possible le
personnel du service afin de relever les évolutions avant et après
l’installation du Capsule Neuron.
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MÉTHODOLOGIE DE L’ÉTUDE
Les objectifs de l’étude sont de mesurer l’impact des solutions de
connectivité sur le personnel soignant, et plus particulièrement
pour les infirmières afin d’identifier des bénéfices mesurables pour
l’hôpital : économie de temps infirmier, amélioration du bien-être
de l’infirmière, amélioration de la traçabilité et de la qualité des
soins.
Le but de l’étude est également de proposer une méthode
reproductible pour que d’autres hôpitaux puissent mesurer
concrètement le retour sur investissement « ROI » des solutions.
La méthodologie s’appuyait donc sur la mesure de données
chiffrables avant et après installation de la solution capsule :
• Temps de prise des constantes
• Temps moyen de la retranscription des constantes dans
le dossier patient avec un focus sur les différents modes
opératoires du Dinamap à CrossWay
• Temps de latence entre prise de constante et la saisie
• Temps de saisie dans le dossier patient
• Nombre de constantes saisies au sein du dossier
• Les constantes relevées
L’attention a été portée à la prise de constantes car la connectivité
agit au niveau de la remontée automatique des constantes.
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RÉSULTATS
Phase témoin : le métier d’infirmière
La première phase de l’étude a permis de dégager quelques
constats sur les contraintes rencontrées par les infirmières.
• La gestion du temps : Le facteur temps est un impondérable.
Dès leur prise de fonction à 6h, c’est une course contre la
montre. Prendre les constantes vitales des patients, gérer les
prescriptions, faire le point avec le médecin, gérer les à-cotés
et entretenir la relation avec chaque patient… tant de missions
qui doivent s’articuler dans un lapse de temps très court afin
que toutes les équipes soignantes puissent fonctionner en
cadence sans être ralenties.
• La multiplication des tâches fastidieuses : L’arrivée de
l’informatique même si elle est perçue comme bénéfique a
apporté son lot de tâches rébarbatives. Les différentes saisies
à effectuer dans le DPI engendrent une frustration des équipes
et le sentiment de perdre du temps, temps qui pourrait être
consacré au soin des patients.
• La fatigue physique : En moyenne, les infirmières parcourent
jusqu’à 10 km par jour tout en poussant de 2 à 3 chariots
différents de poids et de volumes importants obligeants à faire
certaines manœuvres dans les couloirs pour pouvoir arriver à
bon port.
Cette gestion des différentes contraintes engendre une mise à jour
du dossier patient non instantanée et peut aussi être à l’origine
d’erreurs de saisie lors notamment des diverses retranscriptions.
Les infirmières avouent volontiers qu’elles exercent un métier riche
et dense. Elles apprécient particulièrement la relation patient ou
les actes techniques (prise de sang, changement de gripper ou
de pansements). A l’inverse, elles constatent aussi que le temps
de soin et le contact patient se délitent notamment à cause de la
multiplication de la charge de travail et de tâches administratives
17
ou de saisie qu’elles considèrent comme rébarbatives.
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64%
des
constantes
automatiquement
vitales
enregistrées
Premier succès : En quelques semaines d’utilisation, les équipes
soignantes ont pris en main le nouveau dispositif et l’utilisent
naturellement dans leur quotidien. Facile à transporter, le
Smartlinx Neuron vient s’intégrer parfaitement au workflow sans
alourdir l’équipement que porte les infirmières. Présent au-dessus
de l’appareil de pression non invasive, il rentre facilement dans les
chambres des patients et son utilisation devient spontanée.
Au bout de quelques semaines, près de 64% des constantes vitales
sont désormais renseignées via le Smartlinx Neuron.
Alors que les équipes de soins gèrent d’ores et déjà plus d’une
quinzaine de machines différentes, l’arrivée d’un nouveau dispositif
n’était pas forcément vécue de manière très enthousiaste, et
pourtant... Après une prise en main rapide, le succès est au rendezvous. Les infirmières de l’équipe de Sandrine Braud ont adopté le
dispositif et certaines avouent d’ailleurs qu’elles ne peuvent plus
s’en passer.
Cette remontée des données via les solutions de connectivité a
un double avantage :
• Une remontée en « temps réel » : Le temps de latence entre la prise
des constantes vitales et la saisie dans le dossier patient pouvait
aller jusqu’à 16’48 avant l’arrivée des solutions de connectivité.
Avec le Smartlinx Neuron, la remontée est quasiment instantanée,
assurant ainsi un suivi de chaque patient en temps réel pour
l’ensemble de l’équipe soignante.
• Un taux d’erreur réduit : Plus d’erreur de retranscription, plus
de perte de données, les constantes vitales sont récupérées
automatiquement depuis l’appareil de pression non invasive,
complétées, validées et transmises directement depuis le chevet
du patient au sein du DPI. L’infirmière peut se recentrer sur le soin 19
apporté au patient.
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Une exploitation
informatisé
accrue
du
dossier
patient
L’arrivée du Neuron a permis d’augmenter de près de 56% le
nombre de données renseignées dans Crossway pendant la
semaine de l’étude.
En regardant sur une plus longue période, cette hausse est à
nuancer. En effet, en comparant sur 3 mois avant et après, la
hausse est moins élevée mais néanmoins significative : +9% de
données renseignées avec l’arrivée du Neuron.
Au-delà de la quantité de constantes saisies, les informations
statistiques fournies par les équipes informatiques ont permis de
démontrer que certaines valeurs qui n’étaient pas renseignées
avant la mise en place des solutions de connectivité étaient
maintenant quasiment systématiquement renseignées dans le
DPI. Il s’agit notamment de l’échelle de douleur EVA qui peut
facilement être renseigné sur le Neuron.
Ces données illustrent l’importance de la facilité d’usage des
dispositifs pour améliorer l’appropriation des outils informatiques.
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9 MINUTES GAGNÉES POUR LES PATIENTS
En mesurant l’ensemble des éléments relatifs à l’intégration des
données au sein du dossier patient, depuis la prise des constantes
jusqu’à la saisie des données dans le DPI, on constate que chaque
infirmière gagne près de 9 minutes par journée. A l’année, cela
correspond à 4,7 jours de travail par infirmière, soit presque une
semaine à temps plein ! Un véritable gain de temps ainsi mesuré.
‘‘Avec le Neuron, le temps passé à la saisie des constantes
vitales est largement réduit et le risque de d’erreur lors de la
retranscription écarté. La plupart des constantes vitales étant
directement envoyées au dossier patient, je suis donc moins
stressée et je peux ainsi être davantage vigilante au bien-être
des patients’’indique une infirmière du service.
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MOINS DE STRESS, PLUS DE DISPONIBILITÉ…
L’ÉQUIPE DE PNEUMOLOGIE A ADOPTÉ LE CAPSULE
NEURON
Le Capsule Neuron a été jugé ergonomique, ludique et utile
par les infirmières. Sandrine Braud, Cadre de santé du service
de pneumologie, considère que l’arrivée des solutions de
connectivité permet aux infirmières de son équipe d’avoir une
prise en charge plus globale des patients notamment grâce à la
vision plus généraliste de l’ensemble des constantes.
De plus, l’ensemble des membres de l’équipe considère l’arrivée
du Capsule Neuron comme un véritable atout, un avantage
pour la qualité des soins. La journée de travail semble être moins
stressante et les infirmières pensent avoir plus de temps pour gérer
leur relation avec leurs patients.
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LES BÉNÉFICES
DÉMONTRÉS
DE
LA
CONNECTIVITÉ
Le Capsule Neuron est perçu comme un véritable atout pour les
équipes soignantes. Gain de temps, fiabilité, traçabilité sont les
maîtres mots ressortis de cette étude.
Première de ce type en Europe, cette étude a été mené afin
d’être reproductible dans d’autres services, d’autres hôpitaux.
Elle a permis de démontrer que la connectivité est un accélérateur
de l’adoption des dossiers patients informatisés. La simplicité
d’usage du Capsule Neuron permet en effet l’intégration des
données patient de façon plus ludique, plus rapide, en plus grand
nombre et sans erreur.
D’un point de vue sécurité et qualité des soins, la connectivité a
permis d’assurer une meilleure traçabilité de l’état du patient et
ainsi faciliter la prise en charge.
L’autre effet de la connectivité est le gain de temps pour les
infirmières. Dans un service tel que celui de Clermont-Ferrand, c’est
4,7 jours par an et par infirmière qui peuvent être ainsi consacrés
au bien être des patients !
La solution Capsule a été conçue avec et pour les soignants ce
qui explique sa facilité de prise en main et son ergonomie. Elle
accompagne ainsi chaque jour les infirmiers pour devenir un
véritable outil indispensable. De plus, étant donné que la solution
de connectivité s’intègre parfaitement aux workflow infirmiers
et aux équipements en place (ou à venir), elle répond aussi aux
besoins des équipes informatiques, du médicales et des médecins.
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UN SUCCÈS D’ÉQUIPE
Pour garantir à la fois le succès de l’implémentation et de la
prise en main du Capsule Neuron, Capsule a noué un véritable
partenariat avec la DSI et les équipes soignantes du service de
pneumologie. Ce projet a ainsi permis de fédérer ces deux services
autour d’objectifs communs : l’importance de l’intégration de
la connectivité pour l’optimisation du DPI pour plus de sécurité
informatique et une meilleure prise charge des patients.
De la réflexion à la mise en place de la solution, Capsule
Technologie a su être présent auprès de la DSI pour travailler à la
coordination de l’intégration des systèmes biomédicaux avec le
système d’information de McKesson. Ils ont ensuite accompagné
l’équipe soignante du service de pneumologie dans la prise en
main du Capsule Neuron.
Au vu des résultats obtenus, le CHU de Clermont-Ferrand entend
poursuivre le déploiement du dossier patient informatisé et
envisage l’implémentation des solutions de connectivité de
Capsule.
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A PROPOS DE...
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITATIRE
DE CLERMONT-FERRAND
Le CHU de Clermont-Ferrand a cinq missions principales : le
soin (15 pôles répartis sur trois sites principaux : le CHU GabrielMontpied, le CHU Estaing, le CHU Hôpital Nord) ; l’enseignement
(convention avec l’Université d’Auvergne dans les filières de
médecine, pharmacie, chirurgie dentaire et maïeutique), la
recherche (gérée par la Délégation à la recherche clinique et
à l’innovation), la formation des professionnels paramédicaux et
maïeutiques (10 écoles et instituts de formation) et la prévention
(Comité de liaison alimentation et nutrition – CLAN, Comité
de lutte contre les infections nosocomiales – CLIN, ...). Le CHU
regroupe 7 000 agents au service du patient (5 795 personnels
non médicaux, 532 médecins, 504 internes et 744 étudiants).
Contact:
Benjamin Héraut – Chargé de communication et des missions
culturelles [email protected]
CO-MEET
Co-meet est une société d’études et de conseil créée en 2007
étendant les frontières du Research Marketing au Consumer
Connect, pour accompagner les marques tant dans leur
processus de création que dans leurs solutions de mesure et de
compréhension du consommateur.
Nous assistons à la conjonction entre des entreprises saturées
d’informations sur leurs marchés, et des consommateurs de plus
en plus infidèles, acteurs de leur consommation, complexes à
saisir, à capter, à émouvoir, à intéresser, avec qui entretenir des
liens durables.
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CAPSULE TECHNOLOGIE
Capsule, leader en solutions de connectivité pour appareils
biomédicaux, permet de relier n’importe quel appareil biomédical
à n’importe quel système d’information. La solution de connectivité
SmartLinx Medical Device Information SystemTM est le premier
système d’information dédié aux dispositifs médicaux tourné vers
le patient. Elle permet aux hôpitaux et aux établissements de
santé de réduire leurs coûts et d’augmenter leur productivité.
Fondée en 1997, la société a établi au fil des ans de nombreux
partenariats avec les principaux fabricants d’appareils médicaux
et fournisseurs de systèmes d’information. Capsule est présent
dans plus de 1700 hôpitaux répartis sur 37 pays.
Les solutions Capsule sont disponibles en ligne sur le site marchand
de l’UGAP, www.ugap.fr.
Site internet : www.capsuletech.fr
Contact:
Sarah Wolff - Chargée de communication internationale [email protected] - +33 1 84 17 12 88
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DES BÉNÉFICES POUR L’ENSEMBLE DE L’HÔPITAL
INFIRMIÈRES
Plus de temps à consacrer au soin des
patients
ÉQUIPES INFORMATIQUE
Meilleure adoption du dossier patient
informatisé
MÉDECINS
Une meilleure traçabilité pour une décision
médicale facilitée
Capsule Tech, SAS
9 Villa Pierre Ginier,
75018, Paris, France
Téléphone : +33 1 84 17 12 88
www.capsuletech.fr
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