building standard® the - International WELL Building Institute

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THE
BUILDING STANDARD®
v1
Septembre 2015
WELL Building Standard®
v1
Septembre 2015
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©
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consécutif à l'utilisation ou à la fiabilité présumée de ces informations. Bien que les informations contenues dans
le WELL Building Standard soient considérées comme fiables et exactes, tous les éléments inclus sont fournis
sans aucune garantie, explicite ou implicite, d'exactitude ou de complétude des informations ou d'adéquation à
quelque usage que ce soit. Ce document et le WELL Building Standard ont pour objectif d'informer et d'assister les
propriétaires immobiliers et les locataires dans leurs projets de créer des lieux de vie et de travail plus sains, mais
rien dans ce document ou dans le WELL Building Standard ne doit être considéré ou utilisé comme un substitut de
conseil, de diagnostic ou de traitement médical.
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TABLE DES MATIÈRES
RÉSUMÉ ANALYTIQUE DU WELL BUILDING STANDARD. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
STRUCTURE ORGANISATIONNELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
BIEN-ÊTRE – UN SUJET COMPLEXE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
ORGANISATION DU WELL BUILDING STANDARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
TYPOLOGIES DES PROJETS. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
PROGRAMME PILOTE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
CERTIFICATION WELL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
MATRICE DES ÉLÉMENTS DU WELL BUILDING STANDARD. . . . . . . . . . . . . . . 18
Air . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
Eau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
Nutrition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
Lumière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93
Forme physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
Confort. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
Esprit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
ANNEXES. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
A : Glossaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
B : Citations des normes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165
C : Tables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187
D : Types d’éléments et méthodes de vérification. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 200
E : Similarités avec LEED v4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215
F : Chevauchement avec le Living Building Challenge 3.0 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218
G : Réviseurs externes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220
H : Références des concepts et des éléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
RÉSUMÉ ANALYTIQUE DU WELL BUILDING STANDARD®
Le WELL Building Standard (WELL) s'intéresse aux personnes qui vivent
dans le bâtiment.
Au cours de la dernière décennie, les normes de construction verte et les organisations de normalisation ont fait de
grands pas vers la transformation du marché de la construction et ont favorisé l'essor rapide de bâtiments verts et
de pratiques de construction éco-responsables dans le monde entier.
Dans le même temps, les stratégies d'amélioration de la santé et du bien-être humains ont joué un rôle relativement
limité dans l'évolution des normes de construction. Nous pensons que l'heure est venue de mettre la santé et le
confort de l'homme au premier plan des pratiques de construction et de réinventer des bâtiments qui soient non
seulement meilleurs pour la planète mais aussi pour ses habitants.
1. Il s'agit de la première norme de ce type qui s'intéresse exclusivement à la santé et au bien-être des
occupants des bâtiments.
2. WELL identifie 100 mesures de performance, stratégies de conception et politiques pouvant être mises en
œuvre par les propriétaires, concepteurs, ingénieurs, entrepreneurs, usagers et exploitants d'un bâtiment.
3. WELL s'appuie sur l'examen approfondi des recherches menées sur les effets des espaces sur les
personnes et a fait l'objet d'une révision scientifique et technique minutieuse.
4. Pour satisfaire aux exigences du WELL Building Standard, l'espace doit être soumis à un processus qui
inclut une évaluation sur site et un test de performance effectué par un tiers.
WELL Building Standard v1
Introduction
1
Une norme de bien-être pour les bâtiments
Le WELL Building Standard allie les bonnes pratiques de conception et de construction à des interventions
éprouvées pour la santé et le bien-être. Il se sert du bâti comme d'un instrument au service de la santé, du bien™
être et du confort de l'homme. Les espaces certifiés WELL et les développements de la Conformité du noyau et
™
de l'enveloppe WELL peuvent favoriser l'émergence de cadres bâtis contribuant à améliorer la nutrition, la forme
physique, l'humeur, le sommeil, le confort et les performances de leurs occupants. Ce résultat s'obtient notamment
par la mise en œuvre de stratégies, de programmes et de technologies visant à encourager des modes de vie sains
et actifs et à réduire l'exposition des occupants à des produits chimiques et polluants nocifs.
Ce document présente les stratégies générales, objectifs de performance, étapes de certification et d'adhésion
requis pour satisfaire aux critères du WELL Building Standard.
Le WELL Building Standard v1 est applicable aux bâtiments commerciaux et institutionnels et peut être appliqué à
trois types de projets :
1. Bâtiments neufs et existants, pour la certification WELL
2. Aménagements intérieurs neufs et existants, pour la certification WELL
3. Développements du noyau et de l'enveloppe, pour la conformité WELL
Les exigences spécifiques des résidences multifamiliales, des magasins de vente au détail et des restaurants, des
installations sportives et des centres de convention, des écoles et des établissements de santé seront affinées
ultérieurement. Les projets représentant ces secteurs de la construction sont invités à se joindre à notre programme
pilote en cours.
Options améliorées du WELL Building Standard
Le WELL Building Standard est un système de notation dynamique. À mesure qu'elles se rapprochent, nous
pensons qu'il est très important de faire progresser ensemble les thématiques de la conception et de la santé.
Le WELL Building Standard (WELL) v1.0 fut lancé en octobre 2014 et intégra dès les premières phases de son
développement les suggestions des utilisateurs, parmi lesquelles des demandes de simplifications, d'améliorations
linguistiques et de clarifications supplémentaires concernant certaines exigences.
Les options améliorées entrent dans quatre catégories : 1) organisation des exigences en vue d'un meilleur
confort d'utilisation ; 2) simplification basée sur les commentaires des utilisateurs pouvant inclure des options
supplémentaires pour plus de souplesse dans la réalisation des exigences ; 3) ajout de nouvelles exigences à la
norme pour renforcer le système ; 4) clarification, ou ajustements mineurs pour améliorer la langue.
Dans le cadre de ces améliorations, les typologies WELL ont été renommées :
• Nouvelle construction a été renommée en Bâtiments neufs et existants. • Amélioration locataire a été renommée en Aménagements intérieurs neufs et existants.
• Vérification des performances, anciennement Mise en service WELL, distingue WELL d'autres programmes
et garantit au terme d'une série de tests complets sur site que les critères de santé et de bien-être WELL
sont satisfaits.
WELL Building Standard v1
Introduction
2
STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
WELL conclut sept années de recherches rigoureuses en collaboration avec des médecins, des scientifiques et
®
des entrepreneurs de premier plan. Le WELL Building Standard fut expérimenté par Delos, est administré par
™
™
International WELL Building Institute (IWBI ) et est certifié par une tierce partie grâce à la collaboration entre IWBI
et Green Business Certification Inc. (GBCI) – l'organisme de certification du système de notation des bâtiments
verts LEED.
International WELL Building Institute, PBC (IWBI)
IWBI est une corporation d'utilité publique dont la mission est d'améliorer la santé et le bien-être humains par le
cadre bâti. Les corporations d'utilité publique comme IWBI sont des structures qui émergent aux États-Unis pour
les corporations désireuses de trouver un juste milieu entre l'intérêt public et la rentabilité – mettant la puissance
du capital privé au service du bien commun. IWBI administre le WELL Building Standard (WELL) – un système de
mesure, de certification et de surveillance des performances des éléments des bâtiments qui ont un impact sur la
santé et le bien-être des personnes qui y vivent, travaillent et étudient. Réalisant la vision de son fondateur, Paul
Scialla, l'institut IWBI expérimente un modèle de capitalisme altruiste qui aborde la question de la responsabilité
sociale en faisant la démonstration d'un modèle philanthropique durable. IWBI s'est engagé à convertir 51 % des
bénéfices nets provenant des frais de certification WELL en dons caritatifs et en investissements dans la santé,
le bien-être et le cadre bâti. IWBI fut établi par Delos en 2013 conformément à un engagement du programme
Clinton Global Initiative de développer des espaces qui améliorent la santé et la qualité de vie de ses occupants en
partageant le WELL Building Standard à l'échelle globale.
Delos Living LLC
®
Delos ouvre la voie de l'intégration des technologies de la santé et du bien-être dans nos lieux de vie, de travail et
d'enseignement. En plaçant la santé et le bien-être au cœur des décisions liées à la conception, à la construction,
à la technologie et à la programmation, Delos transforme nos maisons, bureaux, écoles et autres environnements
intérieurs en espaces contribuant activement à la santé et au bien-être de l'homme. Alignement sur les normes de construction verte
Le WELL Building Standard est conçu pour fonctionner en harmonie avec le système de notation des bâtiments verts
LEED, le Living Building Challenge et d'autres normes de construction verte de premier plan dans le monde. Nous
encourageons les projets à se conformer à la fois à la norme WELL et aux normes portant sur le développement
durable environnemental.
WELL Building Standard v1
Introduction
3
BIEN-ÊTRE – UN SUJET COMPLEXE
Des approches exhaustives et interdisciplinaires sont nécessaires pour traiter de manière judicieuse les questions
complexes de la santé et du bien-être humains. Une focalisation trop étroite sur certains aspects de la santé serait
inappropriée. De nombreux facteurs de l'environnement physique ont un impact significatif sur la santé et la
productivité au quotidien, mais ce sont souvent les interactions entre différents facteurs environnementaux qui
importent le plus. Des recherches de plus en plus nombreuses soutiennent ces thèses mais bien peu a été fait
®
pour traduire ces recherches en actions. Le WELL Building Standard puise dès lors dans différentes disciplines
scientifiques, et présente une approche intégrée qui réinvente le cadre bâti autour de ses occupants, transformant
les endroits dans lesquels nous vivons, travaillons et étudions en systèmes conçus pour promouvoir et améliorer la
santé et le bien-être des personnes.
Interactions entre les humains et le bâti
Les systèmes de soins de santé traditionnels tendent à ne s'intéresser à la santé que lorsque les patients sont déjà
malades. Avec des coûts en hausse et l'accroissement du poids de maladies chroniques telles que le diabète, les
maladies cardio-vasculaires et le cancer, les gens sont de plus en plus sensibles à des approches orientées sur la
qualité de vie et préventives en matière de santé. Le WELL Building Standard repose sur la prise de conscience
que notre santé et notre bien-être sont façonnés par l'interaction de facettes de notre environnement avec des
facteurs personnels, génétiques et comportementaux. WELL reconnaît que de nombreux comportements sont
inconsciemment dictés par des stimuli extérieurs, et prend donc sérieusement en compte les interactions entre
l'homme et le bâti qui façonnent non seulement notre santé physique mais aussi notre comportement.
La base du WELL Building Standard
Le WELL Building Standard v1 est le fruit de sept années de recherches et de développement qui se sont achevées
sur un processus de révision d'experts dans les domaines de la science, de la construction et de la médecine. Le
WELL Building Standard a été développé en intégrant des recherches scientifiques et médicales et en passant
en revue la littérature existante sur la santé environnementale, les facteurs comportementaux, les effets sur la
santé et les facteurs de risques démographiques. En compilant les pratiques de pointe en conception et en
gestion de bâtiments et en référençant les normes existantes et les bonnes pratiques définies par les organisations
gouvernementales et professionnelles, WELL contribue à harmoniser et à clarifier certains seuils et critères existants.
Là où d'importantes questions n'ont pas été suffisamment traitées par la littérature, le WELL Building Standard
s'appuie sur des avis d'experts pour définir ses critères de performances.
WELL repose en grande partie sur les performances ; dans la plupart des cas, des « marqueurs » (seuils) spécifiques
et quantifiables fournis doivent être atteints. Dans d'autres cas, des stratégies particulières sont requises, lorsque
des preuves sérieuses suggèrent qu'une mise en œuvre serait bénéfique.
Globalement, le WELL Building Standard est conçu pour couvrir entièrement les besoins individuels des occupants
d'un bâtiment tout en posant des fondations communes pour mesurer le bien-être dans le bâti. WELLographies™
Le développement des concepts sous-jacents et des exigences du WELL Building Standard a été validé par
un corpus de recherches important. Une analyse de cette littérature est décrite dans une série de publications
™
WELLography . Les WELLographies fourniront le contenu et les références de tous les sujets principaux qui
constituent le WELL Building Standard. Les WELLographies citent les directives réglementaires majeures, les prises
de position d'organisations de référence, la littérature médicale et scientifique et les bonnes pratiques bien établies
sur les sujets couverts par le WELL.
WELL Building Standard v1
Introduction
4
Remerciements
Nous souhaitons remercier toutes les parties qui ont participé à la révision du WELL Building Standard et des
WELLographies qui l'accompagnent. Le WELL Building Standard a été évalué par des scientifiques, des praticiens
de l'industrie de la construction et des médecins d'établissements médicaux de pointe.
Des scientifiques ont été consultés pour hiérarchiser les facteurs qui contribuent au bien-être. Pour évaluer
l'applicabilité du WELL en pratique, des professionnels de la construction et d'autres spécialistes ont été sollicités.
Nous remercions tout particulièrement les institutions Clinton Global Initiative, U.S. Green Building Council,
International Living Future Institute, GBCI, Mayo Clinic et CBRE pour le soutien apporté à nos recherches.
IWBI remercie infiniment l'institut Wellness de la Cleveland Clinic pour son soutien tout au long de ces dernières
années. L'organisation nous a permis de constater l'effet que des stratégies de bien-être peuvent avoir sur la santé
et le bien-être du personnel d'une institution. Sous la direction du Dr. Michael F. Roizen, l'institut Wellness de la
Cleveland Clinic a effectué une révision du WELL Building Standard et des WELLographies.
La liste complète des réviseurs est consultable à l'Annexe G et sur www.WELLCertified.com.
WELL Building Standard v1
Introduction
5
ORGANISATION DU WELL BUILDING STANDARD®
Le WELL Building Standard s'articule autour de sept catégories de bien-être appelées Concepts : Air, Eau, Nutrition,
Lumière, Forme physique, Confort et Esprit.
Éléments, parties et exigences du WELL Building Standard
Les sept Concepts se composent de 102 éléments. Chaque élément traite d'un aspect particulier de la santé, du confort
ou de la connaissance de l'occupant. Chaque élément est divisé en parties, qui sont souvent adaptées à un type de
bâtiment spécifique. Cela signifie que suivant le type de bâtiment (Aménagements intérieurs neufs et existants ou Noyau
et enveloppe, par exemple), seules certaines parties d'un élément donné peuvent être applicables. Chaque partie contient
une ou plusieurs exigences, qui dictent les paramètres ou les mesures à atteindre. Pour qu'un élément particulier d'un
projet soit crédité, toutes les spécifications des parties applicables qui le composent doivent être satisfaites.
Les éléments peuvent être :
• Des normes basées sur les performances qui offrent de la flexibilité quant à la manière avec laquelle un
projet atteint des seuils quantifiés acceptables
• Des normes prescriptives qui exigent l'implémentation de technologies, de stratégies de conception ou de
protocoles spécifiques
Conditions préalables
Les éléments WELL sont catégorisés en tant que conditions préalables, à savoir nécessaires pour tous les niveaux
de certification WELL ou de conformité du noyau et de l'enveloppe WELL. Ces éléments sont au cœur du WELL
Building Standard. Les conditions préalables peuvent être considérées comme les fondations du bien-être dans
le bâti. Il est important de noter que pour accorder une certification ou une conformité, toutes les conditions
préalables applicables doivent être remplies.
Optimisations
Les optimisations ne sont pas requises pour atteindre le niveau de certification d'Argent, mais elles ouvrent la voie aux
niveaux de certification d'Or et de Platine. La conformité du noyau et de l'enveloppe WELL nécessite au moins une
optimisation par concept. Ces éléments incluent des technologies, des stratégies, des conceptions et des protocoles
facultatifs. IWBI recommande que tous les projets s'efforcent de réaliser autant d'optimisations que possible.
NIVEAU DE
RÉALISATION
CONDITIONS
PRÉALABLES DEVANT
ÊTRE REMPLIES
OPTIMISATIONS
DEVANT ÊTRE
RÉALISÉES
Conformité du noyau et
de l'enveloppe
Toutes applicables
Une optimisation de
chaque concept
Certification d'Argent
Toutes applicables
Aucune
Certification d'Or
Toutes applicables
40 % des applicables
Certification de Platine
Toutes applicables
80 % des applicables
Certification d'Argent
Toutes applicables
20 % des applicables
Certification d'Or
Toutes applicables
40 % des applicables
Certification de Platine
Toutes applicables
80 % des applicables
VERSION STANDARD
WELL Building
®
Standard
Normes pilotes WELL
WELL Building Standard v1
Introduction
6
Intentions des éléments du WELL Building Standard
Chaque élément du WELL Building Standard vise à traiter des sujets affectant la santé, le confort ou la
connaissance des occupants. De nombreux éléments visant à améliorer la santé sont pris en charge par les
normes gouvernementales existantes ou d'autres organismes de normalisation. Certains éléments sont conçus
pour modifier des comportements par l'enseignement et la culture d'entreprise, en fournissant par exemple des
informations et de l'assistance pour prendre des mesures positives pour sa qualité de vie.
Bien-être et systèmes corporels
Chaque élément du WELL Building Standard est associé aux systèmes du corps humain qui devraient bénéficier de
sa mise en œuvre. Cela permet aux équipes de projet de classifier les avantages prévus de chaque élément WELL
et de développer un ensemble complet de stratégies. S'il existe différentes manières de regrouper les différents
systèmes corporels, le WELL Building Standard prend en compte l'impact de chaque élément sur les catégories
de systèmes corporels suivantes :
WELL Building Standard v1
Introduction
7
Système cardiovasculaire
Le système cardiovasculaire comprend le cœur, les vaisseaux et le sang. Sa fonction première
est d'apporter les nutriments aux tissus corporels et d'en évacuer les déchets. Toutefois, le
stress, un régime alimentaire inadapté et une mauvaise hygiène de vie, ainsi qu'une exposition
aux polluants environnementaux peuvent affecter négativement la santé cardiovasculaire et
entraîner le développement de maladies chroniques qui réduisent la qualité de vie. Le WELL Building Standard prend en compte des facteurs jouant un rôle vital dans la
santé cardiovasculaire : stress, nutrition, forme physique et polluants environnementaux.
Les éléments de confort réduisent le stress et contribuent au maintien de l'équilibre
hormonal dans le corps. Un régime alimentaire sain et un mode de vie actif permettent
de contrôler son poids et de renforcer les muscles du cœur. L'élimination de polluants
environnementaux dans l'air, comme le tabac et les COV – qui endommagent directement
le cœur et les vaisseaux – favorise également la santé du système cardiovasculaire.
Système digestif
Le système digestif se compose de la bouche, de l'œsophage, de l'estomac, de l'intestin
grêle, du gros intestin et des organes auxiliaires – foie et pancréas – qui produisent
des hormones digestives et des enzymes. Ce système complexe est responsable de la
décomposition, de l'absorption et de l'assimilation des nutriments. De plus, l'intestin est le
plus grand réservoir de bactéries, qui aident à la digestion et jouent un rôle dans la santé du
système immunitaire. Ces fonctions essentielles sont affaiblies par une mauvaise hygiène
alimentaire et le stress, ainsi que par les microbes et les polluants environnementaux qui
se trouvent dans nos aliments et les surfaces que nous touchons.
Les éléments de WELL soutiennent les interventions qui réduisent les facteurs affectant
négativement la santé du système digestif. Les éléments de confort réduisent le stress, qui
affecte la santé et le fonctionnement du microbiome. Un régime équilibré aide à limiter la
consommation d'aliments et de substances à l'origine d'inconfort digestif et de réactions
allergiques. Le traitement des surfaces veille à ce que les microbes et les toxines n'entrent
pas dans le système digestif via les aliments que nous ingérons. Ensemble, les éléments de
WELL contribuent au maintien d'une bonne hygiène digestive et générale.
Système endocrinien
Le système endocrinien est composé de glandes qui sécrètent des hormones. Les hormones sont
des composés chimiques qui régulent de nombreux processus importants tels que la croissance,
l'immunité, le métabolisme, la reproduction, l'humeur et la digestion. Malheureusement, le stress,
les polluants environnementaux et bon nombre des aliments et produits que nous consommons
aujourd'hui contiennent des produits chimiques qui perturbent le fonctionnement du système
endocrinien et peuvent causer toutes sortes de problèmes de santé. Les éléments du WELL Building Standard visent à limiter ou à éliminer l'exposition à des
perturbateurs endocriniens potentiellement nocifs. Les éléments de confort aident à réduire
le stress pouvant entraîner des maladies chroniques. Les éléments de la nutrition limitent
l'ingestion de composés qui imitent les hormones et perturbent la régulation endocrinienne.
L'élimination des polluants environnementaux empêche l'exposition aux toxines et aux
composés qui interfèrent avec la régulation endocrinienne de nombreuses fonctions du corps.
WELL Building Standard v1
Introduction
8
Système immunitaire
Le système immunitaire est un ensemble complexe de cellules, protéines, tissus et organes
hautement spécialisés qui composent le système de défense de l'organisme contre les
agents porteurs de maladies internes et étrangers. Il est affecté par l'effet cumulé des
toxines, du manque de sommeil, de l'alimentation et de l'excès de stress. L'incapacité de
maintenir un bon fonctionnement du système immunitaire favorise la survenue d'infections
par des agents pathogènes bactériens et viraux, et contribue au développement de
maladies chroniques telles que l'arthrite, le diabète, les maladies cardiovasculaires ou
respiratoires, et même le cancer.
Les éléments du WELL Building Standard visent à promouvoir et à améliorer la santé du
système immunitaire. L'utilisation de matériaux non toxiques limite l'exposition à des
produits chimiques qui affaiblissent la fonction immunitaire. Les systèmes de filtration
de l'eau et de l'air limitent l'exposition aux agents pathogènes bactériens et viraux, et
aux allergènes. En plus, WELL inclut des éléments qui réduisent le stress et améliorent
l'alimentation et la forme physique, qui aident à renforcer le système immunitaire.
Système tégumentaire
La peau, les cheveux et les ongles forment l'enveloppe extérieure, ou système tégumentaire,
du corps. Ce système protège les organes internes, empêche la déshydratation, régule la
température corporelle et protège l'organisme contre les agents pathogènes étrangers
et les toxines nocives. La peau abrite également une importante communauté de
microorganismes symbiotiques qui produisent une couche hydratante et assistent la
fonction immunitaire.
Le WELL Building Standard aide à maintenir l'intégrité du système tégumentaire, car ce
système constitue la première ligne de défense contre les blessures et/ou les infections. De
plus, il exige que les matériaux de construction soient dépourvus de toxines qui peuvent
se révéler nocives en cas d'absorption par les couches extérieures du corps.
Système musculaire
Le système musculaire humain est composé de muscles squelettiques, lisses et cardiaques.
Il soutient la posture, le mouvement, la circulation sanguine et la digestion. Le système
musculaire est également responsable de la génération de chaleur par la contraction
des muscles. Un régime alimentaire équilibré et l'activité physique affectent grandement
la santé musculaire, en plus de veiller à ce que les muscles reçoivent suffisamment de
nutriments pour leur développement et leur fonctionnement.
Le WELL Building Standard contient des éléments conçus pour encourager ou faciliter
les occasions de pratiquer une activité physique, promouvant ainsi un mode de vie actif.
En complément, les conceptions ergonomiques veillent à réduire le risque de tensions
ligamentaires ou de blessures musculaires. D'autres éléments promeuvent l'utilisation
d'un ameublement actif ou de principes de conception encourageant l'activité physique
tout au long de la journée, réduisant les effets de la sédentarité.
WELL Building Standard v1
Introduction
9
Système nerveux
Le système nerveux inclut le système nerveux central, composé du cerveau et de la moelle
épinière, et le système nerveux périphérique, composé de nerfs. Le système nerveux est
directement et indirectement responsable du contrôle de presque chaque processus
corporel, et notamment le mouvement, les processus cognitifs et la maintenance des
fonctions des organes vitaux.
Le WELL Building Standard accorde la plus grande importance au soutien de la fonction
neurologique et cognitive à travers différentes interventions. Les éléments visent à limiter
l'exposition aux toxines environnementales présentes dans l'air et dans l'eau, à encourager
l'adoption de régimes alimentaires équilibrés et de niveaux d'activité physique optimaux,
à améliorer la qualité du sommeil et à réduire le stress par la mise en œuvre d'une série de
mesures de confort.
Système reproducteur
Le système reproducteur est composé de glandes qui sécrètent des hormones dans le
cerveau et les organes reproducteurs. L'incapacité à veiller à la santé reproductive peut
avoir des conséquences négatives sur la santé globale. De plus, les effets de ce système
ont des répercussions lointaines pouvant affecter la santé personnelle et prénatale.
Le WELL Building Standard présente des éléments visant à protéger la santé du système
reproducteur. Une bonne alimentation et de l'exercice physique sont deux facteurs
importants abordés par WELL. Ils sont renforcés par des stratégies d'ergonomie et
d'évitement des toxines qui favorisent la santé reproductive.
Système respiratoire
Le système respiratoire comprend la bouche, le nez, le diaphragme, la trachée et les voies
aériennes qui se prolongent dans les poumons. Le système respiratoire fonctionne en
binôme avec le système circulatoire pour alimenter en oxygène et évacuer le dioxyde de
carbone des tissus de l'organisme.
Les éléments du WELL Building Standard aident à promouvoir un fonctionnement optimal
du système respiratoire en améliorant la qualité de l'air que nous respirons, en limitant
l'exposition aux moisissures et aux microbes et en facilitant l'accès aux possibilités
d'activités physiques. L'élimination des COV et des matières particulaires aéroportées
aide à prévenir les dommages directs aux poumons. La réduction des moisissures et
des microbes réduit l'incidence des infections et des réactions allergiques. Les éléments
de forme physique aident à améliorer le fonctionnement des poumons et la robustesse
générale du système respiratoire.
WELL Building Standard v1
Introduction
10
Système squelettique
Le système squelettique assure le soutien et le mouvement, protège les organes internes
contre les chocs, stocke les minéraux, produit les cellules sanguines et participe à la
régulation hormonale. À l'instar du système musculaire avec lequel il coopère étroitement,
la santé du squelette est fortement affectée par la qualité de l'alimentation et la pratique
de l'activité physique.
Le WELL Building Standard s'inscrit dans le sillon des recherches les plus récentes en
conception et en ergonomie universelles d'amélioration de la posture et de l'alignement
et de limitation des tensions physiques. De plus, les éléments fournissent des directives
pour la forme physique et l'alimentation qui sont conçues pour soutenir la santé et le
fonctionnement du système squelettique.
Système urinaire
Le système urinaire se compose des reins, des uretères, de la vessie et de l'urètre. Le
système urinaire remplit différentes fonctions critiques, telles que la filtration des toxines,
l'équilibrage du pH sanguin et des électrolytes, le maintien de la pression sanguine et
l'évacuation des déchets par l'urine. Les reins sont des organes sensibles susceptibles
d'être endommagés par une exposition aux toxines, une hypertension artérielle chronique
et des quantités excessives d'alcool ou de médicaments.
Les éléments du WELL Building Standard aident à renforcer la santé urinaire en réduisant
le stress et l'exposition aux toxines et aux agents pathogènes à l'origine d'infections. Les
éléments de confort qui réduisent le stress réduisent les risques d'hypertension artérielle
et de niveaux hormonaux affectant négativement la fonction urinaire. La restriction des
toxines et des agents pathogènes aide à limiter l'incidence d'infections urinaires et d'autres
problèmes sanitaires potentiellement graves.
WELL Building Standard v1
Introduction
11
TYPOLOGIES DES PROJETS
®
Les éléments du WELL Building Standard peuvent être appliqués dans plusieurs secteurs immobiliers, mais la
version présentée ici s'applique aux immeubles commerciaux et institutionnels. Par ailleurs, tous les éléments
WELL ne s'appliquent pas à tous les immeubles de bureaux, suivant le stade de la construction. WELL v1 est par
conséquent organisé en typologies, qui prennent en compte l'ensemble des considérations propres à un type de
bâtiment ou à une phase de construction particulière. Pour WELL v1, il existe trois typologies de projet.
CONDITIONS
PRÉALABLES
OPTIMISATIONS
TOTAL
Certification Bâtiments neufs et existants
41
61
102
Certification Aménagements intérieurs
neufs et existants
36
64
100
Conformité du noyau et de l'enveloppe
26
30
56
TYPOLOGIE
Bâtiments neufs et existants
Les bâtiments entiers offrent des opportunités d'implémentation du plus grand nombre d'éléments WELL. Cette
typologie de projet s'applique aux bâtiments neufs et existants et concerne l'ensemble de la conception et de la
construction du projet, ainsi que des aspects du fonctionnement du bâtiment. Elle concerne les immeubles de
bureaux où au moins 90 % de la surface au sol totale est occupée par le propriétaire et exploitée par le même
gérant (ce qui signifie que jusqu'à 10 % peuvent être occupés par un autre locataire ou exploités par un autre
gérant). Par exemple, si un grand immeuble de bureau loue son rez-de-chaussée à des commerces ou à des
restaurants, la surface qui n'est pas occupée par des bureaux n'est pas soumise aux exigences du WELL Building
Standard ou utilisée dans les calculs de surface.
Aménagements intérieurs neufs et existants
Cette typologie de projet est pertinente pour les projets de bureaux qui n'occupent qu'une partie de l'espace total
d'un immeuble, ou pour ceux qui occupent un immeuble existant entier ne subissant pas de rénovation importante.
™
Dans les bâtiments qui sont en Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL , certains éléments WELL peuvent
déjà s'appliquer en vue d'une certification Aménagements intérieurs neufs et existants, facilitant le processus de
certification. La certification WELL est également envisageable pour les bâtiments qui n'ont pas préalablement
atteint le niveau de Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL.
Conformité du noyau et de l'enveloppe
La Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL est proposée aux projets d'immeubles de bureaux qui souhaitent
appliquer des éléments fondamentaux au bâtiment de base entier au profit des futurs locataires. La typologie Noyau
et enveloppe décrit la structure du bâtiment, l'emplacement des fenêtres et le vitrage, les proportions du bâtiment,
le système de chauffage, ventilation et climatisation, ainsi que la qualité de l'eau distribuée dans le bâtiment. Cette
typologie encourage également à envisager le site sous l'angle des aménagements et des opportunités de bien-être.
Pour WELL v1, la typologie Noyau et enveloppe s'applique aux bâtiments où au moins 30 % de l'espace doit être
utilisé à des fins commerciales ou institutionnelles. Quelle que soit la proportion du bâtiment qui sera utilisée comme
espace de bureau, 100 % du bâtiment doit adhérer aux exigences de la Conformité du noyau et de l'enveloppe.
™
Pour qu'un projet soit en Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL , toutes les conditions préalables doivent
être remplies, ainsi qu'au moins une optimisation par concept. La certification WELL ne s'applique pas aux projets
de noyau et d'enveloppe puisque la qualité environnementale intérieure et la stratégie de locataire n'ont pas
été établies dans toutes les parties du bâtiment. La Conformité du noyau et de l'enveloppe n'est pas décrite
comme une certification. Il s'agit d'un chemin de conformité vérifié qui facilitera les demandes de certification
WELL en matière d'aménagements intérieurs neufs et existants. La Conformité du noyau et de l'enveloppe fournit
une indication sur l'état du bâtiment à la date de son attestation.
WELL Building Standard v1
Introduction
12
PROGRAMME PILOTE
Étant donné les opportunités et les défis uniques présentés par chaque type de bâtiment, du temps et des
ressources supplémentaires sont nécessaires pour agréger le soutien scientifique et institutionnel requis pour
®
affiner le WELL Building Standard en fonction des besoins spécifiques des types de projets supplémentaires. À ce
titre, des programmes pilotes sont en développement pour tester et ajuster la manière avec laquelle WELL peut
s'appliquer à différents types d'espaces. Le WELL Building Standard est un programme en évolution permanente
qui est mis à jour à mesure que de nouvelles améliorations et technologies font leur apparition. Les normes pilotes
suivantes ont été publiées :
Résidences multifamiliales
On parle de résidences multifamiliales pour les projets comptant au moins cinq unités de logement dans un
même bâtiment avec des éléments structurels communs. Les projets qui répondent à cette définition incluent
les appartements, les copropriétés, les maisons de ville et autres complexes résidentiels de tous les secteurs de
marché – logement économique, dans la moyenne du marché et luxueux. Les résidences familiales et les duplex ne
font pas partie du pilote résidentiel.
Établissements pédagogiques
Les lieux d'apprentissage, notamment les écoles primaires, les collèges, les lycées et les établissements
d'enseignement supérieur doivent pourvoir aux besoins des enseignants et des élèves de tous âges. Établissement
pédagogique décrit un projet où un personnel dédié est employé à des fins d'éducation d'élèves de tous âges.
Les cours peuvent couvrir toutes sortes de sujets et les établissements peuvent proposer des journées de cours
entièrement planifiées ou des cours distincts auxquels les élèves s'inscrivent en fonction de leurs besoins.
Vente au détail
Les lieux de vente au détail, qui incluent les boutiques et les grandes surfaces, constituent une autre opportunité
de concevoir et de construire des bâtiments conformes au WELL Building Standard. Les lieux de vente au détail
sont uniques dans la mesure où ils abritent et pourvoient simultanément aux besoins de deux groupes distincts :
le client, qui ne fait que passer, et le personnel, qui passe des heures dans le lieu. Un lieu de vente au détail est
un endroit où des clients peuvent visualiser et acheter des marchandises sur site, et où du personnel est employé
pour les aider dans cette démarche. La norme pilote Vente au détail s'applique autant aux projets occupés par des
propriétaires que par des locataires, et autant aux lieux composés de bâtiments autonomes qu'à ceux intégrés
dans des structures plus grandes.
Restaurant
Les repas pris en dehors du domicile sont pour beaucoup une source significative d'alimentation, faisant du restaurant
un lieu de choix pour une intervention de santé et de bien-être. La conception des espaces de restauration et la
manière dont les aliments sont présentés peuvent subtilement orienter les occupants vers des comportements
spécifiques et les aider à prendre des décisions saines en matière d'alimentation. Le restaurant décrit un lieu
où un client achète un repas qu'il consomme sur place, dans les espaces intérieurs ou extérieurs proposés par
l'établissement. Celui-ci peut disposer d'un personnel chargé de servir les clients, ou laisser ces derniers se servir
seuls. La norme pilote Restaurant n'inclut pas les établissements vendant exclusivement des plats à emporter, ou
ceux dont la source principale de revenus provient de la vente de boissons alcoolisées. De plus, la norme pilote
Restaurant s'applique uniquement aux espaces de restauration. Elle n'inclut pas les cuisines couvertes où des plats
sont préparés (voir Cuisine professionnelle).
WELL Building Standard v1
Introduction
13
Cuisines professionnelles
Les cuisines professionnelles décrivent des locaux où des cuisiniers préparent des repas pour d'autres usagers
du bâtiment. La partie cuisine d'un espace exige des considérations spécifiques liées à la ventilation et aux
risques de contamination. Cette dénomination ne s'applique pas aux kitchenettes de bureau ou aux cuisines de
domiciles. En règle générale, les espaces soumis à des inspections sanitaires locales sont susceptibles d'utiliser
cette norme pilote. La norme Cuisine professionnelle est toujours couplée à une autre norme, comme Restaurant
ou Établissement pédagogique. Par exemple, la norme pilote Cuisine professionnelle peut être couplée avec la
norme pilote Restaurant pour couvrir à la fois et respectivement la préparation des plats et les espaces de repas des
clients. Cette norme pilote peut aussi être couplée à la norme WELL v1 des bureaux commerciaux et institutionnels
si les projets incluent des cuisines associées à un personnel de service engagé dans des activités de préparation
des repas sur site.
Les pilotes suivants se trouvent à différentes phases de développement :
Établissements d'exercice physique
Certains établissements, comme les gymnases et les spas, exigent des normes d'hygiène et de sécurité plus
strictes car ces environnements impliquent de fréquents contacts cutanés avec des surfaces partagées par un
grand nombre de personnes. Les éléments de WELL doivent prendre en compte les difficultés inhérentes aux
environnements intérieurs de ces types d'endroits, le nombre et le taux de remplacement des occupants, ainsi que
leur niveau d'activité physique.
Assemblée publique
Grands bâtiments publics, comme des aéroports, des centres de convention, des stades, des complexes sportifs
ou de spectacles devant accueillir de grandes quantités de personnes et proposer une vaste gamme de fonctions.
Les éléments WELL qui s'appliquent à ces types de bâtiments doivent prendre en compte la complexité, la taille et
la variété ou le volume des utilisateurs qui fréquentent ces environnements.
Soins de santé
Les établissements de santé accueillent et traitent les personnes les plus vulnérables. Les éléments WELL qui
s'appliquent aux hôpitaux, cliniques, centres médicaux et centres d'hébergement et de soins de longue durée
doivent pourvoir aux besoins des malades et des convalescents, créant des conditions qui soient propices au
recouvrement de la santé par la réduction du stress, la prévention de la propagation des maladies, l'apport
d'aliments nutritifs et l'amélioration du confort des occupants.
WELL Building Standard v1
Introduction
14
CERTIFICATION WELL
Les projets obtiennent une certification ou une attestation de conformité lorsqu'un nombre suffisant de critères ont été
satisfaits. Pour conserver leur certification WELL, les espaces doivent être recertifiés au moins une fois tous les trois ans
car les bâtiments peuvent se dégrader avec le temps au point de nuire à la santé et au bien-être de leurs occupants. Le processus complet de la Certification WELL et de l'attestation de Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL
est décrit dans le Guide pratique de la certification.
Inscription du projet
Les projets souhaitant obtenir une Certification WELL ou une attestation de Conformité du noyau et de l'enveloppe
WELL doivent s'inscrire auprès de l'institut IWBI via WELL Online, le système officiel d'inscription et de gestion de projet
en ligne pour WELL. Les équipes de projet peuvent s'inscrire à tout moment à mesure de leur progression à travers le
processus de conception et de développement. Toutefois, il est préférable de s'inscrire aussi tôt que possible pour que
®
les stratégies de conformité au WELL Building Standard puissent être intégrées dès les premières phases du processus.
Professionnels agréés WELL
L'IWBI supervise le programme des professionnels agréés WELL (PA WELL). Les PA WELL sont formés au cadre
conceptuel et appliqué de WELL et expérimentés dans son application à des projets WELL inscrits et certifiés, et
peuvent diriger les projets sur le chemin de la certification ou de la conformité.
Envoi et revue de la documentation
La vérification que les exigences du WELL Building Standard ont été remplies nécessite une documentation
détaillée. Les équipes de projet doivent fournir différents documents attestant la satisfaction de certains aspects
des éléments (voir Annexe D pour plus d'informations).
Vérification des performances
Étant donné que des parties importantes du WELL Building Standard dépendent de l'état des bâtiments, IWBI utilise
la Vérification des performances dans le cadre de ses évaluations sur site. Ces inspections et mesures incluent des
tests portant sur la qualité de l'air et de l'eau ainsi que sur les niveaux sonores et lumineux. Il s'agit d'un processus
distinct de la mise en service traditionnelle d'un bâtiment. Il veille à ce que les performances du bâtiment soient
conformes aux exigences du WELL Building Standard.
La Vérification des performances est effectuée par un évaluateur agréé WELL qui passera généralement entre un et
trois jours dans le bâtiment pour valider la documentation de conception du projet et effectuer une série de tests
de performance, de contrôles aléatoires et de mesures couvrant tous les concepts WELL. Le test est effectué dans
le respect des protocoles d'échantillonnage de l'institut IWBI qui tiennent compte de la taille et du type du projet.
Les échantillons sont envoyés à des laboratoires tiers pour analyse.
Tout élément WELL est soumis à une vérification sur site par un évaluateur agréé pendant la procédure de vérification
des performances, y compris ceux qui sont déjà documentés. L'évaluateur peut dès lors fournir une documentation
supplémentaire résultant de ses contrôles aléatoires ou de ses mesures sur place pour considération finale, sous la
forme d'un document d'inspection.
Notation
Pour mesurer l'adhésion au WELL Building Standard, l'évaluateur du projet note chaque concept indépendamment
sur une échelle numérique. Tandis que cette analyse concept par concept sert initialement à veiller à ce que toutes les
conditions préalables par concept soient remplies, le score WELL final est calculé en fonction de la totalité des conditions
préalables et des optimisations réalisées, et non sous la forme d'une moyenne de scores de concepts indépendants.
WELL Building Standard v1
Introduction
15
Toute condition préalable non réalisée dans un concept empêchera l'octroi de la certification ou de l'attestation
de conformité du noyau et de l'enveloppe WELL. Si toutes les conditions préalables sont remplies, des niveaux
supérieurs de certification sont possibles. Dans l'évaluation des niveaux de reconnaissance, tous les éléments
d'optimisation sont traités de manière égale.
Les scores des concepts sont calculés comme suit pour les différents éléments WELL qui s'appliquent à une
typologie spécifique :
Conditions préalables totales = CPT
Conditions préalables remplies = CPR
Optimisations totales = OT
Optimisations réalisées = OR
Score de bien-être = SBE
ÉCHEC :
(
Si
RÉUSSITE : Si
(
CPR
CPT
)
CPR
CPT
< 1 alors SBE =
)
(
CPR
CPT
= 1 alors SBE = 5 +
)
x 5 (arrondi au nombre entier le plus proche)
(
OR
OT
)
x 5 (arrondi au nombre entier le plus proche)
Les calculs de score peuvent être affectés par le fait que certaines optimisations s'appliquent ou non au projet dans
son ensemble. Par exemple, certaines optimisations concernent spécifiquement la restauration ou la circulation de
l'air. Si ces sujets ne concernent pas le projet, ces optimisations sont exclues du compte des optimisations totales
(OT). Pour plus d'informations et des outils d'aide au calcul des scores, consultez WELLCertified.com.
L'exemple ci-dessous montre un bureau qui remplit les exigences de la typologie Bâtiments neufs et existants.
Si toutes les conditions préalables sont remplies et les 29 optimisations réalisées (dans la mesure où toutes les
optimisations s'appliquent au projet), il recevra les scores calculés ci-dessous.
CONDITIONS PRÉALABLES
OPTIMISATIONS
APPLICABLES
REMPLIES
APPLICABLES
RÉALISÉES
SCORES DES
CONCEPTS
Air
12
12
17
3
5
Eau
5
5
3
0
5
Nutrition
8
8
7
6
9
Lumière
4
4
7
2
6
Forme
physique
2
2
6
3
7
Confort
5
5
7
2
6
Esprit
5
5
14
12
9
Total et score
WELL
41
41
61
29
7
CONCEPT
Les scores les plus faibles (0 – 4) comprennent les conditions préalables obligatoires ; un score inférieur à 5 serait
synonyme de non-satisfaction des conditions préalables dans ce concept et par conséquent d'échec de certification
ou de conformité. Les scores d'Argent (5 – 6) signifient que toutes les conditions préalables obligatoires ont été
remplies dans le concept. Les scores d'Or (7 – 8) et de Platine (9 – 10) comprennent les optimisations facultatives.
WELL Building Standard v1
Introduction
16
Carte de score WELL
WELL
La carte de score WELL agrège tous les scores WELL
pour chaque concept. La carte de score montre la
certification de niveau Or du précédent bâtiment,
par exemple.
BUILDING
STANDARD®
Renouvellement de certification requis
Au bout d'un maximum de trois ans, les projets
™
certifiés WELL doivent être soumis à une nouvelle
procédure de vérification des performances et
demander le renouvellement de leur certification
afin de vérifier que le bâtiment continue à produire
des performances conformes aux exigences du
WELL Building Standard. Pendant cette période,
les données annuelles des éléments exigeant les
rapports les plus fréquents doivent être envoyées. La
™
Conformité du noyau et de l'enveloppe WELL est
une détermination ponctuelle, qui ne peut donc pas
faire l'objet d'un renouvellement de certification.
Les scores du projet peuvent changer au moment de la
recertification si des améliorations ont été apportées
ou si les éléments WELL n'ont pas été correctement
entretenus. La certification du bâtiment peut être
révoquée si la qualité de l'environnement intérieur
a décliné considérablement depuis la certification
initiale. Les projets peuvent également prouver qu'ils
ont entrepris des travaux supplémentaires pour
améliorer leur niveau de certification à ce moment.
WELL Building Standard v1
CARTE DE SCORE WELL
AIR
EAU
NUTRITION
LUMIÈRE
FORME
PHYSIQUE
CONFORT
ESPRIT
1
TM
Introduction
TM
2
3
4
5
6
7
8
9
10
TM
17
WELL BUILDING STANDARD® : MATRICE DES ÉLÉMENTS
Ce tableau présente les éléments qui sont des conditions préalables et des optimisations pour les différentes
typologies de la norme relative aux bureaux commerciaux et institutionnels. Pour des détails sur l'applicabilité
d'éléments spécifiques, reportez-vous aux tables au début de chaque concept.
Pour que les espaces occupés obtiennent une certification WELL, toutes les conditions préalables sont requises
pour le niveau Argent et la réalisation des optimisations permet aux projets d'atteindre des niveaux supérieurs de
reconnaissance. Pour qu'un projet de noyau et d'enveloppe atteigne la Conformité WELL, toutes les conditions
préalables doivent être remplies, ainsi qu'au moins une optimisation par concept.
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
Air
01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
Eau
30
31
32
33
34
35
36
37
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Normes de qualité de l'air
Interdiction de fumer
Efficacité de la ventilation
Réduction des émissions de COV
Filtration de l'air
Contrôle des microbes et moisissures
Gestion de la pollution de la construction
Entrée saine
Protocole de nettoyage
Gestion des pesticides
Sécurité fondamentale des matériaux
Gestion de l'humidité
Renouvellement de l'air
Gestion de l'infiltration de l'air
Ventilation accrue
Contrôle de l'humidité
Ventilation à source directe
Surveillance de la qualité de l'air et
communication de suivi
Fenêtres ouvrantes
Systèmes d'alimentation en air extérieur
Ventilation par déplacement
Lutte antiparasitaire
Purification de l'air avancée
Minimisation de la combustion
Réduction des matières toxiques
Sécurité améliorée des matériaux
Activité antimicrobienne pour les surfaces
Environnement nettoyable
Matériel de nettoyage
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
Qualité fondamentale de l'eau
Contaminants inorganiques
Contaminants organiques
Contaminants agricoles
Additifs à l'eau courante
Tests périodiques de la qualité de l'eau
Traitement de l'eau
Promotion de l'eau potable
WELL Building Standard v1
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
Introduction
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
CP
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
CP
18
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Nutrition
38
Fruits et légumes
39
Produits alimentaires transformés
40
Allergies alimentaires
41
Lavage des mains
42
Contamination alimentaire
43
Ingrédients artificiels
44
Informations nutritionnelles
45
Publicité alimentaire
46
Matériels de préparation des aliments sans risque
47
Taille des portions
48
Régimes spéciaux
49
Production alimentaire responsable
50
Stockage des aliments
51
Production alimentaire
52
Alimentation consciente
Lumière
Aménagement des éclairages en termes de
53
qualité visuelle
Aménagement des éclairages selon les rythmes
54
circadiens
Contrôle de l'éblouissement de la lumière
55
électrique
56
Contrôle de l'éblouissement solaire
Conception d'espace de travail à faible
57
éblouissement
58
Qualité de la couleur
59
Conception des surfaces
Commandes automatiques d'ombrage et
60
d'intensité d'éclairage
61
Droit à la lumière
62
Modélisation de la lumière naturelle
63
Fenêtrage selon l'éclairage naturel
Forme physique
Circulation intérieure favorisant l'activité
64
physique
65
Programmes d'incitation à l'activité
66
Encadrement de l'activité physique
67
Conception active des extérieurs
68
Espaces dédiés aux activités physiques
69
Promotion des transports actifs
70
Appareils de fitness
71
Ameublement actif
Confort
72
Normes de conception accessible ADA
73
Ergonomie : Visuelle et physique
74
Intrusion du bruit extérieur
75
Bruit généré à l'intérieur
76
Confort thermique
77
Confort olfactif
78
Temps de réverbération
79
Masquage sonore
80
Surfaces d'atténuation de bruit
81
Barrières sonores
82
Contrôle thermique individuel
83
Confort thermique par rayonnement
WELL Building Standard v1
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
CP
O
CP
CP
O
O
O
O
O
O
CP
O
O
O
O
O
O
CP
CP
O
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
Noyau et
enveloppe
Introduction
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
O
CP
O
19
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
Esprit
84
85
86
87
88
89
90
91
92
93
94
95
96
97
98
99
100
101
102
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
CP
CP
CP
CP
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
Sensibilisation en matière de santé et
de bien-être
Conception intégrée
Enquêtes post-occupation
Esthétisme et conception I
Biophilie I - Aspect qualitatif
Espaces adaptables
Bonnes pratiques de sommeil
Voyage d'affaires
Mise en place d'une politique de santé
Soutien familial sur le lieu de travail
Autosurveillance
Gestion du stress et des dépendances
Altruisme
Transparence des matériaux
Transparence organisationnelle
Esthétisme et conception II
Biophilie II - Aspect quantitatif
Élément d'innovation I
Élément d'innovation II
WELL Building Standard v1
CP
O
O
O
O
O
O
Introduction
20
AIR
WELL Building Standard v1
Air
21
CONTEXTE
La propreté de l'air est un facteur essentiel pour notre santé. La pollution aérienne est la première cause
environnementale de mortalité prématurée, contribuant à hauteur de 50 000 décès prématurés par an aux ÉtatsUnis et d'environ 7 millions dans le monde, soit une mort prématurée sur huit.
Globalement, la qualité de l'air extérieur se détériore en raison de la pollution issue du trafic, de la construction,
de l'activité agricole, des sources de combustion et des matières particulaires. Étant donné que l'air ambiant se
diffuse facilement, même des sources distantes de pollution ont un impact énorme sur les plus de 15 000 litres d'air
que nous respirons quotidiennement. La qualité de l'air intérieur peut être dégradée par ces sources extérieures,
ainsi que par les dégagements gazeux produits par les matériaux de construction, les sources de combustion
intérieures et les fuites d'eau. De mauvaises pratiques de ventilation ne réglant pas le problème de ces sources
nous exposent aux composés organiques volatils (COV), aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et
aux pathogènes microbiens. Un autre facteur de réduction de la qualité de l'air intérieur est l'accumulation des
germes aéroportés sur les surfaces. Tous ces contaminants contribuent à des effets négatifs sur la santé tels que
l'asthme, les allergies et d'autres maladies des voies respiratoires supérieures. De plus, les problèmes de qualité
de l'air peuvent réduire la productivité au travail et conduire au syndrome du bâtiment malsain (SBM), où des effets
puissants sur la santé peuvent être liés au temps passé dans un bâtiment, en l'absence même de maladie ou de
cause clairement identifiée. Les symptômes du SBM incluent de nombreux symptômes non spécifiques tels qu'une
irritation des yeux, de la peau et des voies aériennes, ou des migraines et de la fatigue.
Les réactions de chacun aux polluants aériens varient énormément et dépendent de nombreux facteurs tels que la
concentration du contaminant, le taux d'ingestion et la durée de l'exposition. L'évitement des sources de pollution,
une bonne ventilation et une filtration suffisante de l'air sont certains des moyens les plus efficaces de parvenir à une
bonne qualité de l'air intérieur. L'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) définit des normes
de qualité de l'air ambiant (NAAQS) qui reflètent l'état de la recherche et de la surveillance. Ces normes ont été
créditées d'améliorations spectaculaires de la qualité de l'air extérieur, et créent des limites d'exposition basées
à la fois sur la durée de l'exposition et la concentration de six polluants aériens principaux : monoxyde de carbone
(CO), plomb (Pb), dioxyde d'azote (NO2), ozone (O3), matière particulaire (PM10 et PM2,5) et dioxyde de soufre (SO2).
Le WELL Building Standard va au-delà de ces exigences en incorporant des normes d'autres agences telles que
l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Pour contribuer à réduire la transmission par contact avec des surfaces
malsaines, le WELL Building Standard offre une approche qui combine l'installation de matériaux appropriés avec
la mise en œuvre de protocoles efficaces de désinfection régulière des surfaces concernées.
En plus de limiter la concentration de polluants et de contaminants, WELL incorpore les meilleures pratiques des
organisations du secteur, dont les directives sont éprouvées et recommandées par les professionnels. L'un de ces
groupes est l'ASHRAE (American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers), une organisation
internationale technique dans le domaine des génies thermiques et climatiques, qui met régulièrement à jour ses
manuels pour y inclure les nouvelles techniques d'amélioration de la qualité de l'air dans les bâtiments. Bien que
l'ASHRAE soit une société technique sans mandat légal, de nombreuses administrations centrales et locales ont
®
rédigé leurs codes en s'inspirant de ses normes. De plus, le programme LEED du U.S. Green Building Council
établit en permanence de nouvelles normes sur la filtration de l'air et la sélection des matériaux de construction
pour améliorer la qualité de l'air.
WELL Building Standard v1
Air
22
INTENTION
Le WELL Building Standard pour l'air promeut la propreté de l'air par la réduction ou la limitation des sources de pollution
de l'air intérieur, et exige une qualité de l'air intérieur optimale pour la santé et le bien-être des occupants du bâtiment.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT AIR
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
CP
CP
CP
CP
—
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
CP
CP
—
CP
CP
01 NORMES DE QUALITÉ DE L'AIR
1: Normes relatives aux substances volatiles
2: Normes relatives aux matières particulaires et aux gaz
inorganiques
3: Radon
02 INTERDICTION DE FUMER
1: Interdiction de fumer à l'intérieur
2: Interdiction de fumer à l'extérieur
03 EFFICACITÉ DE LA VENTILATION
1: Conception de la ventilation
2: Ventilation à la demande
3: Équilibrage du système
04 RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE COV
1: Peintures et revêtements intérieurs
2: Colles et enduits intérieurs
3: Revêtement de sol
4: Isolation
5: Mobilier et ameublement
05 FILTRATION DE L'AIR
1: Espace prévu pour les filtres
2: Filtration des particules
3: Surveillance de la filtration de l'air
06 CONTRÔLE DES MICROBES ET MOISISSURES
1: Réduction des moisissures du serpentin de
refroidissement
2: Inspections des moisissures
07 GESTION DE LA POLLUTION DE LA CONSTRUCTION
1: Protection des canalisations
2: Remplacement de filtre
3: Gestion de l'absorption de COV
4: Rétention et élimination des poussières
08 ENTRÉE SAINE
1: Systèmes d'hygiène permanents aux entrées
2: Étanchéité à l'air des entrées
09 PROTOCOLE DE NETTOYAGE
1: Plan de nettoyage des espaces occupés
WELL Building Standard v1
Air
23
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
—
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
—
—
—
CP
CP
CP
CP
—
O
O
O
O
O
O
O
O
—
O
O
O
O
O
10 GESTION DES PESTICIDES
1: Utilisation de pesticides
11 SÉCURITÉ FONDAMENTALE DES MATÉRIAUX
1: Restriction applicable à l'amiante et au plomb
2: Réduction de la teneur en plomb
3: Désamiantage
4: Réduction de la teneur en polychlorobiphényles
5: Limitation de l'utilisation du mercure
12 GESTION DE L'HUMIDITÉ
1: Gestion des eaux liquides provenant de l'extérieur
2: Gestion des eaux liquides provenant de l'intérieur
3: Gestion de la condensation
4: Sélection et protection des matériaux
13 RENOUVELLEMENT DE L'AIR
1: Renouvellement de l'air
14 GESTION DE L'INFILTRATION DE L'AIR
1: Test de fuites d'air
15 VENTILATION ACCRUE
1: Alimentation accrue en air frais
16 CONTRÔLE DE L'HUMIDITÉ
1: Humidité relative
17 VENTILATION À SOURCE DIRECTE
1: Isolation et évacuation de la pollution
18 SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'AIR ET COMMUNICATION DE SUIVI
1: Surveillance de l'air intérieur
2: Consignation des données sur l'air et actions correctives
3: Affichage des mesures environnementales
—
—
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
—
O
O
—
O
O
19 FENÊTRES OUVRANTES
1: Contrôle total
2: Mesure de l'air extérieur
3: Gestion du fonctionnement des fenêtres
20 SYSTÈMES D'ALIMENTATION EN AIR EXTÉRIEUR
1: Systèmes dédiés d'alimentation en air extérieur
21 VENTILATION PAR DÉPLACEMENT
1: Conception et utilisation de la ventilation par
déplacement
2: Performance du système
WELL Building Standard v1
Air
24
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
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O
O
O
O
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—
—
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—
O
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—
O
O
—
O
O
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
22 LUTTE ANTIPARASITAIRE
1: Réduction des parasites
2: Inspections des parasites
23 PURIFICATION DE L'AIR AVANCÉE
1: Filtration au charbon
2: Assainissement de l'air
3: Surveillance de la qualité de l'air
24 MINIMISATION DE LA COMBUSTION
1: Interdiction des appareils et du chauffage à
combustion
2: Sources de combustion à faible taux d'émission
3: Réduction des gaz d'échappement
4: Équipement de construction
25 RÉDUCTION DES MATIÈRES TOXIQUES
1: Limitation de l'utilisation de composés perfluorés
2: Limites des retardateurs de flammes
3: Limitation de l'utilisation de phtalates (plastifiants)
4: Limitation de l'utilisation du polyuréthane à base
d'isocyanate
5: Restriction applicable à l'urée-formaldéhyde
26 SÉCURITÉ AMÉLIORÉE DES MATÉRIAUX
1: Sélection rigoureuse des matériaux
27 ACTIVITÉ ANTIMICROBIENNE POUR LES SURFACES
1: Surfaces fréquemment touchées
28 ENVIRONNEMENT NETTOYABLE
1: Propriétés des matériaux
2: Nettoyabilité
29 MATÉRIEL DE NETTOYAGE
1: Matériels et produits de nettoyage
2: Stockage de produits chimiques
WELL Building Standard v1
Air
25
01
NORMES DE QUALITÉ DE L'AIR
Cardiovasculaire
Endocrinien
Immunitaire
Nerveux
Respiratoire
Les polluants générés dans des espaces intérieurs peuvent
provoquer différents symptômes et états de santé. On sait
que les composés organiques volatils (COV), les produits
dérivés de la combustion et les matières particulaires sont à
l'origine de nausées, de maux de tête, d'asthme, d'irritations
respiratoires et d'allergies. Si l'air extérieur ambiant est
souvent de meilleure qualité, les méthodes de ventilation
naturelle, les portes et fenêtres ouvrantes ainsi que les
infiltrations dans l'enveloppe du bâtiment peuvent réduire
la qualité de l'air intérieur si les paramètres de qualité de
l'air extérieur sont mauvais.
Cet élément exige qu'un évaluateur effectue un test de
performance, après l'occupation des lieux, afin de vérifier de
manière indépendante que le bâtiment, ventilé de manière
mécanique ou naturelle, remplit les exigences critiques en
matière de qualité de l'air.
PARTIE 1 : NORMES RELATIVES AUX SUBSTANCES
VOLATILES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
Les conditions suivantes sont remplies :
1
a. Niveaux de formaldéhyde inférieurs à 27 ppb.
1
b. Composés organiques volatils totaux inférieurs
à 500 μg/m³.
PARTIE 2 : NORMES RELATIVES AUX MATIÈRES
PARTICULAIRES ET AUX GAZ INORGANIQUES
Les conditions suivantes sont remplies :
2
a. Monoxyde de carbone inférieur à 9 ppm.
2
b. Niveau de PM2,5 inférieur à 15 μg/m³.
3
c. Niveau de PM10 inférieur à 50 μg/m³.
3
d. Niveau d'ozone inférieur à 51 ppb.
PARTIE 3 : RADON
Les conditions suivantes sont remplies dans les projets avec des
espaces occupés régulièrement au niveau du sol ou au-dessous :
4
a. Radon inférieur à 4 pCi/L au niveau occupé le plus bas
du projet.
WELL Building Standard v1
Air
26
02
INTERDICTION DE FUMER
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Musculaire
Nerveux
Reproducteur
Respiratoire
Squelettique
Urinaire
Plus de 42 millions d'adultes aux États-Unis et plus d'un
milliard d'individus dans le monde sont des fumeurs. Rien
qu'aux États-Unis, la consommation du tabac est liée à plus
de 400 000 décès prématurés par an. De plus, l'espérance de
vie moyenne d'un fumeur est de 10 ans inférieure à celle d'un
non-fumeur. En plus de la nicotine, les cigarettes contiennent
environ 600 ingrédients qui forment 7 000 composés lors de la
combustion, dont on sait qu'au moins 69 sont cancérigènes.
La fumée secondaire, ou tabagisme passif, expose les nonfumeurs aux mêmes toxines, augmentant le nombre de
personnes soumises aux risques sanitaires liés à la fumée.
Cet élément interdit de fumer dans et à proximité des
bâtiments, ce qui exige la mise en œuvre de règlements
interdisant le tabac à l'intérieur et à proximité du bâtiment,
et une signalisation expliquant les effets nocifs du tabac.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : INTERDICTION DE FUMER À L'INTÉRIEUR
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
—
CP
Un règlement de bâtiment ou un code local reflète ce qui suit :
5
a. Il est interdit de fumer ou de vapoter à l'intérieur du bâtiment.
CP
PARTIE 2 : INTERDICTION DE FUMER À L'EXTÉRIEUR
La signalisation en place indique :
1
a. Une interdiction de fumer à moins de 7,5 m [25 pi] (ou la distance maximale autorisée par les codes locaux) de
toute entrée, fenêtre ouvrante ou entrée d'air dans le bâtiment.
b.
Une interdiction de fumer sur tous les balcons, patios, terrasses et autres espaces extérieurs occupés
régulièrement.
c.
Le danger de fumer dans toutes les zones au-delà des 7,5 m des entrées du bâtiment (si fumer est autorisé
dans ces zones). Ces signalisations doivent être placées le long de toutes les allées, à moins de 30 m [100 pi]
l'une de l'autre.
WELL Building Standard v1
Air
27
03
EFFICACITÉ DE LA VENTILATION
Cardiovasculaire
Nerveux
Respiratoire
Les activités intérieures habituelles comme la cuisine, le
nettoyage, l'entretien et la maintenance du bâtiment et
même la simple présence des occupants peuvent dégrader
la qualité de l'air. De nombreux polluants intérieurs résultant
de ces activités, notamment les matières particulaires et les
COV, peuvent provoquer de l'inconfort et déclencher de
l'asthme ou des irritations des yeux, du nez et de la gorge.
Étant donné qu'il est difficile de tester tous les polluants
potentiels et que le dioxyde de carbone est facilement
détectable, les niveaux de dioxyde de carbone servent
d'indicateurs pour d'autres polluants intérieurs.
Cet élément fixe une base pour les niveaux de ventilation,
qui peut être ajustée selon des concentrations mesurées de
dioxyde de carbone. Il repose sur les exigences de l'ASHRAE
pour une bonne ventilation, qui incluent des options distinctes
selon que les bâtiments sont à ventilation mécanique ou
naturelle. Les exigences de cet élément — et d'autres éléments
liés à la ventilation — suivent cette même distinction.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : CONCEPTION DE LA VENTILATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
L'une des exigences suivantes est satisfaite pour tous les
espaces :
6
a. Les débits de ventilation respectent toutes les exigences de la norme ASHRAE 62.1-2013 (procédure
concernant le débit de ventilation ou procédure relative à la qualité de l'air intérieur).
6
b. Les projets sont conformes avec toutes les exigences définies dans les procédures ASHRAE 62.1-2013 (y compris
la procédure de ventilation naturelle) et montrent que la qualité de l'air ambiant dans un rayon de 1,6 km [1 mi]
autour du bâtiment est conforme avec les normes de qualité de l'air ambiant (NAAQS) de l'Agence américaine
de protection de l'environnement (EPA) ou avec celles du WELL Building Standard pour au moins 95 % de toutes
les heures de l'année précédente.
CP
PARTIE 2 : VENTILATION À LA DEMANDE
CP
CP
Pour tous les espaces présentant une densité d'occupation effective ou attendue supérieure à 25 personnes par 93 m²
[1 000 pi²], une des exigences suivantes est remplie :
7
a. Un système de ventilation à la demande contrôle le débit de ventilation de l'air extérieur pour conserver les
taux de dioxyde de carbone de l'espace en dessous de 800 ppm.
7
b. Les projets qui ont rempli les conditions d'élément Fenêtres ouvrantes montrent que la ventilation naturelle suffit
au maintien des niveaux de dioxyde de carbone de dessous de 800 ppm aux niveaux d'occupation prévus.
—
PARTIE 3 : ÉQUILIBRAGE DU SYSTÈME
CP
CP
Une fois le système de chauffage, ventilation et climatisation (HVAC) installé, l'exigence suivante est satisfaite :
a.
Après une mise en activité significative, et avant l'occupation des lieux, le système HVAC est soumis à des tests
et à un équilibrage.
WELL Building Standard v1
Air
28
04
RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE COV
Cardiovasculaire
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Nerveux
Respiratoire
La qualité de l'air peut se dégrader de manière significative
en raison des COV issus des dégagements gazeux des
peintures, des apprêts et autres revêtements, ou encore
produits par l'utilisation de détergents, de désodorisants, de
produits de soin personnel et d'autres matériaux importés
dans le bâtiment. Les COV incluent le benzène (classé par
l'EPA comme cancérigène humain connu), le formaldéhyde
et d'autres composés chimiques qui, à haut niveau de
concentration, peuvent engendrer des irritations du nez et du
pharynx, et ont été associés à la leucémie, à l'asthme infantile
et à d'autres problèmes respiratoires. Les niveaux de COV
peuvent être 5 fois plus élevés à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Cet élément exige que les apprêts du bâtiment soient
sélectionnés avec soin pour permettre aux espaces de satisfaire
à l'élément Normes de qualité de l'air WELL. S'ils ne sont pas
spécifiquement traités ici, notez que les objets ou les meubles
fabriqués à l'aide de matériaux nocifs peuvent entraîner des
accumulations de COV s'ils sont importés à l'intérieur du
bâtiment après construction.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : PEINTURES ET REVÊTEMENTS INTÉRIEURS
CP
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Les limites en matière de COV des peintures et revêtements nouvellement appliqués satisfont une des exigences suivantes :
1
a. 100 % des produits installés remplissent les critères du California Air Resources Board (CARB) 2007, la mesure
de contrôle suggérée (SCM) pour les revêtements d'architecture, ou la Règle 1113 du South Coast Air Quality
Management District (SCAQMD), à la date du 3 juin 2011 en ce qui concerne la teneur en COV.
1
b. Au moins 90 % des produits, en volume, sont conformes à la méthode standard v1.1-2010 pour les émissions
de COV du California Department of Public Health (CDPH).
1
c. Réglementations nationales applicables de contrôle des COV ou conduite des tests de teneur en COV en
conformité avec l'ASTM D2369-10, l'ISO 11890-1, l'ASTM D6886-03 ou l'ISO 11890-2.
CP
PARTIE 2 : COLLES ET ENDUITS INTÉRIEURS
CP
CP
Les limites en matière de COV des colles et enduits nouvellement appliqués satisfont une des exigences suivantes :
1
a. 100 % des produits installés respectent la Règle 1168 du South Coast Air Quality Management District
(SCAQMD), à la date du 1er juillet 2005 en ce qui concerne la teneur en COV.
1
b. Au moins 90 % des produits, en volume, sont conformes à la méthode standard v1.1-2010 pour les émissions
de COV du California Department of Public Health (CDPH).
1
c. Réglementations nationales applicables de contrôle des COV ou conduite des tests de teneur en COV en
conformité avec l'ASTM D2369-10, l'ISO 11890-1, l'ASTM D6886-03 ou l'ISO 11890-2.
CP
PARTIE 3 : REVÊTEMENT DE SOL
CP
CP
La teneur en COV de tout revêtement de sol nouvellement installé doit respecter toutes les limites définies ci-après,
selon le cas :
1
a. Méthode standard v1.1-2010 du California Department of Public Health (CDPH).
WELL Building Standard v1
Air
29
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 4 : ISOLATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
La teneur en COV de toute isolation thermique et acoustique nouvellement installée dans les plafonds et les murs
doit respecter toutes les limites définies ci-après, selon le cas :
1
a. Méthode standard v1.1-2010 du California Department of Public Health (CDPH).
CP
PARTIE 5 : MOBILIER ET AMEUBLEMENT
CP
CP
La teneur en COV d'au moins 95 % (en coût) de tout mobilier et ameublement nouvellement acquis par rapport à
l'échelle du projet doit respecter toutes les limites définies ci-après, selon le cas :
1
a. Sections 7.6.1 et 7.6.2 de la norme de développement durable du mobilier ANSI/BIFMA e3-2011, testées
conformément à la méthode standard ANSI/BIFMA M7.1-2011.
WELL Building Standard v1
Air
30
05
FILTRATION DE L'AIR
Cardiovasculaire
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Nerveux
Respiratoire
La qualité de l'air varie en fonction des conditions
météorologiques, de la poussière, du trafic et de sources
de polluants localisées. Les variations saisonnières de la
quantité de pollen peuvent déclencher des crises d'asthme
et des allergies chez les personnes sensibles. De même,
l'exposition à des niveaux élevés de matières particulaires
grossières et fines provenant de l'extérieur peut causer
des irritations respiratoires. Elle est également associée à
des augmentations du nombre de cancers du poumon, de
maladies cardiovasculaires et du taux de mortalité.
Cet élément exige une bonne filtration pour obtenir des
performances fiables en termes de qualité de l'air dans le temps.
Les filtres au charbon sont conçus pour absorber les polluants
volatils et éliminer les particules les plus grosses, tandis que les
filtres à particules sont conçus pour retenir les particules les plus
fines. Cet élément est particulièrement important lorsque la
qualité de l'air extérieur se trouve régulièrement en dehors de
la plage de concentration des polluants de l'élément Normes
de qualité de l'air WELL. Comme pour tout autre volet WELL,
les projets peuvent soumettre des stratégies alternatives pour
remplir les objectifs de cet élément.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : ESPACE PRÉVU POUR LES FILTRES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Si de l'air recyclé est utilisé, les exigences suivantes doivent être satisfaites dans les assemblages de ventilation des
conduites d'air principales :
a.
Espace pour rack et ventilateur en place pour les futurs filtres à charbon.
b.
Le système doit pouvoir accueillir un filtre supplémentaire.
CP
PARTIE 2 : FILTRATION DES PARTICULES
CP
CP
L'une des conditions suivantes est remplie :
1
a. Des filtres à particules MERV 13 (ou supérieurs) sont utilisés dans le système de ventilation pour filtrer l'air
extérieur.
b.
Le projet démontre que pour 95 % des heures d'une année calendaire, les niveaux de PM10 et de PM2,5 de l'air
extérieur ambiant dans un rayon de 1,6 km [1 mi] autour du bâtiment sont inférieurs aux limites définies dans
les Normes de qualité de l'air WELL.
PARTIE 3 : SURVEILLANCE DE LA FILTRATION DE L'AIR
CP
CP
CP
Pour vérifier que le système de filtration continue de fonctionner conformément à ses spécifications de conception,
les projets doivent fournir tous les ans à l'IWBI :
a.
Les fiches de maintenance de filtration de l'air, prouvant notamment que les filtres ont été entretenus
conformément aux recommandations du fabricant.
WELL Building Standard v1
Air
31
06
CONTRÔLE DES MICROBES ET
MOISISSURES
Immunitaire
Tégumentaire
Respiratoire
Les moisissures se développent souvent sur les serpentins
de refroidissement des systèmes HVAC en raison de la
condensation de l'humidité et peuvent s'introduire dans l'air
intérieur du bâtiment. Le phénomène peut également avoir
lieu à la surface ou à l'intérieur de parois murales suite à un
dégât des eaux ou à un mauvais détaillage dans des pièces
humides comme la cuisine ou la salle de bain. Les spores des
moisissures peuvent déclencher des crises d'asthme, des maux
de tête, des allergies ou d'autres problèmes respiratoires.
Cet élément exige l'utilisation d'appareils à irradiation germicide
par ultraviolets (IGUV) pour gérer la présence de moisissures
et de bactéries sur les serpentins de refroidissement, ainsi
que des inspections pour détecter les signes de moisissures
à l'extérieur du système de traitement de l'air.
PARTIE 1 : RÉDUCTION DES MOISISSURES DU
SERPENTIN DE REFROIDISSEMENT
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
Dans les bâtiments qui utilisent un système de refroidissement mécanique, l'une des conditions suivantes est
remplie :
a.
Des lampes à rayons ultraviolets (utilisant une longueur d'ondes de 254 nm pour ne pas générer d'ozone)
sont employées sur les serpentins de refroidissement et les plateaux de dégivrage des fournitures du système
mécanique. L'éclairement énergétique atteignant le serpentin de refroidissement et le plateau de dégivrage,
y compris les coins du plénum, est modélisé.
9
b. Le règlement du bâtiment prévoit que tous les serpentins de refroidissement soient inspectés tous les
trimestres à la recherche de traces de moisissures devant être nettoyées le cas échéant. Des photographies
datées démontrant l'application du règlement sont envoyées à l'IWBI tous les ans.
CP
PARTIE 2 : INSPECTIONS DES MOISISSURES
CP
CP
Les caractéristiques suivantes sont absentes :
12
a. Signes de décoloration et de moisissure sur les plafonds, les murs ou les sols.
12
b. Signes de dégâts ou d'accumulation d'eau.
WELL Building Standard v1
Air
32
07
GESTION DE LA POLLUTION DE LA
CONSTRUCTION
Cardiovasculaire
Immunitaire
Tégumentaire
Respiratoire
La conception et la sélection des matériaux sont essentielles
à la salubrité de l'air intérieur. Toutefois, cette stratégie peut
être compromise si le même soin n'est pas apporté pendant
la construction pour éliminer l'espace des poussières,
vapeurs chimiques et autres débris. Les polluants introduits
par inadvertance dans l'espace peuvent provoquer différents
symptômes respiratoires et augmentent le risque de ne pas
satisfaire aux normes de qualité de l'air intérieur.
Cet élément, fondé sur les meilleures pratiques du secteur,
prescrit des étapes qui permettent de réduire l'introduction
de polluants aériens pendant la construction et d'éliminer
l'accumulation des polluants avant l'occupation des lieux.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : PROTECTION DES CANALISATIONS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Pour empêcher les polluants d'entrer dans le système de ventilation, tous les conduits sont soit :
1
a. Étanches et protégés contre de possibles contaminations pendant la construction.
b.
Aspirés avant l'installation des registres, des grilles et des diffuseurs.
CP
PARTIE 2 : REMPLACEMENT DE FILTRE
CP
CP
Pour empêcher les polluants d'entrer dans l'admission d'air après occupation des lieux, si le système de ventilation
est en marche pendant la construction, la condition suivante est remplie :
1
a. Tous les filtres sont remplacés avant l'occupation des lieux.
CP
PARTIE 3 : GESTION DE L'ABSORPTION DE COV
CP
CP
Pour empêcher l'absorption par les matériaux de construction et le dégagement ultérieur de COV par d'autres
matériaux (source) pendant la construction, les conditions suivantes sont remplies :
1
a. Une zone sûre est désignée pour stocker et protéger les matériaux absorbants, notamment les tapis, les
panneaux d'isolation acoustique, les revêtements muraux en tissu, les matériaux isolants, les rembourrages et
les garnitures.
1
b. Les matériaux humides, comme les adhésifs, les produits de préservation du bois et les apprêts, les enduits, les
glacis, les peintures et les pâtes à joints sont posés et autorisés à durcir le temps nécessaire, avant la pose de
matériaux absorbants.
a.
Les apprêts durs exigeant une installation adhésive sont posés et laissés à sécher pendant au moins 24 heures,
avant l'installation de matériaux absorbants.
WELL Building Standard v1
Air
33
PARTIE 4 : RÉTENTION ET ÉLIMINATION DES
POUSSIÈRES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
Les procédures suivantes sont suivies pendant la construction du bâtiment :
1
a. Toutes les zones de travail actives sont isolées des autres espaces par des entrées de porte ou des fenêtres
étanches, ou à l'aide de barrières temporaires.
1
b. Des paillassons sont placés aux entrées pour réduire le transfert de poussières et de polluants.
1
c. Les scies et autres outils utilisent des pare-poussière ou des collecteurs de poussière pour récupérer la
poussière produite.
WELL Building Standard v1
Air
34
08
ENTRÉE SAINE
Cardiovasculaire
Immunitaire
Respiratoire
Les occupants importent souvent des contaminants nocifs à
l'intérieur du bâtiment, tels que des bactéries, des métaux
lourds, des pesticides agricoles ou de jardin, entre autres
toxines. De plus, en franchissant les portes d'entrée, les
occupants laissent entrer de l'air potentiellement pollué dans
le bâtiment. Ces deux modes d'introduction de polluants
extérieurs dans l'environnement intérieur soulignent la
nécessité de mettre en place des mesures de limitation
d'introduction de substances potentiellement nocives dans
les espaces intérieurs.
Cet élément exige des méthodes pour aider à bloquer
l'entrée de polluants dans un bâtiment. Il implique d'utiliser
des structures de planchers qui capturent les polluants
des chaussures et de mettre en œuvre des stratégies de
réduction des flux d'air en provenance de l'extérieur dans
les espaces intérieurs occupés.
PARTIE 1 : SYSTÈMES D'HYGIÈNE PERMANENTS AUX
ENTRÉES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
O
CP
Pour capturer les particules des chaussures des occupants au niveau de toutes les entrées du projet utilisées
régulièrement, l'un des accessoires suivants est installé et fait l'objet d'une maintenance hebdomadaire :
1
a. Systèmes d'hygiène permanents aux entrées composés de grilles ou de rainures, dont la partie inférieure sera
facile à nettoyer, mesurant au moins la largeur de l'entrée et 3 m [10 pi] de long dans la direction principale de
déplacement.
1
b. Des tapis déroulants, mesurant au moins la largeur de l'entrée et 3 m [10 pi] de long dans la direction
principale de déplacement.
1
c. Des matériaux conçus pour composer un système d'hygiène permanent aux entrées, mesurant au moins la
largeur de l'entrée et 3 m [10 pi] de long dans la direction principale de déplacement.
CP
PARTIE 2 : ÉTANCHÉITÉ À L'AIR DES ENTRÉES
O
CP
L'un des systèmes suivants est en place pour ralentir le mouvement de l'air entre l'extérieur et l'intérieur, à l'entrée
principale du bâtiment :
a.
Un vestibule d'entrée de bâtiment avec deux entrées de porte normalement fermées.
b. Des portes d'entrée tournantes.
c. Au moins 3 portes à fermeture normale qui séparent les espaces occupés de l'extérieur. Par exemple, un
espace au cinquième étage sera séparé de l'extérieur par les portes extérieures du bâtiment, les portes de
l'ascenseur du rez-de-chaussée et les portes de l'ascenseur du cinquième étage. Cette option ne s'applique
que pour les bâtiments dont le hall d'entrée n'est pas un espace occupé régulièrement.
WELL Building Standard v1
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35
09
PROTOCOLE DE NETTOYAGE
Immunitaire
Reproducteur
Urinaire
Nettoyer régulièrement est important dans la mesure où
cela permet d'éliminer les débris potentiellement nocifs
et de maintenir un environnement intérieur sain. Toutefois,
de nombreux produits chimiques et des techniques de
nettoyage inappropriées peuvent nuire à la qualité de l'air
intérieur. Des ingrédients nocifs contenus dans les produits
de nettoyage peuvent provoquer des irritations des yeux, du
nez, de la gorge ou de la peau, en plus d'émettre des COV
dans l'environnement intérieur, susceptibles d'engendrer des
effets sur la santé tels que le syndrome du bâtiment malsain
(SBM). Un régime de nettoyage adéquat à base de produits
non toxiques et hypoallergéniques aide à réduire les charges
microbiennes, les parasites, les allergènes environnementaux
et les odeurs désagréables sans introduire de produits
chimiques susceptibles d'affecter négativement la qualité de
l'air intérieur.
Respiratoire
Cet élément implique l'élaboration et la rédaction d'un
protocole écrit, conformément à la Table A4 de l'Annexe
C, dans lequel seront précisés la fréquence, les fournitures,
l'équipement, les procédures et la formation pour améliorer
les méthodes de nettoyage.
PARTIE 1 : PLAN DE NETTOYAGE DES ESPACES
OCCUPÉS
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
CP
CP
Pour éliminer les débris et les microorganismes pathogènes de manière satisfaisante et régulière, un plan de
nettoyage est créé et présenté lors des formations du personnel. Ce plan inclut les éléments suivants :
a.
La liste des surfaces fréquemment touchées et des surfaces rarement touchées dans l'espace (voir Table A1
dans l'Annexe C).
b.
Un calendrier qui spécifie, pour chaque surface fréquemment touchée et chaque surface rarement touchée,
la mesure et la fréquence (quotidienne ou hebdomadaire par ex.) à laquelle une surface doit être nettoyée,
assainie ou désinfectée.
c.
Un protocole de nettoyage et des journaux de nettoyage datés qui sont tenus à jour et à la disposition de tous
les occupants.
d.
Une liste des labels approuvés à laquelle tous les produits de nettoyage doivent se conformer (voir Table A4
à l'Annexe C).
WELL Building Standard v1
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36
10
GESTION DES PESTICIDES
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Nerveux
Reproducteur
Respiratoire
Rien qu'aux États-Unis, environ cinq cent mille tonnes de
pesticides sont utilisées tous les ans. Les pesticides et
les herbicides contaminent les rivières et les cours d'eau,
et s'infiltrent dans les nappes phréatiques. Un sondage
géologique mené aux États-Unis dans les années 1990 a permis
de détecter des composés pesticides dans la quasi totalité
des cours d'eau des zones agricoles, urbaines et mixtes, ainsi
que dans plus de 50 % des puits échantillonnés en sondant
la qualité des eaux souterraines dans les zones agricoles et
urbaines. L'atrazine, l'un des pesticides les plus largement
utilisés, est soupçonné d'être un perturbateur endocrinien et
est associé à des pathologies cardiovasculaires. L'exposition
à long terme au glyphosate, un herbicide très répandu, peut
engendrer des troubles rénaux et du système reproducteur.
Cet élément exige la création de dispositifs de lutte contre
les parasites qui réduisent l'utilisation des pesticides et des
herbicides en éliminant le recours à des produits chimiques
hautement toxiques. La plupart des dispositifs de lutte contre
les parasites n'interdisent pas l'usage de produits chimiques
nocifs. C'est pourquoi cet élément exige que seuls des
produits approuvés soient employés.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : UTILISATION DE PESTICIDES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
—
Bâtiments neufs
et existants
CP
Les conditions suivantes sont remplies pour tous les pesticides et herbicides utilisés sur les plantes :
14
a. Le recours aux pesticides et aux herbicides est minimisé par la création d'un plan d'utilisation qui s'inspire du
chapitre 3 du programme de lutte antiparasitaire intégrée du Code environnemental de San Francisco.
14
b. Seuls les pesticides avec une note de 3 (la plus basse) en dangerosité sur la liste des pesticides à risque réduit
du Département de l'environnement de la Ville de San Francisco sont utilisés. Pour plus de détails, veuillez
consulter la Table A2 de l'Annexe C.
WELL Building Standard v1
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37
11
SÉCURITÉ FONDAMENTALE DES
MATÉRIAUX
Cardiovasculaire
Nerveux
Respiratoire
Certains matériaux dangereux actuellement interdits
ou d'usage limité aux États-Unis sont présents dans les
bâtiments plus anciens, notamment l'amiante, un cancérigène
humain avéré, ou les polychlorobiphényles (PCB), matières
cancérigènes probables pour l'homme. D'autres, comme le
plomb, sont encore présents en utilisation limitée. L'exposition
aux fibres d'amiante par inhalation peut se produire suite à la
dégradation des matériaux de construction dans le temps ou
lorsque ceux-ci sont dérangés lors d'une rénovation ou d'une
démolition. L'amiante est associée au cancer du poumon et
au mésothéliome. L'exposition au plomb, même en faible
quantité, peut avoir des effets neurotoxiques et affecte
négativement, dans les premiers stades de développement,
la mémoire, le QI, l'apprentissage et le comportement.
Cet élément restreint la présence de plomb ajouté et d'amiante
dans les matériaux de construction et limite l'exposition des
occupants à ces dangers qui pourraient être présents dans
les structures plus anciennes. Pour connaître les noms des
substances chimiques et leurs numéros d'enregistrement,
consultez la Table A3 à l'Annexe C.
PARTIE 1 : RESTRICTION APPLICABLE À L'AMIANTE ET
AU PLOMB
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
Tous les matériaux de construction nouvellement installés remplissent les conditions de composition suivantes :
a.
Pas d'amiante.
36
b. Pas plus de 100 ppm de plomb ajouté (en masse).
CP
PARTIE 2 : RÉDUCTION DE LA TENEUR EN PLOMB
CP
CP
Pour la réparation, la rénovation ou la peinture sur des bâtiments construits avant l'entrée en vigueur de lois
interdisant ou limitant l'usage de la peinture au plomb, l'évaluation et la réduction de la teneur en plomb sont
conduites conformément aux directives suivantes :
31
a. Une enquête sur site de l'espace commercial menée par un évaluateur de risque certifié ou un technicien
d'inspection pour déterminer la présence de tout danger lié au plomb dans la peinture, la poussière ou le sol
conformément aux définitions du document 40 CFR, Partie 745.65 de l'Agence américaine de protection de
l'environnement (EPA) concernant les logements résidentiels ou occupés par des enfants.
31
b. Tous les espaces commerciaux et institutionnels dans lesquels ont été identifiés des dangers liés au plomb
doivent se conformer aux règles du document 40 CFR, Partie 745.227 de l'EPA décrivant les pratiques de
travail à respecter pour toute activité de peinture au plomb, notamment dans des logements multifamiliaux.
31
c. L'adhésion aux règles finales, telles qu'elles sont proposées par l'EPA, concernant le programme de
rénovation, de réparation et de peinture au plomb pour les bâtiments publics et commerciaux (RIN : 2070AJ56) prévaut sur l'adhésion aux définitions et aux protocoles du document 40 CFR, Partie 745 de l'EPA pour
les logements résidentiels ou occupés par des enfants.
WELL Building Standard v1
Air
38
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 3 : DÉSAMIANTAGE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
Pour réduire les dangers présents dans les bâtiments construits avant l'entrée en vigueur de lois interdisant ou
limitant l'usage de l'amiante, le contrôle, l'évaluation et le désamiantage sont effectués :
33
a. Conformément au plan d'accréditation modèle (MAP) pour l'amiante prévu par l'Asbestos Hazard Emergency
Response Act (AHERA), les projets confient tous les trois ans une inspection d'amiante à un professionnel
agréé, à un expert en amiante (d'État ou local) agréé par la National Standards for Hazardous Air Pollutants
(NESHAP) ou à une entreprise agréée par l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA)
expérimentée dans l'évaluation de l'amiante.
33
b. Conformément à l'Asbestos Hazard Emergency Response Act (AHERA), le développement, la maintenance et
la mise à jour de plans de traitement de l'amiante, y compris toutes les mesures nécessaires pour réduire les
risques liés à l'amiante : réparation, encapsulation, encoffrement, maintenance et élimination, respectent un
protocole détaillé dans la règle des « matériaux contenant de l'amiante dans les écoles » (40 CFR, Partie 763).
33
c. Les projets procèdent au dégagement post-désamiantage conformément à la règle des « matériaux contenant
de l'amiante dans les écoles » (40 CFR, Partie 763) de l'Asbestos Hazard Emergency Response Act (AHERA).
PARTIE 4 : RÉDUCTION DE LA TENEUR EN
POLYCHLOROBIPHÉNYLES
CP
CP
CP
Tout projet soumis à une rénovation ou à une démolition, qui a été construit ou rénové entre 1950 et l'entrée en
vigueur de toute législation interdisant ou limitant l'usage des PCB, procède à ce qui suit :
34
a. Entreprendre l'évaluation et la réduction des matériaux conformément à la procédure de l'Agence américaine
de protection de l'environnement (EPA) concernant les activités d'élimination en toute sécurité des PCB.
34
b. Entreprendre le retrait et l'élimination en toute sécurité des ballasts de tube fluorescent contenant des PCB
conformément aux directives de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA).
PARTIE 5 : LIMITATION DE L'UTILISATION DU MERCURE
CP
CP
CP
L'équipement et les appareils contenant du mercure sont limités conformément aux directives ci-dessous :
1
a. Le projet ne spécifie ni n'installe de nouveaux thermomètres, commutateurs ou relais électriques contenant du
mercure.
1
b. Le projet élabore un plan de remplacement des lampes à mercure actuelles par des lampes à faible
contenance en mercure ou par des lampes sans mercure dans les limites spécifiées dans la Table A5 de
l'Annexe C.
1
c. Les panneaux de sortie éclairés n'utilisent que des diodes électroluminescentes (LED) ou des cellules
électroluminescentes (LEC).
1
d. Aucune lampe à vapeur de mercure ou aucune lampe à décharge haute intensité aux halogénures métalliques
à amorçage par sonde n'est utilisée.
WELL Building Standard v1
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39
12
GESTION DE L'HUMIDITÉ
Immunitaire
Tégumentaire
Respiratoire
De bons principes de conception et des stratégies de
limitation des dégâts des eaux permettent de conserver une
bonne qualité de l'air intérieur. L'humidité peut s'infiltrer
dans les bâtiments et les immeubles sous quatre formes :
l'eau en vrac, l'eau capillaire, l'humidité transportée dans
l'air et la diffusion de vapeur. En plus de prévenir ces quatre
formes d'humidification, la gestion de l'humidité veille aussi
à promouvoir le potentiel de séchage.
Le document « Moisture Control Guidance for Building
Design, Construction and Maintenance » (Guide de contrôle
de l'humidité pour la conception, la construction et la
maintenance des bâtiments) de l'Agence américaine de
protection de l'environnement (EPA) est une bonne référence
pour la gestion de l'humidité par rapport à la qualité de l'air
intérieur ou au bien-être, quel que soit le type de bâtiment, le
stade de la construction, l'âge du bâtiment ou le climat. Cet
élément exige que les concepteurs expliquent comment le
bâtiment est conçu pour gérer l'humidité selon ces principes.
PARTIE 1 : GESTION DES EAUX LIQUIDES PROVENANT
DE L'EXTÉRIEUR
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
—
CP
Une description point par point explique comment l'eau liquide provenant de l'extérieur du bâtiment est traitée, suivant la
nature et l'intensité de l'humidité résultant du site et du climat propre au projet, sans omettre les points suivants :
176
a.
Drainage du site, y compris l'impact de l'irrigation du site.
176
La nappe phréatique locale.
b.
176
c. Les pénétrations du bâtiment (notamment les fenêtres et les pénétrations de plomberie/électricité/mécanique).
d.
176
Les matériaux de construction poreux en contact avec des sources extérieures d'eau liquide.
PARTIE 2 : GESTION DES EAUX LIQUIDES PROVENANT
DE L'INTÉRIEUR
CP
—
CP
Une description point par point explique comment l'eau liquide provenant de sources intérieures est traitée, sans
omettre les points suivants :
176
a.
Fuites de plomberie.
176
Appareils de plomberie à « tuyauterie rigide » (tels que des lave-linge exposés à la pression de l'eau du
bâtiment même quand ils ne sont pas utilisés).
b.
176
c.
Les matériaux de construction poreux en contact avec des sources intérieures d'eau liquide.
176
d.
Nouveaux matériaux de construction à haute teneur en humidité « intégrée » ou matériaux de construction
mouillés pendant la construction qui se trouvent désormais à l'intérieur du bâtiment.
WELL Building Standard v1
Air
40
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 3 : GESTION DE LA CONDENSATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
—
Bâtiments neufs
et existants
CP
Une description point par point explique comment la condensation est traitée, sans omettre les points suivants :
176
Niveaux d'humidité relative intérieure élevés, notamment dans les espaces sensibles tels que les salles de bain
ou les buanderies, ou les pièces sous la surface du sol.
a.
176
b.
Fuites d'air qui pourraient humidifier des matériaux intérieurs exposés ou des matériaux dissimulés dans des
interstices.
176
c.
Surfaces plus fraiches, comme les sols de cave ou les dalles sur terre-plein, ou les placards/armoires sur les
murs extérieurs.
176
d.
Climatiseurs surdimensionnés.
PARTIE 4 : SÉLECTION ET PROTECTION DES MATÉRIAUX
CP
—
CP
Une description point par point présente les critères de sélection des matériaux qui tolèrent l'humidité et/ou la
protection des matériaux sensibles à l'humidité, compte tenu des contraintes suivantes :
176
a.
Entrées et vitrage exposés.
176
Matériaux de revêtement poreux.
b.
176
Sols finis dans des pièces potentiellement humides ou mouillées, telles que des sous-sols, salles de bain et
cuisines.
c.
176
d.
Revêtement intérieur dans des pièces humides ou mouillées.
1
e. Calfeutrage et stockage des matériaux absorbants durant la construction.
WELL Building Standard v1
Air
41
13
RENOUVELLEMENT DE L'AIR
Cardiovasculaire
Respiratoire
Le renouvellement de l'air ou nettoyage de bâtiment est une
technique qui consiste à propulser de l'air dans l'ensemble
d'un bâtiment à l'issue de sa construction et avant son
occupation, afin d'éliminer (ou de limiter) les polluants
tels que les COV et les matières particulaires, introduits
involontairement à l'intérieur au cours de la construction. Le
renouvellement de l'air améliore la qualité de l'air intérieur en
réduisant l'exposition à une période de forte contamination.
Cet élément exige un renouvellement de l'air à la fin des
activités de construction afin d'éliminer efficacement les
polluants des environnements intérieurs. Étant donné le
temps nécessaire pour effectuer un renouvellement de l'air,
il est impératif de placer la gestion de la pollution relative
à la construction en tête des priorités.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : RENOUVELLEMENT DE L'AIR
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Le renouvellement de l'air d'un bâtiment doit être pratiqué à une température intérieure constante d'au moins 15 °C
[59 °F], avec une humidité relative inférieure à 60 %, pour l'un des volumes suivants :
1
a. Un volume d'air total de 4 500 m³ d'air extérieur par m² de surface au sol [14 000 pi³ par pi² de surface au sol]
avant l'occupation des lieux.
1
b. Un volume d'air total de 1 066 m³ d'air extérieur par m² de surface au sol [3 500 pi³ par pi² de surface au sol]
avant l'occupation des lieux, suivi d'un second renouvellement de 3 200 m³ d'air extérieur par m² de surface
au sol [10 500 pi³ par pi² de surface au sol] après l'occupation des lieux. Tout au long du renouvellement de
l'air post-occupation des lieux, le système de ventilation doit assurer un débit permanent d'au moins 0,1 m³
par minute d'air extérieur par m² de surface au sol [0,3 pi³/min d'air frais par pi² de surface au sol].
WELL Building Standard v1
Air
42
14
GESTION DE L'INFILTRATION DE L'AIR
Immunitaire
Respiratoire
La qualité de l'air intérieur et le confort thermique peuvent
être mis à mal par des fuites et des brèches dans la barrière
d'air du bâtiment. Ces points faibles ne constituent pas
seulement des déperditions énergétiques mais peuvent
également créer des conditions propices aux moisissures et
à l'infiltration de parasites ou d'air pollué.
Cet élément exige la réalisation d'un test de recherche de
fuites d'air dans l'enveloppe du bâtiment. De tels tests visent
le plus souvent à optimiser la performance énergétique d'un
bâtiment, mais permettent également de préserver la qualité
de l'air et le confort intérieurs. Il prescrit également la pose
de résistances thermiques et de matériaux imperméables.
Cette opération peut s'avérer difficile dans des bâtiments
existants, mais constitue une pratique recommandée dans
les constructions modernes.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : TEST DE FUITES D'AIR
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les étapes suivantes sont réalisées après le quasi-achèvement des travaux, et avant l'occupation des lieux, pour
garantir l'étanchéité de la structure :
1
a. Mise en service de l'enveloppe conformément aux Directives 0-2005 de l'ASHRAE et 3-2012 de l'Institut
américain des sciences de la construction (National Institute of Building Sciences, NIBS) – pour les nouvelles
constructions et les rénovations structurelles.
b.
Plan d'action et de réhabilitation détaillé dans le cas de conditions inacceptables.
WELL Building Standard v1
Air
43
15
VENTILATION ACCRUE
Cardiovasculaire
Immunitaire
Respiratoire
Les directives mises en avant par l'ASHRAE fournissent
les bases pour l'obtention d'une qualité de l'air intérieur
acceptable, mais pas nécessairement pour l'obtention de
la meilleure qualité possible de l'air des bâtiments. Une
occupation de bâtiment anormalement élevée, un risque
important d'accidents pouvant altérer la qualité de l'air ou
réduire le volume nécessaire à l'installation de filtration,
font du dépassement des exigences ASHRAE une stratégie
salutaire.
Cet élément exige que les bâtiments conçoivent et fournissent
des taux d'air frais supérieurs de 30 % à la normale.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : ALIMENTATION ACCRUE EN AIR FRAIS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les éléments suivants sont requis en termes de taux d'air frais fourni à tous les espaces occupés régulièrement :
1
a. Dépasser les taux d'apport d'air frais de l'ASHRAE décrits dans l'élément Efficacité de la ventilation de WELL
de 30 %.
WELL Building Standard v1
Air
44
16
CONTRÔLE DE L'HUMIDITÉ
Immunitaire
Tégumentaire
Respiratoire
Un taux d'humidité extrêmement bas peut engendrer la
sècheresse ou l'irritation de la peau, des yeux, de la gorge ou
des muqueuses. À l'inverse, un taux d'humidité élevé favorise
l'accumulation et le développement d'agents pathogènes
microbiens, notamment de bactéries, d'acariens et de
moisissures, qui peuvent engendrer des odeurs et causer
l'irritation des voies respiratoires et des allergies chez des
individus sensibles. En outre, des niveaux d'humidité plus
élevés peuvent produire une augmentation des dégagements
gazeux : une augmentation de l'humidité relative de 35 %
peut augmenter les émissions de formaldéhyde d'un facteur
de 1,8 à 2,6.
Cet élément exige que les bâtiments soient dotés d'un
système d'humidification lorsque l'humidité relative est
basse et de déshumidification lorsque celle-ci est élevée.
Cet élément dépend des conditions climatiques locales et
de l'humidité attendue.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : HUMIDITÉ RELATIVE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Au moins une des exigences suivantes est requise :
8
a. Un système de ventilation avec la capacité de maintenir l'humidité relative entre 30 % et 50 % en permanence
en humidifiant ou en déshumidifiant l'air.
b.
Les niveaux d'humidité modélisés dans l'espace sont compris entre 30 % et 50 % durant au moins 95 % de
toutes les heures travaillées de l'année. Pour les bâtiments implantés dans des environnements climatiques
ayant des plages d'humidité restreintes, il est recommandé de poursuivre dans cette voie.
WELL Building Standard v1
Air
45
17
VENTILATION À SOURCE DIRECTE
Immunitaire
Respiratoire
Une pollution de l'air peut être créée à partir de nombreuses
sources intérieures, notamment les produits de nettoyage,
les équipements de bureaux et les environnements humides.
Les placards servant à stocker les produits chimiques
peuvent être une source de vapeurs nocives, notamment
de COV qui sont liés au cancer et aux lésions des organes
et du système nerveux central. Les salles de reprographie
peuvent contribuer à la production d'ozone, qui est lié
à l'asthme et à d'autres maladies respiratoires. Les salles de
bain peuvent être une source de moisissures qui dégagent
spores et toxines, susceptibles de déclencher de l'asthme et
des allergies chez les individus fragilisés.
Cet élément exige l'isolation des sources intérieures de
pollution dans des pièces séparées ou des placards à air
aspiré afin de minimiser leurs effets sur la qualité globale
de l'air intérieur. Les éléments à prendre en compte pour
minimiser le risque d'exposition sont notamment la situation
et la proximité par rapport aux espaces occupés, ainsi que
l'accès restreint, alors qu'une évacuation directe contribue
à l'expulsion des polluants à la source.
PARTIE 1 : ISOLATION ET ÉVACUATION DE LA
POLLUTION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
Toutes les unités de stockage de produits chimiques et de nettoyage, toutes les salles de bain, toutes les
imprimantes et tous les photocopieurs (sauf ceux conformes aux critères de faible émission d'Ecologo CCD 035,
Blue Angel RAL-UZ 171, ou Green Star) remplissent les conditions suivantes :
a.
Sont séparés des espaces voisins par des portes à fermeture automatique.
1
b. L'air est évacué, de sorte que tout l'air soit expulsé plutôt que remis en circulation.
WELL Building Standard v1
Air
46
18
SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE
L'AIR ET COMMUNICATION DE SUIVI
Cardiovasculaire
Tégumentaire
Nerveux
Respiratoire
La performance d'un bâtiment, telle que les taux de ventilation
et d'infiltration, varie grandement et a un effet direct sur
la qualité de l'air intérieur. Pour maintenir les mesures de
performance idéales, les projets doivent collecter en continu
des données sur la performance du bâtiment. La collecte de
ces données permet aux individus de prendre connaissance
de toute variation des métriques de la qualité intérieure et
de les corriger rapidement.
Cet élément exige la mesure en temps réel, l'enregistrement et
la transmission des métriques clés en matière de qualité de l'air
intérieur et de qualité de l'air ambiant extérieur. Ces données
sont communiquées aux occupants du bâtiment et à l'IWBI.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : SURVEILLANCE DE L'AIR INTÉRIEUR
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les dispositifs de surveillance mesurent deux des polluants suivants dans tout espace occupé régulièrement (au
minimum un par étage) à l’intérieur du bâtiment, à une fréquence d'au moins une fois par heure. Les résultats sont
transmis chaque année à l'IWBI :
a.
Compte des particules (résolution de 35 000 unités par m³ [1 000 unités par pi³] ou inférieure) ou masse des
particules (résolution de 10 μg/m³ ou inférieure).
1
b. Dioxyde de carbone (résolution de 25 ppm ou inférieure).
c.
Ozone (résolution de 10 ppb ou inférieure).
PARTIE 2 : CONSIGNATION DES DONNÉES SUR L'AIR ET
ACTIONS CORRECTIVES
—
O
O
Dans le but de répondre aux paramètres WELL de façon cohérente, les projets incluent une politique écrite stipulant
les éléments suivants :
a.
Des stratégies détaillées d'application du contrôle et de la consignation des paramètres répertoriés dans
l'élément Normes de qualité de l'air.
b.
Ces enregistrements doivent être conservés au moins trois ans, et comprendre les données exhaustives
fournies par les contrôleurs de terrain ou les résultats de laboratoire, le cas échéant.
c.
Plan d'action et de réhabilitation détaillé dans le cas de conditions inacceptables.
PARTIE 3 : AFFICHAGE DES MESURES
ENVIRONNEMENTALES
—
O
O
Les paramètres environnementaux intérieurs suivants doivent être affichés en temps réel sur un tableau dont la taille
minimale doit être de 15 cm [5,9 po] sur 13 cm [5,1 po] et par 930 m² [10 000 pi²] d'espace occupé régulièrement.
a.Température.
b.
Humidité.
c.
Concentration de dioxyde de carbone.
WELL Building Standard v1
Air
47
19
FENÊTRES OUVRANTES
Cardiovasculaire
Respiratoire
Assurer une ventilation naturelle grâce à des fenêtres, portes
et persiennes ouvertes est un moyen susceptible de fournir
une expérience positive aux occupants, mais constitue
également un défi pour garantir un contrôle strict de la
qualité de l'air intérieur. Si les paramètres climatiques et
environnementaux locaux indiquent une très bonne qualité
de l'air extérieur, WELL encourage la mise en œuvre de
stratégies de ventilation naturelle. Les fenêtres ouvertes
peuvent alors fournir une alimentation en air frais et réduire
les niveaux de dioxyde de carbone et de COV, comme le
formaldéhyde, sans compromettre la qualité de l'air intérieur.
Cet élément exige que les conditions de la qualité de
l'air extérieur local, y compris les schémas de vent et les
niveaux moyens de contamination prévalant dans l'année,
soient analysées avant que des fenêtres ouvrantes ne soient
intégrées à la conception.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : CONTRÔLE TOTAL
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
L'exigence suivante est satisfaite :
13
a. Tous les espaces occupés régulièrement disposent de fenêtres ouvrantes qui permettent un accès à de l'air
frais et à la lumière du jour.
O
PARTIE 2 : MESURE DE L'AIR EXTÉRIEUR
O
O
Les niveaux extérieurs d'ozone, de PM10, de température et d'humidité sont contrôlés selon l'exigence suivante, et les
données collectées doivent être mises à la disposition des occupants du bâtiment :
a.
Une station de collecte de données située dans un périmètre de 1,6 km [1 mi] du bâtiment.
PARTIE 3 : GESTION DU FONCTIONNEMENT DES
FENÊTRES
O
O
O
Si le système de mesure de l'air extérieur indique que ce dernier (i) dépasse des niveaux d'ozone de 51 ppb ou de
PM10 de 50 μg/m³ ; (ii) a une température supérieure ou inférieure de 8 °C [15 °F] à la température fixée à l'intérieur ;
ou (iii) a une humidité relative supérieure à 60 %, alors l'utilisation de l'un des éléments suivants est préconisée pour
décourager les occupants d'ouvrir les fenêtres :
a.
Un logiciel installé sur les ordinateurs ou les smartphones des occupants.
b.
Un indicateur lumineux sur toutes les fenêtres ouvrantes.
WELL Building Standard v1
Air
48
20
SYSTÈMES D'ALIMENTATION EN AIR
EXTÉRIEUR
Respiratoire
Les systèmes dédiés d'alimentation en air extérieur lèvent
les contraintes dues à l'association du chauffage et de la
climatisation par ventilation, de sorte que la qualité de
l'air et le confort thermique optimaux peuvent être assurés
indépendamment.
Bien qu'il soit prouvé que le confort thermique et les conditions
de l'espace peuvent être améliorés grâce à l'utilisation de
systèmes dédiés d'alimentation en air extérieur, l'ASHRAE
ne dispose pas actuellement d'une norme séparée, publiée
et examinée par des pairs, ou d'un guide de conception les
concernant. S'il est correctement conçu, un système dédié
d'alimentation en air extérieur est une source d'économie
d'énergie comparé à des systèmes conventionnels, tout en
fournissant la ventilation nécessaire. Cet élément définit
les exigences des projets mettant en œuvre des systèmes
dédiés d'alimentation en air extérieur.
PARTIE 1 : SYSTÈMES DÉDIÉS D'ALIMENTATION EN AIR
EXTÉRIEUR
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
Les systèmes dédiés d'alimentation en air extérieur sont utilisés pour des systèmes de chauffage et/ou de
climatisation et s'avèrent appropriés dans une des conditions suivantes :
a.
Le système est conforme aux normes et codes locaux relatifs aux systèmes dédiés d'alimentation en air
extérieur.
b.
Une revue de conception détaillée du système proposé est menée par un ingénieur mécanicien professionnel
indépendant, qualifié et agréé (non employé ou rémunéré par l'ingénieur mécanique en charge du projet).
Cette revue évalue le confort thermique (température, humidité, vitesse de l'air, etc.) et les débits de
ventilation, ainsi que l'aptitude à l'emploi et la fiabilité globales du système. Le rapport doit montrer une
conformité satisfaisante à l'ensemble des codes et normes ASHRAE applicables.
WELL Building Standard v1
Air
49
21
VENTILATION PAR DÉPLACEMENT
Cardiovasculaire
Immunitaire
Grâce à une conception stratégique de la hauteur de la
circulation de l'air, la ventilation par déplacement peut
permettre de meilleures performances en matière de
renouvellement d'air. La ventilation par déplacement fournit
de l'air se déplaçant à une vitesse très faible au niveau
ou près du sol, qui monte ensuite au plafond. Dès lors
que la chaleur d'une pièce est naturellement stratifiée, la
ventilation par déplacement garantit non seulement que
l'air n'est pas fourni et poussé via le circuit d'air de retour
(souvent la portion la plus sale du flux d'air), mais a tendance
à concentrer les polluants près du plafond. Une fois à ce
niveau, les polluants se trouvent en dehors de la zone de
respiration et peuvent être éliminés plus facilement.
Cet élément contribue à l'obtention d'un environnement
intérieur confortable du point de vue thermique grâce à un
système de ventilation par déplacement efficace et conçu
avec soin.
PARTIE 1 : CONCEPTION ET UTILISATION DE LA
VENTILATION PAR DÉPLACEMENT
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
Pour les projets qui mettent en œuvre un système de ventilation par déplacement pour le chauffage et/ou la
climatisation, l'une des conditions suivantes est remplie :
41
a. Distribution d'air sur la partie inférieure des murs, avec une température de l'air d'alimentation légèrement
plus froide ou plus chaude que la température de l'espace souhaitée. Le système doit s'appuyer sur
l'évaluation des performances du système et sur les Directives RP-949 de l'ASHRAE pour la conception.
37
b. Distribution d'air sous plancher, avec une température de l'air d'alimentation légèrement plus froide ou plus
chaude que la température de l'espace souhaitée. Ce système doit s'appuyer sur le Guide UFAD (Underfloor
Air Distribution) de l'ASHRAE (Conception, construction et fonctionnement des systèmes de distribution d'air
sous plancher) pour la conception. La ventilation par déplacement utilisée dans le cadre d'un système de
distribution de l'air sous plancher doit être installée à hauteur d'un faux plancher, permettant ainsi à la zone
sous plancher d'être nettoyée chaque année.
—
PARTIE 2 : PERFORMANCE DU SYSTÈME
O
O
Les exigences suivantes sont satisfaites :
a.
Une analyse numérique de la mécanique des fluides est réalisée pour le système de ventilation par
déplacement.
92
b. Le système de ventilation par déplacement est conforme à la norme ASHRAE 55-2013 (Conditions
environnementales thermiques pour l'occupation humaine) pour atteindre un niveau de confort d'au moins
75 % de l'ensemble de l'espace occupé régulièrement.
WELL Building Standard v1
Air
50
22
LUTTE ANTIPARASITAIRE
Immunitaire
Respiratoire
Des conditions ne respectant pas les normes d'hygiène
sont la cause de la présence de parasites et d'acariens,
qui représentent des sources courantes d'allergènes
intérieurs. Leurs corps, déjections et salive contiennent des
allergènes susceptibles de déclencher de l'asthme et des
réactions allergiques chez des individus fragilisés. L'asthme
peut également être aggravé par la sensibilité à d'autres
allergènes ; jusqu'à 60 % des individus souffrant d'asthme
et vivant dans des environnements urbains sont également
sensibles aux allergènes produits par les blattes.
Afin de minimiser les parasites allergéniques, cet élément
exige que des inspections des parasites soient réalisées
régulièrement, que les produits alimentaires soient stockés
et emballés hermétiquement, et que le revêtement du
mobilier soit lavable.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : RÉDUCTION DES PARASITES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les conditions suivantes sont satisfaites :
a.
Tous les produits alimentaires périssables et non réfrigérés, y compris la nourriture pour les animaux de
compagnie, sont stockés dans des récipients hermétiques.
b.
Toutes les poubelles intérieures (à l'exception des bacs de recyclage du papier) de moins de 113 litres
[30 gallons] possèdent des couvercles et des systèmes mains libres, ou sont enfermées dans un tiroir
coulissant encastré, avec une poignée séparée de la poubelle.
c.
Toutes les poubelles intérieures dont la taille est supérieure à 113 litres [30 gallons] sont dotées d'un
couvercle.
—
PARTIE 2 : INSPECTIONS DES PARASITES
O
O
Les inspections montrent que les caractéristiques suivantes sont absentes :
a.
Traces d'infestation par des blattes, termites ou autres parasites.
WELL Building Standard v1
Air
51
23
PURIFICATION DE L'AIR AVANCÉE
Cardiovasculaire
Immunitaire
Respiratoire
Certaines circonstances justifient une plus grande attention
en matière de purification de l'air. Par exemple, la proximité
de routes très fréquentées et d'entreprises manufacturières,
et les variations saisonnières, peuvent avoir une incidence
sur la qualité de l'air extérieur, augmentant la teneur en
ozone et en COV, et par conséquent diminuant la qualité
de l'air intérieur. De même, les climats ayant des taux
d'humidité élevés et une ventilation intérieure inadéquate
peuvent favoriser le développement de moisissures et de
spores dans les environnements intérieurs.
Cet élément exige l'utilisation de filtres à charbon pour
éliminer les COV et l'ozone, et des désinfectants par
ultraviolets pour irradier bactéries, virus et spores de
moisissure présents dans l'air intérieur circulant.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : FILTRATION AU CHARBON
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Afin de réduire les COV dans l'air intérieur, l'utilisation de l'une des méthodes suivantes est préconisée dans les
bâtiments dans lesquels l'air est recyclé :
a.
Des filtres à charbon actif dans les conduites d'air principales pour filtrer l'air recyclé. Leur remplacement doit
suivre les recommandations du fabricant.
b.
Un purificateur d'air autonome doté d'un filtre à charbon et utilisé dans tous les espaces occupés
régulièrement. La taille des purificateurs doit être adaptée aux espaces dans lesquels ils se trouvent. Le
remplacement des filtres doit suivre les recommandations du fabricant.
O
PARTIE 2 : ASSAINISSEMENT DE L'AIR
O
O
Une des méthodes de traitement ou technologies suivantes pour assainir l'air recyclé, qu'elle soit intégrée au
système central de ventilation ou qu'il s'agisse d'un appareil autonome, est mise en œuvre dans les espaces
accueillants plus de 10 occupants réguliers dans des bâtiments utilisant de l'air recyclé :
15
a. Irradiation germicide par ultraviolets.
15
b. Oxydation photo-catalytique.
O
PARTIE 3 : SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'AIR
O
O
Comme preuve que le système de filtration/d'assainissement choisi est dans un état de fonctionnement optimal, les
projets doivent fournir tous les ans à l'IWBI :
a.
Les fiches de maintenance de filtration/d'assainissement de l'air, prouvant notamment que les filtres/
assainisseurs ont été entretenus conformément aux spécifications du fabricant.
WELL Building Standard v1
Air
52
24
MINIMISATION DE LA COMBUSTION
Cardiovasculaire
Respiratoire
Urinaire
Bien que les foyers au bois et au gaz présentent des intérêts
esthétiques, ils peuvent être néfastes à la qualité de l'air
intérieur. S'ils ne sont pas isolés efficacement de l'espace de
vie, ils peuvent générer des sous-produits de combustion
dangereux, comme le monoxyde de carbone et des matières
particulaires. L'affinité de liaison du monoxyde de carbone avec
l'hémoglobine est 210 fois plus forte que celle de l'oxygène,
et empêche de ce fait l'apport d'oxygène à l'organisme,
conduisant à l'hypoxie (un manque d'apport en oxygène aux
tissus organiques pouvant causer des nausées, des pertes de
connaissance et la mort). Chaque année aux États-Unis, le
monoxyde de carbone est responsable de 170 intoxications
mortelles n'ayant pas de lien avec l'automobile.
Cet élément interdit toute combustion dans des espaces
occupés afin d'éliminer une source importante de pollution
intérieure. Il exige également que tout équipement de
combustion en service dans le bâtiment soit conforme aux
normes strictes de combustion propre, et déconseille que des
véhicules tournent au ralenti aux abords du bâtiment.
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
PARTIE 1 : INTERDICTION DES APPAREILS ET DU
CHAUFFAGE À COMBUSTION
Ce qui suit est interdit dans les espaces occupés régulièrement :
29
a. Foyers, réchauds, chauffages d'appoint, cuisinières et fours, basés sur la combustion.
PARTIE 2 : SOURCES DE COMBUSTION À FAIBLE TAUX
D'ÉMISSION
O
—
O
Tous les équipements de combustion utilisés dans le projet à des fins de chauffage, climatisation, chauffage de l'eau,
réchauffeurs de process ou production d'électricité (qu'elle soit principale ou auxiliaire) doivent satisfaire aux règles
en matière de pollution du South Coast Air Quality Management District de Californie :
39
a. Moteurs à combustion interne.
39
b. Générateurs de chaleur.
39
c. Chaudières, générateurs de vapeur et réchauffeurs de process.
39
d. Chauffe-eau.
O
PARTIE 3 : RÉDUCTION DES GAZ D'ÉCHAPPEMENT
—
O
Une signalisation visible des zones de parking, enlèvement et déchargement stipule :
a.
Que laisser des véhicules à moteur tourner au ralenti pendant plus de 30 secondes est interdit.
WELL Building Standard v1
Air
53
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 4 : ÉQUIPEMENT DE CONSTRUCTION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
—
Bâtiments neufs
et existants
O
Afin de réduire les émissions de matières particulaires issues de véhicules routiers ou non routiers à moteur diesel et
d'équipements de construction, les exigences suivantes sont satisfaites :
85
a. Tous les véhicules non routiers à moteur diesel respectent les normes EPA américaines en matière d'émissions
de PM de niveau 4, ou leur équivalent local, le cas échéant. Les moteurs doivent être améliorés avec une
technologie vérifiée (obligatoirement approuvée par les normes EPA américaines ou par le California Air
Resources Board) lors de la première mise en service de l'équipement sur le chantier.
85
b. Tous les véhicules routiers à moteur diesel respectent les exigences stipulées dans les normes routières du
modèle EPA américain de l'année 2007, ou leur équivalent local, le cas échéant. Les moteurs doivent être
améliorés avec une technologie vérifiée (obligatoirement approuvée par les normes EPA américaines ou par le
California Air Resources Board) lors de la première mise en service de l'équipement sur le chantier.
85
c. Tous les équipements, véhicules et manœuvres de chargement/déchargement sont situés à distance des
admissions d'air et des ouvertures des bâtiments adjacents, le cas échéant.
WELL Building Standard v1
Air
54
25
RÉDUCTION DES MATIÈRES
TOXIQUES
Endocrinien
Reproducteur
Divers produits chimiques sont toujours utilisés dans la
fabrication de matériaux de construction, malgré des
risques sanitaires connus ou suspectés. Des substances
chimiques dites « retardateurs de flamme » sont utilisées
pour augmenter la résistance au feu de matériaux,
notamment des polybromodiphényléthers (PBDE), qui,
selon des tests pratiqués sur des animaux, ont des effets
neurocomportementaux, cancérogènes et immunitaires
potentiels. Certains de ces produits chimiques peuvent se
bioaccumuler dans les graisses et conduire à la contamination
de la chaîne alimentaire, y compris du lait humain.
Cet élément identifie certains des composants chimiques
potentiellement nocifs que l'on trouve couramment dans
les matériaux de construction, et suggère de les éviter
dans certaines applications. Pour connaître les noms des
substances chimiques et leurs numéros d'enregistrement,
consultez la Table A3 à l'Annexe C.
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
PARTIE 1 : LIMITATION DE L'UTILISATION DE COMPOSÉS
PERFLUORÉS
Aucun composé perfluoré (PFC) n'est présent dans la condition suivante :
36
a. À des niveaux supérieurs ou égaux à 100 ppm dans des composants qui représentent au moins 5 % du poids
de l'assemblage d'un élément d'ameublement (rideaux).
PARTIE 2 : LIMITES DES RETARDATEURS DE FLAMMES
—
O
O
Les retardateurs de flammes halogénés sont limités à 0,01 % (100 ppm) dans les composants suivants, dans la
mesure admissible par le code local :
36
a. Membranes de fenêtre et d'étanchéité, huisseries de portes et fenêtres, et bardage.
36
b. Revêtements de sol, dalles de plafond et revêtements muraux.
36
c. Tuyauterie et câbles électriques, boîtes de dérivation et de jonction.
36
d. Isolation sonore et thermique.
36
e. Mobilier et ameublement capitonnés, textiles et étoffes.
PARTIE 3 : LIMITATION DE L'UTILISATION DE PHTALATES
(PLASTIFIANTS)
—
O
O
L'utilisation de DEHP, DBP, BBP, DINP, DIDP ou DNOP (souvent trouvés dans le polychlorure de vinyle [PVC]) est
limitée à 0,01 % (100 ppm) dans les composants suivants :
36
a. Revêtements de sol, y compris les revêtements de sol souples et durs, et les tapis.
36
b. Revêtements muraux, rideaux et stores de fenêtre, rideaux de douche, meubles et tissus d'ameublement.
36
c. Tuyauterie et membranes étanches à l'humidité.
WELL Building Standard v1
Air
55
PARTIE 4 : LIMITATION DE L'UTILISATION DU
POLYURÉTHANE À BASE D'ISOCYANATE
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
O
O
Les produits contenant du polyuréthane à base d'isocyanate ne sont pas utilisés dans :
16
a. Les apprêts d'intérieur.
PARTIE 5 : RESTRICTION APPLICABLE À L'URÉEFORMALDÉHYDE
—
La présence d'urée-formaldéhyde est limitée à 100 ppm dans les composants suivants :
1
a. Mobilier ou tout produit de bois composite.
1
b. Adhésifs pour assemblages stratifiés et résines.
1
c. Isolation thermique.
WELL Building Standard v1
Air
56
26
SÉCURITÉ AMÉLIORÉE DES
MATÉRIAUX
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Musculaire
Nerveux
Respiratoire
Certains des produits chimiques utilisés dans les matériaux
de construction n'ont pas été pleinement évalués quant à
leur innocuité et peuvent représenter des risques potentiels
pour la santé. Le dégagement gazeux de ce type de
matériaux peut contribuer au syndrome du bâtiment
malsain (SBM) et être associé à des symptômes respiratoires,
neurotoxiques et dermatologiques connexes. Une approche
prudente, prenant des mesures raisonnables pour minimiser
les risques et éviter les dangers, suggère de remplacer les
matériaux potentiellement dangereux par d'autres sans
risque, lorsque cela est possible. Plusieurs démarches
volontaires sur le marché permettent aux fournisseurs ayant
passé au crible la composition de leurs produits et n'utilisant
pas de substances potentiellement dangereuses d'être
reconnus pour leurs avancées en la matière.
Cet élément encourage l'utilisation de produits contrôlés
par un organe indépendant et qui s'avèrent ne pas présenter
de nombreux dangers suspectés.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : SÉLECTION RIGOUREUSE DES MATÉRIAUX
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Au moins une des exigences suivantes est satisfaite :
13
a. Le projet est conforme à tous les impératifs du pétale Matériaux inclus dans le Living Building Challenge 3.0.
1
b. Au moins 25 % des produits, mesurés en coût (notamment l'ameublement, les meubles encastrés, tous les
apprêts d'intérieur et matériaux d'apprêt) sont des matériaux certifiés sains selon les principes Cradle to
Cradle™ avec une notation des matériaux « Material Health Certified » V2 Or ou Platine, ou V3 Bronze, Argent,
Or ou Platine.
1
c. Au moins 25 % des produits, mesurés en coût (notamment l'ameublement, les meubles encastrés, tous les
apprêts d'intérieur et matériaux d'apprêt) ne possèdent pas plus de 1 000 ppm des substances répertoriées
dans GreenScreen® Benchmark 1, List Translator 1 ou List Translator Possible 1, et ce sous le contrôle d'un
Docteur qualifié en toxicologie ou d'un hygiéniste industriel agréé.
1
d. Au moins 25 % des produits, mesurés en coût (notamment l'ameublement, les meubles encastrés, tous les
apprêts d'intérieur et matériaux d'apprêt) satisfont une des combinaisons des certifications décrites dans les
Exigences b and c.
WELL Building Standard v1
Air
57
27
ACTIVITÉ ANTIMICROBIENNE POUR
LES SURFACES
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Reproducteur
Respiratoire
Urinaire
L'activité antimicrobienne sur les surfaces peut accélérer
le taux naturel de mortalité des cellules microbiennes. Les
surfaces antimicrobiennes non lixiviables ont la capacité de
tuer les microorganismes à leur contact sans laisser s'infiltrer
des quantités importantes de matériaux antimicrobiens dans
l'environnement immédiat. Alternativement, des processus
et matériels de nettoyage utilisant de la lumière ultraviolette
à courte longueur d'onde (UV-C) peuvent réduire de manière
efficace la charge bactérienne sur les surfaces, s'ils sont
utilisés suffisamment fréquemment pour éviter à la charge
microbienne de se reconstituer.
Cet élément emploie des matériels et procédures qui
nettoient les surfaces en réagissant aux microbes ou en
en entravant la propagation. Cette approche combat
l'accumulation des microbes sur les surfaces tout en
minimisant l'utilisation de produits de nettoyage chimiques.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : SURFACES FRÉQUEMMENT TOUCHÉES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Tous les plans de travail et équipements des salles de bains et cuisines, et toutes les poignées, tous les interrupteurs
et boutons d'ascenseur présentent une des caractéristiques suivantes :
21
a. Enduits ou composés d'un matériau anti-abrasif et non lixiviable, et conforme aux exigences du test EPA
d'activité antimicrobienne.
b.
Nettoyés avec un appareil à ultraviolets dont le débit est au moins de 4 mW/cm², utilisé selon les
recommandations du fabricant.
WELL Building Standard v1
Air
58
28
ENVIRONNEMENT NETTOYABLE
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Reproducteur
Urinaire
Les surfaces susceptibles d'être fréquemment touchées
peuvent contenir des microbes et toxines durant de longues
périodes. Toutefois, ces surfaces peuvent être maintenues
propres si elles sont conçues avec des matériaux adaptés qui
en facilitent le nettoyage. Cela réduit le besoin de produits de
nettoyage contenant des produits chimiques potentiellement
toxiques, ainsi que la fréquence du nettoyage.
Cet élément exige que les surfaces fréquemment touchées
soient lisses, résistantes à la corrosion et facilement
désinfectées pour en maintenir la propreté.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PROPRIÉTÉS DES MATÉRIAUX
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les surfaces fréquemment touchées et non poreuses (consulter la Table A1 de l'Annexe C) sont conformes aux
exigences suivantes :
a.
Lisses et sans défaut visible à l'œil nu.
b.
Réalisées pour assurer une finition à joints et soudures lisses.
c.
Sans angles, coins et fissures internes tranchants.
—
PARTIE 2 : NETTOYABILITÉ
O
O
Les exigences suivantes sont satisfaites :
30
a. L'usage de moquette est évité ; seuls des tapis ou des dalles de moquette amovibles, ou des surfaces dures
sont autorisés.
b.
Le bâtiment contient un espace de stockage adéquat et adaptable pour tous les éléments permanents et
amovibles afin que les surfaces fréquemment touchées soient totalement dégagées lors du nettoyage.
c.
Les angles droits entre les murs et les fenêtres/les sols sont scellés.
WELL Building Standard v1
Air
59
29
MATÉRIEL DE NETTOYAGE
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Reproducteur
Urinaire
Un matériel de nettoyage très performant augmente
l'efficacité des pratiques de nettoyage. Un matériel de
nettoyage qui enlève les saletés et les matières contaminées
de manière efficace empêche non seulement la propagation
des contaminants, mais réduit également la quantité de
travail répétitif et le contact avec des produits chimiques
potentiellement dangereux.
Cet élément décrit le matériel de nettoyage destiné
à effectuer une désinfection efficace des surfaces, réduire
une contamination croisée et diminuer l'exposition à des
produits chimiques de nettoyage toxiques.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : MATÉRIELS ET PRODUITS DE NETTOYAGE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Tous les matériels de nettoyage répondent aux exigences suivantes :
23
a. Les serpillères, torchons et chiffons à poussière utilisés pour nettoyer des surfaces non poreuses sont
composés de microfibres avec un denier inférieur ou égal à 1,0.
24
b. Les produits de nettoyage sont certifiés par les programmes Design for the Environment de l'EPA, EcoLogo
d'Underwriters Laboratories ou Green Seal.
23
c. Les serpillères ne doivent pas être essorées manuellement.
40
d. Les aspirateurs contiennent des filtres classifiés HEPA.
—
PARTIE 2 : STOCKAGE DE PRODUITS CHIMIQUES
O
O
Tous les matériels de nettoyage répondent aux exigences suivantes :
26
a. Dans les zones de stockage des produits de nettoyage, les produits à base de javel et d'ammoniaque ne sont
pas conservés dans les mêmes bacs de stockage.
23
b. Sur chaque bac de stockage et bouteilles de produits de nettoyage à base de javel et d'ammoniaque,
est apposée une grande étiquette avec un code couleur indiquant que ces produits ne doivent pas être
mélangés.
WELL Building Standard v1
Air
60
EAU
WELL Building Standard v1
Eau
61
CONTEXTE
La salubrité de l'eau potable est une condition indispensable au maintien d'un état de santé optimal. Plus des
deux tiers du corps humain sont constitués d'eau, une composante majeure des cellules et le vecteur d'acheminement
des nutriments et des déchets à travers le corps. En outre, l'eau permet de réguler la température interne du corps
et joue un rôle d'amortisseur pour le cerveau et la moelle épinière. Les recommandations de l'Institute of Medicine
(IOM) spécifient que les femmes doivent boire environ 2,7 litres [91 oz] et les hommes 3,7 litres [125 oz] d'eau par jour
(toutes sources confondues, notamment eau potable, autres boissons et aliments). Ces quantités sont nécessaires
pour compenser les pertes corporelles dues à la respiration, la transpiration et l'excrétion, contribuant à l'élimination
des toxines, sous-produits et autres déchets.
La contamination de l'eau potable est un problème majeur de santé publique. Un grand nombre de personnes
consomment de l'eau qui a été exposée à des niveaux potentiellement dangereux de contaminants biologiques,
chimiques et minéraux. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) déclare que presqu'un milliard de personnes dans
le monde n'ont pas accès à de l'eau potable saine, et que l'eau insalubre et le manque d'assainissement et d'hygiène
sont responsables de deux millions de morts chaque année.
La recherche de la cause de la contamination de l'eau peut mener parfois jusqu'à l'industrie et à ses processus
connexes. Des contaminants comme le plomb, l'arsenic, le glyphosate, l'atrazine et les microbes naturellement
présents ou accidentellement introduits dans l'eau peuvent constituer de graves menaces pour la santé. Toutefois,
les systèmes de traitement et de distribution destinés à rendre l'eau consommable saine sont eux-aussi des sources
potentielles de contamination. Par exemple, le chlore et les chloramines qui sont couramment ajoutés à l'eau
pour tuer les organismes pathogènes peuvent entraîner la formation de sous-produits de désinfection tels que les
trihalogénométhanes (THM) et les acides haloacétiques (HAA), ainsi que la N-nitrosodiméthylamine (NDMA). Une
exposition à ces composants supérieure aux niveaux fixés par les normes EPA peut causer des cancers ou d'autres
effets néfastes pour la santé. Enfin, on retrouve de plus en plus souvent dans nos systèmes d'approvisionnement en
eau des produits pharmaceutiques et de soins personnels (PPSP) et d'autres contaminants émergeants, dont les effets
sur la santé sont en grande partie inconnus.
La qualité des eaux de surface aux États-Unis dépend grandement du Clean Water Act (loi sur la protection de l'eau)
de 1974. L'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) travaille à la mise en œuvre de cette loi et
d'autres (à savoir la Safe Drinking Water Act [Loi sur la salubrité de l'eau potable]), et publie des normes de seuil de
concentration relatives aux contaminants de l'eau. Ces seuils sont basés sur la probabilité de développement d'un
cancer et d'autres effets néfastes pour la santé, après une exposition à long terme à des contaminants spécifiques.
Néanmoins, la contamination de l'eau potable est un problème constant. Dans un rapport de 2009, l'EPA lançait
un avertissement en déclarant que « les menaces pesant sur l'eau potable augmentent » et ajoutait que « nous ne
pouvons plus considérer l'eau potable comme acquise ».
Même si un grand nombre de personnes préfèrent boire de l'eau en bouteille pour des raisons gustatives et
esthétiques, sa consommation n'est pas sans inconvénients. La confiance excessive portée à l'eau en bouteille a
des répercussions environnementales, mais, même en faisant abstraction de cela, la qualité de l'eau en bouteille se
dégrade. Dans une étude, les taux d'antimoine relevés dans 48 marques d'eau en bouteille provenant de 11 pays
européens ont augmenté de 90 % après six mois de stockage, en raison de la lixiviation de l'antimoine issu des
bouteilles en polyéthylène téréphtalate PET(E), désignées comme recyclables « 1 ».
Les mêmes normes qualitatives sont habituellement appliquées à toutes les utilisations de l'eau potable, engendrant
un gaspillage important des ressources, chaque utilisation ne demandant pas le même niveau de protection. Le
WELL Building Standard cherche à préserver cette ressource tout en améliorant sa qualité pour la santé humaine et
ce en fonction de ses différentes utilisations. C'est pourquoi WELL exige un examen préalable global afin d'évaluer
la source d'eau d'un bâtiment. À partir de là, un système de filtration peut être installé pour satisfaire les seuils requis
pour chaque utilisation. Des tests périodiques peuvent être réalisés dans les bâtiments afin de préserver la qualité de
l'eau dans le temps.
WELL Building Standard v1
Eau
62
INTENTION
Le WELL Building Standard pour l'Eau promeut une eau saine et propre grâce à la mise en œuvre de techniques de
filtration propres et de contrôles réguliers pour permettre aux occupants du bâtiment d'être alimentés en eau de
qualité optimale pour leurs différentes utilisations.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT EAU
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
O
O
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
O
O
30 QUALITÉ FONDAMENTALE DE L'EAU
1: Sédiment
2: Microorganismes
31 CONTAMINANTS INORGANIQUES
1: Métaux dissous
32 CONTAMINANTS ORGANIQUES
1: Polluants organiques
33 CONTAMINANTS AGRICOLES
1: Herbicides et pesticides
2: Engrais
34 ADDITIFS À L'EAU COURANTE
1: Désinfectants
2: Sous-produits de désinfection
3: Fluorure
35 TESTS PÉRIODIQUES DE LA QUALITÉ DE L'EAU
1: Test trimestriel
2: Consignation des données sur l'eau et actions
correctives
36 TRAITEMENT DE L'EAU
1: Élimination des produits chimiques organiques
2: Filtre à sédiments
3: Élimination microbienne
4: Surveillance de la qualité de l'eau
5: Contrôle de la légionellose
37 PROMOTION DE L'EAU POTABLE
1: Propriétés gustatives de l'eau potable
2: Accès à l'eau potable
3: Entretien du distributeur d'eau
WELL Building Standard v1
Eau
63
30
QUALITÉ FONDAMENTALE DE L'EAU
Digestif
Immunitaire
Nerveux
Urinaire
Deux propriétés de l'eau, turbidité et coliformes totaux,
sont des indicateurs de la possible présence de nombreux
contaminants dangereux. Une turbidité élevée peut procurer
abri et nourriture à des germes, et peut également indiquer
un dysfonctionnement du système de filtration du bâtiment.
Supprimer la turbidité peut également éliminer des
pathogènes dangereux comme les protozoaires. Un autre test
est la mesure des coliformes totaux. Les bactéries coliformes
sont naturellement présentes dans l'environnement et sont
généralement considérées comme inoffensives. Toutefois,
leur présence dans l'eau indique que cette dernière peut
contenir des pathogènes plus dangereux, notamment
des bactéries, virus et protozoaires. Une exposition à ces
pathogènes par de l'eau contenant des coliformes peut
engendrer des effets indésirables comme des diarrhées, des
vomissements, des nausées et des crampes.
Pour évaluer la sécurité de l'eau dans diverses circonstances,
cet élément exige que soient effectués des tests ciblant les
coliformes totaux et la turbidité : deux mesures qui sont des
indicateurs de la possible présence de nombreux autres
contaminants dangereux.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : SÉDIMENT
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet, sauf l'eau n'étant pas destinée au contact humain, répond aux exigences
suivantes :
50
a. La turbidité de l'échantillon d'eau est inférieure à 0,3 NTU.
CP
PARTIE 2 : MICROORGANISMES
CP
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet, sauf l'eau n'étant pas destinée au contact humain, répond aux exigences
suivantes :
54
a. Aucun coliforme total (y compris E. coli) n'est détecté dans l'échantillon.
WELL Building Standard v1
Eau
64
31
CONTAMINANTS INORGANIQUES
Cardiovasculaire
Digestif
Nerveux
Reproducteur
Urinaire
Bien qu'il existe de nombreux métaux indispensables au
bon fonctionnement de l'organisme, des niveaux élevés
de ces métaux essentiels peuvent être dangereux pour la
santé. Beaucoup de métaux dissous qui contaminent les
approvisionnements en eau peuvent avoir une toxicité
aiguë ou chronique. Les niveaux de contamination varient
grandement en fonction de l'emplacement géographique et
de la source d'eau, soulignant le besoin de réaliser des tests
localement. Des liens ont été établis entre une exposition
par l'eau potable à certains métaux tels que le plomb et
le mercure, même ingérés en minuscules quantités, et des
retards de croissance ou des difficultés d'apprentissage chez
l'enfant, et une pression artérielle élevée et des troubles
rénaux chez l'adulte.
Cet élément définit les limites maximales de sécurité de
plusieurs contaminants inorganiques dans l'eau potable.
Si nécessaire, des systèmes d'osmose inverse (OI) ou des
filtres KDF (Kinetic Degradation Fluxion) peuvent éliminer
les métaux dissous.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : MÉTAUX DISSOUS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
53
a. Niveau de plomb inférieur à 0,01 mg/L.
54
b. Niveau d'arsenic inférieur à 0,01 mg/L.
54
c. Niveau d'antimoine inférieur à 0,006 mg/L.
54
d. Niveau de mercure inférieur à 0,002 mg/L.
43
e. Niveau de nickel inférieur à 0,012 mg/L.
54
f. Niveau de cuivre inférieur à 1,0 mg/L.
WELL Building Standard v1
Eau
65
32
CONTAMINANTS ORGANIQUES
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Nerveux
Reproducteur
Les contaminants organiques se trouvent généralement à
l'état de traces dans les eaux souterraines et de surface et
peuvent constituer de sérieuses menaces pour la santé. Les
sources courantes de polluants organiques sont notamment
les activités industrielles qui déversent accidentellement des
substances chimiques dans les eaux de surface. Des liens
ont été établis entre l'exposition par l'eau potable à des
contaminants organiques tels que les polychlorobiphényles
(PCB) et le chlorure de vinyle, et divers effets néfastes pour
la santé, notamment des cancers, des déficits immunitaires
et des troubles du système nerveux.
Urinaire
Cet élément définit les limites maximales des contaminants
organiques tels que les polychlorobiphényles (PCB), le
benzène et le styrène. Les filtres à charbon actif sont efficaces
pour éliminer ces contaminants et d'autres substances
chimiques dangereuses.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : POLLUANTS ORGANIQUES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
45
a. Niveau de styrène inférieur à 0,0005 mg/L.
44
b. Niveau de benzène inférieur à 0,001 mg/L.
44
c. Niveau d'éthylbenzène inférieur à 0,3 mg/L.
54
d. Niveau de polychlorobiphényles inférieur à 0,0005 mg/L.
54
e. Niveau de chlorure de vinyle inférieur à 0,002 mg/L.
44
f. Niveau de toluène inférieur à 0,15 mg/L.
53
g. Niveau de xylènes (total : m, p ou o) inférieur à 0,5 mg/L.
54
h. Niveau de tétrachloroéthylène inférieur à 0,005 mg/L.
WELL Building Standard v1
Eau
66
33
CONTAMINANTS AGRICOLES
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Nerveux
Reproducteur
Un sondage géologique mené aux États-Unis dans les
années 1990 a permis de détecter des composés pesticides
dans la quasi-totalité des cours d'eau des zones agricoles,
urbaines et mixtes, ainsi que dans 30 % à 60 % des eaux
souterraines. Ces produits chimiques peuvent pénétrer dans
le système d'approvisionnement en eau par ruissellement
agricole et par ruissellement des eaux pluviales. Des liens
ont été établis entre leur exposition et des troubles rénaux,
thyroïdiens, gastro-intestinaux et du système reproducteur.
L'atrazine, l'un des pesticides les plus largement utilisés,
est associé à des pathologies cardiovasculaires et est
soupçonné d'être un perturbateur endocrinien. L'exposition
à long terme au glyphosate, un herbicide très répandu, peut
engendrer des troubles rénaux et du système reproducteur.
Urinaire
Cet élément appelle à la gestion responsable de l'utilisation
des herbicides, pesticides et engrais pour en limiter la
lixiviation dans les sources d'eau. Cet élément définit
également les limites maximales de sécurité des pesticides
et herbicides courants qui ont été détectés dans l'eau
potable domestique. S'ils sont détectés, ces contaminants
peuvent être éliminés à l'aide de filtres à charbon.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : HERBICIDES ET PESTICIDES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
44
a. Niveau d'atrazine inférieur à 0,001 mg/L.
53
b. Niveau de simazine inférieur à 0,002 mg/L.
54
c. Niveau de glyphosate inférieur à 0,70 mg/L.
54
d. Niveau d'acide 2,4-dichlorophénoxyacétique inférieur à 0,07 mg/L.
CP
PARTIE 2 : ENGRAIS
CP
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
54
a. Niveau de nitrate inférieur à 10 mg/L d'azote.
WELL Building Standard v1
Eau
67
34
ADDITIFS À L'EAU COURANTE
Digestif
Tégumentaire
Il arrive que des produits chimiques soient ajoutés
intentionnellement aux approvisionnements en eau. Par
exemple, du chlore ou de la chloramine sont ajoutés à
l'eau comme désinfectants, et du fluorure peut être ajouté
pour prévenir les caries dentaires. Bien que l'ajout en petite
quantité de ces produits chimiques soit bénéfique pour la
sécurité et la santé publiques, une exposition excessive peut
avoir des effets néfastes, notamment la fluorose (taches sur
les dents), les maux d'estomac, et l'irritation des yeux et
de la peau. En outre, l'utilisation du chlore peut conduire
à la formation de sous-produits de désinfection, tels que
les trihalogénométhanes et les acides haloacétiques (HAA),
dont des liens ont été établis avec des cas de cancers et de
lésions rénales.
Reproducteur
Respiratoire
Cet élément exige que les projets maintiennent les
concentrations de désinfectants, sous-produits de
désinfection et fluorure présents dans l'eau sous certaines
limites définies.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : DÉSINFECTANTS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine ou de douches/bains respecte les
limites suivantes :
42
a. Niveau de chlore résiduel inférieur à 0,6 mg/L.
54
b. Niveau de chloramine résiduelle inférieur à 4 mg/L.
CP
PARTIE 2 : SOUS-PRODUITS DE DÉSINFECTION
CP
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
54
a. Niveau de trihalogénométhanes totaux inférieur à 0,08 mg/L.
54
b. Niveau d'acides haloacétiques totaux inférieur à 0,06 mg/L.
CP
PARTIE 3 : FLUORURE
CP
CP
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
54
a. Niveau de fluorure inférieur à 4,0 mg/L.
WELL Building Standard v1
Eau
68
35
TESTS PÉRIODIQUES DE LA QUALITÉ
DE L'EAU
Digestif
Immunitaire
Nerveux
Urinaire
Une modification des pratiques industrielles et des variations
temporelles en termes de température, pH et météo peuvent
avoir des conséquences sur le taux de lixiviation des métaux
inorganiques dans les sources d'eau potable. Lorsque cela
est possible, des tests de routine contribuent à détecter
les variations importantes de produits chimiques dans l'eau
et permettent de prévenir les occupants du bâtiment si ce
dernier est alimenté en eau de très bonne qualité de façon
inégale.
Des tests trimestriels de recherche de métaux inorganiques
garantissent le maintien de la qualité de l'eau toute l'année.
Cet élément exige que des enregistrements détaillés de tous
les tests soient conservés, et qu'un plan de réhabilitation soit
mis en place s'il a été détecté que la qualité de l'eau est
inacceptable.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : TEST TRIMESTRIEL
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine est testée chaque trimestre (les
rapports doivent être envoyés chaque année à l'IWBI). Les tests doivent porter sur les métaux dissous et les
métalloïdes suivants :
53
a. Plomb.
53
b. Arsenic.
53
c. Mercure.
53
d. Cuivre.
PARTIE 2 : CONSIGNATION DES DONNÉES SUR L'EAU ET
ACTIONS CORRECTIVES
—
O
O
Les projets incluent une politique écrite stipulant les éléments suivants :
a.
Des stratégies détaillées d'application du contrôle et de la consignation des données en matière de qualité de
l'eau répertoriées dans le WELL Building Standard.
b.
Ces enregistrements doivent être conservés au moins trois ans, et comprendre les données exhaustives de
contrôles de terrain ou les résultats de laboratoire, le cas échéant.
c.
Un plan d'action et de réhabilitation détaillé dans le cas de conditions inacceptables.
WELL Building Standard v1
Eau
69
36
TRAITEMENT DE L'EAU
Digestif
Immunitaire
Plusieurs types de contaminants peuvent compromettre la
qualité de l'eau, allant de pathogènes et métaux lourds à des
résidus de pesticides et d'herbicides. Même si des tests de
routine permettent d'effectuer le suivi des polluants potentiels,
l'échantillonnage seul ne peut garantir l'élimination de tous
les risques. Des perturbations de l'approvisionnement en eau,
sécheresses, inondations et modifications des infrastructures
peuvent affecter la qualité de l'eau de façon temporaire.
En conséquence, la mise en place et l'entretien de filtres à
eau appropriés sont primordiaux afin de fournir une eau de
qualité élevée en continu.
Cet élément prescrit des technologies conçues pour
maintenir une qualité de l'eau élevée, indépendamment des
variations auxquelles est soumis l'approvisionnement en eau,
grâce à la mise en place de diverses filtrations préventives
et processus de stérilisation. Les filtres à charbon, les filtres
à sédiments et l'assainissement par ultraviolets en sont
notamment des exemples.
PARTIE 1 : ÉLIMINATION DES PRODUITS CHIMIQUES
ORGANIQUES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine ou de douches/bains est traitée avec
les éléments suivants :
187
a.
Filtre à charbon actif.
O
PARTIE 2 : FILTRE À SÉDIMENTS
O
O
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine ou de douches/bains est traitée avec
les éléments suivants :
a.
Filtre classé pour l'élimination des solides en suspension.
O
PARTIE 3 : ÉLIMINATION MICROBIENNE
O
O
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine ou de douches/bains est traitée avec
un des éléments suivants :
188
a.
b.
Assainissement de l'eau par IGUV.
Filtre NSF classé pour l'élimination des kystes microbiens.
O
PARTIE 4 : SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'EAU
O
O
Pour vérifier que le système de filtration/d'assainissement sélectionné continue de fonctionner conformément à ses
spécifications de conception, les projets doivent fournir tous les ans à l'IWBI :
a.
Consignation des données pendant au moins trois ans, prouvant notamment que les filtres et/ou assainisseurs
ont été entretenus conformément aux recommandations du fabricant.
WELL Building Standard v1
Eau
70
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 5 : CONTRÔLE DE LA LÉGIONELLOSE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Une description point par point explique comment remédier à la légionnelle dans le bâtiment, sans omettre les
points suivants :
177
a.
Constitution d'une équipe en charge de la gestion de la légionnelle dans le bâtiment.
177
Inventaire du système de l'eau et élaboration de schémas de circulation des fluides.
b.
177
Analyse des risques des infrastructures d'eau.
c.
177
Identification de points de contrôle critiques.
d.
177
Mesures d'entretien et de contrôle, surveillance, établissement de limites de performances et actions
correctives.
e.
177
f.
Procédures de documentation, vérification et validation.
WELL Building Standard v1
Eau
71
37
PROMOTION DE L'EAU POTABLE
Digestif
Endocrinien
Urinaire
L'accès à une eau pure et ayant bon goût aide à la promotion
d'une bonne hydratation tout au long de la journée. Un
grand nombre de personnes, par ailleurs en bonne santé,
ignorent qu'elles souffrent d'une déshydratation légère,
c'est-à-dire que la quantité d'eau et de fluide dans le corps
est inférieure à ce qu'elle devrait être. Il en résulte des
symptômes qui pourraient être évités comme des crampes
musculaires, un dessèchement de la peau et des maux de
tête. Boire beaucoup d'eau, en particulier lors de la pratique
d'activités physiques ou en présence de températures
élevées, est essentiel pour garantir une bonne hydratation.
L'amélioration du goût et de l'apparence de l'eau du robinet
encourage à consommer davantage d'eau et à réduire la
dépendance à l'eau en bouteille.
Cet élément définit les limites de minéraux dissous pouvant
compromettre le goût et l'apparence de l'eau, et exige que
l'eau potable soit facilement accessible dans l'ensemble du
bâtiment.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : PROPRIÉTÉS GUSTATIVES DE L'EAU POTABLE
O
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Toute l'eau alimentant la zone du projet à des fins de consommation humaine respecte les limites suivantes :
54
a. Niveau d'aluminium inférieur à 0,2 mg/L.
54
b. Niveau de chlorure inférieur à 250 mg/L.
54
c. Niveau de manganèse inférieur à 0,05 mg/L.
47
d. Niveau de sodium inférieur à 270 mg/L.
54
e. Niveau de sulfate inférieur à 250 mg/L.
54
f. Niveau de fer inférieur à 0,3 mg/L.
54
g. Niveau de zinc inférieur à 5 mg/L.
54
h. Niveau de solides dissous totaux inférieur à 500 mg/L.
—
PARTIE 2 : ACCÈS À L'EAU POTABLE
O
O
Afin d'encourager la consommation d'eau, les conditions suivantes sont remplies :
a.
Au moins un distributeur est situé dans un rayon de 30 m [100 pi] d'un espace occupé régulièrement (au
moins un par étage).
WELL Building Standard v1
Eau
72
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 3 : ENTRETIEN DU DISTRIBUTEUR D'EAU
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les composants des distributeurs d'eau à des fins de consommation humaine sont nettoyés selon, au moins, les
fréquences suivantes :
48
a. Quotidiennement, pour les embouts, les protections et les réservoirs de récupération, afin de prévenir la
formation de calcaire et de calcium.
48
b. Trimestriellement, pour les grilles de sortie et les aérateurs, afin de retirer les débris et sédiments.
WELL Building Standard v1
Eau
73
NUTRITION
WELL Building Standard v1
Nutrition
74
CONTEXTE
L'alimentation joue un rôle essentiel dans le maintien de la santé, la gestion du poids et la prévention des maladies
chroniques. Toutefois, il est rare aux États-Unis que les recommandations nutritionnelles soient respectées.
Parallèlement, les modèles diététiques mondiaux sont également loin d'être optimaux ; dans de nombreux pays,
plus de 500 calories provenant de sucres ajoutés sont consommées chaque jour. Aux États-Unis, la moitié de la
population boit des boissons sucrées tous les jours, et un quart de la population consomme plus de 200 calories
provenant de ces mêmes boissons chaque jour. En outre, l'ingestion diététique moyenne en calories aux États-Unis
en 2010 était approximativement de 2 600 calories par personne et par jour, soit une augmentation de l'apport
énergétique de 25 % depuis 1970. Cette augmentation est principalement due à la consommation de produits
à base de farines et de céréales, de graisses et d'huiles ajoutées, et de sucres et d'édulcorants ajoutés.
Associé à l'inactivité physique, un régime déséquilibré est un contributeur majeur aux fléaux américains que sont le
surpoids (indice de masse corporelle [IMC] de 25 à 29,9) et l'obésité (IMC supérieur à 30), augmentant les risques de
maladies cardiovasculaires, de diabètes et de cancers. Plus des deux tiers (69 %) de la population adulte (20 ans et
plus) américaine est aujourd'hui en surpoids, et plus d'un tiers (35 %) est obèse. La situation est la même à l'échelle
planétaire, avec plus d'1,9 milliard (39 %) d'adultes en surpoids en 2014, parmi lesquels 600 millions (13 %) étaient
obèses. Ce constat fait de l'obésité non seulement un fléau, mais une pandémie mondiale.
Des modèles diététiques sous-optimaux peuvent également avoir d'autres conséquences néfastes pour la santé. Par
exemple, des liens ont été établis entre une forte consommation de boissons sucrées et le diabète, le syndrome métabolique,
l'obésité, l'hypertension, les caries dentaires, et même la dépression. Une consommation élevée de viande rouge et
transformée a pour incidence des insuffisances cardiaques, de l'hypertension, des maladies cardiaques coronariennes,
et des cancers colorectaux et du sein. De plus, une faible consommation de fruits et légumes est associée à un taux plus
élevé de diabète de type 2, de mortalité cardiovasculaire ainsi que de cancers du sein et gastro-intestinaux. L'Organisation
mondiale de la santé (OMS) indique que 2,7 millions de décès dans le monde sont afférents à un apport insuffisant en fruits
et légumes, faisant de cette carence un des 10 premiers facteurs de risques de mortalité au niveau mondial.
Tandis la composition et les ingrédients des aliments que nous consommons représentent une source de
préoccupation importante et raisonnable, un autre problème se pose avec la modification des pratiques culturelles
alimentaires. Des vies très occupées et des journées de travail plus longues encouragent les comportements
néfastes pour la santé, notamment le fait de manger sur le pouce et devant la TV, de grignoter entre les repas et
de manger en grosse quantité. De plus, les produits alimentaires pris en collation, riches en graisse et en sucre,
aux faibles qualités nutritionnelles sont élaborés dans le but d'avoir plus de goût, et sont susceptibles d'engendrer
des dépendances. Ces produits sont souvent mis en avant par des publicités colorées et séduisantes qui inondent
notre environnement, des distributeurs automatiques aux restaurants et rayons des supermarchés. Rien qu'aux
États-Unis, plus d'1,6 milliard d'USD est dépensé chaque année par l'industrie alimentaire, majoritairement pour
faire la promotion de céréales, fastfoods et boissons gazeuses auprès des enfants et adolescents. Selon l'Institute
of Medicine (IOM), cette pratique est « en total déséquilibre avec les régimes alimentaires sains », elle contribue
aux modèles alimentaires néfastes pour la santé et met la santé des jeunes américains en danger.
Par chance, l'achat de nourriture et les décisions de consommation, les modèles alimentaires et les pratiques de
préparation constituent tous des éléments de préoccupation, mais également des leviers pour améliorer la santé. Divers
facteurs sociaux, économiques, physiologiques et environnementaux peuvent avoir un impact sur les comportements
alimentaires individuels ; le bâti est l'un d'entre eux. La proximité d'épiceries et d'autres lieux proposant des fruits et
légumes frais, et leur accessibilité, l'accès à des marchés fermiers, la pratique de l'économie comportementale dans les
cafétérias et la présence accrue d'aliments sains, ainsi que la réduction du marketing et de la disponibilité des aliments
néfastes pour la santé, la mise à disposition des informations sur la teneur en calories et de nombreuses autres stratégies
peuvent avoir un impact sur nos choix alimentaires et, à plus grande échelle, sur les modèles alimentaires. Le WELL
Building Standard est conscient de cela et cherche à mettre en œuvre des stratégies et politiques de conception au sein
de l'environnement bâti qui augmentent l'accès à des options alimentaires saines, permettent aux individus de faire des
choix alimentaires plus avisés et conduisent à une meilleure santé et à un plus grand bien-être.
WELL Building Standard v1
Nutrition
75
INTENTION
Le WELL Building Standard pour la Nutrition exige la mise à disposition d'aliments frais et sains, limite les ingrédients
néfastes pour la santé et encourage de meilleures habitudes et cultures alimentaires.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT NUTRITION
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
CP
CP
—
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
—
—
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
CP
CP
O
CP
CP
O
CP
CP
O
O
CP
CP
CP
CP
38 FRUITS ET LÉGUMES
1: Diversité de fruits et légumes
2: Encouragement à la consommation de fruits et
légumes
39 PRODUITS ALIMENTAIRES TRANSFORMÉS
1: Restrictions applicables aux composants raffinés
2: Interdiction des acides gras trans
40 ALLERGIES ALIMENTAIRES
1: Étiquetage relatif aux allergies alimentaires
41 LAVAGE DES MAINS
1: Matériel pour le lavage des mains
2: Réduction de la contamination
3: Dimensions des éviers
42 CONTAMINATION ALIMENTAIRE
1: Stockage au froid
43 INGRÉDIENTS ARTIFICIELS
1: Étiquetage des substances artificielles
44 INFORMATIONS NUTRITIONNELLES
1: Informations nutritionnelles détaillées
45 PUBLICITÉ ALIMENTAIRE
1: Panneaux publicitaires et environnementaux
2: Messages nutritionnels
46 MATÉRIELS DE PRÉPARATION DES ALIMENTS SANS RISQUE
1: Matériel de cuisine
2: Surfaces de découpe
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
—
O
O
47 TAILLE DES PORTIONS
1: Portions des repas
2: Dimensions de la vaisselle
48 RÉGIMES SPÉCIAUX
1: Alternatives alimentaires
WELL Building Standard v1
Nutrition
76
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
—
O
O
O
O
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
Noyau et
enveloppe
49 PRODUCTION ALIMENTAIRE RESPONSABLE
1: Agriculture durable
2: Agriculture plus humaine
50 STOCKAGE DES ALIMENTS
1: Capacité de stockage
51 PRODUCTION ALIMENTAIRE
1: Espace de jardinage
2: Aide à la plantation
52 ALIMENTATION CONSCIENTE
1: Espaces de restauration
2: Mobiliers pour coins de détente
WELL Building Standard v1
Nutrition
77
38
FRUITS ET LÉGUMES
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Une consommation régulière de fruits et légumes frais est la
pierre angulaire d'un régime sain et peut réduire le risque de
cancer, diabète, maladie cardiaque et obésité. En revanche,
un apport insuffisant en fruits et légumes est un des
10 premiers facteurs de risque de mortalité dans le monde,
faisant près de 2,7 millions de morts au niveau mondial. Les
Dietary Guidelines for Americans (Directives alimentaires
pour les Américains) recommandent une consommation
moyenne d'au moins quatre portions de fruits et cinq
portions de légumes par jour. Toutefois, seulement 8 % de la
population américaine consomme la quantité recommandée
de fruits, et seulement 6 % de légumes.
Afin d'encourager les individus à inclure plus de fruits et
de légumes dans leur régime en les considérant comme
des composants essentiels, cet élément exige qu'un panel
de chacun d'entre eux soit facilement accessible dans les
lieux où de la nourriture est proposée. Ces exigences ne
s'appliquent pas aux projets qui ne comprennent pas de
service ou de vente de nourriture.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : DIVERSITÉ DE FRUITS ET LÉGUMES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
Si des aliments solides sont vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un prestataire de services
pour) le propriétaire du projet, la sélection inclut alors au moins un des éléments suivants :
a.
Au moins deux variétés de fruits (sans sucre ajouté) et au moins deux variétés de légumes non frits.
b.
Au moins 50 % des choix proposés sont des fruits et/ou des légumes non frits.
PARTIE 2 : ENCOURAGEMENT À LA CONSOMMATION DE
FRUITS ET LÉGUMES
—
CP
CP
Les cafétérias exploitées ou sous-traitées par le propriétaire du projet, s'il y en a, comprennent les interventions de
conception suivantes :
180
a.
Un bar à salades ou une zone similaire proposant des salades est implanté à l'écart des murs, pour permettre
d'y accéder de tous côtés.
73
b. Les fruits et les légumes sont visibles grâce à un affichage ou à des photographies en couleur sur le menu.
73
c. Les plats de légumes sont proposés en début de file du self-service.
73
d. Les fruits ou les desserts à base de fruit sont présentés dans des bols ou sur un rayonnage du côté de la sortie.
WELL Building Standard v1
Nutrition
78
39
PRODUITS ALIMENTAIRES
TRANSFORMÉS
Cardiovasculaire
Digestif
Endocrinien
Les produits alimentaires composés d'ingrédients hautement
transformés ont tendance à avoir une teneur élevée en
sucre, calories et graisses ajoutées, et sont à faible valeur
nutritive. Aux États-Unis, plus de la moitié de la population
boit des boissons sucrées tous les jours, et la consommation
moyenne de sucres ajoutés est de plus de 22 cuillères à
café (110 g) par jour, bien que la limite recommandée soit
de 6 à 9 cuillères à café (30 à 45 g). Une consommation
élevée de sucres ajoutés est associée à une prise de poids,
à l'obésité, au diabète de type 2, à des maladies rénales, de
l'hypertension et d'autres effets néfastes pour la santé.
Reproducteur
Urinaire
Cet élément interdit ou limite les principaux composants
de produits alimentaires hautement transformés ou
industrialisés (sucres, farines et huiles raffinés) afin
d'encourager la consommation d'une cuisine équilibrée.
PARTIE 1 : RESTRICTIONS APPLICABLES AUX
COMPOSANTS RAFFINÉS
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
Tous les aliments, boissons, collations et repas vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un
prestataire de services pour) le propriétaire du projet répondent aux conditions suivantes :
78
a. Aucune boisson contenant plus de 30 g de sucre par contenant n'est vendue ou distribuée par les services de
restauration ou distributeurs automatiques. Les cubitainers de 1,9 L (2 quart) ou plus, ne sont pas concernés
par cette exigence.
78
b. Parmi les boissons proposées dans les distributeurs automatiques ou sur les menus, au moins 50 % sont des
produits qui contiennent 15 g de sucre ou moins par 240 mL [8 oz].
78
c. Aucun article alimentaire (hors boisson) vendu seul en portion individuelle ne contient plus de 30 g de sucre.
55
d. Dans tous les aliments dont l'ingrédient principal en poids est de la farine de céréale, une céréale complète
doit en être l'ingrédient principal.
PARTIE 2 : INTERDICTION DES ACIDES GRAS TRANS
CP
CP
CP
Tous les produits alimentaires, boissons, collations et repas vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou
par un prestataire de services pour) le propriétaire du projet ne contiennent pas :
56
a. D'huile partiellement hydrogénée.
WELL Building Standard v1
Nutrition
79
40
ALLERGIES ALIMENTAIRES
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
En l'absence d'un étiquetage clair des ingrédients, les personnes
souffrant d'allergies alimentaires sont confrontées au risque
d'être exposées à des allergènes. Actuellement, près de 8 %
des enfants et 4 % des adultes américains souffrent d'allergies
alimentaires. Chaque année, près de 30 000 personnes doivent
bénéficier de soins d'urgence, 2 000 sont hospitalisées et
150 meurent à cause de réactions allergiques alimentaires. En
raison de l'absence de traitement des allergies alimentaires,
les individus sensibles doivent absolument éviter tout aliment
contenant des allergènes afin de prévenir des réactions
allergiques graves. La Food and Drug Administration (FDA)
exige que soit indiqué explicitement sur tout aliment emballé
la présence d'allergènes courants, et plusieurs municipalités et
États américains disposent de directives supplémentaires en
matière d'étiquetage des allergènes sur les aliments préparés
servis dans des établissements de restauration.
Tégumentaire
Respiratoire
Cet élément exige que tous les produits alimentaires,
boissons, collations et plats soient étiquetés avec les huit
allergènes alimentaires les plus courants, plus le gluten. Cela
inclut non seulement les aliments emballés, mais également
les produits alimentaires préparés.
PARTIE 1 : ÉTIQUETAGE RELATIF AUX ALLERGIES
ALIMENTAIRES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
Tous les produits alimentaires vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un prestataire de
services pour) le propriétaire du projet portent un étiquetage clair indiquant s'ils contiennent les allergènes
suivants :
57
a. Arachides.
57
b. Poisson.
57
c. Fruits de mer.
57
d. Soja.
57
e. Lait et produits laitiers.
57
f. Œuf.
57
g. Blé.
57
h. Noix.
57
i. Gluten, conformément aux définitions et restrictions fixées par la FDA dans le Code des règlements
fédéraux 21. § 101.91.
WELL Building Standard v1
Nutrition
80
41
LAVAGE DES MAINS
Digestif
Endocrinien
Immunitaire
Le lavage des mains est un des plus importants et des plus
efficaces moyens pour réduire la transmission de pathogènes
par la nourriture. Responsables d'environ 48 millions de
maladies, 128 000 hospitalisations et 3 000 morts chaque
année aux États-Unis, les intoxications alimentaires sont
une cause majeure de maladies et de décès évitables,
de détresse personnelle, et elles représentent un fardeau
économique évitable. Un nettoyage régulier au savon
et à l'eau contribue à réduire la propagation de germes
indésirables et potentiellement dangereux. En outre,
l'utilisation de serviettes en papier pour s'essuyer les mains
est plus efficace pour éliminer les bactéries que l'utilisation
de sèche-mains à air.
Tégumentaire
Reproducteur
Cet élément exige que les lavabos et les distributeurs
de savon et serviettes en papier soient accessibles sans
restriction dans les environnements appropriés.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : MATÉRIEL POUR LE LAVAGE DES MAINS
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Les éléments suivants sont mis à disposition, au minimum, auprès de tous les lavabos :
76
a. Savon non parfumé antibactérien.
68
b. Distributeur de serviettes en papier (les sèche-mains à air ne sont pas interdits, mais viennent en complément).
—
PARTIE 2 : RÉDUCTION DE LA CONTAMINATION
CP
CP
CP
CP
L'élément suivant est mis à disposition, au minimum, auprès de tous les lavabos :
68
a. Savon liquide en distributeur avec recharges fermées jetables.
—
PARTIE 3 : DIMENSIONS DES ÉVIERS
Les éviers/lavabos des salles de bains et cuisines satisfont les exigences suivantes :
70
a. La colonne d'eau de l'évier mesure au moins 25 cm [10 po] de long.
70
b. Le lavabo mesure au moins 23 cm [9 po] de large et de long.
WELL Building Standard v1
Nutrition
81
42
CONTAMINATION ALIMENTAIRE
Digestif
Immunitaire
Les produits alimentaires comme la viande, le poisson et la
volaille crus présentent un risque accru de contamination
par bactérie. Les microorganismes provenant de tels
aliments peuvent être transmis à d'autres produits via les
planches à découper et autres surfaces et équipements,
engendrant des problèmes gastro-intestinaux associés à
une intoxication alimentaire. Afin d'atténuer les risques
d'intoxications alimentaires, les aliments doivent être
préparés à une température suffisamment élevée et des
techniques d'hygiène efficaces doivent être mises en
place pour prévenir ou minimiser le développement de
microorganismes pathogènes et réduire ainsi le risque de
contamination et de transmission.
Cet élément exige que les aliments crus et les aliments
préparés soient séparés lors de leur préparation et stockage
afin de réduire le risque de contamination croisée par
pathogènes. Un étiquetage clair est aussi important, car il
garantit des habitudes de préparation saines.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : STOCKAGE AU FROID
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
Si la viande crue est préparée ou stockée sur site, les espaces de stockage au froid comportent les éléments
suivants :
71
a. Au moins un tiroir ou bac amovible et nettoyable situé au bas de l'unité, conçu et étiqueté pour stocker les
aliments crus (viande, poisson et volaille non cuits).
b.
Un affichage visuel des températures de conservation pour donner une représentation précise des
températures de stockage.
WELL Building Standard v1
Nutrition
82
43
INGRÉDIENTS ARTIFICIELS
Digestif
Nerveux
De nombreux ingrédients artificiels sont généralement
ajoutés aux produits alimentaires hautement transformés
afin d'en améliorer le goût et d'en prolonger la durée de
conservation. Toutefois, certaines personnes peuvent être
sensibles à ces ingrédients, tels que les sulfites, qui peuvent
engendrer des troubles respiratoires chez les individus
asthmatiques. Étant donné que ces additifs n'ajoutent pas
de valeur nutritionnelle à la nourriture et ont tendance à
être présents dans des produits alimentaires dont l'apport
nutritionnel est faible, ils doivent être évités le plus souvent
possible.
Urinaire
Cet élément exige un étiquetage clair de tous les colorants,
édulcorants et conservateurs artificiels présents dans des
produits alimentaires et des plats, afin de permettre aux
consommateurs d'effectuer des choix alimentaires mieux
informés.
PARTIE 1 : ÉTIQUETAGE DES SUBSTANCES
ARTIFICIELLES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
CP
CP
Tous les produits alimentaires vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un prestataire de
services pour) le propriétaire du projet sont étiquetés de façon à indiquer s'ils contiennent les composants suivants :
10
a. Colorants artificiels.
10
b. Arômes artificiels.
10
c. Édulcorants artificiels.
10
d. Huiles végétales bromées.
10
e. Bromate de potassium.
10
f. BHA (hydroxyanisole butylé).
10
g. BHT (butylhydroxytoluène).
10
h. Glutamate monosodique (GMS).
10
i. Protéine végétale hydrolysée (PVH).
10
j. Nitrate de sodium et nitrite de sodium.
10
k. Sulfites.
WELL Building Standard v1
Nutrition
83
44
INFORMATIONS NUTRITIONNELLES
Cardiovasculaire
Digestif
Le fait d'accéder à des informations nutritionnelles permet
aux consommateurs de faire des choix alimentaires informés.
Par exemple, pouvoir comparer le sodium contenu dans
deux collations différentes permet à la personne qui doit
limiter ses apports en sel de prendre la meilleure option.
La FDA définit des exigences spécifiques en termes
d'étiquetage nutritionnel pour les produits alimentaires
emballés, et plusieurs administrations à l'échelle municipale
ont étendu la réglementation en la matière aux produits
alimentaires préparés également.
Musculaire
Squelettique
Cet élément exige que les produits alimentaires vendus
et distribués sur le site, qu'ils soient emballés ou servis
préparés, portent un étiquetage stipulant l'apport calorique
total, le contenu en macronutriment, une liste exhaustive
des ingrédients et la teneur en vitamines A et C, en calcium
et en fer. De nombreuses cuisines professionnelles utilisent
déjà un logiciel qui organise les recettes et permet ainsi
d'afficher les informations nutritionnelles.
PARTIE 1 : INFORMATIONS NUTRITIONNELLES
DÉTAILLÉES
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
CP
CP
Pour tous les produits alimentaires et les boissons vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un
prestataire de services pour) le propriétaire du projet, les informations suivantes sont fournies de manière précise
(par plat ou article) sur l'emballage, les menus ou au moyen d'une signalétique :
74
a. Calories totales.
61
b. Teneur en macronutriments (protéines totales, graisses totales et glucides totaux) en poids et en pourcentage
des besoins journaliers estimés par la FDA (valeurs journalières).
61
c. Teneur en micronutriments (vitamines A et C, calcium et fer) en poids ou en unités internationales et/ou en
pourcentage des besoins journaliers estimés par la FDA (valeurs journalières).
61
d. Teneur en sucres totaux.
WELL Building Standard v1
Nutrition
84
45
PUBLICITÉ ALIMENTAIRE
Cardiovasculaire
Digestif
Chaque année, les entreprises agroalimentaires dépensent
des milliards de dollars pour la promotion et la publicité
de produits alimentaires néfastes pour la santé des enfants
et des adultes. Elles contribuent ainsi à la création d'un
environnement obésogène (qui favorise l'obésité). Plus
d'un milliard de dollars est consacré chaque année à la
promotion auprès des jeunes de céréales pour le petitdéjeuner, de boissons gazeuses et de la restauration rapide.
Toutefois, l'accès aux informations nutritionnelles peut aider
les individus à connaître et à prendre de nouvelles habitudes
alimentaires. En outre, limiter le nombre de panneaux
publicitaires pour les produits alimentaires néfastes pour
la santé peut aider les individus à faire de meilleurs choix
alimentaires et à modérer leurs choix nutritionnels sousoptimaux.
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Squelettique
Cet élément élimine la publicité pour les produits
alimentaires néfastes pour la santé, tout en favorisant la
publicité encourageant de meilleurs choix alimentaires
comme les fruits et légumes frais et les plats avec des
aliments complets.
PARTIE 1 : PANNEAUX PUBLICITAIRES ET
ENVIRONNEMENTAUX
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
CP
CP
L'exigence suivante est satisfaite :
77
a. Les publicités pour les produits alimentaires ou les boissons ne respectant pas les exigences fixées dans
l'élément Produits alimentaires transformés ne sont pas affichées sur le site.
O
PARTIE 2 : MESSAGES NUTRITIONNELS
CP
CP
À l'aide de supports visibles comme des affiches, brochures ou autres supports éducatifs, les zones de restauration
définies ou les zones communes comptent au total au moins trois types de messages dans le but d'atteindre
chacune des exigences suivantes :
77
a. Encourager la consommation de cuisines et produits alimentaires non transformés et naturels.
77
b. Lutter contre la consommation de produits alimentaires, boissons et collations sucrés ou transformés.
WELL Building Standard v1
Nutrition
85
46
MATÉRIELS DE PRÉPARATION DES
ALIMENTS SANS RISQUE
Digestif
Endocrinien
Le matériel de préparation des aliments peut être une source
de contaminants potentiellement dangereux. Les surfaces
poreuses peuvent abriter des toxines dangereuses, et les
produits chimiques utilisés pour conférer aux équipements
de préparation des aliments des qualités spécifiques, par
exemple des propriétés antiadhésives pour les ustensiles de
cuisine, peuvent se lixivier ou se volatiliser au cours de leur
utilisation. Un de ces contaminants est le bisphénol A (BPA),
un produit chimique phénolique utilisé dans des produits tels
que les biberons, les contenants alimentaires en plastique,
les bouteilles d'eau et les revêtements de conserves
alimentaires. Bien qu'il soit généralement stable, le BPA
peut être libéré lorsque les produits qui en contiennent sont
exposés à la chaleur ou à la lumière ultraviolette, et peut
alors avoir des effets néfastes sur la santé.
Immunitaire
Tégumentaire
Reproducteur
Urinaire
Cet élément propose des options d'équipement de
préparation d'aliments plus sûres et limite les matériels
pouvant utiliser des additifs connus pour être un danger
pour la santé ou pour l'environnement.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : MATÉRIEL DE CUISINE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les casseroles, poêles et autres outils de cuisine utilisés pour préparer les aliments (sauf les planches à découper)
sont entièrement constitués d'un ou de plusieurs des matériaux inertes suivants :
67
a. Céramique, sauf si elle contient du plomb.
67
b. Fonte.
67
c. Inox.
67
d. Verre.
67
e. Aluminium enrobé.
f.
Bois massif (non laminé) non traité ou traité avec une huile minérale de qualité alimentaire ou avec de l'huile de lin.
—
PARTIE 2 : SURFACES DE DÉCOUPE
O
O
Toutes les planches à découper sont constituées des matériaux suivants, et sont remplacées lorsqu'elles sont très
usées ou présentent de profondes entailles :
75
a. Marbre.
75
b. Plastique.
75
c. Verre.
75
d. Vitrocéramique.
75
e. Bois massif (non laminé) non traité ou traité avec une huile minérale de qualité alimentaire ou avec de l'huile de lin.
WELL Building Standard v1
Nutrition
86
47
TAILLE DES PORTIONS
Cardiovasculaire
Digestif
Un apport excessif en calories, particulièrement dû à un
accès facile à des choix de plats servis en grosse quantité,
peut conduire à une prise de poids et à un état d'obésité.
Des études montrent que les individus se serviront
et mangeront en plus grande quantité s'ils disposent
d'assiettes et de bols de grande taille. En outre, les
grosses portions d'aliments riches en énergie poussent à
la surconsommation. En conséquence, diminuer la taille et
la teneur calorique des plats peut réduire les risques d'une
suralimentation involontaire, et encourager de ce fait des
habitudes alimentaires plus saines.
Endocrinien
Immunitaire
Cet élément réduit la suralimentation involontaire sans
imposer de restrictions au niveau du choix du consommateur.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PORTIONS DES REPAS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Dans les cas où les produits alimentaires vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un prestataire
de services pour) le propriétaire du projet sont préparés à la demande, pour au moins la moitié des entrées
disponibles, les choix suivants sont disponibles et proposés au menu :
58
a. Une version ou portion de l'entrée de 650 calories ou moins, et vendue à un prix inférieur par rapport à une
version plus grande ou standard.
—
PARTIE 2 : DIMENSIONS DE LA VAISSELLE
O
O
Dans les cas où les produits alimentaires vendus ou distribués quotidiennement sur le site par (ou par un prestataire
de services pour) le propriétaire du projet sont en libre-service et nécessitent l'utilisation d'une assiette, d'un bol ou
d'une tasse de service, les conditions suivantes sont satisfaites (selon le cas) :
a.
Assiettes rondes : le diamètre de l'assiette n'est pas supérieur à 24 cm [9,5 po].
b.
Autre forme d'assiette : la surface totale de l'assiette n'est pas supérieure à 452 cm² [70 po²].
c.
Les bols ont une taille maximale de 296 mL [10 oz].
d.
Les tasses ont une taille maximale de 240 mL [8 oz].
WELL Building Standard v1
Nutrition
87
48
RÉGIMES SPÉCIAUX
Digestif
Immunitaire
Les personnes souffrant d'allergies alimentaires ou devant
respecter des restrictions diététiques ont souvent des
difficultés à trouver des options de plat adaptées. Un
étiquetage clair permet d'éviter une exposition involontaire
aux allergènes ou aux aliments dont la consommation doit
être contrôlée, mais si une variété insuffisante d'alternatives
est proposée, ces personnes sont susceptibles de courir
le risque de consommer des aliments potentiellement
dangereux.
Tégumentaire
Cet élément exige que les établissements qui fournissent
ou vendent des produits alimentaires proposent une
variété d'options de plat adaptée aux personnes souffrant
d'allergies alimentaires courantes ou devant respecter des
restrictions diététiques.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : ALTERNATIVES ALIMENTAIRES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les plats ou services de restauration fournis par (ou par un prestataire de services pour) le propriétaire du projet
incluent au moins une option pour chacun des critères suivants (selon le cas, sur demande) :
32
a. Sans arachide.
60
b. Sans gluten, conformément aux définitions et restrictions fixées par la FDA dans le Code des règlements
fédéraux 21. § 101.92.
60
c. Sans lactose.
60
d. Sans œuf.
60
e. Végétalien (sans aucun produit d'origine animale).
60
f. Végétarien (sans aucun produit d'origine animale, excepté les œufs et les produits laitiers).
WELL Building Standard v1
Nutrition
88
49
PRODUCTION ALIMENTAIRE
RESPONSABLE
Cardiovasculaire
Immunitaire
Les pratiques agricoles biologiques et durables sont destinées
à réduire la pollution environnementale et à améliorer
la qualité de vie du bétail élevé à des fins alimentaires.
L'agriculture biologique a vu sa part croître rapidement dans
les processus de culture alimentaire aux États-Unis, poussée
par une demande grandissante émanant de consommateurs
attentifs. Même si les recherches sur les effets bénéfiques
pour la santé de la consommation de produits biologiques
plutôt que de produits cultivés de manière traditionnelle
sont pour l'instant peu concluantes, des études ont montré
que les produits alimentaires biologiques présentent des
niveaux plus élevés d'antioxydants et des niveaux moins
élevés de résidus de pesticide et de bactéries que les
produits alimentaires issus de l'agriculture traditionnelle.
Cet élément exige l'adoption de produits agricoles
biologiques et élevés en plein air.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : AGRICULTURE DURABLE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Tous les produits vendus ou distribués sur le site quotidiennement par (ou par un prestataire de services pour) le
propriétaire du projet répondent aux critères suivants :
63
a. Étiquetage « Federally Certified Organic », ou équivalent (en fonction du pays).
—
PARTIE 2 : AGRICULTURE PLUS HUMAINE
O
O
Tous les produits laitiers, œufs et viandes vendus ou distribués sur le site quotidiennement par (ou par un prestataire
de services pour) le propriétaire du projet répondent aux critères suivants en matière de traitement humain du
bétail :
64
™
a. Étiquetage « Humane Certified », ou équivalent (en fonction du pays).
63
b. Étiquetage « Federally Certified Organic », ou équivalent (en fonction du pays).
WELL Building Standard v1
Nutrition
89
50
STOCKAGE DES ALIMENTS
Digestif
Immunitaire
La plupart des réfrigérateurs ne sont pas conçus pour
préserver le goût et la teneur en nutriments des fruits et
légumes frais, dont les meilleures conditions de stockage
sont généralement à des températures relativement plus
élevées. De plus, les compartiments à légumes sont souvent
trop petits pour stocker une quantité suffisante pour un
groupe de taille modérée. Cela peut potentiellement
décourager certains d'emmener de la nourriture plus saine
sur leur lieu de travail.
Cet élément exige que les réfrigérateurs et/ou autres
équipements de stockage des aliments soient suffisamment
grands et équipés d'un système de contrôle de la
température.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : CAPACITÉ DE STOCKAGE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
L'espace dispose d'un lieu de stockage au froid qui répond aux exigences suivantes :
a.
Volume total par occupant d'au moins 20 L [0,7 pi³] (l'espace combiné nécessaire ne dépasse pas 7 000 L
[247 pi³]).
WELL Building Standard v1
Nutrition
90
51
PRODUCTION ALIMENTAIRE
Cardiovasculaire
Digestif
Le jardinage ou la culture de produits et plantes facilite
l'accès à des aliments sains, frais et riches en nutriments,
et incite les individus à s'impliquer davantage dans les
processus de production alimentaire. Des études montrent
que le jardinage peut conduire à de meilleures habitudes
alimentaires et à une perception plus positive de la santé
globale. De plus, il est associé à des IMC plus bas et à de
plus faibles risques de surpoids et d'obésité.
Immunitaire
Musculaire
Squelettique
Cet élément indique aux occupants l'espace, l'infrastructure
et les outils nécessaires pour la culture et la récolte de
légumes et autres plantes comestibles.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : ESPACE DE JARDINAGE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Un espace d'au moins 0,1 m² [1 pi²] par occupant (la surface maximale requise ne dépasse pas 70 m² [754 pi²]) est
alloué dans un rayon de 0,8 km [0,5 mi] des limites du projet pour un des éléments suivants ou une combinaison de
ces éléments :
22
a. Un jardin.
22
b. Une serre.
O
PARTIE 2 : AIDE À LA PLANTATION
O
O
Des quantités appropriées des éléments suivants sont fournies pour cultiver ou entretenir des légumes, aromates ou
autres plantes comestibles dans l'espace de jardinage alloué :
22
a. Terreau.
22
b. Système d'irrigation.
22
c. Éclairage (pour les espaces intérieurs uniquement).
22
d. Plantes.
e.
Outils de jardinage.
WELL Building Standard v1
Nutrition
91
52
ALIMENTATION CONSCIENTE
Digestif
Nerveux
Des emplois du temps serrés et l'absence d'espaces de
restauration communs peuvent conduire les individus à
manger seuls pendant leurs pauses déjeuner. Le fait de
manger de manière distraite à son poste de travail, tout en
travaillant, lisant, regardant la télévision ou écoutant la radio
peut conduire à manger plus, tant à l'heure du repas que
plus tard. Au contraire, le fait de manger en faisant attention
et en se concentrant sur la nourriture peut conduire à un
meilleur contrôle de la consommation alimentaire.
Cet élément fournit aux occupants du bâtiment des espaces
dédiés pour manger en compagnie et se sociabiliser. Le
temps passé dans ces zones de pause peut conduire à de
meilleures habitudes alimentaires, renforcer les interactions
sociales et contribuer à réduire le stress.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : ESPACES DE RESTAURATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les espaces de restauration pour les employés répondent aux exigences suivantes :
a.
Comprennent des tables et des chaises pour accueillir au moins 25 % du nombre total d'employés à un temps
donné.
b.
Sont situés à une distance maximale de 60 m [200 pi] pour au moins 90 % des occupants.
O
PARTIE 2 : MOBILIERS POUR COINS DE DÉTENTE
O
O
Les espaces de restauration pour les employés disposent de tous les éléments suivants :
a.
Réfrigérateur, micro-ondes et évier.
b.
Équipements pour laver la vaisselle.
c.
Au moins un placard ou une unité de stockage à la disposition des employés.
d.
Couverts (cuillères, fourchettes et couteaux) et assiettes et tasses adaptés au micro-ondes.
WELL Building Standard v1
Nutrition
92
LUMIÈRE
WELL Building Standard v1
Lumière
93
CONTEXTE
La lumière est une forme visible du rayonnement électromagnétique, délimitée dans le spectre par le rayonnement
ultraviolet pour les longueurs d'ondes plus courtes et infrarouge pour les longueurs d'ondes plus grandes. Les
codes et directives actuels en matière d'éclairage fournissent des recommandations d'éclairement pour différents
types de pièces, qui découlent des besoins habituels d'éclairage en fonction des activités courantes pratiquées
dans chaque pièce. Ces normes, créées par des groupes techniques tels que l'Illuminating Engineering Society
(IES), garantissent une bonne acuité visuelle pour un ensemble de tâches afin de prévenir une fatigue de l'œil et de
minimiser les pertes de productivité et les maux de tête.
La lumière pénètre dans l'œil et touche des photorécepteurs sur la rétine : bâtonnets, cônes et cellules ganglionnaires
rétiniennes intrinsèquement photosensibles (ipRGC). Toutes ces cellules absorbent la lumière et renvoient les
informations reçues sous forme de signaux électrochimiques vers différentes parties du cerveau. Les bâtonnets
permettent la vision périphérique et la vision dans des conditions de faible lumière, avec un pic de sensibilité dans
la lumière verte-bleue (498 nm). Les cônes permettent la vision diurne et la perception des couleurs, et le pic de
sensibilité pour la sensation de luminosité du système se situe dans la lumière verte-jaune (555 nm).
Outre le fait de permettre la vision, la lumière influence le corps humain par d'autres biais. Les humains et les
animaux possèdent des horloges internes qui synchronisent les fonctions physiologiques sur un cycle d'environ
24 heures, appelé rythme circadien. Le corps répond à un certain nombre de synchroniseurs, les repères externes
qui ajustent les fonctions physiologiques à la journée solaire au sein de ce cycle. La lumière est le synchroniseur
le plus important, assurant la synchronisation des horloges internes du corps dans un processus appelé photoentraînement circadien.
Les ipRGC sont des cellules essentielles dans le système circadien : elles envoient des informations vers différentes
parties du cerveau afin de déclencher des réactions en cascade du corps. Le pic de sensibilité de ces cellules est la
lumière bleue sarcelle-bleue (≈480 nm). Les cellules ipRGC envoient en particulier des informations vers une partie
spécifique du cerveau appelée noyau suprachiasmatique afin de l'informer de l'heure de la journée en fonction
de la lumière reçue, et cette horloge principale agit comme un oscillateur pour synchroniser de la même façon les
horloges situées dans les tissus et les organes périphériques.
De nombreux processus physiologiques, notamment ceux associés à la promptitude cérébrale, la digestion et le
sommeil, sont régulés en partie par la variance et l'interaction des hormones impliquées dans ce cycle. La prise en
compte de l'exposition à la lumière est particulièrement importante vu le rôle que celle-ci joue dans le sommeil et
étant donné que, selon l'Institute of Medicine, environ 50 à 70 millions d'adultes américains souffrent de troubles
chroniques du sommeil ou de l'éveil. De plus, ces troubles et le manque de sommeil chronique sont associés à
un risque accru de certaines morbidités, notamment le diabète, l'obésité, la dépression, l'infarctus du myocarde,
l'hypertension et l'accident vasculaire cérébral.
Toute lumière, et pas seulement la lumière du soleil, peut contribuer au photo-entraînement circadien. Étant donné
que les individus passent la majeure partie de leur journée à l'intérieur, la conception d'un éclairage insuffisant ou
inadapté peut engendrer une dérive de la phase circadienne, en particulier si elle est associée à une exposition
inappropriée à la lumière durant la nuit. Les êtres humains ont une sensibilité continue à la lumière, et dans des
circonstances normales, une exposition à la lumière tard le soir/tôt le matin fera avancer nos rythmes (avance de
phase), tandis qu'une exposition en fin d'après-midi/début de nuit fera reculer nos rythmes (retard de phase). Afin
de conserver des rythmes circadiens optimaux et correctement synchronisés, le corps a besoin de périodes de
luminosité et d'obscurité.
WELL Building Standard v1
Lumière
94
INTENTION
Le WELL Building Standard pour la Lumière fournit des directives en matière d'éclairage dont le but est de minimiser
la perturbation du système circadien du corps, d'améliorer la productivité, de contribuer à une bonne qualité de
sommeil et de fournir une acuité visuelle appropriée, selon les besoins.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT LUMIÈRE
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
53 AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES EN TERMES DE QUALITÉ VISUELLE
—
—
1: Acuité visuelle pour la concentration
2: Stratégies de gestion de la luminosité
CP
CP
CP
CP
54 AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES SELON LES RYTHMES CIRCADIENS
1: Intensité mélanopique de la lumière pour les zones
de travail
—
CP
CP
55 CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT DE LA LUMIÈRE ÉLECTRIQUE
1: Protection des ampoules
2: Minimisation de l'éblouissement
—
CP
CP
CP
CP
CP
O
O
CP
CP
CP
CP
56 CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT SOLAIRE
1: Ombrage des fenêtres
2: Gestion de la lumière naturelle
57 CONCEPTION D'ESPACE DE TRAVAIL À FAIBLE ÉBLOUISSEMENT
1: Mesures anti-éblouissement
—
O
O
—
O
O
—
O
O
58 QUALITÉ DE LA COULEUR
1: Indice de rendu de couleur
59 CONCEPTION DES SURFACES
1: Réflectivité des surfaces des zones de travail et
d'apprentissage
60 COMMANDES AUTOMATIQUES D'OMBRAGE ET D'INTENSITÉ D'ÉCLAIRAGE
1: Contrôle automatisé de la lumière du soleil
2: Variateur de lumière
—
—
O
O
O
O
O
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
61 DROIT À LA LUMIÈRE
1: Profondeur du logement
2: Accès aux fenêtres
62 MODÉLISATION DE LA LUMIÈRE NATURELLE
1: Exposition saine au soleil
63 FENÊTRAGE SELON L'ÉCLAIRAGE NATUREL
1: Tailles des fenêtres dans les espaces de travail et
d'apprentissage
2: Transmission lumineuse des fenêtres dans les zones
de travail et d'apprentissage
3: Transmission uniforme de la couleur
WELL Building Standard v1
Lumière
95
53
AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES EN
TERMES DE QUALITÉ VISUELLE
Endocrinien
Musculaire
Les niveaux de lumière doivent être adaptés aux différentes
activités, qu'il s'agisse de lire des documents de qualités et de
types variables, ou de travailler à des tâches de précision. Les
niveaux de luminosité contribuent également à la perception
de l'espace, ainsi qu'à l'attrait visuel général des espaces
illuminés. Un éclairage ciblé des tâches peut fournir la quantité
de lumière nécessaire dans les espaces de travail sans suréclairer les espaces auxiliaires. Des niveaux de luminosité
ambiante de 300 lux suffisent à la plupart des tâches.
Nerveux
Cet élément établit les niveaux de lumière requis pour des
performances visuelles de base. La stratégie consistant à allier
l'éclairage direct et ajustable d'une lampe articulée et l'éclairage
ambiant indirect ou diffus offre à l'utilisateur la personnalisation
de son éclairage et une bonne acuité visuelle tout en assurant
une lumière d'arrière-plan plus adaptée. L'intensité lumineuse
pour l'acuité visuelle se mesure en lux (ou en foot-candles), qui
est une unité de mesure de la manière dont l'œil répond à la
lumière, pondérée par la réponse des cônes de la rétine, qui
sont les principaux photorécepteurs pour la vision de jour.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : ACUITÉ VISUELLE POUR LA CONCENTRATION
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Les postes de travail ou les bureaux satisfont aux exigences suivantes :
a.
Le système d'éclairage ambiant est capable de maintenir une intensité lumineuse moyenne d'au moins 215 lux
[20 fc], mesurée sur le plan horizontal, à 0,76 m [30 po] au-dessus du sol fini. Les lumières peuvent être atténuées
en présence de la lumière du jour, mais elles sont capables d'atteindre ces niveaux de manière indépendante.
b.
Le système d'éclairage ambiant est localisé dans des batteries contrôlées de manière indépendante n'occupant
pas plus de 46,5 m² [500 pi²] ou 20 % de la surface au sol de la pièce (la plus grande des deux surfaces).
81
c. Si la lumière ambiante est inférieure à 300 lux [28 fc], des lampes articulées produisant entre 300 et 500 lux [28
à 46 fc] sur la surface de travail sont disponibles sur demande.
PARTIE 2 : STRATÉGIES DE GESTION DE LA LUMINOSITÉ
—
CP
CP
Proposez un récit décrivant les stratégies de maintien de l'équilibre lumineux dans les espaces qui prenne en
compte au moins deux éléments ci-dessous :
a.
Contrastes de luminosité entre les pièces principales et les espaces auxiliaires, comme les couloirs et les cages
d'escalier, le cas échéant.
b.
Contrastes de luminosité entre les surfaces de travail et les surfaces immédiatement adjacentes, y compris les
écrans de terminaux vidéo adjacents.
c.
Contrastes de luminosité entre les surfaces de travail et les surfaces distantes non adjacentes à l'intérieur de la
même salle.
d.
La manière avec laquelle la luminosité est distribuée le long des plafonds d'une pièce.
WELL Building Standard v1
Lumière
96
54
AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES
SELON LES RYTHMES CIRCADIENS
Cardiovasculaire
Digestif
La lumière est l'un des facteurs principaux du système circadien,
qui commence dans le cerveau et contrôle les rythmes
physiologiques à travers les tissus et les organes du corps,
affectant les niveaux hormonaux et le cycle du sommeil et de
l'éveil. La synchronisation des rythmes circadiens est assurée
par différents stimuli, notamment la lumière à laquelle le corps
répond d'une manière facilitée par les cellules ganglionnaires
rétiniennes intrinsèquement photosensibles (ipRGC) : les
photorécepteurs de l'œil qui ne forment pas d'image. À travers
les ipRGC, les lumières à haute fréquence et haute intensité
mettent le corps dans un état d'alerte tandis que l'absence de
ces stimuli lui indique de réduire sa consommation d'énergie
et de se préparer au repos.
Endocrinien
Immunitaire
Musculaire
Nerveux
Cet élément promeut des environnements lumineux propices
à la santé circadienne. Les effets biologiques de la lumière
sur l'homme peuvent être mesurés en équivalents lumière
mélanopique (EML), une unité de mesure alternative basée sur
les ipRGC plutôt que sur les cônes, comme c'est le cas des
lux traditionnels. Les Tables L1 et L2 de l'Annexe C montrent
comment calculer l'EML des ampoules individuelles et des
espaces plus grands.
PARTIE 1 : INTENSITÉ MÉLANOPIQUE DE LA LUMIÈRE
POUR LES ZONES DE TRAVAIL
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
CP
CP
Au moins une des exigences suivantes est satisfaite :
a.
Les modèles ou les calculs de lumière (qui peuvent incorporer la lumière du jour) montrent qu'on trouve au
moins 250 ELM (équivalent lumière mélanopique) sur un minimum de 75 % des postes de travail, mesurés sur
le plan vertical orienté vers l'avant, à 1,2 m [4 pi] au-dessus du sol fini (pour simuler la vue de l'occupant). Ce
niveau de lumière est présent au moins 4 heures par jour, chaque jour de l'année.
174
a.
Les lumières électriques produisent sur le plan vertical un éclairement maintenu en ELM supérieur ou égal
aux recommandations en lux pour les cibles verticales (Ev) de la catégorie 25-65 indiquées dans la Table B1
de IES-ANSI RP-1-12. Par exemple, les bureaux de réception reçoivent 150 ELM en provenance des lumières
électriques.
WELL Building Standard v1
Lumière
97
55
CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT DE
LA LUMIÈRE ÉLECTRIQUE
Musculaire
Nerveux
Des lumières intérieures vives et non diffuses créent des
niveaux inégaux de luminosité dans le champ visuel.
L'éblouissement qui en résulte, défini comme « luminosité
excessive de la source de lumière, contrastes lumineux
excessifs et quantité de lumière excessive », peut causer un
inconfort visuel (éblouissement inconfortable), de la fatigue,
voire un handicap visuel (éblouissement perturbateur), et
peut être attribué à un éblouissement direct ou réfléchi.
Dans le cas d'un éblouissement causé par des sources de
lumières électriques, les ampoules doivent être protégées
suivant leur luminance.
Squelettique
Cet élément définit des limites d'éblouissement en fonction
de mesures d'intensité lumineuse, ou de luminance par
zone de source lumineuse. Cette quantité, souvent indiquée
en cd/m², peut être mesurée directement ou calculée
d'après des fiches de spécifications d'éclairage détaillées.
Les appliques lumineuses de plus grande intensité exigent
un angle de protection supérieur pour réduire le risque de
créer un éblouissement direct pour les occupants.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PROTECTION DES AMPOULES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Les ampoules avec la luminance suivante utilisées dans des espaces occupés régulièrement sont protégées par les
angles minimums énumérés ci-dessous :
a.
Moins de 20 000 cd/m², sources réfléchies comprises : aucune protection requise.
79
b. 20 000 à 50 000 cd/m² : 15°.
79
c. 50 000 à 500 000 cd/m² : 20°.
79
d. 500 000 cd/m² et au-delà : 30°.
CP
PARTIE 2 : MINIMISATION DE L'ÉBLOUISSEMENT
CP
CP
Au niveau des postes de travail et des bureaux, les exigences suivantes sont satisfaites :
174
a.
Les ampoules nues et les surfaces luminaires à plus de 53° au-dessus du centre de la vue (degrés au-dessus du
plan horizontal) ont des luminances inférieures à 8 000 cd/m².
WELL Building Standard v1
Lumière
98
56
CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT
SOLAIRE
Musculaire
Nerveux
Bien que la lumière du jour soit propice à la santé, des niveaux
inégaux de luminosité dans le champ visuel peuvent causer
fatigue et inconfort visuels. L'éblouissement, ou l'excès de
luminosité, est causé par la diffusion de la lumière dans l'œil
(diffusion intraoculaire), qui crée un « voile » de luminance
réduisant le contraste de luminance reçu par la rétine. Dans
les bâtiments, les sources d'éblouissement sont souvent
des ampoules peu ou mal protégées, ou la lumière du soleil
frappant directement l'œil ou des surfaces réfléchissantes.
Squelettique
Cet élément prescrit différentes solutions pour gérer de
manière efficace l'éblouissement perturbateur émanant des
fenêtres : les pare-éclats, les déflecteurs, les variateurs ou les
vitres à opacité variable, par exemple.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : OMBRAGE DES FENÊTRES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
Au moins un des éléments suivants est présent pour tous les vitrages à moins de 2,1 m [7 pi] au-dessus du sol :
80
a. Stores intérieurs contrôlables par les occupants ou réglés à l'aide d'une minuterie.
b.
Systèmes d'ombrage extérieurs contrôlables par les occupants ou réglés à l'aide d'une minuterie.
c.
Vitrages à opacité variable, tels que des vitres électrochromiques, capables de réduire la transmissivité
de 90 % ou plus.
O
PARTIE 2 : GESTION DE LA LUMIÈRE NATURELLE
CP
CP
Au moins un des éléments suivants est requis pour tous les vitrages à plus de 2,1 m [7 pi] au-dessus du sol :
80
a. Stores intérieurs contrôlables par les occupants ou réglés à l'aide d'une minuterie.
b.
Systèmes d'ombrage extérieurs contrôlables par les occupants ou réglés à l'aide d'une minuterie.
c.
Étagères à lumière d'intérieur pour réfléchir la lumière du soleil vers le plafond.
d.
Un film de micro-miroirs sur la fenêtre réfléchissant la lumière du soleil vers le plafond.
e.
Vitrages à opacité variable, tels que des vitres électrochromiques, capables de réduire la transmissivité
de 90 % ou plus.
WELL Building Standard v1
Lumière
99
57
CONCEPTION D'ESPACE DE TRAVAIL
À FAIBLE ÉBLOUISSEMENT
Musculaire
Nerveux
L'éblouissement se produit le plus souvent lorsqu'une
lumière électrique ou naturelle de haute intensité se reflète
sur une surface brillante qui peut être positionnée à un angle
sous-optimal dans et autour des espaces des occupants,
par rapport aux fenêtres. L'inconfort qui en résulte peut
constituer une gêne dans un environnement par ailleurs
confortable et propice au travail. Modifier l'angle auquel la
lumière frappe une surface peut aider à orienter la lumière
de sorte qu'elle ne se reflète pas directement dans l'œil,
empêchant ainsi l'effet d'éblouissement.
Squelettique
Cet élément cherche à minimiser l'éblouissement et le
contraste de luminance élevé entre les écrans d'ordinateur
et l'environnement en arrière-plan en prenant en compte
l'orientation spatiale des espaces occupés.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : MESURES ANTI-ÉBLOUISSEMENT
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les exigences suivantes sont satisfaites :
81
a. Pour réduire l'éblouissement causé par la lumière du soleil entrante, tous les écrans d'ordinateur posés
sur des bureaux à moins de 4,5 m [15 pi] des fenêtres de vue peuvent être orientés selon un angle de 20°
perpendiculairement au plan de la fenêtre la plus proche.
b.
Les éclairages en plongée ne sont pas orientés directement vers les écrans d'ordinateur.
WELL Building Standard v1
Lumière
100
58
QUALITÉ DE LA COULEUR
Nerveux
La qualité de la couleur est une fonction du spectre
d'émission d'une source de lumière, du facteur de réflexion/
absorption spectrale d'un objet et de la sensibilité des cônes
photorécepteurs de l'œil par rapport à différentes longueurs
d'ondes lumineuses, que nous percevons comme couleur.
La qualité de la couleur impacte l'attrait visuel et peut
contribuer ou nuire au confort de l'occupant. Une mauvaise
qualité de couleur peut réduire l'acuité visuelle et le rendu
des objets illuminés. Par exemple, les aliments, les teintes de
peau et les plantes peuvent apparaître ternes ou non saturés
sous des lumières ayant de faibles métriques de qualité de
couleur.
Cet élément s'appuie sur l'utilisation de l'indice de rendu
de couleur (IRC) : un moyen courant pour mesurer la qualité
de la couleur, à l'aide des indices R1-R8. Même s'il n'est pas
toujours signalé, R9 est également inclus dans cet élément,
dans la mesure où les valeurs R9 prennent en compte notre
manière de percevoir la saturation des teintes plus chaudes.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : INDICE DE RENDU DE COULEUR
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Pour reproduire avec précision les couleurs dans l'espace et améliorer le confort des occupants, toutes les lumières
électriques (à l'exception des appliques décoratives, des éclairages de secours et autres éclairages spéciaux)
remplissent les conditions suivantes :
80
a. Indice de rendu de couleur (IRC) moyen de R1 à R8 de 80 ou plus.
80
b. Indice de rendu de couleur R9 de 50 ou plus.
WELL Building Standard v1
Lumière
101
59
CONCEPTION DES SURFACES
Endocrinien
Musculaire
L'exposition à la lumière facilite non seulement la formation des
images et la perception des couleurs, mais peut aussi déclencher
un série d'effets non visuels impliquant la régulation du cycle
circadien. L'exposition à la lumière se produit principalement de
deux manières : (1) directement à partir de sources lumineuses
et (2) indirectement à partir de surfaces réfléchies. Étant donné
que la lumière à l'intérieur d'un bâtiment est principalement
réflective, la qualité des surfaces affecte grandement la quantité
de lumière qui atteint l'œil.
Nerveux
Cet élément définit des paramètres pour que la qualité
réflective des surfaces contrôle l'intensité lumineuse générale
à l'intérieur d'un espace. Les surfaces présentant de faibles
valeurs d'indice de réflexion lumineuse (LRV) absorbent la
lumière provenant de la source, produisant une intensité
lumineuse générale faible. Les indices LRV supérieurs signifient
que la surface réfléchit plus de lumière en provenance de la
source, produisant une intensité lumineuse maximale propice
à l'activité et à un état d'alerte. Choisir des surfaces d'indices
LRV plus élevés est une bonne stratégie pour garantir qu'une
quantité suffisante de lumière atteint l'œil sans augmenter la
consommation d'énergie ou risquer l'éblouissement.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : RÉFLECTIVITÉ DES SURFACES DES
ZONES DE TRAVAIL ET D'APPRENTISSAGE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les indices de réflexion lumineuse (LRV) suivants sont atteints :
80
a. Les plafonds ont un indice LRV moyen d'au moins 0,8 (80 %) pour au moins 80 % de la surface dans les
espaces occupés régulièrement.
80
b. Les murs ont un indice LRV moyen d'au moins 0,7 (70 %) pour au moins 50 % de la surface visible directement
dans les espaces occupés régulièrement.
c.
Les systèmes d'ameublement ont un indice LRV moyen d'au moins 0,5 (50 %) pour au moins 50 % de la
surface visible directement dans les espaces occupés régulièrement.
WELL Building Standard v1
Lumière
102
60
COMMANDES AUTOMATIQUES
D'OMBRAGE ET D'INTENSITÉ
D'ÉCLAIRAGE
Endocrinien
Immunitaire
Musculaire
Nerveux
Reproducteur
Les fonctionnalités de conception telles que les obturateurs
de fenêtre réglables et les lumières à intensité variable
doivent être gérées activement pour être efficaces. Les
commandes automatiques peuvent faire en sorte que ces
systèmes fonctionnent en permanence comme prévu et
apportent les avantages annoncés tels que les mesures antiéblouissement et la réduction de la consommation d'énergie.
De plus, paramétrer ces fonctions de sorte qu'elles s'ajustent
automatiquement peut contribuer grandement au confort
des occupants sans les distraire de leurs tâches.
Squelettique
Cet élément exige des systèmes de commandes
automatiques pour que les stores des fenêtres soient
effectivement utilisés afin d'empêcher l'éblouissement de la
lumière du soleil et que ces commandes d'éclairage soient
employées pour limiter la lumière artificielle lorsque celle du
soleil atteint des niveaux prédéfinis. Cette méthode permet
d'élaborer une stratégie d'économie d'énergie et de confort
pour l'occupant.
PARTIE 1 : CONTRÔLE AUTOMATISÉ DE LA LUMIÈRE DU
SOLEIL
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
Toutes les fenêtres dont la surface est supérieure à 0,55 m² [6 pi²] disposent des éléments suivants :
80
a. Dispositifs d'ombrage qui se mettent automatiquement en marche lorsque des capteurs indiquent que la
lumière du soleil peut provoquer un éblouissement au niveau des postes de travail.
—
PARTIE 2 : VARIATEUR DE LUMIÈRE
O
O
Les exigences suivantes sont satisfaites dans toutes les principales zones d'espace de travail :
80
a. Tous les éclairages à l'exception des appliques décoratives utilisent des capteurs d'occupation pour réduire
automatiquement l'intensité lumineuse à 20 % ou moins (voire entièrement) lorsque la zone est inoccupée.
80
b. Tous les éclairages à l'exception des appliques décoratives ont la capacité et sont programmés pour réduire
l'intensité lumineuse en continu en fonction de la lumière du jour.
WELL Building Standard v1
Lumière
103
61
DROIT À LA LUMIÈRE
Cardiovasculaire
Digestif
L'exposition à des niveaux appropriés de lumière du soleil
est critique pour la santé et le bien-être, qu'il s'agisse de
confort visuel ou de gains psychologiques et neurologiques
potentiels : les avantages physiologiques d'une exposition
à la qualité de lumière fournie par le soleil sont mesurables,
comme en témoignent les occupants qui bénéficient d'un
accès au soleil. La proximité par rapport aux fenêtres, les
vues sur l'extérieur et la lumière naturelle dans les espaces
intérieurs sont certains des éléments de conception les
plus recherchés. À ce titre, les bâtiments doivent utiliser
autant que faire se peut la lumière du soleil comme source
d'éclairage principale.
Endocrinien
Immunitaire
Musculaire
Nerveux
Reproducteur
Pour veiller à ce que la lumière naturelle soit maximisée
à l'intérieur des bâtiments, cet élément définit les distances
minimales entre les fenêtres et les espaces occupés
régulièrement.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : PROFONDEUR DU LOGEMENT
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
L'exigence suivante est satisfaite :
a.
75 % de la zone couverte par la totalité des espaces occupés régulièrement est à moins de 7,5 m [25 pi] des
fenêtres.
—
PARTIE 2 : ACCÈS AUX FENÊTRES
O
O
Les conditions suivantes sont remplies :
a.
75 % de tous les bureaux ou des sièges occupés régulièrement est à moins de 7,5 m [25 pi] d'un atrium ou
d'une fenêtre donnant sur l'extérieur.
b.
95 % de tous les bureaux ou des sièges occupés régulièrement est à moins de 12,5 m [41 pi] d'un atrium ou
d'une fenêtre donnant sur l'extérieur.
WELL Building Standard v1
Lumière
104
62
MODÉLISATION DE LA LUMIÈRE
NATURELLE
Cardiovasculaire
Digestif
L'exposition à des quantités appropriées de lumière
naturelle renforce l'alignement de nos rythmes circadiens et
réduit la dépendance à l'électricité pour l'éclairage artificiel ;
toutefois, un excès de lumière du soleil peut causer des
éblouissements et des contrastes visuels inconfortables.
Il n'est pas uniquement important de prendre ce facteur
en compte pendant la journée, mais tout au long de
l'année, pour que les occupants profitent des avantages de
l'exposition à la lumière du jour en toutes saisons.
Endocrinien
Immunitaire
Musculaire
Nerveux
Reproducteur
Cet élément nécessite que les occupants bénéficient d'une
exposition suffisante à la lumière naturelle du soleil et
permet aux concepteurs de créer différents agencements
et schémas de prise en compte de l'éclairage naturel.
L'Autonomie en lumière naturelle décrit les niveaux
minimums de lumière naturelle dans les espaces, tandis que
l'Exposition solaire annuelle impose un plafond aux niveaux
acceptables de lumière du soleil.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : EXPOSITION SAINE AU SOLEIL
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les simulations d'éclairage démontrent que les exigences suivantes doivent être satisfaites :
1
a. L'Autonomie en lumière naturelle (sDA300,50 %) est atteinte pour au moins 55 % de l'espace occupé
régulièrement. En d'autres termes, au moins 55 % de l'espace reçoit au moins 300 lux [28 fc] de lumière du
soleil pendant au moins 50 % des heures d'exploitation chaque année.
1
b. L'Exposition solaire annuelle (ASE1000,250) est atteinte pour un maximum de 10 % de l'espace occupé
régulièrement. En d'autres termes, pas plus de 10 % de la zone ne reçoit plus de 1 000 lux [93 fc] pour 250
heures chaque année.
WELL Building Standard v1
Lumière
105
63
FENÊTRAGE SELON L'ÉCLAIRAGE
NATUREL
Cardiovasculaire
Digestif
L'exposition à la lumière naturelle peut améliorer l'humeur,
l'état d'alerte et de santé général de l'occupant. Un éclairage
idéal implique une bonne exposition à la lumière naturelle
diffuse, ainsi qu'une conception soignée des fenêtres et des
vitrages pour éviter tout éblouissement et apport de chaleur
excessif. Les fenêtres sont donc une variable clé pour veiller à
ce que les occupants reçoivent suffisamment de lumière pour
bénéficier des effets physiologiques et subjectifs positifs, mais
pas au point d'être une source d'inconfort ou de distraction.
Trouver l'équilibre entre la performance énergétique, le
confort thermique et l'accès à une lumière naturelle de qualité
est un aspect essentiel de la conception d'un bâtiment.
Endocrinien
Immunitaire
Musculaire
Nerveux
Reproducteur
Cet élément souligne les paramètres de conception
permettant aux fenêtres d'optimiser la quantité et la
qualité de la lumière naturelle tout en réduisant les effets
d'éblouissement et d'apport de chaleur excessif.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : TAILLES DES FENÊTRES DANS LES ESPACES
DE TRAVAIL ET D'APPRENTISSAGE
O
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les conditions suivantes sont remplies :
a.
Le rapport fenêtre-mur mesuré sur les élévations externes est compris entre 20 % et 60 %. Les pourcentages
supérieurs à 40 % exigent un ombrage extérieur ou un vitrage à opacité ajustable pour contrôler le niveau de
lumière et de chaleur entrantes.
b.
Entre 40 et 60 % de la zone de fenêtre se trouve à au moins 2,1 m [7 pi] au-dessus du sol (verre de jour).
PARTIE 2 : TRANSMISSION LUMINEUSE DES FENÊTRES
DANS LES ZONES DE TRAVAIL ET D’APPRENTISSAGE
O
O
O
Les exigences suivantes de transmission de la lumière visible (TLV) sont satisfaites pour tous les vitrages non
décoratifs :
a.
Tous les vitrages à une hauteur supérieure à 2,1 m [7 pi] par rapport au sol (verre de jour) ont une TLV d'au
moins 60 %.
b.
Tous les vitrages à une hauteur inférieure ou égale à 2,1 m [7 pi] par rapport au sol (verre de vision) ont une
TLV d'au moins 50 %.
PARTIE 3 : TRANSMISSION UNIFORME DE LA COULEUR
O
O
O
Toutes les fenêtres utilisées pour l'éclairage naturel satisfont les exigences suivantes :
a.
La transmission de la lumière visible des longueurs d'ondes comprises entre 400 et 650 nm ne varie pas de
plus d'un facteur 2.
WELL Building Standard v1
Lumière
106
FORME
PHYSIQUE
WELL Building Standard v1
Forme physique
107
CONTEXTE
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC) définissent la forme physique comme
la « capacité d'effectuer les tâches quotidiennes avec vigueur et vivacité, sans fatigue excessive et avec l'énergie
nécessaire pour apprécier les activités de loisir et réagir aux situations d'urgence ». Une activité physique régulière
est essentielle pour atteindre un état de santé optimal, à savoir la surveillance de son poids, la prévention des
maladies chroniques et l'entretien de sa forme physique. L'université américaine de la médecine du sport (American
College of Sports Medicine), parmi d'autres, recommande que tous les adultes en bon état de santé pratiquent au
moins 30 minutes d'activité aérobique d'intensité modérée cinq jours par semaine, et des activités de renforcement
musculaire au moins deux fois par semaine. De nombreux types d'activités physiques, telles que la marche, la
course à pied, le cyclisme, la natation et l'entraînement en résistance ont prouvé leurs bénéfices pour la santé, les
gains étant fonction de l'intensité et de la durée de la pratique.
Cependant, la majorité des personnes est aujourd'hui physiquement inactive. Les transports modernes, les
dispositifs qui font le travail à notre place et nos emplois sédentaires ont créé un environnement dans lequel
des millions de personnes n'atteignent plus le niveau minimum d'activité nécessaire pour prévenir les diabètes
de type 2, le syndrome métabolique, l'obésité, les maladies cardiaques et d'autres pathologies chroniques.
Rien qu'aux États-Unis, moins de 50 % des élèves d'école primaire, 10 % des adolescents et 5 % des adultes
pratiquent 30 minutes d'activité physique quotidienne. En moyenne, un adulte effectue 6 à 10 minutes d'activité
physique d'intensité modérée à vigoureuse par jour. La situation ailleurs dans le monde est la même. Plus de 60 %
des individus n'exercent pas le minimum recommandé de 30 minutes d'activité physique d'intensité modérée
quotidienne, et sont donc considérés comme inactifs.
L'inactivité physique est l'un des enjeux de santé publique les plus graves. C'est un facteur de risque indépendant
pour de nombreuses maladies chroniques. On estime qu'elle est responsable de 30 % des cardiopathies
ischémiques, de 27 % des diabètes de type 2 et de 21 à 25 % des cancers du sein et du colon. Le manque d'activité
physique peut aussi augmenter les risques d'accident vasculaire cérébral de 20 à 30 % et raccourcir la durée de vie
de 3 à 5 ans. Prises ensemble, ces conditions parmi d'autres font de l'inactivité physique le quatrième facteur de
risque de mortalité, comptant pour 6 à 9 % des morts dans le monde, soit trois à cinq millions de décès tous les ans.
Si la question de l'insuffisance d'activité physique a plusieurs facettes, l'un des facteurs dont on sait qu'il influe sur
les niveaux d'activité physique est le bâti. La possibilité de se promener dans le voisinage, l'accès et l'utilisation
des transports publics, le transport actif, la disponibilité de centres d'activité physique à proximité des lieux de
travail et de domicile, l'accessibilité aux escaliers dans les bâtiments, l'ameublement actif et de nombreux autres
facteurs peuvent affecter le niveau d'activité physique d'un individu. En partant du principe que 90 % de notre
temps se déroule à l'intérieur d'un environnement bâti, des stratégies de planification urbaine et de conception
des bâtiments qui sont intentionnellement coordonnées pour encourager l'activité physique ou décourager la
sédentarité peuvent constituer des instruments de promotion puissants de modes de vie plus actifs.
Le WELL Building Standard reconnaît les politiques et les stratégies de promotion de l'activité physique pouvant
être mises en œuvre dans l'environnement bâti pour encourager l'exercice physique et réduire la sédentarité,
contribuant ainsi à la lutte contre l'obésité et d'autres maladies chroniques.
WELL Building Standard v1
Forme physique
108
INTENTION
Le WELL Building Standard pour la Forme physique promeut l'intégration de l'activité physique au quotidien en
facilitant et en soutenant l'adoption d'un mode de vie actif et en décourageant les comportements sédentaires.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT FORME PHYSIQUE
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
64 CIRCULATION INTÉRIEURE FAVORISANT L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
1: Accessibilité des escaliers
2: Incitation à l'utilisation des escaliers
3: Esthétique facilitative
CP
CP
CP
O
O
O
CP
CP
CP
—
CP
CP
—
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
65 PROGRAMMES D'INCITATION À L'ACTIVITÉ
1: Programmes d'incitation à l'activité
66 ENCADREMENT DE L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
1: Programmes de fitness professionnels
2: Cours de fitness
67 CONCEPTION ACTIVE DES EXTÉRIEURS
1: Aménagements piétonniers
2: Promotion de la marche à pieds
3: Liens avec le voisinage
68 ESPACES DÉDIÉS AUX ACTIVITÉS PHYSIQUES
1: Espaces disponibles sur le site
2: Espaces extérieurs d'exercice physique
69 PROMOTION DES TRANSPORTS ACTIFS
1: Stockage et entretien des vélos
2: Vestiaires et douches
70 APPAREILS DE FITNESS
1: Équipement d'exercices cardiorespiratoires
2: Appareils de musculation
71 AMEUBLEMENT ACTIF
1: Postes de travail actifs
2: Prédominance des bureaux debout
WELL Building Standard v1
Forme physique
109
64
CIRCULATION INTÉRIEURE
FAVORISANT L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
Cardiovasculaire
Musculaire
L'intégration d'allées et d'escaliers intérieurs à l'intérieur
du bâti peut offrir un moyen pratique d'incorporer de brefs
moments d'activité physique dans la journée, réduisant
ainsi les tendances sédentaires. La montée d'escaliers est
une activité physique d'intensité modérée à vigoureuse
à faible impact qui brûle les calories et est associée
à l'amélioration de la forme cardiorespiratoire et à la
réduction du risque d'accident vasculaire cérébral. Pour
encourager cette pratique, les allées et les escaliers doivent
être esthétiquement soignés et facilement accessibles
depuis les axes de circulation principaux.
Squelettique
Cet élément emploie des éléments de conception bien
visibles et esthétiquement plaisants pour promouvoir
l'utilisation des escaliers et des allées de déambulation
comme alternative aux ascenseurs.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : ACCESSIBILITÉ DES ESCALIERS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
CP
Les exigences suivantes sont satisfaites :
27
a. Les escaliers sont accessibles aux occupants réguliers du bâtiment pendant les heures d'ouverture.
87
b. Une signalisation et des messages guides sont présents pour encourager l'utilisation des escaliers (au moins
un panneau par batterie d'ascenseurs).
PARTIE 2 : INCITATION À L'UTILISATION DES ESCALIERS
CP
O
CP
Dans les projets de 2 à 4 étages, au moins un des escaliers satisfait les exigences suivantes :
27
a. Situé à moins de 7,5 m [25 pi] de l'entrée du bâtiment ou du bord du hall d'entrée.
27
b. Clairement visible depuis l'entrée principale du projet, ou repérable avant les ascenseurs dès le
franchissement de l'entrée principale.
87
c. D'une largeur d'au moins 1,4 m [56 po] entre les rampes.
CP
PARTIE 3 : ESTHÉTIQUE FACILITATIVE
O
CP
Les escaliers et les allées de déplacement fréquent présentent des éléments visuellement plaisants en incorporant
au moins deux des éléments suivants :
87
a. Œuvres d'art, notamment picturales.
87
b. Musique.
27
c. Éclairage naturel grâce à la présence de fenêtres ou de puits de lumière d'au moins 1 m² [10,8 pi²].
87
d. Fenêtres donnant sur les extérieurs, ou sur l'intérieur du bâtiment.
e.
Niveaux de lumière d'au moins 215 lux [20 fc] lorsque les escaliers sont utilisés.
WELL Building Standard v1
Forme physique
110
65
PROGRAMMES D'INCITATION
À L'ACTIVITÉ
Musculaire
Squelettique
Les avantages pour la santé de l'activité physique sont
nombreux, de la réduction du risque de maladies chroniques,
telles que le cancer, les maladies cardio-vasculaires et le
diabète, à une meilleure santé mentale et une qualité de vie
améliorée. De plus, des quantités d'activité relativement peu
importantes peuvent produire des bénéfices significatifs :
rien que 2,5 heures d'activité physique d'intensité modérée
par semaine peuvent réduire le risque de mortalité globale
de près de 20 %. La recherche montre que même les petites
incitations peuvent influencer de manière significative les
décisions et les comportements individuels en ce qui concerne
l'activité physique. Les incitations qui encouragent à une plus
grande pratique de l'exercice physique via le remboursement
des adhésions aux clubs de sport ou d'autres formes d'activité
physique peuvent aider les individus à mettre au point et
à pratiquer des programmes d'exercice réguliers qui améliorent
leur forme physique.
Cet élément s'appuie sur des programmes fédéraux
existants, ainsi que sur des composants de plans de bienêtre d'entreprise encourageant les employés à adopter des
modes de vie plus actifs.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : PROGRAMMES D'INCITATION À L'ACTIVITÉ
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Un plan avec au moins deux des éléments suivants est développé et mis en œuvre :
88
a. Des déductions fiscales liées à la circulation en vélo et à l'usage des transports en commun (telles que les
Avantages sociaux liés au transport de la Section 132(f) du code des impôts U.S.) ou une subvention directe
d'un montant égal.
82
b. Des remboursements de 200 dollars ou plus ou des incitations financières pour chaque période de 6 mois où
un employé fréquente au moins 50 fois son club de sport ou suit un programme professionnel.
c.
Une allocation d'au moins 240 dollars par an pour tout employé intéressé, destinée à couvrir les frais de
participation aux courses, activités de fitness en groupe ou équipes sportives.
d.
Une allocation d'au moins 240 dollars par an pour tout employé, destinée à couvrir les frais des programmes
de mise en forme ou d'entraînement proposés dans des gymnases ou des clubs professionnels.
e.
Une allocation d'au moins 50 dollars par an pour tout employé, destinée à couvrir les frais d'une adhésion à un
système de partage de vélo.
f.
Un programme de mise en forme selon lequel il est prouvé qu'au moins 30 % des occupants réguliers du
bâtiment utilisent l'accès gratuit aux salles de sport ou aux cours de fitness.
WELL Building Standard v1
Forme physique
111
66
ENCADREMENT DE L'ACTIVITÉ
PHYSIQUE
Cardiovasculaire
Digestif
L'accès aux programmes d'encadrement et d'entraînement
développés par des experts peut aider des individus
à apprendre de nouvelles techniques et atteindre des
objectifs de forme physique. Les personnes ayant des
besoins spécifiques à prendre en compte pour adopter des
programmes d'exercice physique qui soient sûrs et adaptés
à leur niveau ou à leur handicap bénéficieront au premier
chef d'un conseil expert. Les programmes d'entraînement,
suivant leur fréquence et leur durée, peuvent contribuer à
la forme physique et à l'endurance musculaire, à la perte de
poids, à la réduction de la tension artérielle et à la diminution
du taux d'absentéisme au travail.
Cet élément exige l'accès à des cours de fitness de groupe
et à des conseils personnalisés. Permettre l'accès à ces
services est un pas important vers l'intégration de l'exercice
physique à une culture d'entreprise saine.
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
—
O
O
PARTIE 1 : PROGRAMMES DE FITNESS
PROFESSIONNELS
Les éléments suivants sont offerts au moins une fois par mois :
84
a. Programmes de mise en forme ou d'entraînement sur site.
PARTIE 2 : COURS DE FITNESS
Des cours dispensés par un professionnel qualifié sont proposés au moins une fois tous les 3 mois pour couvrir les
éléments suivants :
a.
Différents modes d'exercice.
b.
Techniques de mise en forme sûres.
c.
Régimes d'exercices complets.
WELL Building Standard v1
Forme physique
112
67
CONCEPTION ACTIVE DES
EXTÉRIEURS
Cardiovasculaire
Musculaire
Une plus grande diversité de l'utilisation du terrain est liée à de
meilleurs niveaux d'activité physique et à des taux d'obésité
plus faibles. De plus, la présence de magasins de vente au
détail, d'arrêts de bus et de bureaux à distance de marche
des lieux de résidence augmente la probabilité de marcher
et d'utiliser les transports en commun. De même l'intégration
d'éléments de conception active dans le bâtiment et sur le
site, et la création d'environnements favorables aux cyclistes
et aux piétons autour du bâtiment peuvent inciter à pratiquer
une activité physique. Mettre à disposition des installations
telles que des bancs, des fontaines d'eau potable et des
postes de remplissage de bouteilles d'eau le long des allées
de déambulation d'un bâtiment favorise l'activité physique
des occupants tout au long de la journée.
Nerveux
Respiratoire
Squelettique
Cet élément exige des détails de conception extérieurs et
des aménagements facilitant une vie plus active. Incorporer
ces principes est particulièrement important pour les
projets qui sont isolés des centres urbains où le transport
automobile prédomine.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : AMÉNAGEMENTS PIÉTONNIERS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les sites dans lesquels le bâtiment occupe moins de 75 % de la surface totale du lot offrent au moins l'un des
éléments suivants dans les zones à fort trafic, telles que les entrées de bâtiments, les arrêts de transports publics et les
allées de déambulation :
87
a. Un banc.
87
b. Un ensemble de chaises et de tables non fixes.
87
c. Une fontaine d'eau potable ou un poste de remplissage des bouteilles.
PARTIE 2 : PROMOTION DE LA MARCHE À PIEDS
O
O
O
Pour encourager une grande activité pédestre, les sites dans lesquels le bâtiment occupe moins de 75 % de la
surface totale du lot incluent au moins deux des éléments suivants à l'extérieur :
87
a. Une fontaine d'eau potable ou autre point d'eau.
87
b. Une esplanade.
c.
Un jardin.
87
d. Une œuvre d'art publique.
O
PARTIE 3 : LIENS AVEC LE VOISINAGE
O
O
Pour encourager les liens avec le voisinage et l'activité au quotidien, au moins une des exigences suivantes doit être satisfaite :
86
a. L'adresse du bâtiment a un Walk Score® de 70 ou plus.
1
b. Le projet est éligible pour au moins 3 points dans le LEED CC+B : Crédit « Densité environnante et variété des
usages » de Nouvelle construction.
WELL Building Standard v1
Forme physique
113
68
ESPACES DÉDIÉS AUX ACTIVITÉS
PHYSIQUES
Cardiovasculaire
Musculaire
Aux États-Unis, la présence de lieux d'activité physique
intérieurs et extérieurs au sein d'un groupe d'îlots de
recensement est associée à une plus grande probabilité de
pratiquer au moins 5 séances d'activité physique d'intensité
modérée à vigoureuse par semaine, et liée à un moindre
risque de surpoids. De plus, les bâtiments qui contiennent
un espace fitness intérieur incitent les occupants à pratiquer
une activité physique régulière et proposent des exercices
variés, tels que des activités à faible impact comme le yoga
ou le Pilates, ou des activités plus intenses comme l'aérobic
et le renforcement musculaire.
Squelettique
Cet élément exige l'allocation d'espaces appropriés ou des
arrangements institutionnels pour favoriser l'exercice et
promouvoir la forme physique.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : ESPACES DISPONIBLES SUR LE SITE
O
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les espaces comptant plus de 10 occupants réguliers fournissent ce qui suit :
87
a. Espace d'exercice dédié d'au moins 18,6 m² [200 pi²] plus 0,1 m² [1 pi²] par occupant régulier du bâtiment,
jusqu'à un maximum de 370 m² [4 000 pi²].
PARTIE 2 : ESPACES EXTÉRIEURS D'EXERCICE
PHYSIQUE
O
O
O
Au moins un des éléments suivants est situé à une distance de marche de 0,8 km [0,5 mi] du bâtiment :
87
a. Parcs avec aires de jeu, installations pour exercice physique, chemins ou plan d'eau accessible.
1
b. Accès gratuit aux salles de sport, aux terrains de jeu ou aux piscines.
WELL Building Standard v1
Forme physique
114
69
PROMOTION DES TRANSPORTS
ACTIFS
Cardiovasculaire
Nerveux
Le transport actif est un moyen économique d'intégrer
de l'activité physique au quotidien tout en réduisant son
empreinte carbone. Se rendre à son travail en vélo ou à pied
est associé à la réduction du diabète, de l'hypertension, du
surpoids et de l'obésité. Des douches et des vestiaires sur le
lieu de travail sont plébiscités par la majorité des employés
comme stratégie d'encouragement à une plus grande activité
physique. Par conséquent, prévoir des aménagements et
des équipements sur site peut permettre aux occupants de
faire activement la navette entre leur travail et leur domicile.
Cet élément exige que des douches et des garages à vélo
soient proposés sur site ou à proximité de l'entrée des
bâtiments.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : STOCKAGE ET ENTRETIEN DES VÉLOS
O
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les équipements suivants sont fournis sur site ou à moins de 200 m [650 pi] de l'entrée principale du bâtiment :
a.
Des outils d'entretien de base des vélos comme des pompes, des kits de réparation des chambres à air et des
clés à six pans.
18
b. Un lieu de stockage distinct et sûr des vélos pour au moins 5 % des occupants réguliers du bâtiment, ainsi
qu'un stationnement pour bicyclettes à court terme pour au moins 2,5 % de tous les visiteurs de passage.
O
PARTIE 2 : VESTIAIRES ET DOUCHES
O
O
Les équipements suivants sont fournis sur site ou à moins de 200 m [650 pi] de l'entrée principale du bâtiment :
18
a. Une douche équipée d'un vestiaire pour les 100 premiers occupants réguliers du bâtiment et une douche
supplémentaire pour chaque ensemble de 150 occupants supplémentaires par la suite.
b.
Un casier pour 5 occupants réguliers du bâtiment, ou la preuve que les casiers fournis dépassent la demande
d'au moins 20 %.
WELL Building Standard v1
Forme physique
115
70
APPAREILS DE FITNESS
Cardiovasculaire
Immunitaire
Musculaire
Squelettique
Un accès commode à différents types d'appareils de fitness
peut faciliter la pratique régulière et habituelle d'exercices.
Les activités d'aérobic et de renforcement musculaire
apportent chacune des bénéfices distincts pour la santé,
notamment le contrôle du poids, la réduction du risque
de maladie cardiovasculaire, de diabète et de cancer,
une meilleure santé des os, du système cardiorespiratoire
et musculaire, ainsi qu'une amélioration de la fonction
cognitive. Procurer des équipements permettant une variété
d'exercices peut offrir aux occupants une plus grande variété
de bienfaits pour leur santé.
Cet élément exige la mise à disposition d'équipements
dans le bâtiment qui permettent la pratique d'exercices de
renforcement cardiorespiratoire et musculaire.
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
PARTIE 1 : ÉQUIPEMENT D'EXERCICES
CARDIORESPIRATOIRES
Une combinaison des éléments suivants est proposée gratuitement dans l'espace fitness intérieur, dans une quantité
permettant leur utilisation par au moins 1 % des occupants réguliers du bâtiment, et avec des instructions indiquant
comment les utiliser en toute sécurité :
27
a. Tapis de course.
27
b. Vélos elliptiques.
27
c. Rameurs.
27
d. Vélos d'appartement.
O
PARTIE 2 : APPAREILS DE MUSCULATION
O
O
Une combinaison des éléments suivants est proposée gratuitement dans l'espace fitness intérieur, dans une quantité
permettant leur utilisation par au moins 1 % des occupants réguliers du bâtiment, et avec des instructions indiquant
comment les utiliser en toute sécurité :
27
a. Équipement multiposte.
27
b. Banc de musculation avec rack de support.
27
c. Châssis de musculation complet.
27
d. Barre de traction.
WELL Building Standard v1
Forme physique
116
71
AMEUBLEMENT ACTIF
Cardiovasculaire
Musculaire
La plupart des gens passent la majeure partie de leur temps
à l'intérieur en position assise. Celle-ci est associée à différents
problèmes de santé, tels que l'accroissement des risques de
cancer, de gain de poids, de fatigue et de douleurs dorsales.
De plus, la position assise brûle 50 calories de moins par heure
que la station debout, et rester assis plus de 3 heures par jour
est associé à une réduction de deux ans de l'espérance de
vie. Malheureusement, l'activité physique régulière ne semble
pas pouvoir compenser les conséquences pour la santé de
longues périodes passées en position assise. Par conséquent,
créer des opportunités réduisant les périodes prolongées en
position assise tout en soutenant la productivité au travail est
essentiel pendant la journée.
Squelettique
Cet élément exige la mise en place d'un ameublement
actif qui réduise la position assise prolongée et encourage
l'activité physique tout au long de la journée.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : POSTES DE TRAVAIL ACTIFS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Une combinaison des éléments suivants est requise pour au moins 3 % des employés (un au minimum), et ceux-ci
doivent pouvoir être réservés ou utilisés par tout employé :
a.
Bureau avec tapis de course.
b.
Bureau avec vélo stationnaire.
c.
Pédalier ou simulateur d'escalier de bureau portable.
PARTIE 2 : PRÉDOMINANCE DES BUREAUX DEBOUT
—
O
O
Au moins 60 % des postes de travail possèdent un des éléments suivants :
a.
Pupitre à hauteur réglable.
b.
Bureau standard avec plateau à hauteur réglable.
WELL Building Standard v1
Forme physique
117
CONFORT
WELL Building Standard v1
Confort
118
CONTEXTE
L'environnement intérieur doit être un endroit de confort. Dans cette optique, le WELL Building Standard s'attache à
réduire significativement les sources les plus communes de perturbation physiologique, de distraction et d'irritation
et à améliorer le confort acoustique, ergonomique, olfactif et thermique afin d'éviter les tensions et les blessures en
favorisant le confort, la productivité et le bien-être.
Les environnements bâtis peuvent abriter des sons qui distraient ou perturbent le travail ou la relaxation. Les
sondages menés auprès des employés montrent que les problèmes acoustiques sont une source majeure
d'insatisfaction vis-à-vis des conditions environnementales d'un bureau. L'inconfort acoustique étant déterminé en
partie par les propriétés physiques et les contenus des environnements, le WELL Building Standard vise à façonner
des espaces permettant de réduire les niveaux sonores intérieurs indésirables et l'intrusion du bruit extérieur pour
favoriser l'interaction sociale, l'apprentissage, la satisfaction et la productivité. Si le bruit est partout, il est possible
d'adopter des stratégies, des technologies et des pratiques qui assurent des environnements acoustiques plus
calmes et réduisent notre exposition à des sons nuisibles et inutiles.
Outre le confort acoustique, l'ergonomie et la conception universelle jouent un rôle significatif dans la réduction
des tensions physiques et mentales. La plupart des effets néfastes sur la santé liés à l'ergonomie se vérifient sur les
systèmes musculo-squelettiques et nerveux du corps humain. Les troubles musculo-squelettiques, notamment les
douleurs lombaires, cervicales, l'ostéo-arthrite et d'autres sont extrêmement communs parmi presque toutes les
populations. Les lombalgies affectent environ 31 millions d'Américains et ont occasionné 380 600 jours d'arrêt de
travail en 2013 pour cause de troubles musculo-squelettiques, soit un tiers du nombre total de jours non travaillés.
Les statistiques sont de même ordre dans le monde entier et en 2010, près de 7 % (plus de 169 millions) de toutes
les années de vie corrigées du facteur invalidité résultaient de troubles musculo-squelettiques. Le WELL Building
Standard promeut des solutions ergonomiques complètes qui aident à prévenir les tensions et les blessures et
facilitent le confort et le bien-être. Ces stratégies de conception permettent non seulement l'accès aux personnes
à mobilité réduite, mais préviennent les blessures en encourageant les espaces de circulation pour tous.
Le confort thermique est un autre facteur qui joue un rôle important dans notre manière de vivre et de travailler.
En 2006, seuls 11 % des immeubles de bureaux sondés aux États-Unis procuraient un environnement thermique
répondant aux critères de satisfaction généralement acceptés. Six variables personnelles et environnementales
principales contribuent au confort thermique d'un occupant : la vitesse de l'air, la température sèche, la température
radiante, l'humidité, le métabolisme et l'isolation vestimentaire ou autre, tous ceux-ci interagissant pour créer une
réponse subjective et individuelle. Enfin, en plus des métriques mesurables, des paramètres psychologiques tels
que les attentes individuelles peuvent aussi affecter le confort thermique. Cela rend le confort thermique subjectif,
ce qui signifie que tout le monde ne ressent pas le confort de la même manière dans des conditions identiques. Le
WELL Building Standard adopte une approche holistique pour le confort thermique et propose une combinaison
de stratégies pour gérer les problèmes des occupants.
WELL Building Standard v1
Confort
119
INTENTION
Le WELL Building Standard pour le Confort établit les exigences requises pour créer des environnements intérieurs
confortables, propices à la productivité et dépourvus de distraction.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT CONFORT
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
—
—
—
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
O
CP
—
O
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
—
O
O
—
O
O
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
O
—
—
O
O
O
Noyau et
enveloppe
72 NORMES DE CONCEPTION ACCESSIBLE ADA
1: Réglementations ADA
73 ERGONOMIE : VISUELLE ET PHYSIQUE
1: Ergonomie visuelle
2: Flexibilité de la hauteur des bureaux
3: Flexibilité des sièges
74 INTRUSION DU BRUIT EXTÉRIEUR
1: Niveau de pression acoustique
75 BRUIT GÉNÉRÉ À L'INTÉRIEUR
1: Planification acoustique
2: Niveaux sonores des équipements mécaniques
76 CONFORT THERMIQUE
1: Environnement thermique ventilé
2: Adaptation thermique naturelle
77 CONFORT OLFACTIF
1: Séparation de la source
78 TEMPS DE RÉVERBÉRATION
1: Temps de réverbération
79 MASQUAGE SONORE
1: Utilisation du masquage sonore
2: Limites de masquage sonore
80 SURFACES D'ATTÉNUATION DE BRUIT
1: Plafonds
2: Murs
81 BARRIÈRES SONORES
1: Spécifications de la construction des murs
2: Caractéristiques des portes
3: Méthodologie de la construction des murs
82 CONTRÔLE THERMIQUE INDIVIDUEL
1: Emplacements libres
2: Appareils individuels de confort thermique
83 CONFORT THERMIQUE PAR RAYONNEMENT
1: Halls et autres espaces communs et publics
2: Bureaux et autres espaces régulièrement occupés
WELL Building Standard v1
Confort
120
72
NORMES DE CONCEPTION
ACCESSIBLE ADA
Musculaire
Squelettique
Veiller à ce que les personnes présentant des handicaps
physiques puissent accéder aux bâtiments neufs ou rénovés
et s'y déplacer est un aspect important de tout environnement
de construction équitable.
Cet élément exige la conformité aux réglementations de
conception de l'Americans with Disabilities Act (ADA),
quel que soit l'âge ou l'emplacement du bâtiment. Les
spécifications de l'ADA visent à protéger le droit des
personnes handicapées à participer à la vie de tous les jours
en leur garantissant l'accès aux bâtiments et aux installations.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : RÉGLEMENTATIONS ADA
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
L'exigence suivante est satisfaite :
89
a. Les bâtiments se conforment aux normes ADA en vigueur en matière de conception d'accessibilité.
WELL Building Standard v1
Confort
121
73
ERGONOMIE : VISUELLE ET
PHYSIQUE
Musculaire
Squelettique
La surutilisation des mêmes muscles et ligaments pour
s'adapter à un mobilier ou à un équipement statique finit par
causer de l'inconfort et des tensions corporelles, notamment
dans les milieux professionnels où les tâches sont répétitives.
Dans ces conditions, les effets d'inconforts visuels ou
physiques même légers sont aggravés et conduisent à une
diminution de la concentration et du confort de l'occupant.
Cet élément veille à ce que les occupants soient libres
d'adopter différentes positions assises et debout confortables.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : ERGONOMIE VISUELLE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
L'exigence suivante est satisfaite :
83
a. Tous les écrans d'ordinateur sont réglables en termes de hauteur et de distance par rapport à l'utilisateur.
PARTIE 2 : FLEXIBILITÉ DE LA HAUTEUR DES BUREAUX
—
CP
CP
Au moins 30 % des postes de travail ont la possibilité d'alterner entre des positions assises et debout à l'aide d'un
des accessoires suivants :
a.
Pupitres à hauteur réglable.
b.
Plateaux de bureau à hauteur réglable.
c.
Paires de bureaux à hauteur fixe en position debout et assise (qui n'ont pas besoin d'être situés l'un à côté de
l'autre).
—
PARTIE 3 : FLEXIBILITÉ DES SIÈGES
CP
CP
L'ameublement des employés est ajustable comme suit :
178
a.
L'ajustabilité de la hauteur du fauteuil du poste de travail est conforme avec la norme HFES 100 ou les
directives BIFMA G1.
178
b.
L'ajustabilité de la profondeur du siège du poste de travail est conforme avec la norme HFES 100 ou les
directives BIFMA G1.
WELL Building Standard v1
Confort
122
74
INTRUSION DU BRUIT EXTÉRIEUR
Cardiovasculaire
Endocrinien
Dans les zones urbaines en particulier, les bruits extérieurs
forts ou répétitifs peuvent être une source de stress et un
facteur de risque pour la santé. Des études montrent que les
personnes exposées au bruit du trafic sont plus vulnérables au
diabète, aux accidents vasculaires cérébraux et aux infarctus
du myocarde, et que celles exposées au bruit du trafic
routier et aérien sont plus vulnérables à l'hypertension. De
plus, l'exposition au bruit peut ralentir les délais de réaction
et accentuer le niveau d'irritabilité. Empêcher un excès de
bruit extérieur d'atteindre l'intérieur du bâtiment peut aider
à améliorer le confort et le bien-être des occupants.
Nerveux
Cet élément définit les limites en matière de niveau sonore à
l'intérieur pour les bruits provenant de l'extérieur du bâtiment.
Ces limites veillent à ce que le bruit extérieur ne soit pas une
source de distraction pour les occupants du bâtiment.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : NIVEAU DE PRESSION ACOUSTIQUE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
CP
Chaque espace occupé régulièrement respecte le niveau de pression acoustique suivant qui est mesuré lorsque
l'espace et les espaces adjacents sont inoccupés, mais pendant une heure d'activité normale :
a.
Le niveau de pression acoustique moyen provoqué par une intrusion de bruit extérieur ne dépasse pas 50 dBA.
WELL Building Standard v1
Confort
123
75
BRUIT GÉNÉRÉ À L'INTÉRIEUR
Cardiovasculaire
Endocrinien
Les équipements électroniques, mécaniques, les systèmes
de chauffage, ventilation et climatisation (HVAC) et autres
appareils produisant du bruit, ainsi que les occupants euxmêmes, peuvent être des sources majeures de bruit intérieur.
Dans la mesure où les bureaux et les espaces de travail sont
de plus en plus souvent conçus pour promouvoir l'interaction
entre les employés, les occupants peuvent souffrir du
manque d'intimité et de confort acoustique, notamment
lorsque des utilisateurs exerçant des types d'activités
différents partagent un même espace. Le bruit au travail peut
conduire à une baisse de productivité, notamment dans les
bureaux à espace décloisonné où les distractions auditives
et les interruptions d'autres employés sont fréquentes. De
plus, des études montrent que l'exposition au bruit généré
à l'intérieur du bâtiment peut entraîner une baisse de la
concentration et de la performance arithmétique mentale,
ainsi qu'un accroissement de la distraction en raison de
l'absence de confidentialité des conversations.
Nerveux
Cet élément réduit les distractions et permet la confidentialité
des conversations sans nuire à la collaboration. Ces
exigences peuvent être satisfaites en limitant le son émanant
des systèmes techniques des bâtiments et en créant des
zones de calme pour les activités nécessitant une grande
concentration.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PLANIFICATION ACOUSTIQUE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
CP
CP
CP
CP
Un plan acoustique identifiant les éléments suivants est développé :
90
a. Zones calmes et bruyantes.
b.
Équipement bruyant dans l'espace.
PARTIE 2 : NIVEAUX SONORES DES ÉQUIPEMENTS
MÉCANIQUES
O
Les équipements mécaniques satisfont les exigences suivantes une fois la construction intérieure terminée dans les
espaces suivants :
90
a. Halls et espaces de bureaux ouverts : critères de bruit (NC) maximum de 40.
90
b. Bureaux fermés : critères de bruit (NC) maximum de 35.
c.
Salles de conférence et salles de détente : critères de bruit (NC) maximum de 30 (25 recommandés).
90
d. Salles de téléconférence : critères de bruit (NC) maximum de 20.
WELL Building Standard v1
Confort
124
76
CONFORT THERMIQUE
Immunitaire
Tégumentaire
Le confort thermique du corps est assuré par homéothermie,
l'équilibrage des gains et pertes de chaleur permettant de
maintenir la température interne du corps dans sa plage
étroite comprise entre 36 et 38 °C [97-100 °F], et régulée par
l'hypothalamus. Le confort thermique peut affecter l'humeur,
la performance et la productivité. Toutefois, les préférences
en matière de température sont personnelles et diffèrent
d'un individu à l'autre. Équilibrer les besoins en énergie de
grands bâtiments en tenant compte des préférences des
différents occupants peut donc être difficile.
Nerveux
Respiratoire
Cet élément utilise les meilleures pratiques pour offrir un
niveau de confort suffisant pour la majorité des occupants.
La norme ASHRAE 55 spécifie qu'on peut parvenir au
confort thermique de deux manières : par la zone de confort
standard ou par la zone de confort adaptative.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : ENVIRONNEMENT THERMIQUE VENTILÉ
CP
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Tous les espaces dans les projets à ventilation mécanique répondent aux critères de conception, d'exploitation et de
performances suivants :
92
a. Norme ASHRAE 55-2013 Section 5.3, conformité à la zone de confort standard.
CP
PARTIE 2 : ADAPTATION THERMIQUE NATURELLE
CP
CP
Tous les espaces dans les projets à ventilation naturelle répondent aux critères suivants :
92
a. Norme ASHRAE 55-2013 Section 5.4, modèle de confort adaptatif.
WELL Building Standard v1
Confort
125
77
CONFORT OLFACTIF
Digestif
Endocrinien
Des odeurs excessivement fortes ou distinctives peuvent
perturber le confort physique et psychologique, et même
causer des irritations des yeux, du nez et de la gorge, des
nausées et des maux de tête. Limiter ces odeurs est une
stratégie simple qui permet de contribuer grandement au
confort et au bien-être des occupants.
Immunitaire
Tégumentaire
Nerveux
Respiratoire
Cet élément soutient les politiques de construction qui
découragent les odeurs fortes des produits chimiques et des
parfums, dans le but de garder les environnements intérieurs
sans odeurs.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : SÉPARATION DE LA SOURCE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les toilettes, placards de nettoyage, cuisines, cafétérias et garde-manger peuvent éviter de propager des odeurs
fortes dans les espaces de travail en appliquant une ou plusieurs des méthodes de séparation suivantes :
a.
Pressurisation négative.
b.
Salles interstitielles.
c.Vestibules.
d.
Halls d'entrée.
e.
Portes à fermeture automatique.
WELL Building Standard v1
Confort
126
78
TEMPS DE RÉVERBÉRATION
Cardiovasculaire
Endocrinien
Le temps de réverbération, ou RT60, est une mesure de la
durée que met un son pour décroître de 60 dB par rapport à
son niveau d'origine. Les temps de réverbération optimaux
varient selon le volume de la pièce, l'usage prévu de l'espace
et la fréquence du son transmis. Dans les espaces à temps
de réverbération élevés, les sons des voix et des pas mettent
plus de temps à se dissiper, contribuant à des niveaux de bruit
ambiant plus élevés. Le bruit produit par la réverbération
peut réduire l'intelligibilité de la conversation et être une
source de stress supplémentaire dans certains cas.
Nerveux
Cet élément cherche à établir des temps de réverbération
plus courts pour maintenir des niveaux sonores confortables.
Cette spécification de performance peut être réalisée par
l'utilisation de matériaux d'absorption du son sur différents
éléments de surface et de conception.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : TEMPS DE RÉVERBÉRATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les espaces suivants ont les temps de réverbération (RT60) maximum suivants :
90
a. Salles de conférence : 0,6 seconde.
b.
Espaces de bureaux ouverts : 0,5 seconde.
WELL Building Standard v1
Confort
127
79
MASQUAGE SONORE
Immunitaire
Nerveux
Le silence ambiant peut être tout aussi distrayant qu'un
environnement bruyant dans la mesure où il met en avant
les perturbations acoustiques et réduit la confidentialité de
la conversation. La possibilité d'entendre les conversations
privées est signalée comme une source spécifique
d'insatisfaction acoustique des employés dans les bureaux
ouverts. Les systèmes de masquage sonore produisent un
bruit de fond de faible niveau offrant aux employés une
certaine confidentialité dans leurs communications et ils
peuvent réduire la distraction associée aux interruptions
auditives.
Cet élément a pour objectif de réduire les perturbations
acoustiques désagréables et de protéger la confidentialité
des conversations en produisant un bruit de fond de faible
niveau à l'aide de masques sonores.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : UTILISATION DU MASQUAGE SONORE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
O
Tous les espaces de travail de bureau ouverts utilisent les éléments suivants :
90
a. Systèmes de masquage sonore.
—
PARTIE 2 : LIMITES DE MASQUAGE SONORE
Si des systèmes de masquage sonore sont utilisés, les niveaux sonores sont compris dans la plage suivante, lorsqu'ils
sont mesurés à partir de l'espace de travail le plus proche :
90
a. Espaces de bureaux ouverts : 45 - 48 dBA.
90
b. Bureaux fermés : 40 - 42 dBA.
WELL Building Standard v1
Confort
128
80
SURFACES D'ATTÉNUATION DE BRUIT
Cardiovasculaire
Endocrinien
Une bonne conception suivie d'une bonne construction ne
suffisent pas toujours à assurer le confort acoustique des
bâtiments. Les sources qui contribuent à l'insatisfaction
acoustique comme la transmission du son en provenance
de sources internes et externes, les bruits de pas ou
les voix émanant des espaces adjacents sont difficiles à
contrôler. Toutefois, les traitements d'atténuation de bruit
qui incorporent des surfaces absorbantes telles que des
panneaux muraux, des panneaux absorbants suspendus
et des améliorations des surfaces peuvent aider à gérer la
réverbération et à améliorer le confort acoustique.
Cet élément exige que les espaces incorporent des surfaces
absorbantes pour réduire la réverbération des bruits
indésirables. Le coefficient de réduction du bruit (CRB) est une
valeur moyenne qui détermine les propriétés absorbantes
des matériaux. Plus la valeur CRB est importante, plus le
matériau absorbe efficacement le son dans des conditions
normalisées.
Nerveux
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PLAFONDS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les espaces suivants, le cas échéant, ont des plafonds qui répondent aux spécifications décrites :
90
a. Espaces de bureaux ouverts : CRB minimum de 0,9 pour toute la surface du plafond (à l'exclusion des
luminaires, des puits de lumière, des diffuseurs et des grilles).
90
b. Salles de conférence et de téléconférence : CRB minimum de 0,8 sur au moins 50 % de la surface du plafond
(à l'exclusion des luminaires, des puits de lumière, des diffuseurs et des grilles).
—
PARTIE 2 : MURS
O
O
Les espaces suivants, le cas échéant, ont des murs qui répondent aux spécifications CRB décrites :
90
a. Bureaux fermés, salles de conférence et de téléconférence : CRB minimum de 0,8 sur au moins 25 % de la
surface des murs environnants.
90
b. Espaces de bureaux ouverts : CRB minimum de 0,8 sur au moins 25 % de la surface des murs environnants.
90
c. Bureaux à cloisons de type box : les cloisons atteignent au moins 1,2 m [env. 48 po] et ont un CRB minimum
de 0,8.
WELL Building Standard v1
Confort
129
81
BARRIÈRES SONORES
Immunitaire
Nerveux
Le bruit provenant des espaces adjacents peut être perturbant
pour les occupants du bâtiment. L'attention portée aux
détails et des matériaux de construction de grande qualité
peuvent améliorer grandement les capacités d'atténuation
de bruit des cloisons ou des portes intérieures qui agissent
comme des barrières sonores et réduisent la transmission du
son entre les espaces adjacents.
Cet élément vise à améliorer le confort acoustique en
réduisant la transmission du son en provenance des espaces
adjacents grâce à des détails de construction allant au-delà
des critères de qualité standard.
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
PARTIE 1 : SPÉCIFICATIONS DE LA CONSTRUCTION
DES MURS
Les espaces suivants, le cas échéant, ont des cloisons intérieures qui répondent à l'Indice d'isolation acoustique
(NIC) décrit :
90
a. Bureaux fermés : NIC minimum de 35 lorsqu'un système de masquage sonore est présent, ou NIC minimum
de 40 en l'absence de système de masquage sonore.
90
b. Salles de conférence et de téléconférence : NIC minimum de 53 sur les murs séparant des bureaux privés, des
salles de conférence ou de téléconférence.
—
PARTIE 2 : CARACTÉRISTIQUES DES PORTES
O
O
Les portes s'ouvrant sur des bureaux privés, des salles de conférence et de téléconférence sont fabriquées avec au
moins un des éléments suivants :
90
a. Joints.
90
b. Balais.
90
c. Âme pleine.
PARTIE 3 : MÉTHODOLOGIE DE LA CONSTRUCTION
DES MURS
—
O
O
Tous les murs intérieurs entourant des espaces occupés régulièrement sont construits en vue de performances
optimales en réduisant les fentes d'air et en limitant la transmission du son grâce aux méthodes suivantes :
90
a. Calfeutrage approprié de toutes les cloisons de séparation isolées acoustiquement au niveau des rails
supérieur et inférieur.
90
b. Échelonnement de toutes les jointures des plaques de plâtre.
90
c. Garnissage et calfeutrage de toutes les pénétrations dans le mur.
WELL Building Standard v1
Confort
130
82
CONTRÔLE THERMIQUE INDIVIDUEL
Immunitaire
Tégumentaire
Les préférences en matière de confort thermique sont
hautement individuelles, et peuvent être affectées par
le métabolisme, le type de corps et les vêtements. Ces
facteurs font qu'il est quasiment impossible de trouver une
température qui puisse satisfaire tous les occupants d'un
même espace au même moment. Proposer des zones avec
des gradients thermiques différents, ainsi que des appareils
individuels de confort thermique peut garantir que les
occupants d'un bâtiment puissent choisir des zones dont les
températures s'approchent au plus près de leurs préférences
thermiques (qualifiées d'« emplacements libres »).
Nerveux
Respiratoire
Cet élément exige que les espaces varient en température
et que les occupants aient la possibilité de choisir la
zone de travail où ils sont le plus confortables (qualifiée
d'« emplacement libre »). Cet élément fournit également des
appareils personnalisés de confort thermique permettant aux
occupants d'ajuster la température de leur environnement
immédiat pour parvenir à un meilleur confort thermique.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : EMPLACEMENTS LIBRES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les projets de plus de 200 m² [2 150 pi²] satisfont les exigences d'emplacement libre suivantes :
a.
Le bâtiment assure un gradient thermique d'au moins 3 °C [5 °F] entre les espaces de bureaux ouverts et entre
les pièces ou les étages.
b.
Tous les espaces de bureaux ouverts où les tâches des occupants exigent des postes de travail de même type
ménagent au moins 50 % d'emplacements libres pour permettre aux occupants de sélectionner un espace de
travail où la température leur convient.
PARTIE 2 : APPAREILS INDIVIDUELS DE CONFORT
THERMIQUE
—
O
O
La condition suivante est vérifiée dans les espaces d'au moins 10 postes de travail dans la même zone de chauffage
ou de refroidissement :
a.
Les employés ont accès à des appareils individuels de confort thermique comme des ventilateurs (à
l'exception des radiateurs).
WELL Building Standard v1
Confort
131
83
CONFORT THERMIQUE PAR
RAYONNEMENT
Immunitaire
Tégumentaire
Une nouvelle technologie autour des systèmes de chauffage
par rayonnement a permis de réaliser des progrès en matière
d'économie d'énergie de ces systèmes. D'autres avantages
peuvent être cités : espace au sol économisé, transport
de poussière réduit et confort thermique accru grâce à la
séparation des commandes de température et des systèmes
d'arrivée d'air frais. De plus, avec l'utilisation du chauffage
à rayonnement, la température radiante moyenne dans
un espace peut être maintenue plus basse par rapport au
chauffage par convection, offrant l'avantage d'une humidité
relative légèrement supérieure en hiver.
Nerveux
Respiratoire
Cet élément améliore le confort thermique grâce à l'utilisation
d'éléments de chauffage et de refroidissement par
rayonnement, indépendamment des systèmes de ventilation.
PARTIE 1 : HALLS ET AUTRES ESPACES COMMUNS ET
PUBLICS
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
O
Tous les halls et autres espaces communs satisfont les exigences stipulées dans la norme ASHRAE 55-2013 en
matière de confort thermique à l'aide d'un des systèmes suivants :
93
a. Systèmes de chauffage et/ou de refroidissement par rayonnement hydronique.
93
b. Systèmes par rayonnement électrique.
—
PARTIE 2 : BUREAUX ET AUTRES ESPACES
RÉGULIÈREMENT OCCUPÉS
O
O
Au moins 50 % de la surface au sol de tous les bureaux et autres espaces régulièrement occupés satisfont les
exigences stipulées dans la norme ASHRAE 55-2013 en matière de confort thermique à l'aide d'un des systèmes
suivants :
93
a. Systèmes de chauffage et/ou de refroidissement par rayonnement hydronique.
93
b. Systèmes par rayonnement électrique.
WELL Building Standard v1
Confort
132
ESPRIT
WELL Building Standard v1
Esprit
133
CONTEXTE
Si la santé mentale et la santé physique sont souvent conceptualisées comme des domaines séparés, nos esprits et
nos corps sont inextricablement connectés. Par exemple, l'exercice augmente la production de sérotonine, qui peut
améliorer l'humeur et réguler le cycle du sommeil. D'un autre côté, le simple fait de s'inquiéter peut déclencher
des réponses physiologiques similaires à celles que provoquent les tensions et les blessures physiques. Si le corps
possède de remarquables capacités de récupération quand il s'agit d'un facteur de stress aiguë unique, l'activation
chronique et répétée de la réponse au stress peut être particulièrement néfaste sur les plans physiologique et
psychologique. Étant donné que les humains ont la capacité de s'inquiéter de problèmes abstraits et souvent non
immédiatement résolubles comme les problèmes professionnels ou financiers, le deuil ou l'estime de soi, la vie
moderne ne manque pas de facteurs de stress qui mènent à des sentiments de mélancolie, de dépression et de
mauvaise estime de soi.
Le poids global des pathologies mentales n'est pas négligeable. En 2010, les maladies mentales et les troubles
liés à la prise de certaines substances ont engendré près de 184 millions d'années de vie corrigées du facteur
invalidité, 8,6 millions d'années de vie perdues pour cause de mortalité prématurée et plus de 175 millions d'années
vécues en situation de handicap dans le monde. De plus, on estime que l'espérance de vie de ceux qui souffrent
de troubles mentaux est plus courte de plus de 10 ans par rapport aux autres, et que plus de 14 % des décès, soit 8 millions chaque année, peuvent être attribués à des désordres mentaux.
La prévalence des troubles de l'humeur aux États-Unis (classés comme la présence d'un trouble dépressif, d'une
dysthymie ou d'un trouble bipolaire majeur) est estimée à près de 21 %. La dépression majeure est la plus commune
de tous les troubles de l'humeur. Elle affecte environ 16 millions d'adultes aux États-Unis. Les troubles de l'humeur
sont inévitablement liés à des maladies physiques et sont associés à un ensemble d'effets néfastes sur la santé. Des
perturbations de basse intensité ou des états de souffrance morale chroniques jouent des rôles de plus en plus
importants dans certaines des maladies chroniques les plus communes. Par exemple, la dépression est associée à
un risque plus élevé de maladie cardiaque et d'immunosuppression. Le stress chronique et l'anxiété sont également
directement responsables des hormones de stress associées à divers effets physiologiques négatifs, tels que le
risque de syndrome métabolique, de maladie cardiovasculaire, de troubles gastro-intestinaux et de maladies de
peau telles que l'acné et le psoriasis.
Étant donné que l'esprit joue un rôle vital dans la santé et le bien-être général d'un individu, une atmosphère qui
favorise un état mental sain peut avoir des avantages psychologiques et physiques significatifs. Les interventions
permettant de modérer le stress peuvent être directes ou indirectes. Elles incluent de donner accès à des thérapies
faisant la promotion de la relaxation et traitant les traumatismes mentaux ou émotionnels, de mettre en œuvre
des politiques qui améliorent l'hygiène du sommeil ou encouragent l'altruisme et l'engagement auprès de sa
communauté, et de promouvoir l'usage des technologies de capteurs qui augmentent la sensibilisation aux facteurs
physiologiques et environnementaux pour renseigner sur les changements comportementaux positifs.
Le WELL Building Standard reconnaît les éléments de l'environnement bâti et identifie les politiques sur le lieu de
travail pouvant être mises en œuvre pour influencer positivement l'humeur, le sommeil, les niveaux de stress et
l'état psychosocial dans le but de promouvoir et de favoriser la santé et le bien-être général des occupants.
WELL Building Standard v1
Esprit
134
INTENTION
Le WELL Building Standard pour l'Esprit exige des stratégies de conception, de technologie et de traitement visant
à mettre en place un environnement physique optimisant la santé cognitive et émotionnelle.
MATRICE DE NIVEAUX DE L'ÉLÉMENT ESPRIT
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
OPTIMISATION
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
84 SENSIBILISATION EN MATIÈRE DE SANTÉ ET DE BIEN-ÊTRE
1: Guide WELL Building Standard
2: Bibliothèque sur les thèmes de la santé et du bien-être
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
CP
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O
O
—
O
O
—
—
—
O
O
O
O
O
O
—
O
O
85 CONCEPTION INTÉGRÉE
1: Consultation des parties prenantes
2: Plan de développement
3: Orientation des parties prenantes
86 ENQUÊTES POST-OCCUPATION
1: Contenu de l'enquête auprès des occupants
2: Communication des informations
87 ESTHÉTISME ET CONCEPTION I
1: Esthétisme et conception réfléchie
88 BIOPHILIE I - ASPECT QUALITATIF
1: Intégration de la nature
2: Intégration d'un modèle
3: Interaction avec la nature
89 ESPACES ADAPTABLES
1: Gestion des stimuli
2: Confidentialité
3: Gestion de l'espace
4: Aide au sommeil sur le lieu de travail
90 BONNES PRATIQUES DE SOMMEIL
1: Aide au sommeil hors du lieu de travail
91 VOYAGE D'AFFAIRES
1: Politique des déplacements
92 MISE EN PLACE D'UNE POLITIQUE DE SANTÉ
1: Prestations-maladie
93 SOUTIEN FAMILIAL SUR LE LIEU DE TRAVAIL
1: Congé parental
2: Aides de l'employeur à la garde d'enfants
3: Aide aux familles
94 AUTOSURVEILLANCE
1: Capteurs et dispositifs portatifs
WELL Building Standard v1
Esprit
135
CONFORMITÉ
CERTIFICATION
CONDITION
PRÉALABLE
CONDITION
PRÉALABLE
OPTIMISATION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
—
O
O
O
O
—
—
O
O
O
O
O
O
O
O
O
O
—
O
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—
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O
O
O
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O
O
O
O
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O
O
O
O
O
Noyau et
enveloppe
OPTIMISATION
95 GESTION DU STRESS ET DES DÉPENDANCES
1: Soutien moral et comportemental
2: Gestion du stress
96 ALTRUISME
1: Activités caritatives
2: Dons caritatifs
97 TRANSPARENCE DES MATÉRIAUX
1: Informations sur les matériaux
2: Informations accessibles
98 TRANSPARENCE ORGANISATIONNELLE
1: Participation transparente au programme
99 ESTHÉTISME ET CONCEPTION II
1: Hauteur de plafond
2: Œuvre d'art
3: Familiarité spatiale
100 BIOPHILIE II - ASPECT QUANTITATIF
1: Biophilie extérieure
2: Biophilie intérieure
3: Point d'eau
101 ÉLÉMENT D'INNOVATION I
1: Innovation 1 - Proposition
2: Innovation 1 - Soutien
102 ÉLÉMENT D'INNOVATION II
1: Innovation 2 - Proposition
2: Innovation 2 - Soutien
WELL Building Standard v1
Esprit
136
84
SENSIBILISATION EN MATIÈRE DE
SANTÉ ET DE BIEN-ÊTRE
La compétence informationnelle en santé, définie par l'Institut
de Médecine comme « la capacité des personnes à obtenir,
évaluer et exploiter les informations et les services sanitaires
élémentaires dont elles ont besoin pour prendre les décisions
appropriées en matière de santé », est essentielle pour une
santé et un bien-être optimaux. Cette compétence exige
la sensibilisation et la capacité à déchiffrer la littérature
consacrée à la santé ainsi que les choix proposés en matière
de services sanitaires. La littérature orientée santé doit être
à la fois accessible et personnalisable pour promouvoir la
sensibilisation aux questions de santé et de bien-être.
Cet élément promeut la disponibilité de la littérature de santé et
de bien-être, y compris des descriptions détaillées des éléments
WELL et de leurs avantages. Une bibliothèque d'informations
offre des ressources pédagogiques supplémentaires qui
encouragent une meilleure compréhension des comportements
de santé et de bien-être.
Noyau et
enveloppe
CP
PARTIE 1 : Guide WELL Building Standard
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Des guides explicatifs permettent aux occupants de se familiariser avec les éléments incorporés dans le projet et
d'en tirer parti, ainsi que d'acquérir une meilleure connaissance des facteurs de santé et de bien-être au-delà de
l'environnement bâti. Les éléments suivants sont fournis :
a.
Un guide (disponible pour tous les occupants) décrivant les éléments du WELL Building Standard concernés
par le projet.
PARTIE 2 : BIBLIOTHÈQUE SUR LES THÈMES DE LA
SANTÉ ET DU BIEN-ÊTRE
CP
CP
CP
Une bibliothèque numérique et/ou physique de ressources est fournie. Elle s'intéresse en priorité aux questions de
santé mentale et physique et répond aux critères suivants :
a.
Contient au moins un livre ou un abonnement à un magazine pour 20 occupants (pas plus de 20 titres ne sont
requis).
b.
Est présentée de manière visible et immédiatement disponible pour tous les occupants.
WELL Building Standard v1
Esprit
137
85
CONCEPTION INTÉGRÉE
Un processus de conception véritablement collaboratif
veille à ce que la construction et l'entretien d'un espace
répondent aux attentes et aux objectifs définis à l'origine
pour le bâtiment. Une focalisation sur les principes de santé
et de bien-être tout au long du processus de conception
garantit que les critères d'auto-promotion de la santé sont
bien compris et intégrés dans un projet.
Cet élément exige que toutes les parties prenantes se
rencontrent à différents stades du développement —
planification pré-conception, développement de conception,
construction et post-construction — pour déterminer les
objectifs de bien-être collectif et garantir leur respect.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : CONSULTATION DES PARTIES PRENANTES
CP
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Avant la conception et la programmation du projet, toutes les parties prenantes, à savoir au minimum le propriétaire,
les architectes, les ingénieurs et l'équipe de gestion des installations, se rencontrent pour :
a.
Effectuer un exercice d'évaluation et d'alignement des valeurs au sein de l'équipe pour communiquer tous les
objectifs du projet ainsi que des stratégies pour répondre aux attentes des occupants.
1
b. Discuter des besoins des occupants, notamment en matière de bien-être.
c.
Fixer de futures réunions pour garder le cap vis-à-vis des objectifs du projet et impliquer les acteurs qui
prennent le processus en cours, comme les sous-traitants.
CP
PARTIE 2 : PLAN DE DÉVELOPPEMENT
CP
CP
Un document détaillant la mission orientée santé du bâtiment est rédigé avec le consentement de toutes les parties
prenantes. Il spécifie ce qui suit :
a.
Sélection du site de construction, en tenant compte des transports publics.
b.
Concepts WELL de l'air, de l'eau, de la nutrition, de la lumière, de la forme physique, du confort et de l'esprit.
c.
Plans d'implémentation des analyses et des décisions ci-dessus.
d.
Plans d'exploitation et de maintenance pour les responsables des sites et spécifications de construction liées
au bien-être.
PARTIE 3 : ORIENTATION DES PARTIES PRENANTES
CP
CP
CP
À l'issue de la construction, les concepteurs, propriétaires, responsables et personnels des installations doivent :
a.
Faire une visite du bâtiment en groupe.
b.
Discuter des moyens employés pour que l'exploitation du bâtiment soit conforme au WELL Building Standard.
WELL Building Standard v1
Esprit
138
86
ENQUÊTES POST-OCCUPATION
Étant donné la diversité des environnements bâtis, il est
difficile de prescrire un ensemble complet d'éléments
qui fonctionnent dans toutes les situations. Les enquêtes
d'occupation peuvent être utiles pour évaluer dans quelle
mesure un bâtiment promeut et protège efficacement la
santé et le confort de ses occupants. De plus, la possibilité
pour les occupants de donner leur feedback et d'avoir un
rôle reconnu dans leur propre confort et bien-être peut avoir
un impact positif sur leur humeur.
Cet élément utilise des enquêtes d'occupation pour
renseigner sur le succès des éléments WELL dans un
environnement de construction particulier et pour obtenir
un retour d'informations dans le but d'améliorer le WELL
Building Standard.
PARTIE 1 : CONTENU DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES
OCCUPANTS
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
CP
CP
™
Dans les bâtiments de 10 employés ou plus, l'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) (qualité
environnementale intérieure des occupants) du Center for the Built Environment (CBE) de l'UC Berkeley (ou
alternative agréée) est soumise à un échantillon représentatif d'au moins 30 % des employés au moins une fois par
an, sauf indication contraire. L'enquête couvre les points de satisfaction des occupants suivants :
35
a. Acoustique.
35
b. Confort thermique, humidité et flux d'air inclus, au moins deux fois par an (une fois pendant la saison froide,
une fois pendant la saison chaude).
35
c. Ameublement.
35
d. Niveaux et qualité de la lumière dans l'espace de travail.
35
e. Odeurs, aération et autres sujets de qualité de l'air.
35
f. Propreté et maintenance.
35
g. Agencement.
—
PARTIE 2 : COMMUNICATION DES INFORMATIONS
CP
CP
Les résultats agrégés des enquêtes sont rapportés dans les 30 jours aux groupes suivants :
a.
Propriétaires et responsables des bâtiments.
b.
Occupants des bâtiments (sur demande).
c.
L'International WELL Building Institute.
WELL Building Standard v1
Esprit
139
87
ESTHÉTISME ET CONCEPTION I
Nerveux
Un espace physique où les principes de conception sont en phase
avec les valeurs culturelles primordiales d'une organisation peut
avoir un impact positif sur l'humeur et le moral des employés.
L'intégration d'éléments esthétiquement plaisants dans un
espace peut aider les occupants du bâtiment à retirer du confort
ou du plaisir de leur environnement. L'introduction d'éléments
de design et d'œuvres d'art dans un espace peut créer un
environnement relaxant susceptible d'améliorer l'humeur des
occupants.
Cet élément est tiré de l'impératif Beauté et esprit inclus dans
le Living Building Challenge. Il contribue à construire des
environnements conçus dans le but d'avoir un impact positif sur
l'humeur et le niveau de confort de leurs occupants.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : ESTHÉTISME ET CONCEPTION RÉFLÉCHIE
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Le projet contient des éléments prévus pour l'ensemble des aspects suivants :
13
a. Plaisir des occupants.
13
b. Célébration de la culture.
13
c. Célébration de l'esprit.
13
d. Célébration du lieu.
13
e. Intégration judicieuse d’œuvres d'art publiques.
WELL Building Standard v1
Esprit
140
88
BIOPHILIE I - ASPECT QUALITATIF
Nerveux
Jusqu'à une époque relativement récente de l'histoire
humaine, l'homme était en interaction constante avec
la nature et ses habitants. La biophilie, ou l'idée que les
humains ont une affinité avec la nature, est un domaine
émergeant qui prend en compte notre besoin physiologique
d'être entouré de vie et de processus vitaux. L'exposition à
des représentations et des images de nature peut contribuer
à accélérer le processus de guérison et de convalescence,
à accroître les sentiments positifs et à réduire les négatifs.
À l'inverse, les environnements intérieurs froids, stériles et
privés de vie peuvent nuire à notre humeur et à notre état
d'esprit général.
Cet élément reconnaît l'importance de créer un
environnement intérieur qui cultive la connexion innée entre
l'homme et la nature. Modélisées d'après le Living Building
Challenge, les exigences en matière de biophilie impliquent
d'effectuer des études historiques, culturelles, écologiques
et climatiques pour connaître les éléments biophiliques
et créer une structure biophilique permettant de suivre la
biophilie à chaque stade de conception du projet.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : INTÉGRATION DE LA NATURE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
CP
Bâtiments neufs
et existants
CP
Un plan de biophilie incluant une description de la manière dont le projet incorpore la nature via les éléments
suivants est développé :
13
a. Éléments environnementaux.
13
b. Éclairage.
13
c. Agencement de l'espace.
O
PARTIE 2 : INTÉGRATION D'UN MODÈLE
CP
CP
Un plan de biophilie incluant une description de la manière dont le projet incorpore les éléments suivants est
développé :
13
a. Les modèles de la nature dans la conception.
O
PARTIE 3 : INTERACTION AVEC LA NATURE
—
CP
Un plan de biophilie offrant suffisamment d'opportunités pour des interactions entre l'homme et la nature est
développé :
13
a. À l'intérieur du bâtiment.
13
b. Dans les limites du projet, à l'extérieur du bâtiment.
WELL Building Standard v1
Esprit
141
89
ESPACES ADAPTABLES
Cardiovasculaire
Immunitaire
Des environnements de travail sains doivent être conçus
dans le but de réduire le stress et d'optimiser la productivité.
Ils doivent donc être suffisamment adaptables pour
favoriser le travail, la concentration, la collaboration et le
repos, si nécessaire. Les études montrent que la présence
d'une variété d'espaces de travail permettant aux individus
d'adapter leurs environnements et de choisir leurs niveaux
d'engagement est associée à la satisfaction au travail et à la
cohésion du groupe.
Cet élément crée un environnement de travail productif
dépourvu de sources de distraction et qui comprend des
espaces conçus pour favoriser la concentration au travail et
donner la possibilité d'effectuer de courtes siestes.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : GESTION DES STIMULI
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les places assises et l'agencement de l'espace sont organisés en zones distinctes dans l'espace de travail et offrent
différents degrés d'engagement sensoriel. Les espaces occupés régulièrement de 186 m² [2 000 pi²] ou plus
fournissent de la documentation sur les méthodes employées pour établir des zones appropriées en fonction des
directives ci-dessous :
a.
Un plan de programmation est développé à partir des données issues des entretiens, enquêtes, groupes de
travail et recherches basées sur l'observation pour définir la culture de l'organisation, ses schémas de travail,
ses processus et sa manière d'utiliser l'espace.
b.
Des plans de sol annotés incorporent des données de recherche afin d'établir les zones de travail qui
permettent l'exécution des différentes fonctions.
c.
Des zones de calme désignées sont prévues sous forme de pièces fermées ou semi-fermées ne comptant pas
plus de 3 sièges par pièce.
d.
Des zones de collaboration désignées sont prévues sous forme de pièces fermées ou semi-fermées ne
comptant pas moins de 3 sièges par pièce et au moins une surface verticale permettant de communiquer des
idées ou de travailler.
WELL Building Standard v1
Esprit
142
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 2 : CONFIDENTIALITÉ
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Les zones de plus de 1 860 m² [20 000 pi²] incluent un espace de calme désigné permettant la concentration, la
contemplation et la relaxation, et répondant aux critères suivants :
a.
Espace d'au moins 7 m² [75 pi²] plus 0,1 m² [1 pi²] par occupant régulier du bâtiment, jusqu'à un maximum
de 74 m² [800 pi²].
183
b.
L'éclairage ambiant procure un niveau de lumière continu à intensité réglable d'au moins 2 700 K.
c.
L'indice Critères de bruit (NC) des systèmes mécaniques ne dépasse pas 30.
d.
Un plan incluant une description de la manière dont le projet incorpore deux des éléments suivants dans
l'espace est développé : (i) mur végétal et/ou plantations de sol, (ii) dispositif audio avec bruits de la nature,
(iii) variété d'agencement des sièges.
—
PARTIE 3 : GESTION DE L'ESPACE
O
O
Pour réduire l'encombrement et disposer d'un environnement confortable et bien organisé, des besoins de
rangement minimum sont pris en compte à l'aide d'un des éléments suivants :
a.
Un placard de poste de travail d'un volume minimum de 0,1 m³ [4 pi³] pour chaque occupant régulier.
b.
Un casier personnel d'un volume minimum de 0,1 m³ [4 pi³] pour chaque occupant régulier.
PARTIE 4 : AIDE AU SOMMEIL SUR LE LIEU DE TRAVAIL
—
O
O
De courtes siestes sont un moyen efficace et sain d'améliorer son acuité mentale et physique, plus encore que la
caféine, qui peut perturber le sommeil. Au moins une des options d'ameublement suivantes doit être proposée pour
les 30 premiers occupants réguliers du bâtiment et une supplémentaire pour chaque groupe de 100 occupants
réguliers par la suite :
a.Canapé.
b.
Tapis rembourré déroulant.
c.
Cabine de sommeil.
d.
Fauteuil entièrement inclinable.
e.
Hamac.
WELL Building Standard v1
Esprit
143
90
BONNES PRATIQUES DE SOMMEIL
Cardiovasculaire
Endocrinien
Un sommeil de qualité est essentiel pour une bonne santé. Un
sommeil suffisant améliore la santé mentale, est nécessaire
pour maintenir une performance mentale et physique
soutenue tout au long de la journée et peut empêcher la
prise de poids excessive. À l'inverse, le manque de sommeil
est associé à un risque plus élevé de dépression, de diabète,
d'infarctus du myocarde, d'hypertension et d'accident
vasculaire cérébral.
Immunitaire
Musculaire
Cet élément fixe des limites raisonnables au nombre d'heures
de travail pour favoriser un rythme sain de sommeil et d'éveil,
impose une limite horaire à l'implication dans les tâches de
travail, fournit des endroits appropriés pour la récupération
et le renouvellement, et formalise l'approvisionnement en
nourriture et en boissons à même de promouvoir de bons
schémas de sommeil. L'adoption de cet élément démontre
que l'organisation accorde de la valeur à la qualité du
sommeil et comprend son impact sur la productivité générale
du travailleur et sur son bien-être.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : AIDE AU SOMMEIL HORS DU LIEU DE TRAVAIL
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les exigences suivantes sont satisfaites :
a.
Pour tout travail ne se pratiquant pas par postes, fixez à minuit la limite pour le travail et les communications.
b.
Offrez aux employés une aide de 50 % sur les logiciels et/ou applications de surveillance des schémas de
comportement liés au sommeil dans la journée tels que les niveaux d'activité, la prise de caféine et d'alcool,
ou les habitudes alimentaires.
WELL Building Standard v1
Esprit
144
91
VOYAGE D'AFFAIRES
Cardiovasculaire
Nerveux
Les voyages d'affaires sont associés à différents effets
négatifs sur la santé. Des recherches de la Banque mondiale
indiquent que les voyages d'affaires sont associés à des
demandes de remboursement de soins médicaux plus
élevées, la part la plus importante de ces soins revenant
aux troubles psychologiques liés au stress. De plus, les
conclusions indiquent que les principaux facteurs de stress
du voyage d'affaires concernent les impacts sur la vie familiale
et personnelle, le décalage horaire, l'accroissement de la
charge de travail au retour et l'éloignement de la famille et
des amis.
Cet élément a pour objectif de réduire le stress physique et
mental associé au voyage d'affaires par la mise en œuvre de
stratégies rendant possible le maintien de la forme physique,
ainsi que la préservation de bonnes habitudes de sommeil et
des relations personnelles.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : POLITIQUE DES DÉPLACEMENTS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Pour réduire le stress lié au voyage d'affaires, les employeurs instaurent les politiques suivantes :
a.
Les employés ont la possibilité de choisir un vol de jour ou de travailler à distance le jour de leur arrivée d'un
vol de nuit.
b.
Les employés ne sont pas tenus d'effectuer des voyages d'affaires lorsque la durée du déplacement (escales,
délais d'attente et navettes entre terminaux compris) dépasse de 5 heures et de 25 % la durée totale du séjour.
119
c.
Pendant les longs voyages d'affaires (voyages domestiques de plus de 2 semaines et voyages internationaux
de plus de 4 semaines), les employés doivent se voir accorder du temps libre ainsi que le budget nécessaire
pour rentrer chez eux au moins 48 heures ou pour faire venir un ami ou un membre de la famille.
119
d.
Les employés sont logés dans des hôtels disposant de centres de fitness gratuits ou dont les frais d'utilisation
au cours de leur voyage seront remboursés.
WELL Building Standard v1
Esprit
145
92
MISE EN PLACE D'UNE POLITIQUE DE
SANTÉ
Nerveux
La protection de la santé des employés est de la plus
haute importance dans la mesure où elle affecte différents
aspects du travail tels que la productivité, la concentration
et même la santé des collègues. Les employés se sentent
souvent débordés et incapables de prendre du repos ou
de s'absenter du travail pour récupérer. Les politiques
de santé sur le lieu de travail peuvent contribuer au bienêtre physique et mental des employés, faciliter l'adoption
durable de comportements sains et engendrer une culture
d'entreprise axée sur la santé.
Cet élément offre le soutien nécessaire à l'amélioration de
l'état général de santé et de satisfaction des employés et de
leurs familles.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : PRESTATIONS-MALADIE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les employeurs fournissent au moins trois des éléments suivants à leurs employés :
185
Les employés ont la possibilité de choisir des vols de jour ou de travailler à distance couverts par l'assurance
de santé prévue par l'employeur pour les travailleurs à temps plein ou partiel, ainsi que leur conjoint(e) et
dépendants, ou encore de percevoir une indemnité permettant de souscrire à une assurance individuelle
dans le cadre d'un échange.
a.
184
b.
Comptes de dépenses flexibles.
184
Comptes d'épargne santé.
c.
91
d. Vaccinations sur site ou temps accordé pendant la journée de travail pour se faire vacciner.
20
e. Politiques sur le lieu de travail encourageant les employés malades à rester chez eux ou à travailler à distance.
WELL Building Standard v1
Esprit
146
93
SOUTIEN FAMILIAL SUR LE LIEU DE
TRAVAIL
Digestif
Endocrinien
L'équilibre entre vie privée et travail peut être négligé et la
vie personnelle passer au second plan des responsabilités
professionnelles. Des politiques de soins familiaux veillent à
ce que les employés puissent prendre du temps pour eux et
trouver un juste équilibre entre leur travail et leur vie privée.
Des recherches montrent que les employés jouissant d'une
flexibilité dans leurs horaires de travail manifestent des
niveaux de stress inférieurs.
Immunitaire
Respiratoire
Cet élément offre un cadre d'amélioration de l'équilibre
entre travail et vie privée.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : CONGÉ PARENTAL
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les employeurs fournissent les éléments suivants :
182
Un congé payé de paternité et de maternité de 6 semaines de travail par période de 12 mois.
a.
46
b. Un congé de paternité ou de maternité supplémentaire de 12 semaines de travail par période de 12 mois.
PARTIE 2 : AIDES DE L'EMPLOYEUR À LA GARDE
D'ENFANTS
—
O
O
—
O
O
Les employeurs fournisseurs au moins un des éléments suivants :
66
a. Crèches dotées des permis d'exercer locaux.
66
b. Aides ou bons pour la garde d'enfants.
PARTIE 3 : AIDE AUX FAMILLES
Les employeurs fournissent les éléments suivants :
46
a. Un congé d'au moins 12 semaines de travail par période de 12 mois pour la garde d'un enfant, conjoint,
partenaire, parent, beau-parent, grand-parent, petit-enfant, frère ou sœur gravement malade.
51
b. La possibilité de prendre des congés de maladie pour garder un enfant, conjoint, partenaire, parent, beauparent, grand-parent, petit-enfant, frère ou sœur.
51
c. Toutes les mères qui allaitent pourront prendre des pauses d'au moins 15 minutes toutes les 3 heures.
WELL Building Standard v1
Esprit
147
94
AUTOSURVEILLANCE
Cardiovasculaire
Les appareils d'autosurveillance capables d'observer et
de quantifier avec précision les changements que subit le
corps dans le temps sont prometteurs dans leur capacité
à nous sensibiliser à notre état de santé. Ces technologies
peuvent constituer des outils puissants pour en savoir plus
sur les états physiologiques de notre corps, encourageant
dès lors à des changements positifs de comportement
et de style de vie. Surveiller son alimentation, son poids
et son activité physique est une technique de thérapie
comportementale éprouvée qui peut aider à la perte de
poids et à son maintien, ainsi qu'à promouvoir la santé et
le bien-être.
Cet élément exige que les employeurs offrent à
chaque employé pour son usage personnel un appareil
d'autosurveillance qui mesure et suive avec précision
les biomarqueurs associés à la santé et au bien-être
des occupants, notamment les variations de fréquence
cardiaque, la qualité et la durée du sommeil, les niveaux
d'activité et de masse corporelle.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : CAPTEURS ET DISPOSITIFS PORTATIFS
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Un capteur capable de mesurer au moins deux des paramètres suivants est mis à la disposition de chaque occupant
pour son usage personnel et est financé à au moins 50 % :
94
a. Poids/Masse corporelle.
62
b. Activité et nombre de pas.
c.
Variabilité de la fréquence cardiaque.
d.
Durée, qualité et régularité du sommeil.
WELL Building Standard v1
Esprit
148
95
GESTION DU STRESS ET DES
DÉPENDANCES
Cardiovasculaire
Digestif
Un stress chronique affecte négativement le corps, du système
nerveux au système cardiovasculaire. La toxicomanie est l'une
des manifestations de stress les plus nocives, puisqu'elle
combine la toxicité de la substance avec la souffrance morale
associée à la stigmatisation sociale de la maladie. Au cours
des dernières années, les progrès en matière de thérapie de
gestion du stress et des dépendances, ainsi qu'en matière
d'intervention pharmacologique, ont réussi à atténuer ces
conditions débilitantes.
Endocrinien
Immunitaire
Reproducteur
Cet élément peut venir compléter d'autres programmes de
bien-être au travail destinés à aider les employés à réduire
leurs niveaux de stress, leurs tendances addictives et à
prévenir les rechutes.
Noyau et
enveloppe
PARTIE 1 : SOUTIEN MORAL ET COMPORTEMENTAL
—
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Un programme de traitement de la souffrance psychologique et comportementale est mis à la disposition des
occupants de l'espace de travail comme suit :
97
a. Programmes d'aide au personnel offrant des traitements à court terme et des recommandations de
professionnels qualifiés dans le traitement de la dépression, de l'anxiété, de la toxicomanie, de l'addiction et
de la cooccurrence des troubles mentaux.
—
PARTIE 2 : GESTION DU STRESS
O
O
Un programme de gestion du stress est mis à la disposition des occupants comme suit :
a.
Un conseiller qualifié proposant des ateliers privés ou de groupe et des recommandations.
WELL Building Standard v1
Esprit
149
96
ALTRUISME
Nerveux
La recherche montre les effets positifs en termes de santé
et de bien-être des gestes de générosité et de charité. Le
volontariat remplit de nombreuses fonctions car il offre un
moyen aux individus d'exprimer leurs valeurs, de renforcer
leurs relations sociales et d'acquérir une expérience
profitable pour leur carrière. La Mental Health Foundation
affirme qu'aider autrui consolide le lien social en renforçant le
sentiment d'appartenance tout en réduisant les sentiments
d'isolement et de solitude. Pour toutes ces raisons, les
sentiments et les comportements altruistes sont de plus en
plus encouragés sur le lieu de travail.
Cet élément encourage les employés à s'impliquer dans des
activités altruistes en dehors du travail, qui sont susceptibles
d'améliorer la santé et le bien-être, de renforcer le sentiment
d'appartenance à la communauté et de promouvoir la
cohésion sociale.
Noyau et
enveloppe
—
PARTIE 1 : ACTIVITÉS CARITATIVES
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Les individus ont la possibilité de prendre des congés payés pour participer à des activités de volontariat comme
suit :
a.
8 heures payées et organisées par l'employeur au profit d'une organisation caritative enregistrée, deux fois
par an.
—
PARTIE 2 : DONS CARITATIFS
O
O
Les employeurs s'engagent à faire ce qui suit :
a.
Contribuer annuellement à une organisation caritative enregistrée dans le but de doubler les dons des
employés.
WELL Building Standard v1
Esprit
150
97
TRANSPARENCE DES MATÉRIAUX
Cardiovasculaire
Digestif
Tout comme les consommateurs ont le droit de connaître la
composition des aliments qu'ils consomment (que ce soit
pour éviter les réactions allergiques ou pour faire des choix
nutritifs plus sains), ils doivent également avoir le droit de
savoir ce qui se trouve dans les produits et les matériaux
qui composent les bâtiments qu'ils occupent. En raison
de la nature complexe et à plusieurs niveaux de la chaîne
d'approvisionnement globale des matériaux, on en sait
peu sur les dizaines de milliers de produits chimiques en
circulation aujourd'hui. Ce manque de données occulte les
informations requises pour identifier les dangers potentiels
pour l'environnement et la santé humaine. La demande
de divulgation des ingrédients composant les matériaux
au niveau du consommateur pousse à la transparence de
la chaîne d'approvisionnement et, plus important encore,
soutient l'innovation et la chimie verte.
Endocrinien
Immunitaire
Tégumentaire
Nerveux
Reproducteur
Respiratoire
Cet élément exige la divulgation de la composition des
matériaux comme étape vers de meilleurs choix de produits.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : INFORMATIONS SUR LES MATÉRIAUX
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Au moins 50 % (mesurés en coût) des apprêts d'intérieur et matériaux d'apprêt, de l'ameublement (y compris
les postes de travail) et des meubles encastrés sont associés à une combinaison des descriptions de matériaux
suivantes :
19
a. Étiquette Declare.
28
b. Déclaration sanitaire de produit.
1
c. Toute méthode acceptée dans le Crédit MR du LEED v4 d'USGBC : Divulgation et optimisation des produits
de construction - Ingrédients des matériaux, Option 1 : communication des ingrédients des matériaux.
O
PARTIE 2 : INFORMATIONS ACCESSIBLES
O
O
La condition suivante est remplie :
a.
Toutes les informations de déclaration sont compilées et mises à la disposition des occupants sous forme
numérique ou imprimée.
WELL Building Standard v1
Esprit
151
98
TRANSPARENCE
ORGANISATIONNELLE
Les organisations qui traitent de manière équitable et juste
leur personnel contribuent à créer une culture de moindre
stress et de plus grande satisfaction des employés, ainsi
qu'un sentiment de fidélité accru. La recherche montre que
des niveaux élevés de perception de justice dans le processus
de prise de décision au travail sont corrélés avec un risque
moindre de mauvaise santé, tandis que le déclin de cette
perception de justice peut à l'inverse accroître ce risque. En
partageant de manière transparente leurs stratégies et leurs
décisions d'investissement, les organisations permettent non
seulement à leurs employés, à leurs clients et à leurs soutiens
de déterminer si leurs valeurs personnelles sont partagées
par l'organisation, mais elles leur donnent aussi la possibilité
d'exprimer leur opinion sur les pratiques d'équité sociale de
l'organisation.
Cet élément utilise la participation au programme JUST pour
soutenir les organisations équitables et justes.
PARTIE 1 : PARTICIPATION TRANSPARENTE AU
PROGRAMME
Noyau et
enveloppe
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
—
O
O
L'entité candidate à la certification WELL ou à une attestation de conformité WELL doit participer à l'un des
programmes suivants, et les résultats doivent être rendus publics sur le site du projet ainsi que sur le site web de
l'entité :
72
a. Le programme JUST administré par l'International Living Future Institute (pour plus d'informations, voir
www.justorganizations.com).
181
b. Communication sur le développement durable conforme aux principes de reporting de développement durable
G4 définis par le Global Reporting Initiative (pour plus d'informations, consultez www.globalreporting.org).
WELL Building Standard v1
Esprit
152
99
ESTHÉTISME ET CONCEPTION II
Nerveux
Un espace magnifique et riche de sens, dans lequel
l'esthétique du design a expressément été prise en
considération, peut avoir un impact positif sur le moral et
l'humeur des occupants. Des éléments qui apportent une
complexité, un équilibre et une proportion au niveau visuel
peuvent procurer un sentiment de confort, d'aise, voire
réduire le stress.
Cet élément réalise l'application des directives des pratiques
recommandées, les proportions des pièces, l'intégration
d'œuvres d'art et les interventions qui favorisent la familiarité
pour créer un espace visuellement plaisant.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : HAUTEUR DE PLAFOND
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Une hauteur de plafond proportionnelle aux dimensions des pièces procure une sensation de confort et d'ouverture
à l'espace intérieur. Les hauteurs du sol au plafond dans les espaces occupés régulièrement remplissent les
conditions suivantes :
96
a. Les pièces de 9 m [30 pi] de largeur ou moins ont une hauteur de plafond d'au moins 2,7 m [8,8 pi].
b.
Les pièces de plus de 9 m [30 pi] de largeur ont une hauteur de plafond d'au moins 2,75 m [9 pi] plus au
moins 0,15 m [0,5 pi] par supplément de 3 m [10 pi] au-delà de 9 m [30 pi].
c.
Les pièces disposant d'un mur à baies vitrées donnant sur l'extérieur ou sur un atrium (avec au moins deux fois
la hauteur de plafond de la pièce) ont une hauteur de plafond minimale de 2,75 m [9 pi] pour une largeur de
pièce de 12 m [40 pi] plus au moins 0,15 m [0,5 pi] par supplément de 4,5 m [15 pi] au-delà de 12 m [40 pi].
WELL Building Standard v1
Esprit
153
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 2 : ŒUVRE D'ART
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
L'intégration d'œuvres d'art dans l'espace intérieur ajoute de la complexité au champ visuel. Un plan est développé.
Il inclut une description de la manière dont le projet incorpore des œuvres d'art intégrées de manière judicieuse
dans :
a.
Les halls d'entrée.
b.
Tous les espaces occupés régulièrement de plus de 28 m² [300 pi²].
O
PARTIE 3 : FAMILIARITÉ SPATIALE
O
O
Des éléments de design peuvent être utilisés comme instruments de signalisation favorisant la familiarité spatiale.
Un plan est développé. Il inclut une description de la manière dont le projet incorpore des éléments de signalisation
dans les projets dotés de dalles de plancher de 929 m² [10 000 pi²] ou plus à l'aide des éléments suivants :
a.
Œuvres d'art de forme et de couleur distinctes.
b.
Zones ou espaces visuellement groupés qui utilisent les composants de conception unificateurs suivants : (i)
éclairage, (ii) couleur du mobilier et (iii) motif/couleur du revêtement de sol.
c.
Les couloirs de plus de 9 m [30 pi] de longueur ont une œuvre d'art à leur extrémité ou une fenêtre donnant
sur l'extérieur avec une hauteur de rebord ne dépassant pas 0,9 m [3 pi] par rapport au sol et une vue d'au
moins 30 m [100 pi].
WELL Building Standard v1
Esprit
154
100
BIOPHILIE II - ASPECT QUANTITATIF
Nerveux
La biophilie défend l'idée que les humains ont une affinité
avec la nature. Nous avons de plus en plus de preuves des
bienfaits émotionnels et psychologiques de la nature. Les
recherches indiquent que l'expérience de la nature ou des
modèles dérivés de la nature peut avoir un effet positif sur
l'humeur et l'état d'esprit.
Cet élément appelle à l'installation d'éléments de design
intérieurs qui évoquent l'environnement naturel, y compris
des points d'eau et des plantations, ainsi qu'un accès à des
jardins extérieurs et des espaces paysagers.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : BIOPHILIE EXTÉRIEURE
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
Bâtiments neufs
et existants
O
O
Au moins 25 % de la zone du site du projet satisfait les exigences suivantes :
a.
Présente des terrains paysagers ou des jardins sur le toit accessibles aux occupants du bâtiment.
95
b. Comporte, au minimum, 70 % de plantations y compris des canopées d'arbres (dans les 25 %).
—
PARTIE 2 : BIOPHILIE INTÉRIEURE
O
O
Des plantes murales et en pot sont incorporées dans la conception de l'espace intérieur conformément à ce qui suit :
95
a. Des plantes en pot ou des plates-bandes couvrent au moins 1 % de la surface au sol par étage.
95
b. Un mur végétal par étage, couvrant une surface supérieure ou égale à 2 % de la surface au sol, ou couvrant le
plus grand des murs disponibles, en retenant la plus grande de ces deux surfaces.
O
PARTIE 3 : POINT D'EAU
O
O
Au moins un point d'eau par surface de 9 290 m² [100 000 pi²] dans les projets de plus de 9 290 m² [100 000 pi²] qui
satisfont les exigences suivantes :
95
a. Au moins 1,8 m [5,8 à 6 pi] de hauteur ou 4 m² [43 pi²] de surface.
b.
Stérilisation par l'ultraviolet ou autre technologie pour assurer la salubrité de l'eau.
WELL Building Standard v1
Esprit
155
101
ÉLÉMENT D'INNOVATION I
À l'instar de l'évolution des connaissances scientifiques en
matière de santé, nous améliorons également notre capacité
à traiter des sujets complexes tels que la promotion du bienêtre par l'intermédiaire du cadre bâti. Des découvertes
récentes en neuroscience, par exemple, ont conduit à des
révélations sur l'impact de la lumière sur le cerveau humain,
ouvrant de nouvelles voies de traitement des troubles du
sommeil par amélioration de l'éclairage notamment. Il est
probable que d'autres découvertes de ce genre soient faites
dans le futur. Le WELL Building Standard intègre la créativité
requise pour traiter les manières complexes avec lesquelles
les espaces intérieurs contribuent à la santé et au bien-être.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : INNOVATION 1 - PROPOSITION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Cet élément satisfait les exigences suivantes :
a.
S'inscrit dans un des concepts de bien-être existants.
b.
Aborde le concept de bien-être d'une manière originale qui n'est pas déjà couverte dans le WELL Building
Standard.
O
PARTIE 2 : INNOVATION 1 - SOUTIEN
O
O
Cet élément est soutenu par ce qui suit :
a.
L'élément est entièrement validé par la recherche scientifique, médicale et industrielle existante, et est
compatible avec les lois et réglementations applicables et les pratiques de pointe en matière de conception et
de gestion des bâtiments.
WELL Building Standard v1
Esprit
156
102
ÉLÉMENT D'INNOVATION II
Le WELL Building Standard encourage les équipes des
projets à proposer de nouveaux éléments de bien-être qui
promeuvent le bien-être de manière originale.
Noyau et
enveloppe
O
PARTIE 1 : INNOVATION 2 - PROPOSITION
Aménagements
intérieurs neufs
et existants
O
Bâtiments neufs
et existants
O
Cet élément satisfait les exigences suivantes :
a.
S'inscrit dans un des concepts de bien-être existants.
b.
Aborde le concept de bien-être d'une manière originale qui n'est pas déjà couverte dans le WELL Building
Standard.
c.
N'entre pas dans le même concept qu'un élément recevant déjà du crédit sous Élément d'innovation I.
O
PARTIE 2 : INNOVATION 2 - SOUTIEN
O
O
Cet élément est soutenu par ce qui suit :
a.
L'élément est entièrement validé par la recherche scientifique, médicale et industrielle existante, et est
compatible avec les lois et réglementations applicables et les pratiques de pointe en matière de conception et
de gestion des bâtiments.
WELL Building Standard v1
Esprit
157
Annexe A : Glossaire
Termes généraux
Agence américaine pour la sécurité Met en avant des directives pour la qualité de l’air intérieur sur le lieu de travail.
et la santé au travail (OSHA)
Alvéoles Petites vésicules d’air à fine paroi dans le poumon qui sont normalement organisées en grappes de sacs
donnant au tissu l’apparence d’un nid d’abeilles et qui augmentent sa surface pour procéder à l’échange d’air.
Asthme Inflammation chronique des voies aériennes. Les crises d’asthme sont souvent déclenchées par une
exposition à des allergènes qui provoquent un spasme des voies aériennes, qui gonflent et se contractent
en alternance, asphyxiant la victime.
Barrière résistante aux intempéries
Feuille, membrane appliquée au pulvérisateur ou à la truelle ou couche de matériau empêchant le
passage de l’eau liquide même après une exposition longue ou continue à l’humidité.
Bâtonnets
Cellules photosensibles de l’œil permettant de discerner la vision périphérique à de faibles niveaux
d’éclairement.
Capsule de repos
Espace de repos personnel dédié optimisé pour permettre une courte sieste régénératrice.
Cellules ganglionnaires rétiniennes intrinsèquement photosensibles (ipRGC)
Cellules qui relaient les niveaux de lumière environnementale au noyau suprachiasmatique via la voie
rétinohypothalamique. Particulièrement sensibles à la lumière bleue.
Champignons Tout groupe d’organismes unicellulaires, multicellulaires ou producteurs de spores syncytiaux, se
nourrissant de matière organique.
Conception universelle (CU) Conception d’objets et d’espaces dans un souci d’esthétisme tout autant que d’accessibilité, d’utilisabilité
et d’efficacité opérationnelle pour leurs usagers, quels que soient leur âge, capacité et autres facteurs.
Cônes Cellules photosensibles de l’œil permettant de distinguer les couleurs et la luminosité à des niveaux
d’éclairement modérés ou élevés.
Débit de ventilation
Débit d’échange d’air extérieur et circulation de l’air à l’intérieur du bâtiment.
Déclaration environnementale de produit (DEP)
Données environnementales quantifiées pour un produit avec des catégories prédéfinies de paramètres
basées sur la série de normes ISO (International Organization of Standards) 14040, sans exclure d’autres
informations environnementales.
Déclaration sanitaire de produit
(DSP) Format standard utilisé pour déclarer le contenu des produits et les informations de santé associées
dans le cas des produits et matériaux de construction.
Diabète Groupe de maladies qui affectent le métabolisme en raison d’une production insuffisante d’insuline
(Type 1) et/ou d’une résistance élevée à l’insuline (Type 2), et cause de mortalité de premier plan. Il
provoque un dérèglement de la glycémie, une urination fréquente, l’augmentation de la faim et de la soif
et d’autres symptômes.
Emplacements libres
Possibilité pour les occupants de choisir leur propre espace de travail au sein du bureau ou du lieu de travail.
Enveloppe du bâtiment Séparation entre les environnements intérieurs et extérieurs d’un bâtiment, limitant le transfert d’air,
d’eau, de chaleur, de lumière, de bruits et d’organismes vivants.
Espace occupé régulièrement Zones où les travailleurs et les autres occupants d’un bâtiment procèdent à des activités exigeant de la
concentration pendant au moins une heure par jour en moyenne à l’intérieur du bâtiment.
Exposition aiguë Exposition exceptionnelle et de courte durée à une condition environnementale (ne durant pas plus d’un
jour). Les expositions aiguës diffèrent des expositions chroniques, qui sont prolongées et répétées. Les
expositions aiguës ont des effets sur la santé.
Exposition chronique Toute affection persistante ou ayant les effets d’une maladie de longue durée sur la santé. Exposition répétée
ou continue à une substance ou à une condition sur une période allant de plusieurs années à une vie entière.
Fenêtrage
Ouverture dans une surface (comme un mur ou une membrane).
Filtre à particules aériennes à haute efficacité (HEPA) Filtre qui élimine 99,97 % de toutes les particules de plus de 0,3 micromètres et qui est conforme
aux normes d’efficacité définies par l’Institute of Environmental Sciences and Technology.
Foie Organe jouant un rôle essentiel dans une série de processus métaboliques importants comme la
détoxication, la protéogénèse et le stockage du glycogène.
Homéostasie
Tendance de l’organisme à maintenir la stabilité de ses constantes face aux variations des conditions
environnementales.
Hygiène du sommeil
Habitudes et routines personnelles qui favorisent la qualité du sommeil.
Immuno-compromis Incapacité à développer une réponse immunitaire normale, généralement suite à une maladie, une
malnutrition ou une thérapie médicale affectant le système immunitaire.
Inflammation
Réaction de protection localisée des tissus à une irritation, une blessure ou une infection, caractérisée par
la douleur, la rougeur, le gonflement et parfois la perte de fonction.
WELL Building Standard v1
Annexes
158
Insuffisance respiratoire
Incapacité de l’appareil respiratoire à assurer des échanges gazeux adéquats, conduisant à l’impossibilité
de maintenir les niveaux d’oxygène et/ou de dioxyde de carbone dans le sang qui part du cœur dans
leurs plages normales.
Irradiation germicide par ultraviolets (IGUV)
Méthode de stérilisation qui utilise la lumière ultraviolette (UV) pour décomposer les microorganismes
en détruisant leur ADN. Souvent utilisée dans des applications variées comme la purification de
l’alimentation, de l’air et de l’eau.
Maladie cardiaque
Classe de maladies affectant le cœur, les artères, les capillaires ou les veines.
Maladie d’Alzheimer Type de démence marquée par la perte de capacités cognitives affectant la mémoire, la réflexion et le
comportement, généralement sur une période de 10 à 15 ans.
Maladies neurocognitives
Maladies du cerveau et du système nerveux.
Malnutrition État causé par la sous-alimentation, la suralimentation ou le déséquilibre alimentaire.
Métabolique Processus biochimique qui se produit dans un organisme et qui est nécessaire au maintien de la vie.
Métamères Différentes distributions spectrales de la lumière qui produisent la même réponse sur les cônes et sont
donc visuellement identiques.
Nanoparticules
Particules dont la taille est comprise entre 1 et 100 nanomètres.
Obésité
Surcharge de tissu adipeux qui constitue un risque pour la santé de l’individu.
Objectifs de santé publique (OSP) Réglementations non exécutoires développées par l’agence OEHHA (Office of Environmental Health
Hazard Assessment) de Californie. Concept similaire à l’Objectif de niveau de contamination maximal de
l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
Oxydation photo-catalytique (OPC) Procédure obtenue par la combinaison de rayons UV et d’un filtre enduit de dioxyde de titane (TiO2).
Pathogène
Agent biologique infectieux, comme une bactérie, un virus ou un champignon, capable de provoquer
une maladie chez son hôte.
Piste
Chemin extérieur destiné aux piétons et aux cyclistes.
Procédure nationale de ventilation La norme ANSI/ASHRAE 62.1 est la norme reconnue en matière de conception des systèmes de ventilation
et de procédure acceptable pour l’établissement d’un système de ventilation efficace.
Radioactivité On appelle radiation l’énergie et les particules qui sont libérées pendant le processus de décomposition
des noyaux atomiques.
Réaction allergique Réaction exagérée ou pathologique (éternuement, irritation respiratoire, démangeaison ou éruption
cutanée) à des substances sans commune mesure avec l’effet produit sur un individu moyen.
Rétine Membrane sensible à la lumière qui tapisse la face interne arrière du globe oculaire et reçoit l’image
produite par le cristallin.
Rythmes circadiens Horloge interne qui maintient les hormones et les processus corporels sur un cycle d’environ 24 heures,
même dans une obscurité prolongée.
Signalisation
Acte de résolution de problème spatial.
Surfaces fréquemment touchées Surfaces qui sont souvent touchées par les utilisateurs et les occupants du bâtiment, comme les poignées
de porte, les rampes d’escalier et les tables. Voir Table A1.
Synchroniseur
Stimuli physiques qui ont un impact sur le rythme circadien du corps. On peut ainsi citer la lumière, la
température ou les comportements en matière d’alimentation ou de boisson.
Syndrome du bâtiment malsain (SBM) Ensemble de symptômes, comme les maux de tête, la fatigue, l’irritation des yeux et les difficultés
respiratoires, qui affectent généralement les personnes travaillant dans des immeubles de bureaux
hermétiques, et qui peuvent être causés par des polluants intérieurs et un mauvais contrôle
environnemental.
Syndrome métabolique Agrégat d’états pathologiques ou de facteurs de risque favorisant le développement de maladies
cardiovasculaires, de diabète, de stéatose hépatique et de plusieurs formes de cancers.
Système de chauffage, ventilation et climatisation (HVAC) Équipement, systèmes de distribution et terminaux qui assurent les processus de chauffage, de ventilation
ou de climatisation.
Système immunitaire Système corporel intégré composé d’organes, de tissus, de cellules et de produits cellulaires comme
les anticorps, qui sait reconnaître les éléments qui le composent et neutraliser les organismes étrangers
potentiellement dangereux.
Tissus Groupe de cellules qui assument une fonction commune et spécifique. À un niveau organisationnel, les
tissus se situent entre les cellules et les organes.
Toxicité
Degré de dangerosité d’une substance pour un être vivant.
Vitrage
Verre devant être conçu avec soin pour éviter tout éblouissement et apport de chaleur excessif.
WELL Building Standard v1
Annexes
159
Zone de collaboration Zone physique à l'intérieur d'un bâtiment qui encourage l'interaction et l'échange de groupe par son
agencement stratégique et sa conception.
Zone focale Zone physique à l'intérieur d'un bâtiment qui encourage l'attention et la concentration sur une tâche
parmi d'autres occupants par son agencement stratégique et sa conception.
Substances
Acide haloacétique
Lorsque le chlore et la chloramine sont ajoutés dans l’eau et réagissent avec d’autres matières organiques
pour produire des acides haloacétiques connus comme étant un sous-produit de désinfection, ceux-ci
peuvent endommager les organes internes et le système nerveux en concentrations élevées et peuvent
causer des cancers.
Acide 2,4-dichlorophénoxyacétique Herbicide très répandu qui est très susceptible de ruisseler et de s'infiltrer dans les sources d'eau
(2,4-D)
souterraines et de surface.
Acrylamides
Substances potentiellement toxiques et potentiellement cancérigènes pouvant être naturellement
présentes en très petite quantité dans les aliments crus non préparés.
Additifs alimentaires
Substances généralement ajoutées aux produits alimentaires transformés pour améliorer ou préserver
leur goût ou leur apparence.
Aérosols Substances composées de particules très fines d'un liquide ou d'un solide en suspension dans un gaz. Par
exemple, la brume est composée de très fines gouttelettes d'eau en suspension dans l'air.
Allergène Substance environnementale capable de provoquer une réaction allergique sans être intrinsèquement
nocive. Les allergènes communs sont par exemple le pollen, les squames animales, la poussière, les
plumes et divers aliments.
Amiante Minéral que l’on trouve à l’état naturel et qui était couramment utilisé pour l’isolation en raison de ses
propriétés de résistance aux produits chimiques et aux flammes, de résistance à la traction et d’absorption
des sons. On sait aujourd’hui qu’il s’agit d’une cause majeure de mésothéliome et de cancer du poumon.
Anticorps Protéines que l'on trouve généralement dans le sang, qui détectent et débarrassent le corps d'organismes
potentiellement dangereux, comme les bactéries et les virus.
Antimoine Métal que l'on trouve à l'état naturel dans les gisements métallifères ; la forme la plus courante de
l'antimoine est le trioxyde d'antimoine qui est utilisé comme retardateur de flammes.
Arsenic
Élément que l'on trouve dans la croûte terrestre et qui a des applications dans différents processus
industriels. Toutefois, des écoulements d'usines, épandages agricoles et dépôts naturels peuvent
engendrer des concentrations élevées d'arsenic dans l'eau.
Atrazine Compte parmi les pesticides les plus largement utilisés aux États-Unis et parmi les plus communément
détectés dans l'eau potable.
Benzène Largement utilisé comme précurseur de différents matériaux tels que les détergents, les colorants, les
pesticides, la mousse de polystyrène, le nylon et autres fibres synthétiques.
Chloramine Désinfectant formé par l’ajout d’ammoniaque à du chlore, et qui est communément utilisé comme
désinfectant secondaire dans les réseaux d’eau courante.
Chlore Halogène gazeux vert-jaunâtre hautement irritant, capable de se combiner avec presque tous les autres
éléments, produit principalement par électrolyse du chlorure de sodium et largement utilisé pour purifier
l’eau ainsi que comme agent désinfectant et javellisant.
Composé perfluoré (PFC)
Famille de produits chimiques contenant du fluor possédant la propriété unique de rendre les matériaux
résistants aux taches et à l’adhérence.
Composés organiques volatils (COV)
Matériaux organiques, contenant donc du carbone et de l’hydrogène, qui s’évaporent et se diffusent
facilement à température ambiante. Les COV sont émis par une vaste gamme de matériaux de
construction, peintures et produits de consommation courants.
Cortisol
Hormone qui joue un rôle de premier plan dans les épisodes de stress, pendant lesquels elle augmente
le taux de glycémie, met en veille le système immunitaire et aide le métabolisme des protéines, des
lipides et des glucides. Subit également des variations diurnes, jouant un rôle important dans le cycle de
sommeil et d’éveil.
Cuivre
Élément métallique qui s’infiltre dans les sources d’eau par l’intermédiaire de dépôts naturels, mais la
contamination se produit le plus souvent par la corrosion du cuivre ou du laiton.
Dioxyde d’azote (NO2) Produit de combustion que l’on trouve principalement près des sources de combustion (par exemple,
WELL Building Standard v1
Annexes
160
fumée de bois et combustion du trafic).
Éthylbenzène
Composant naturel du pétrole brut et sous-produit de la combustion.
Fer Nécessaire pour une bonne circulation sanguine, mais des particules de fer en excès dans l’eau peuvent
abriter des bactéries porteuses de maladies.
Fongicides Produits chimiques appliqués aux cultures ou aux structures pour réduire les effets néfastes des
moisissures, des champignons et autres mycètes.
Formaldéhyde
Composé gazeux incolore, HCHO. Utilisé dans la fabrication de résines mélamines et phénoliques,
d’engrais, de colorants et de liquides d’embaumement comme conservateur et désinfectant.
Fructose Sucre simple que l’on trouve naturellement en petites quantités dans les fruits et les légumes, mais en très
grandes quantités dans de nombreux produits alimentaires modernes. L’ingestion de grandes quantités
de fructose a été liée aux maladies hépatiques, aux inflammations, au syndrome métabolique, au diabète,
aux maladies cardiaques et au cancer.
Glucide Élément appartenant à un groupe de composés organiques qui comprend les sucres, les amidons, les
celluloses et les gommes, qui sert de source d'énergie et permet de soutenir les fonctions corporelles et
l'activité physique. Les glucides faciles à digérer qui se trouvent dans le pain blanc, les pâtisseries et le
bicarbonate de soude peuvent contribuer à la prise de poids, au diabète et aux maladies cardiaques.
Glucose
Sucre simple que l’on trouve dans la plupart des tissus végétaux et animaux. Il s’agit du principal sucre
en circulation dans le sang et la source d’énergie principale de l’organisme. Une fois ingérés, les glucides
se décomposent immédiatement en glucose. Des niveaux de glucose élevés dans le sang sont un des
éléments distinctifs du diabète.
Glyphosate
Herbicide non sélectif utilisé dans de nombreuses préparations de pesticides. L’exposition à ce produit
peut venir de son usage normal en pulvérisation, de résidus dans les récoltes ou de ruissellements dans
les sources d’eau potable.
Graisse polyinsaturée
Les graisses polyinsaturées font partie des « bonnes » graisses pouvant contribuer à réduire les niveaux
de cholestérol et le risque de maladies cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux. On trouve des
graisses polyinsaturées dans les huiles de tournesol, de maïs, de soja et de lin, les noix et de nombreux
poissons.
Graisse saturée Généralement solide à température ambiante, la graisse saturée est présente en concentrations élevés
dans le saumon, le beurre, le bacon, le bœuf et le fromage.
Herbicides
Groupe de pesticides communément utilisés en agriculture et en jardinage pour éliminer les mauvaises
herbes des champs et des pelouses.
Hormones
Substance chimique produite par une cellule, une glande ou un organe qui transmet un signal à une autre
partie du corps.
Huile partiellement hydrogénée
Huile végétale contenant des acides gras trans et ayant été entièrement ou partiellement hydrogénée
dans le but d’être à l’état solide à température ambiante.
Hydrogénation Procédé obtenu en transformant l’hydrogène gazeux en huile à haute pression pour prolonger la durée
de conservation et éviter le rancissement d’une huile.
Lipide oxydé
Élément (lipide) appartenant à un groupe de composés organiques variés qui comprend les graisses, les
huiles, les hormones et certains composants des membranes qui se regroupent car ils n’interagissent pas
bien avec l’eau, combiné chimiquement avec l’oxygène.
Manganèse
À faible dose, il contribue à un régime alimentaire sain, mais des quantités plus importantes peuvent
causer des dommages neurologiques.
Matière particulaire Mélange complexe de carbone élémentaire et organique, de sels, de poussières minérales et métalliques,
d’ammoniaque et d’eau coagulant ensemble en petits solides et globules.
Mélatonine « Hormone de l’obscurité » dont les niveaux dans le corps sont régulés par le rythme circadien et la
présence de lumière, et qui favorise le sommeil chez l’homme.
Mercure
Élément métallique toxique d’origine naturelle que l’on trouve à la surface de la Terre.
Microflore
Bactéries, algues microscopiques et mycètes, notamment ceux se développant dans un lieu ou un habitat
particulier.
Monoxyde de carbone Gaz incolore, inodore et très toxique, résultant de la combustion incomplète. Remplace l'oxygène dans
l'hémoglobine, limitant la capacité du sang à transporter l'oxygène et pouvant entraîner la mort.
Nickel S’infiltre dans les eaux souterraines et de surface par dissolution des roches et des sols, suite à des
WELL Building Standard v1
Annexes
161
processus de retombées atmosphériques, de décompositions biologiques ou d’élimination des déchets.
Nutriment
Produit chimique requis pour les processus métaboliques, qui doit être extrait de la nourriture ou d’une
source externe. Les macro-nutriments des sources de nourriture incluent les glucides, les protéines, les
lipides et les vitamines.
Ozone
Forme triatomique de l’oxygène. Dangereux pour le système respiratoire au niveau du sol, mais une
couche dans l’atmosphère supérieure bloque l’essentiel du rayonnement ultraviolet du soleil.
Particules fines Matières particulaires de 2,5 micromètres de diamètre au maximum. Elles peuvent être émises directement
à partir de sources de combustion comme les feux de forêt ou se former lors de la réaction à l’air de gaz
émis par les centrales électriques, les industries et les automobiles. Également dénommées PM2,5.
Particules grossières Matières particulaires comprises entre 2,5 et 10 micromètres de diamètre ; également dénommées PM10.
Particulièrement présentes à proximité des routes et des industries produisant de la poussière.
Particules ultrafines
Également appelées nanoparticules, les particules ultrafines sont une sous-catégorie de P2,5 qui sont
exclusivement inférieures à 0,1 μm. En raison de leur petite taille, elles sont souvent aéroportées et
peuvent atteindre facilement les alvéoles des poumons.
Pétrochimique
Produit chimique fabriqué à partir de pétrole ou de gaz naturel.
Plomb
Métal d’origine naturelle que l’on trouve dans les profondeurs du sol. Utilisé dans la fabrication des
anciennes canalisations, céramiques et peintures. Également l’élément final stable du processus de
désintégration radioactive de l’uranium.
Polychlorobiphényles (PCB)
Composés chimiques organiques synthétiques anciennement produits à l’échelle commerciale et
pouvant être présents dans les produits et les matériaux fabriqués avant l’interdiction des PCB en 1979.
Polychlorure de vinyle (PVC) Plastique peu cher qui entre dans la fabrication de nombreux objets. L’exposition à ses précurseurs
chimiques, additifs et produits de combustion peut être nocive.
Polyuréthane
Résine synthétique utilisée principalement dans les peintures et les vernis. Les diisocyanates que l’on
trouve dans les produits en polyuréthane peuvent être toxiques en cas d’inhalation ou de contact lors de
l’installation.
Produits chimiques inorganiques
Fait référence aux composés chimiques qui ne sont pas « organiques ». En d’autres termes, des composés
qui ne contiennent pas de carbone.
Produits chimiques organiques
Font globalement référence aux composés chimiques qui possèdent des atomes à base de carbone, que
l’on trouve généralement dans les systèmes biologiques.
Radon Gaz noble radioactif et cancérigène généré par la désintégration de gisements naturels d’uranium.
Retardateurs de flammes Produits chimiques utilisés dans les matières thermoplastiques, thermodurcissables, textiles et les
revêtements ignifugés ou empêchant la propagation du feu. Certains de ces produits chimiques ont été
liés au cancer, à des retards de développement, à un QI faible ou à des perturbations thyroïdiennes.
Sérotonine
Hormone neurotransmittrice produite dans l’intestin et le tronc cérébral, qui régule l’humeur, le sommeil
et la digestion.
Simazine
Largement utilisée comme herbicide dans l’agriculture pour maîtriser les mauvaises herbes. Des niveaux
élevés d’exposition à la simazine sur une courte période peuvent entraîner une perte de poids et une
altération du sang.
Sodium
Le sodium est consommé sous forme de chlorure de sodium dans le sel de table. Il s’agit d’un nutriment
vital, mais dangereux pour la santé à haute dose.
Substance toxique
Toute substance toxique, généralement créée par l’activité humaine.
Substances cancérogènes
Composés qui augmentent le risque de développer un cancer.
Sulfate Les sulfates existent à l’état naturel et peuvent s’infiltrer dans les réseaux d’eau par érosion. Les effets
des sulfates sur la santé sont incertains, mais leur ingestion en grandes quantités a été liée à des effets
négatifs sur la santé.
Tétrachloroéthylène
Hydrocarbure chloré utilisé comme solvant de nettoyage à sec, additif dans le traitement du textile et
dégraisseur de métaux, qui a été lié à la survenue du cancer.
Toxine
Substance toxique produite par un organisme vivant.
Trihalogénométhane Dans l’eau, le chlore peut se combiner avec la matière organique pour former des composés appelés
sous-produits de désinfection, comme les trihalogénométhanes.
Urée-formaldéhyde (UF)
Résine thermodurcissable peu onéreuse qui est utilisée dans l’industrie du bois.
WELL Building Standard v1
Annexes
162
Vitrage décoratif
Revêtement des surfaces des fenêtres n'ayant d'autre fonction qu'esthétique.
Xylène
Parmi les applications les plus courantes, on peut citer les solvants pour l'imprimerie, le caoutchouc et le
cuir, ainsi que les ingrédients des enduits pour papier et tissu.
Unités et mesures
Autonomie en lumière naturelle Pourcentage d’espace au sol où il est possible d’obtenir un niveau de lumière minimum (par exemple 300 lux)
pour une partie (par exemple 50 %) des heures d’exploitation normales grâce à la lumière naturelle.
Candela (cd)
Mesure de l’intensité lumineuse et unité de base du SI pour la lumière.
Coefficient de réduction du bruit (CRB)
Valeur moyenne qui détermine les propriétés absorbantes des matériaux.
Critères de bruit (NC) Définissent les limites de pression acoustique dans les spectres de bande d’octave compris entre 63 et 8 000 Hz.
Les critères de bruit équivalent à la courbe la plus basse qui n’est pas dépassée dans le spectre.
Décibel (dB) Unité de mesure du son. Le décibel est une unité logarithmique, ce qui signifie qu’une augmentation
de 10 décibels équivaut à une augmentation d’un facteur de 10.
Décibel A (dBA) Décibel acoustique modifié par « pondération A » pour ajuster la réponse de l’ouïe humaine dépendant
de la fréquence.
Éclairement (Lux)
Quantité de lumière qui passe à travers une zone donnée de l’espace. Mesuré en lux ou en foot-candles
(également appelés pieds-bougies).
Équivalent lumière mélanopique
Mesure de lumière utilisée pour définir la quantité de source de lumière qui stimulera la réponse à la
lumière de la mélanopsine.
Exposition solaire annuelle (ASE) Pourcentage d’espace dans lequel le niveau de la lumière directe du soleil seule dépasse un seuil
prédéfini (1 000 lux, par exemple) pour une certaine quantité d’heures (250, par exemple) dans l’année.
Flux lumineux
Émission lumineuse totale en provenance d’une source de lumière, mesurée en lumens. Pondéré par la
sensibilité de l’œil humain à la lumière.
Foot-candle (fc)
Unité d’éclairement, équivalente à un lumen par pied carré.
Fréquence (f) Nombre de fois qu’un événement se répète selon une unité de temps spécifiée. Le Hertz (Hz) est une
unité commune de fréquence qui correspond à un nombre de cycles par seconde. 1 Hz = 1 cycle/seconde.
Utilisée le plus souvent pour mesurer les ondes (sonores et lumineuses), la fréquence correspond au
nombre de fois que l’onde se répète à sa longueur d’onde particulière.
Humidité relative (HR) Rapport entre la pression partielle de vapeur d’eau dans l’air et la pression de saturation de vapeur d’eau
à la même température et pression.
Indice de réflexion lumineuse (LRV) Échelle de 0 (noir) à 100 (blanc) décrivant la quantité de lumière visible et utilisable réfléchie (ou absorbée)
par une surface peinte.
Indice de rendu de couleur (IRC)
Comparaison de l’apparence de 8 à 14 couleurs sous une source lumineuse donnée, par rapport à un
corps noir de la même température de couleur. IRC ou Ra fait référence à la moyenne des 8 premières
comparaisons et R9 décrit la précision de l’éclairage sur les surfaces rouges.
Indice de transmission du son (ITS)
Méthode de laboratoire permettant de déterminer la transmission sonore à travers un mur. Plus la valeur
ITS est élevée, plus l’isolation acoustique est efficace. Les spécifications ITS sont définies dans les normes
ASTM E90-09 et E1425.
Indice d’isolation acoustique (NIC)
Essai pratique visant à déterminer les capacités de transmission du son d’un mur. Les valeurs NIC élevées
signalent une bonne isolation acoustique, à savoir une élimination plus efficace du son entre les espaces.
Les spécifications NIC sont définies dans la norme ASTM E366.
Indice d’isolement aux bruits d’impacts (IIC)
Mesure dans laquelle une structure physique bloque le son, généralement employée pour décrire un
revêtement de sol. Plus l’IIC est élevé, plus les bruits de pas et autres sons d’impact sont atténués.
Intensité lumineuse Puissance rayonnante pondérée par la vision humaine, décrivant la lumière émise par une source dans
une direction donnée. Mesurée en candela.
Isolation vestimentaire L’isolation vestimentaire est la résistance au transfert de chaleur fournie par les vêtements et mesurée en
clo (1 clo = 0,155 m²K/W = 0,88°F pi²h/BTU).
Longueur d’onde (λ) Distance entre deux points sur une onde au cours de laquelle l’onde se répète. Souvent utilisée pour
décrire les ondes lumineuses.
WELL Building Standard v1
Annexes
163
Lumens
Mesure du flux lumineux dérivée du candela, l’unité SI de base, et qui est pondérée par la sensibilité de
l’œil humain à la lumière. 1 W de lumière à 555 nm équivaut à 683 lumens.
Luminance (cd/m²) Mesure de la luminosité d’une surface ou d’une source de lumière perçue par l’œil. Mesurée en candela/
m² ou en pieds-lamberts.
Lux
Unité d’éclairement, un lux étant équivalent à un lumen par mètre carré.
Métabolisme
Vitesse à laquelle l’énergie chimique du corps est convertie en chaleur et en énergie mécanique.
Micro-Ra
Niveau de rugosité d’une surface physique, calculé en micromètres et en micropouces.
Milliwatt (mW) Unité de mesure du rayonnement électromagnétique, égal à 1/1000 watt. Non pondéré par des réponses
biologiques telles que la vision.
Niveau continu équivalent (LAeq)
Niveau de pression acoustique moyen dans le temps sur l’échelle de pondération A, converti en décibels.
Niveau de pression acoustique
Le niveau de pression acoustique correspond à la variation de pression associée aux ondes sonores.
Généralement mesurée en décibels, la pression acoustique est le rapport entre la valeur mesurée et une
valeur de référence. Une référence commune est le seuil de perception ou le niveau sonore minimum
perceptible par une personne moyenne.
Niveaux de contamination maximaux
(MCL) Limites applicables à la qualité de l’eau pour une substance, basées sur l’Objectif de niveau de contamination
maximal, mais tenant compte des limitations technologiques et financières du traitement.
Objectif de niveau de contamination maximal (MCLG)
Concentration d’une substance dans l’eau potable dont on estime qu’elle n’a pas d’effets indésirables.
L’objectif est dérivé de la dose de référence, de la consommation d’eau quotidienne estimée, d’une
fraction de l’exposition à l’eau et de la masse corporelle.
Parties par milliard (ppb)
Mesure de la masse d’un produit chimique ou d’un contaminant par unité de volume d’eau.
Parties par million (ppm)
Unité de mesure exprimant des concentrations de substances très diluées.
PicoCurie par litre (pCi/L)
Unité de radioactivité non-SI.
Pieds cubes par minute
Mesure la masse de gaz qui passe par un certain point.
Renouvellement d'air par heure (RAH) Mesure de la fréquence de remplacement du volume d'air dans un espace défini, utilisée dans le contexte de
la ventilation et de l'étanchéité à l'air d'un bâtiment.
Température de couleur proximale (CCT) Distribution spectrale du rayonnement électromagnétique d'un corps noir à une température donnée.
Par exemple, la température de couleur pendant le jour est d'environ 15 000 K, tandis qu'elle est
d'environ 1 850 K au coucher du soleil.
Température radiante moyenne
(MRT) Température de surface uniforme d’une enceinte noire imaginaire dans laquelle un occupant
gagnerait ou perdrait la même quantité de chaleur radiante que dans l’espace non uniforme réel. La MRT
est un facteur essentiel de confort thermique humain, à peu près équivalent en influence à la température
de l’air.
Température sèche
Température de l'air mesurée par un thermomètre exposé à l'air libre mais protégé du rayonnement et
de l'humidité. Cette température est généralement considérée comme la température de l'air et est la
véritable température thermodynamique. La température sèche ne prend pas l'humidité en compte.
Temps de réverbération (RT) Temps mis par le son pour s’atténuer. Le temps de réverbération le plus communément utilisé est RT60, le
temps que le niveau sonore met pour baisser de 60 décibels. D’autres mesures du temps de réverbération
sont RT20 et RT30, correspondant à des réductions de 20 et 30 décibels, respectivement.
Transmission de la lumière visible Quantité de lumière dans la partie visible du spectre traversant un vitrage.
Unité de turbidité néphélométrique Mesure la turbidité de l'eau.
(UTN)
Valeur de référence d’efficacité
minimale (MERV) ®
Valeur attribuée à un filtre à air pour décrire la quantité des différents types de particules qui sont éliminés
au moment de la vie du filtre où son efficacité est minimale.
Walk Score Mesure prenant en compte l'effort physique produit par les habitants d'un bâtiment. Il est recommandé
qu'un bâtiment obtienne un Walk Score® de 70 ou plus.
μg/m³ La concentration d'un polluant atmosphérique (par exemple l'ozone) est exprimée en microgrammes (un
millionième de gramme) par mètre cube d'air ou μg/m3.
WELL Building Standard v1
Annexes
164
Annexe B : Citations des normes
Les citations sont organisées selon le numéro de note de fin que l'on trouve en regard de chaque lettre
d'exigence du WELL Building Standard. Les codes de références sous la citation font référence à un numéro
d'élément, à un numéro de partie et à une lettre d'exigence spécifique.
1
U.S. Green Building Council. LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments.
Washington D.C. : U.S. Green Building Council ; 2013 : 37, 43-44, 541-552, 567, 605, 623, 645-53,
658-61, 682-3, 685-6, 723-4.
1.1.a LEED v4 d'USGBC : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - Crédit QE : Évaluation
de la qualité de l'air intérieur - doit montrer des niveaux de formaldéhyde inférieurs à 27 ppb.
1.1.b
LEED v4 d'USGBC : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - Crédit QE : Évaluation
de la qualité de l'air intérieur - doit montrer des niveaux de COV totaux inférieurs à 500 μg/m³.
2.2.a Prérequis QE du LEED v4 d'USGBC : Fumée de tabac environnementale - exige une interdiction de fumer à
l'extérieur du bâtiment à l'exception des zones autorisées et désignées comme telles situées à au moins 8 m [25 pi]
de toutes les entrées, admissions d'air et fenêtres ouvrantes.
4.1.a L'adhésion à la mesure de contrôle suggérée (SCM) du California Air Resources Board (CARB) en matière de
revêtements architecturaux ou à la Règle 1113 du SCAQMD satisfait aux exigences en matière de teneur en COV
mais pas aux exigences d'émission stipulées dans le Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission
pour les produits appliqués humides.
4.1.b Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que 90 %, en volume, des émissions de
peintures et de revêtements appliqués aux murs, sols et plafonds soient testés et attestés conformes à la méthode
standard CDPH v1.1-2010.
4.1.c
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - suggère que les projets réalisés en dehors des ÉtatsUnis respectent les réglementations nationales de contrôle des COV ou effectuent des tests de teneur en COV en
conformité avec les normes ASTM D2369-10, ISO 11890-1, ASTM D6886-03 ou ISO 11890-2.
4.2.a
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que les colles et enduits appliqués humides
sur site respectent les limites COV applicables définies par la Règle 1168 du SCAQMD, en plus des exigences en
matière d'émissions.
4.2.b
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que 90 % des colles et enduits intérieurs, pour
les émissions, appliqués sur site soient testés et attestés conformes à la méthode standard CDPH v1.1-2010.
4.2.c
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - suggère que les projets réalisés en dehors des ÉtatsUnis respectent les réglementations nationales de contrôle des COV ou effectuent des tests de teneur en COV en
conformité avec les normes ASTM D2369-10, ISO 11890-1, ASTM D6886-03 ou ISO 11890-2.
4.3.a
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que le revêtement de sol suive la méthode de
test et satisfasse aux critères d'émission de la méthode standard CDPH v1.1-2010.
4.4.a
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que l'isolation suive la méthode de test et
satisfasse aux critères d'émission de la méthode standard CDPH v1.1-2010.
4.5.a Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Matériaux à faible émission - exige que le mobilier et l'ameublement soient
conformes aux sections 7.6.1 et 7.6.2 de la norme de durabilité du mobilier ANSI/BIFMA e3-2011, et soient testés
conformément à la méthode standard ANSI/BIFMA M7.1-2011.
5.2.a Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur - exige que les systèmes
d'alimentation en air extérieur soient équipés de filtres à particules de niveau MERV 13 ou supérieur ou de classe F7
ou supérieure (norme EN 779-2002 du CEN).
7.1.a Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige l'adhésion
à certaines directives SMACNA, notamment de calfeutrer toutes les gaines et tous les registres, diffuseurs et retours
lorsqu'ils sont entreposés sur site et qu'ils ne sont pas en service.
7.2.a
Crédit CC+B QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige le
remplacement de tous les matériaux de filtration par de nouveaux filtres avant l'occupation des lieux.
7.3.a
Crédit CC+B QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige que
les matériaux absorbants entreposés sur site et installés soient protégés contre l'humidité.
7.3.b
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige l'adhésion
à certaines directives SMACNA, notamment celle donnant aux matériaux humides le temps de sécher avant
l'installation de matériaux absorbants.
7.4.a
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige l'adhésion
à certaines directives SMACNA, notamment de calfeutrer les portes et les fenêtres, ou de recouvrir les zones
requises à l'aide de barrières temporaires comme des séparations en plastique.
7.4.b
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige l'adhésion
à certaines directives SMACNA, notamment la fourniture de paillassons dans les entrées afin de limiter l'introduction
de poussières et de polluants.
WELL Building Standard v1
Annexes
165
7.4.c Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige l'adhésion
à certaines directives SMACNA, notamment l'utilisation de pare-poussière et de collecteurs de poussière sur les
scies et autres outils.
8.1.a
LEED v4 d'USGBC : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - Crédit QE : Stratégies
d'amélioration de la qualité de l'air intérieur - exige des systèmes d'hygiène permanents aux entrées.
8.1.b
LEED v4 d'USGBC : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - Crédit QE : Stratégies
d'amélioration de la qualité de l'air intérieur - exige des systèmes d'hygiène permanents aux entrées.
8.1.c
LEED v4 d'USGBC : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - Crédit QE : Stratégies
d'amélioration de la qualité de l'air intérieur - exige des systèmes d'hygiène permanents aux entrées.
11.5.a
LEED v4 d'USGBC pour la Santé : Prérequis MR, Réduction de PBT à la source - Mercure interdit l'utilisation des
équipements contenant du mercure, y compris les thermostats, les appareils de commutation et autres systèmes
dans les nouvelles constructions (d'établissements de santé).
11.5.b
LEED v4 d'USGBC pour la Santé : Prérequis MR, Réduction de PBT à la source - Mercure - recommande l'élimination
progressive des produits contenant du mercure ou leur remplacement par des ampoules à faible teneur en mercure
ou sans mercure lors de la rénovation des établissements de santé.
11.5.c
LEED v4 d'USGBC pour la Santé : Prérequis MR, Réduction de PBT à la source - Mercure - recommande que les
projets spécifient et installent uniquement des panneaux de sortie utilisant des diodes électroluminescentes (LED)
ou des cellules électroluminescentes (LEC).
11.5.d
LEED v4 d'USGBC pour la Santé : Prérequis MR : Réduction de PBT à la source - Mercure - recommande que
les projets n'installent ni ne spécifient aucune lampe à décharge haute intensité à vapeur de mercure ou aux
halogénures métalliques à amorçage par sonde dans les espaces intérieurs.
12.4.e Crédit CC+B QE du LEED v4 d'USGBC : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction - exige que
les matériaux absorbants entreposés sur site et installés soient protégés contre l'humidité.
13.1.a Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Évaluation de la qualité de l'air intérieur - exige l'expulsion de l'air intérieur d'un
bâtiment par admission d'un volume d'air total de 14 000 pieds cubes d'air extérieur par pied carré d'aire de plancher.
13.1.b
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Évaluation de la qualité de l'air intérieur - exige que l'espace puisse être occupé
uniquement après l'admission d'un minimum de 3 500 pieds cubes d'air extérieur par pied carré d'aire de plancher.
14.1.a
LEED v4 CC+B : Mise en service améliorée - offre deux options pour le crédit, l'une d'elles impliquant de suivre
les processus de mise en service de l'enveloppe thermique du bâtiment conformément aux Directives 0-2005 de
l'ASHRAE et 3-2012 du NIBS.
15.1.a
Prérequis QE du LEED v4 d'USGBC : Performances de qualité de l'air intérieur minimales - exige d'utiliser la quantité
minimale de flux d'air extérieur pour les systèmes de ventilation mécaniques qui utilisent la procédure de débit de
ventilation ASHRAE 62.1–2010.
17.1.b
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur - exige qu'il n'y ait pas
de recirculation de l'air dans les espaces où des gaz ou produits chimiques dangereux peuvent être entreposés ou
utilisés (par exemple, les garages, buanderies, salles de copie et d'impression).
18.1.b
Prérequis QE du LEED v4 d'USGBC : Performances de qualité de l'air intérieur minimales - exige une surveillance du
dioxyde de carbone dans chaque zone thermique des espaces à ventilation mécanique.
25.5.a
Crédit MR du LEED 2009 d'USGBC pour la Santé - définit des limites en matière d'ameublement et de mobilier
médical, notamment pour les textiles, apprêts et colorants, à moins de 100 ppm pour au moins quatre groupes
chimiques sur cinq, y compris l'urée-formaldéhyde.
25.5.b
Crédit MR du LEED 2009 d'USGBC pour la Santé - définit des limites en matière d'ameublement et de mobilier
médical, notamment pour les textiles, apprêts et colorants, à moins de 100 ppm pour au moins quatre groupes
chimiques sur cinq, y compris l'urée-formaldéhyde.
25.5.c
Crédit MR du LEED 2009 d'USGBC pour la Santé - définit des limites en matière d'ameublement et de mobilier
médical, notamment pour les textiles, apprêts et colorants, à moins de 100 ppm pour au moins quatre groupes
chimiques sur cinq, y compris l'urée-formaldéhyde.
26.1.b
Crédit MR du LEED v4 d'USGBC : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des matériaux autorise Cradle to Cradle v2 Or ou Platine ou v3 Argent, Or ou Platine comme moyen de réaliser l'option 2.
26.1.c
Crédit MR du LEED v4 d'USGBC : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des
matériaux - autorise GreenScreen v1.2 Benchmark comme moyen de réaliser l'option 2.
26.1.d
Crédit MR du LEED v4 d'USGBC : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des
matériaux, Option 3 - autorise les projets à combiner les programmes agréés pour atteindre le seuil de 25 %.
62.1.a
Crédit QE du LEED v4 d'USGBC : Lumière naturelle, Option 1 - exige qu'au moins 55 % de l'espace reçoive au
moins 300 lux de lumière du soleil pour être récompensé de 2 points.
62.1.b Crédit QE du LEED v4 de LUSGBC : Lumière naturelle, Option 1 - exige que l'exposition solaire annuelle
ASE(1000,250) soit atteinte pour un maximum de 10 % de l'espace occupé régulièrement.
WELL Building Standard v1
Annexes
166
2
3
4
67.3.b Crédit LT du LEED v4 d'USGBC : Densité environnante et variété des usages - a pour objectif de « promouvoir la
marche, l'efficacité du transport et de réduire les distances parcourues à l'aide d'un véhicule » et « d'améliorer la
santé publique en encourageant l'activité physique quotidienne ».
68.2.b Crédit SS du LEED v4 d'USGBC : Utilisation partagée d'installations, pour les écoles, Option 3 - exige des autorités
scolaires et des organisations/agences qu'elles collaborent pour permettre l'accès aux différents types d'espaces,
y compris les salles de sport, aires de jeu et piscines.
85.1.b
CC+B du LEED d'USGBC : Soins de santé - exige la génération d'un document EPP (exigences de projet du
propriétaire) qui détaille les manières possibles d'optimiser la santé des occupants.
97.1.c
Crédit MR du LEED v4 d'USGBC : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des
matériaux, Option 1 - exige que les projets utilisent au moins 20 produits installés de manière permanente et
provenant d'au moins 5 fabricants différents qui utilisent un des quatre programmes décrits dans le crédit.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Normes nationales de qualité de l'air
ambiant. 40 CFR, Partie 50. http://www.epa.gov/air/criteria.html. Révisé en octobre 2011. Mis à jour
le 14 décembre 2012. Consulté le 16 septembre 2014.
1.2.a Les NAAQS 2012 de l'EPA exigent que l'air ambiant des villes présentent des niveaux moyens - sur 8 heures - de
monoxyde de carbone inférieurs à 9 ppm et des moyennes - sur 1 heure - inférieures à 35 ppm, ne devant pas être
dépassés plus d'une seule fois par an.
1.2.b
Les NAAQS 2012 de l'EPA exigent que les PM2,5 aient une moyenne annuelle principale inférieure à 12 μg/m³, une
moyenne annuelle secondaire de 15 μg/m³ et une concentration sur 24 heures de 35 μg/m³, calculées sur trois ans.
Organisation mondiale de la santé. Directives de qualité de l'air de l'OMS en ce qui concerne les
matières particulaires, l'ozone, le dioxyde d'azote et le dioxyde de soufre. Genève : Organisation
mondiale de la santé ; 2005 : 9, 14.
1.2.c Les directives de qualité de l'air de l'OMS en ce qui concerne les matières particulaires, l'ozone, le dioxyde d'azote
et le dioxyde de soufre stipulent 50 μg/m³ comme limite de concentration moyenne sur 24 heures pour les PM10.
1.2.d
Les directives de qualité de l'air de l'OMS en ce qui concerne les matières particulaires, l'ozone, le dioxyde d'azote
et le dioxyde de soufre recommandent des limites d'ozone de 100 μg/m³ en moyenne sur 8 heures.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). A Citizen's Guide To Radon: The Guide to
Protecting Yourself And Your Family From Radon (Guide de protection contre le radon à l'usage du citoyen).
http://www.epa.gov/radon/pdfs/citizensguide.pdf. Publié en mai 2012. Consulté le 16 septembre 2014.
1.3.a 5
État de New York. Réglementation concernant la consommation de tabac dans les lieux publics et de
travail § 1399. https://www.health.ny.gov/regulations/public_health_law/section/1399/. Révisé en 2009.
Consulté le 15 septembre 2014.
2.1.a 6
7
8
Le guide « A Citizen's Guide to Radon » de l'EPA recommande des niveaux de radon inférieurs à 4 pCi/L.
La réglementation en vigueur dans l'État de New York concernant la consommation de tabac dans les lieux publics
et de travail interdit la fumée à l'intérieur des lieux de travail.
ASHRAE Standing Standard Project Committee 62.1. NORME ANSI/ASHRAE 62.1-2013 : Ventilation
pour une qualité d'air intérieur acceptable. Atlanta : ASHRAE ; 2013.
3.1.a Norme ASHRAE 62.1 : Ventilation pour une qualité d'air intérieur acceptable - fournit des directives concernant les
débits de ventilation.
3.1.b
Norme ASHRAE 62.1 : Ventilation pour une qualité d'air intérieur acceptable - fournit des débits de ventilation.
Département de la santé publique de l'Illinois. Directives de qualité de l'air du Département de la santé
publique de l'Illinois. http://www.idph.state.il.us/envhealth/factsheets/indoorairqualityguide_fs.htm.
Mises à jour en mai 2011. Consultées le 15 septembre 2014.
3.2.a Les directives de qualité de l'air intérieur du Département de la santé publique de l'Illinois recommandent que les
bâtiments correctement ventilés présentent des niveaux de dioxyde de carbone avec une moyenne par étage ou
bâtiment ne dépassant pas 800 ppm.
3.2.b
Les directives de qualité de l'air intérieur du Département de la santé publique de l'Illinois recommandent que les
bâtiments correctement ventilés présentent des niveaux de dioxyde de carbone avec une moyenne par étage ou
bâtiment ne dépassant pas 800 ppm.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). A Brief Guide to Mold, Moisture, and
Your Home (Prévenir la moisissure et l'humidité à votre domicile).
http://www.epa.gov/mold/moldguide.html. Publié en 2010. Consulté le 15 septembre 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
167
16.1.a
9
National Air Duct Cleaners Association (NADCA). Livre blanc de la NADCA sur les applications de
l'éclairage ultraviolet dans les systèmes de chauffage, ventilation et climatisation. https://nadca.com/
sites/default/files/userfiles/documents/2014/nadca_white_paper_on_uv_lighting_applications.pdf.
Consulté le 8 octobre 2014.
6.1.b 10 12
13 Le guide « A Brief Guide to Mold, Moisture, and Your Home » de l'EPA recommande de maintenir une humidité
relative comprise entre 30 % et 50 %.
Le livre blanc de la NADCA sur les applications de l'éclairage ultraviolet dans les systèmes de chauffage, ventilation
et climatisation stipule d'utiliser des lampes UVC de 254 nm de longueur d'onde pour éviter la production d'ozone.
Jacobson, Michael. Chemical Cuisine: Your guide to food additives (Cuisine chimique : Votre guide
des additifs alimentaires). Nutrition Action ; 2014.
43.1.a Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que les colorants artificiels signalent souvent l'absence de fruits et
d'autres ingrédients naturels et que ceux-ci peuvent contribuer à l'hyperactivité de certains enfants, causer des
tumeurs chez les animaux ainsi que des réactions allergiques.
43.1.b
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que la plupart des produits aromatisants sont également d'origine
naturelle et sont probablement inoffensifs mais qu'ils sont presque exclusivement utilisés dans la malbouffe.
43.1.c
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que les preuves démontrant que les édulcorants artificiels ont un impact
négatif sur le microbiome digestif ne cessent de s'accumuler, et que ceux-ci provoquent une intolérance au glucose
et un dérèglement du métabolisme.
43.1.d
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que l'huile végétale bromée laisse des résidus dans le corps humain, et
que les études menées sur les animaux montrent que celle-ci provoque des lésions cardiaques, des modifications
du foie, des troubles de la croissance et du comportement.
43.1.e
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que le bromate de potassium est interdit dans la plupart des pays, mais
pas aux États-Unis, où il est fréquemment employé dans les produits de boulangerie et pâtisseries.
43.1.f
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que le BHA est classé comme « raisonnablement présumé comme
cancérigène pour l'homme » par le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
43.1.g
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que le BHT augmente le risque de survenue de différents cancers chez
l'animal et qu'il est connu pour s'accumuler dans la graisse humaine.
43.1.h
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que les études ont montré que certaines personnes sont sensibles au
MSG en grande quantité et peuvent avoir des réactions négatives.
43.1.i Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que la PVH contient du MSG et peut causer des réactions chez les
personnes sensibles.
43.1.j Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que le nitrate de sodium et le nitrite de sodium « ne présentent qu'un
risque minime » mais qu'il est préférable de les éviter.
43.1.k
Le guide Chemical Cuisine du CSPI indique que les agents de sulfitage détruisent la vitamine B1 et peuvent causer
des réactions, notamment chez les asthmatiques.
National Center for Healthy Housing et American Public Health Association. National Healthy Housing
Standard. http://www.nchh.org/Portals/0/Contents/NHHS_Full_Doc.pdf. Publié en 2014. Consulté
le 15 septembre 2014.
6.2.a Le National Healthy Housing Standard stipule que les matériaux de construction affectés par les moisissures ou le
mildiou doivent être lavés, séchés et réparés. Il indique également que les surfaces intérieures et extérieures ne
doivent montrer aucun signe visible de développement de moisissures.
6.2.b
Le National Healthy Housing Standard stipule que les fondations, le toit, les composants de la toiture, les murs extérieurs,
les portes, les puits de lumière et les fenêtres doivent être dépourvus d'humidité ou de moiteur permanente.
International Living Future Institute. Living Building Challenge 3.0. Seattle ; 2014 : 38, 43-49, 60.
19.1.a
L'impératif 07 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un contrôle total des fenêtres.
26.1.a Les impératifs 10 et 12 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exigent des
déclarations de produits vérifiées de manière indépendante.
87.1.a
L'impératif 19 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige des éléments de
conception qui contribuent au plaisir des occupants.
87.1.b
L'impératif 19 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige des éléments de
conception qui célèbrent la culture.
87.1.c L'impératif 19 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige des éléments de
conception qui célèbrent l'esprit.
WELL Building Standard v1
Annexes
168
14
15
16
87.1.d
L'impératif 19 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige des éléments de
conception qui célèbrent le lieu.
87.1.e L'impératif 19 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige des éléments de
conception qui permettent d'intégrer de manière judicieuse des œuvres d'art publiques.
88.1.a
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
détaillent comment le projet sera transformé par l'intégration de la nature à l'aide d'éléments environnementaux
dans le projet.
88.1.b
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
détaillent comment le projet sera transformé par l'intégration de la nature à l'aide d'éléments d'éclairage dans le projet.
88.1.c
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
détaillent comment le projet sera transformé par l'intégration de la nature à l'aide d'éléments spatiaux dans le projet.
88.2.a
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
détaillent comment le projet sera transformé par l'incorporation de motifs naturels dans le projet.
88.3.a
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
présentent des modalités d'interactions entre l'homme et la nature à l'intérieur du bâtiment.
88.3.b
L'impératif 9 du Living Building Challenge 3.0 de l'International Living Future Institute exige un cadre et un plan qui
présentent des modalités d'interactions entre l'homme et la nature à l'extérieur du projet.
Département de l'environnement de la Ville de San Francisco. Règlement du programme de lutte
antiparasitaire intégrée. http://www.sfenvironment.org/article/city-staff/pest-management. Publié en 2011.
Consulté le 14 septembre 2014
10.1.a Le programme de lutte antiparasitaire intégrée du Département de l'environnement de la Ville de San Francisco
recommande que les produits pesticides soient utilisés en dernier recours, après que toutes les autres options non
chimiques aient été essayées.
10.1.b
Le Règlement du programme de lutte antiparasitaire intégrée du Département de l'environnement de la Ville de
San Francisco assigne des niveaux de dangerosité aux produits pesticides.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Purificateurs d'air résidentiels :
Résumé des informations disponibles. Washington, DC : Agence américaine de protection de
l'environnement, août 2009.
23.2.a Le guide des « Purificateurs d'air résidentiels » de l'EPA note que des appareils IGUV (irradiation germicide par
ultraviolets) bien conçus peuvent réduire la viabilité des bactéries et des moisissures végétatives, et réduire la
quantité de virus dans des proportions faibles à modérées.
23.2.b
Le guide des « Purificateurs d'air résidentiels » de l'EPA note que les purificateurs à oxydation photo-catalytique
sont conçus pour transformer les polluants gazeux et les odeurs associées en produits inoffensifs.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Plan d'action concernant le
diisocyanate de diphénylméthylène et les composés associés. http://www.wftaylor.com/wp-content/
uploads/2012/03/EPA_MDI_Action_Plan.pdf. Publié en avril 2011. Consulté le 17 octobre 2014.
25.4.a 18
19
Le Plan d'action concernant le diisocyanate de diphénylméthylène et les composés associés de l'EPA souligne le
risque d'exposition aux composés à base d'isocyanate.
U.S. Green Building Council. Chantier durable 4 : Transports alternatifs – Stockage des vélos et
vestiaire. http://www.usgbc.org/node/1731996?return=/credits. Publié en 2009. Consulté le 17
octobre 2014.
69.1.b Crédit LT du LEED v4 d'USGBC : Garage à vélos - exige un lieu de stockage distinct et sûr des vélos pour au
moins 5 % des occupants réguliers du bâtiment (au moins 4), ainsi qu'un stationnement pour bicyclettes à court
terme pour au moins 2,5 % de tous les visiteurs de passage.
69.2.a
Crédit LT du LEED v4 d'USGBC : Garage à vélos - exige au moins une douche sur site dotée d'un vestiaire pour
les 100 premiers occupants réguliers du bâtiment et une douche supplémentaire pour chaque ensemble de 150
occupants supplémentaires par la suite.
Declare. L'étiquette des ingrédients pour les projets de bâtiments. http://declareproducts.com/.
Seattle : International Living Future Institute ; consulté le 15 septembre 2014.
97.1.a Declare promeut la transparence des matériaux en fournissant une plateforme permettant aux fabricants de révéler
les ingrédients entrant dans la composition de leurs produits et autres informations pertinentes.
WELL Building Standard v1
Annexes
169
20
National Partnership for Women and Families. Paid Sick Days: Good for Business, Good for
Families (Jours de congé maladie payés : bons pour les affaires, bons pour les familles). http://www.
nationalpartnership.org/research-library/work-family/psd/paid-sick-days-good-for-business-andworkers.pdf. Publié en août 2012. Consulté le 16 octobre 2014.
92.1.e 21
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Protocol for Residual Self-Sanitizing
Activity of Dried Chemical Residues on Hard, Non-Porous Surfaces, #01-1A. http://www.epa.gov/
oppad001/cloroxpcol_final.pdf. Publié en mai 2014. Consulté en juin 2015.
27.1.a 22
23
24
51.1.a LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote (production
alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige des dispositions pour produire sur site.
51.1.b
LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote
(production alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige la mise à disposition d'une serre.
51.2.a
LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote (production
alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige des dispositions pour produire sur site.
51.2.b
LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote (production
alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige la mise à disposition d'un système d'irrigation.
51.2.c
LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote (production
alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige de prévoir un accès à la lumière du soleil.
51.2.d
LEED v4 : Guide de référence pour la conception et la construction de bâtiments - définit un crédit pilote
(production alimentaire locale) pour la production d'aliments sur site, qui exige la mise à disposition de potagers
et/ou de plantes porteuses de fruits ou de noix comestibles.
Agence américaine pour la sécurité et la santé au travail. Protecting Workers Who Use Cleaning
Chemicals (Protection des personnes qui utilisent des produits chimiques de nettoyage).
https://www.osha.gov/Publications/OSHA3512.pdf. Publié en 2012. Consulté le 17 octobre 2014.
29.1.a Le feuillet d'information « Protecting Workers Who Use Cleaning Chemicals » de l'OSHA/NIOSH recommande
d'utiliser des balais laveurs, chiffons et plumeaux en microfibres.
29.1.c
Le feuillet d'information « Protecting Workers Who Use Cleaning Chemicals » de l'OSHA recommande d'utiliser des
balais laveurs mains libres.
29.2.b
Le feuillet d'information « Protecting Workers Who Use Cleaning Chemicals » recommande d'éviter de mélanger les
produits de nettoyage qui contiennent de la javel et de l'ammoniaque.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Greening Your Purchase of Cleaning
Products: A Guide for Federal Purchasers (Guide d'achat de produits de nettoyage verts pour
les administrations fédérales). http://www.epa.gov/epp/pubs/cleaning.htm. Dernière mise à jour
le 12/05/2010. Consulté le 17 octobre 2014.
Le guide « Greening Your Purchase of Cleaning Products: A Guide for Federal Purchasers » de l'EPA propose une liste
de produits de nettoyage verts portant notamment les labels Design for the Environment, EcoLogo et Green Seal.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Chemical Management Resource Guide
for School Administrators (Guide des ressources de gestion des produits chimiques à l'intention des
administrateurs d'établissements scolaires), EPA 747-R-06-002. Washington, DC : Agence américaine
de protection de l'environnement, décembre 2006.
29.2.a 27
Ce protocole de l'EPA sert à « déterminer l'efficacité désinfectante résiduelle de tout produit antimicrobien après
application sur une surface dure, inanimée, non poreuse, sans contact avec les produits alimentaires ».
U.S. Green Building Council. Crédit pilote 82 : Production alimentaire locale. http://www.usgbc.org/
node/2743606?return=/pilotcredits. Publié en 2009. Consulté le 17 octobre 2014.
29.1.b 26
Le document « Paid Sick Days: Good for business, Good for workers » du National Partnership for Women and
Families indique que lorsque des « employés malades peuvent rester chez eux, la contagion de la maladie ralentit
et les lieux de travail sont à la fois plus sains et plus productifs ».
Le guide « Chemical Management Resource Guide for School Administrators » de l'EPA recommande de stocker
séparément les produits à base de javel et d'ammoniaque.
U.S. Green Building Council. Crédit pilote 78 : Conception pour des occupants actifs.
http://www.usgbc.org/node/4810558?return=/credits/new-construction/v4. Publié en 2013.
Consulté le 17 octobre 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
170
28
64.1.a Crédit pilote 78 du LEED v4 : Conception pour des occupants actifs - prévoit d'équiper de portes permettant
d'entrer et de sortir les escaliers principaux des étages occupés régulièrement, de permettre à tous les utilisateurs
du bâtiment d'y accéder, et de pouvoir accéder à au moins 50 % des étages d'habitation par les escaliers.
64.2.a
Crédit pilote 78 du LEED v4 : Conception pour des occupants actifs - exige qu'un escalier principal soit situé à moins
de 7,5 m [25 pi] de tout bord du hall d'entrée.
64.2.b
Crédit pilote 78 du LEED v4 : Conception pour des occupants actifs - exige de construire un escalier principal qui
soit visible avant que les occupants se voient proposer un ascenseur ou un escalator.
64.3.c Crédit pilote 78 du LEED v4 : Conception pour des occupants actifs - exige certains éléments comme un éclairage
naturel grâce à la présence de fenêtres et/ou de puits de lumière d'au moins 1 m² [10,8 pi²].
70.1.a
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.1.b
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.1.c
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.1.d
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.2.a
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.2.b
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.2.c
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
70.2.d
Crédit pilote 78 du LEED d'USGBC : Conception pour des occupants actifs - exige que des équipements soient
fournis dans l'espace fitness intérieur en quantité suffisante pour 5 % des occupants réguliers du bâtiment.
Collaboratif de déclaration sanitaire de produit (DSP). Déclaration sanitaire de produit Version
standard 1.0. http://hpdcollaborative.org/standard-documents/hpdstandard_v1_0_121215.pdf.
Mis à jour le 15 décembre 2012. Consulté le 9 juin 2015.
97.1.b 29
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Protecting your health (Protection de votre
santé). http://www.epa.gov/greenhomes/protectingyourhealth.htm. Mis à jour le 19 décembre 2012.
Consulté le 16 octobre 2014.
24.1.a 30
L'EPA note que dans certaines conditions les appareils à combustion, tels que les radiateurs, cuisinières, fours,
poêles, générateurs, foyers de cheminées, chauffe-eau et sèche-linge peuvent libérer dans la maison des
contaminants potentiellement nocifs pour la santé.
Département du Logement et du Développement urbain des États-Unis. Lead Paint Safety (Sécurité
de la peinture au plomb). http://www.hud.gov/offices/lead/training/LBPguide.pdf. Washington, D.C.
Publié en mars 2001. Consulté le 17 octobre 2014.
28.2.a 31
La version standard 1.0 de la Déclaration sanitaire de produit offre des conseils pour la déclaration portant sur « les
contenus des produits et les dangers sanitaires directs associés à l'exposition à ces contenus ».
Le document « Lead Paint Safety » du Département du Logement et du Développement urbain des États-Unis
recommande que les tapis soient amovibles et déconseille l'usage de la moquette.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Work Practice Standards for Conducting
Lead-Based Paint Activities: Target Housing and Child-occupied Facilities (Normes de pratiques
professionnelles concernant les activités employant de la peinture à base de plomb : cibler les
logements et les lieux occupés par des enfants). http://www.law.cornell.edu/cfr/text/40/745.227.
Publié en 1996. Consulté le 15 septembre 2014.
11.2.a Le document « Work Practice Standards for Conducting Lead-Based Paint Activities » de l'EPA dresse la liste des
exigences en matière d'activités de peinture à base de plomb.
11.2.b
Le document « Work Practice Standards for Conducting Lead-Based Paint Activities » de l'EPA dresse la liste des
exigences en matière d'activités de peinture à base de plomb.
11.2.c
Le document « Work Practice Standards for Conducting Lead-Based Paint Activities » de l'EPA dresse la liste des
exigences en matière d'activités de peinture à base de plomb.
WELL Building Standard v1
Annexes
171
32
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Voluntary Guidelines for
Managing Food Allergies In Schools and Early Care and Education Programs (Directives volontaires pour
gérer les allergies alimentaires dans les écoles et les programmes de soin et d'éducation des enfants).
http://www.cdc.gov/healthyyouth/foodallergies/pdf/13_243135_A_Food_Allergy_Web_508.pdf. Publié
en 2013. Consulté le 14 octobre 2014.
48.1.a 33
34
35
36
Le document « Voluntary Guidelines for Managing Food Allergies In Schools and Early Care and Education Programs »
du CDC signale que 50 % à 62 % des réactions allergiques fatales ou presque fatales sont causées par les cacahuètes.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Guidelines for Conducting the AHERA TEM
Clearance Test to Determine Completion of an Asbestos Abatement Project (Directives d'exécution de test
de dégagement TEM AHERA attestant la bonne réalisation d'un projet de désamiantage). Publié en 1989 : 5
11.3.a Le plan d'accréditation modèle (MAP) pour l'amiante prévu par l'Asbestos Hazard Emergency Response Act
(AHERA) établit des limites en matière d'amiante.
11.3.b Le document « Guidelines for Conducting the AHERA TEM Clearance Test to Determine Completion of an Asbestos
Abatement Project » de l'EPA établit les exigences relatives aux contrôles post-désamiantage.
11.3.c
Le document « Guidelines for Conducting the AHERA TEM Clearance Test to Determine Completion of an Asbestos
Abatement Project » de l'EPA établit les exigences relatives aux contrôles post-désamiantage.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Steps to Safe PCB Abatement Activities
(Activités d'élimination en toute sécurité des PCB par étapes). http://www.epa.gov/epawaste/hazard/
tsd/pcbs/pubs/caulk/guide/guide-sect4a.htm. Publié en 2012. Consulté en 2011.
11.4.a
Le document « Steps to Safe PCB Abatement Activities » de l'EPA établit la procédure d'élimination des PCB.
11.4.b
Le document « Steps to Safe PCB Abatement Activities » de l'EPA explique comment traiter, stocker et éliminer les PCB.
Center for the Built Environment. Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey (Enquête sur
la qualité environnementale de l'air intérieur). http://www.cbe.berkeley.edu/research/survey.htm.
Consulté le 8 juin 2015.
86.1.a L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment la qualité acoustique.
86.1.b L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment le confort thermique.
86.1.c
L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment le mobilier de bureau.
86.1.d
L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment l'éclairage.
86.1.e
L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment la qualité de l'air.
86.1.f
L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment la propreté et la maintenance.
86.1.g
L'enquête Occupant Indoor Environmental Quality (IEQ) Survey™ du CBE aborde plusieurs points clés de
l'environnement intérieur, notamment l'agencement des bureaux.
U.S. Green Building Council. Crédit pilote 54 : Avoidance of Chemicals of Concern (Éviter les produits
chimiques préoccupants). http://www.usgbc.org/node/2606894?return=/pilotcredits/CommercialInteriors/v2009. Consulté le 15 septembre 2014.
11.1.b Le Crédit pilote 54 v3 2009 du LEED v4 d'USGBC exige qu'un minimum de 20 %, en coût, d'au moins 3 types
de produits et de matériaux de construction ne contiennent pas de plomb ou de composés de plomb dans des
proportions supérieures à 0,01 % (100 ppm) en masse.
25.1.a
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les matériaux de construction certifiés par une tierce partie ne
puissent pas contenir de composés perfluorés à des niveaux supérieurs ou égaux à 100 ppm.
25.2.a
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie
ne puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de retardateurs de flammes bromés ou halogénés
contenant du brome, du chlore ou du fluor.
25.2.b
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie
ne puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de retardateurs de flammes bromés ou halogénés
contenant du brome, du chlore ou du fluor.
WELL Building Standard v1
Annexes
172
37
25.2.c
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie
ne puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de retardateurs de flammes bromés ou halogénés
contenant du brome, du chlore ou du fluor.
25.2.d
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie
ne puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de retardateurs de flammes bromés ou halogénés
contenant du brome, du chlore ou du fluor.
25.2.e
Le Crédit pilote 54 du LEED v3 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie
ne puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de retardateurs de flammes bromés ou halogénés
contenant du brome, du chlore ou du fluor.
25.3.a
Le Crédit pilote 54 du LEED v4 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie ne
puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de phtalates.
25.3.b
Le Crédit pilote 54 du LEED v4 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie ne
puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de phtalates.
25.3.c Le Crédit pilote 54 du LEED v4 d'USGBC exige que les produits de construction certifiés par une tierce partie ne
puissent pas contenir plus de 0,01 % (100 ppm) en masse de phtalates.
American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers. UFAD Guide: Design,
Construction and Operation of Underfloor Air Distribution Systems (Guide UFAD : Conception,
construction et fonctionnement des systèmes de distribution d'air sous plancher). Atlanta : American
Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers ; 2013.
21.1.b 39
40
South Coast Air Quality Management District. Règles et règlements, Règlement XI - Normes spécifiques
à la source. http://www.aqmd.gov/home/regulations/rules/scaqmd-rule-book/regulation-xi. Consulté
le 17 octobre 2014.
24.2.a La Règle 1110.2 (amendée le 07/09/2012) du South Coast Air Quality Management District établit les exigences
pour les moteurs à carburant gazeux et liquide dans le but de réduire les émissions d'oxydes d'azote, de COV et de
monoxyde de carbone.
24.2.b
La Règle 1111 (amendée le 05/09/2014) du South Coast Air Quality Management District établit les exigences pour les
générateurs de chaleur centraux à ventilateur et alimentés au gaz dans le but de réduire les émissions d'oxydes d'azote.
24.2.c
Les Règles 1146.1 (amendée le 01/11/2013) et 1146.2 (amendée le 05/05/2006) du South Coast Air Quality
Management District établissent les exigences pour la réduction des émissions d'oxydes d'azote des chaudières,
appareils de chauffage industriels et générateurs de vapeur.
24.2.d
Les Règles 1121 (amendée le 03/09/2004) et 1146.2 (amendée le 05/05/2006) du South Coast Air Quality
Management District établissent les exigences en matière d'émissions d'oxydes d'azote des chauffe-eau au gaz
naturel résidentiels et des chauffe-eaux de grande taille.
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Guideline for Isolation
Precautions: Preventing Transmission of Infectious Agents in Healthcare Settings (Directives de
précautions d'isolation : éviter la transmission d'agents infectieux dans les centres de soins).
http://www.cdc.gov/hicpac/pdf/isolation/isolation2007.pdf. Publié en 2012. Consulté le 15 septembre 2014.
29.1.d 41
Le document « Guideline for Isolation Precautions: Preventing Transmission of Infectious Agents in Healthcare
Settings » du CDC recommande que les aspirateurs soient équipés de filtres HEPA.
ASHRAE. Performance Evaluation and Development of Design Guidelines for Displacement
Ventilation (Directives pour l'évaluation des performances et le développement de la conception en
matière de ventilation par déplacement d'air), RP-949. Atlanta, État de Géorgie : American Society of
Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers ; 1999.
21.1.a 42
Le Guide UFAD (Underfloor Air Distribution) de l'ASHRAE fait des recommandations en matière de systèmes de
distribution d'air sous plancher.
Le document « Performance Evaluation and Development of Design Guidelines for Displacement Ventilation »
recommande des températures d'admission d'air.
National Water Quality Management Strategy. Australian Drinking Water Guidelines 6 Version 2.0
(Stratégie nationale de gestion de la qualité de l'eau. Directives concernant l'eau potable en
Australie). Canberra : National Health and Medical Research Council. 2011: 167.
34.1.a
Le document « Australian Drinking Water Guidelines » fixe une valeur guide esthétique de 0,6 mg/L de chlore dans
l'eau potable.
WELL Building Standard v1
Annexes
173
43
Office of Environmental Health Hazard Assessment. Objectif de santé publique concernant la
présence du nickel dans l'eau potable. Sacramento : Agence californienne de protection de
l'environnement ; 2010 : 1.
31.1.e 44
45
California Water Boards (Comités d'administration de l'eau en Californie). Niveaux de contamination
maximaux et dates réglementaires pour l'eau potable - EPA É.-U. /Californie. http://www.waterboards.
ca.gov/drinking_water/certlic/drinkingwater/documents/dwdocuments/MCLsEPAvsDWP-2014-07-01.pdf.
Sacramento : Agence californienne de protection de l'environnement ; 2014.
32.1.b L'Agence californienne de protection de l'environnement fixe le niveau de contamination maximal de l'eau potable
par du benzène à 0,001 mg/L.
32.1.c
L'Agence californienne de protection de l'environnement fixe le niveau de contamination maximal de l'eau potable
par de l'éthylbenzène à 0,3 mg/L.
32.1.f
L'Agence californienne de protection de l'environnement fixe le niveau de contamination maximal de l'eau potable
par du toluène à 0,15 mg/L.
33.1.a
L'Agence californienne de protection de l'environnement fixe le niveau de contamination maximal de l'eau potable
par de l'atrazine à 0,001 mg/L.
Office of Environmental Health Hazard Assessment. Objectif de santé publique concernant la présence de
styrène dans l'eau potable. Sacramento : Agence californienne de protection de l'environnement ; 2010 : 1.
32.1.a
46
47
50
93.1.b La loi fédérale des États-Unis accorde aux employés un congé de jusqu'à 12 semaines de travail par période de 12 mois
pour les raisons listées dans § 2612(a)(1), notamment la naissance d'un enfant, le placement d'un enfant pour adoption ou
accueil familial.
93.3.a
La loi fédérale des États-Unis accorde aux employés un congé de jusqu'à 12 semaines de travail par période de 12 mois
pour prendre soin d'un conjoint, d'un enfant ou d'un parent dans un état de santé grave.
Département de la santé de l'État de New York. Puits d'approvisionnement en eau individuels - Fiche
technique #3 Tests recommandés de la qualité de l'eau résidentielle. Troy : Bureau de la protection de
l'approvisionnement en eau du Département de la santé de l'État de New York ; 2006.
Le Département de la santé de l'État de New York note que l'eau contenant plus de 270 mg/L de sodium ne doit
pas être utilisée par les personnes suivant des régimes à teneur modérée en sodium.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Drinking Water Best Management
Practices (Pratiques recommandées en matière de gestion de l'eau potable), EPA 816-B-13-002.
Washington, D.C. : Agence américaine de protection de l'environnement, avril 2013.
37.3.a Le document « Drinking Water Best Management Practices » de l'EPA note qu'il est « important de nettoyer les
fontaines d'eau pour en éliminer les dépôts de calcaire. »
37.3.b
Le document « Drinking Water Best Management Practices » de l'EPA recommande de nettoyer régulièrement les
débris des filtres de sortie et des aérateurs.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). National Primary Drinking Water
Regulations (Réglementations nationales principales concernant l'eau potable). EPA 816-B-13-002.
Publiées en mai 2009. Washington, D.C.
30.1.a 51
L'agence OEHHA (Office of Environmental Health Hazard Assessment) et l'EPA de Californie ont défini un objectif
de santé publique concernant la présence de styrène dans l'eau à 0,5 μg/L.
United States Code (2006). 29 U.S.C. § 2612.
37.1.d 48
L'agence OEHHA (Office of Environmental Health Hazard Assessment) et l'EPA de Californie ont défini un objectif
de santé publique concernant la présence de nickel dans l'eau potable à 0,012 mg/L.
Le document « National Primary Drinking Water Regulations » de l'EPA note que pour les systèmes qui utilisent une
filtration conventionnelle ou directe, « les échantillons prélevés à des fins de vérification de la turbidité doivent avoir
une turbidité inférieure ou égale à 0,3 UTN (Unité de Turbidité Néphélométrique) dans au moins 95 pour cent des
échantillons de n'importe quel mois ».
National Partnership for Women and Families. Expecting Better: A State-by-State Analysis of Laws That
Help New Parents (Une meilleure grossesse : analyse État par État des lois qui aident les nouveaux
parents). http://www.nationalpartnership.org/research-library/work-family/expecting-better-2014.pdf.
Publié en juin 2014:23. Consulté le 15 septembre 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
174
53
54
93.3.b Le document « Expecting Better » du National Partnership for Women and Families identifie les États américains qui
autorisent les employés à utiliser leurs congés maladie payés pour prendre soin d'un nouveau-né ou d'un malade au
sein de la famille.
93.3.c Le document « Expecting Better » du National Partnership for Women and Families identifie les États américains
qui vont plus loin que les provisions de la loi fédérale en « accordant à toutes les mères qui allaitent des temps de
pause raisonnables et/ou un endroit autre que les toilettes pour tirer leur lait sur le lieu de travail. »
Organisation mondiale de la santé. Guidelines for Drinking-water Quality (Directives pour la qualité de l'eau
potable) Quatrième édition. Genève : Organisation mondiale de la santé ; 2011 : 26, 371, 383, 416, 433.
31.1.a Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » de l'OMS indique une valeur guide provisionnelle de 0,01 mg/L
pour la teneur en plomb.
32.1.g
Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » de l'OMS fixe une valeur guide de 0,5 mg/L pour la teneur
en xylène.
33.1.b
Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » de l'OMS fixe une valeur guide de 0,002 mg/L pour la teneur
en simazine.
35.1.a Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » Quatrième édition de l'OMS signale que des dangers
« peuvent survenir de manière intermittente, souvent associés à des activités ou des conditions saisonnières. »
35.1.b
Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » Quatrième édition de l'OMS signale que des dangers
« peuvent survenir de manière intermittente, souvent associés à des activités ou des conditions saisonnières. »
35.1.c
Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » Quatrième édition de l'OMS signale que des dangers
« peuvent survenir de manière intermittente, souvent associés à des activités ou des conditions saisonnières. »
35.1.d
Le document « Guidelines for Drinking Water Quality » Quatrième édition de l'OMS signale que des dangers
« peuvent survenir de manière intermittente, souvent associés à des activités ou des conditions saisonnières. »
Office of Water. 2012 Edition of the Drinking Water Standards and Health Advisories (Édition 2012 des
Normes appliquées à l'eau potable et Conseils de santé). Washington D.C. : Agence américaine de
protection de l'environnement ; 2012 : 2, 3, 5-11.
30.2.a L'édition 2012 du document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe l'objectif de niveau de
contamination maximal par des bactéries coliformes totales à 0.
31.1.b
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par l'arsenic à 0,01 mg/L.
31.1.c Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par l'antimoine à 0,006 mg/L.
31.1.d
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le mercure (inorganique) à 0,002 mg/L.
31.1.f
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le cuivre à 1,0 mg/L.
32.1.d
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par les polychlorobiphényles à 0,0005 mg/L.
32.1.e
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le chlorure de vinyle à 0,002 mg/L.
32.1.h
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le tétrachloroéthylène à 0,005 mg/L.
33.1.c
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le glyphosate à 0,7 mg/L.
33.1.d
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par l'acide 2,4-dichlorophénoxyacétique à 0,07 mg/L.
33.2.a
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le nitrate (sous forme de N) à 10 mg/L.
34.1.b
L'édition 2012 du document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA note que le règlement
final de 1998 concernant les désinfectants et les sous-produits de désinfection fixe le niveau de désinfection résiduel
maximal de la chloramine à 4 mg/L.
34.2.a
L'édition 2012 du document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA note que le
règlement final de 1998 concernant les sous-produits de désinfection fixe le niveau de concentration totale des
trihalogénométhanes à 0,08 mg/L.
WELL Building Standard v1
Annexes
175
55
34.2.b
L'édition 2012 du document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA note que le règlement
final de 1998 concernant les sous-produits de désinfection fixe le niveau de concentration totale de cinq acides
haloacétiques à 0,06 mg/L.
34.3.a
Le document « Drinking Water Standards and Health Advisories » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
par le fluorure à 4 mg/L.
37.1.a Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par l'aluminium à 0,2 mg/L.
37.1.b
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le chlore à 250 mg/L.
37.1.c
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le manganèse à 0,05 mg/L.
37.1.e
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le sulfate à 250 mg/L.
37.1.f
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le fer à 0,3 mg/L.
37.1.g
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par le zinc à 5 mg/L.
37.1.h
Le document « Secondary Drinking Water Regulations » de l'EPA fixe le niveau de contamination maximal
secondaire par les solides dissous totaux à 500 mg/L.
American Heart Association. Whole Grains and Fiber (Grains entiers et fibres). http://www.heart.org/
HEARTORG/GettingHealthy/NutritionCenter/HealthyEating/Whole-Grains-and-Fiber_UCM_303249_
Article.jsp. Publié en 2014. Consulté le 15 septembre 2014.
39.1.d
56
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Trans Fat: The Facts (Acides
gras trans : les faits). http://www.cdc.gov/nutrition/downloads/trans_fat_final.pdf. Publié en 2010.
Consulté le 15 septembre 2014.
39.2.a
57
58 La feuille d'information « Whole Grains and Fiber » de l'AHA identifie les grains entiers comme de bonnes sources
de fibres et de nutriments.
Le document « Trans Fat: The Facts » du CDC identifie les huiles partiellement hydrogénées comme une source
d'acides gras trans à éviter.
National Institute of Allergy and Infectious Diseases. Food Allergy: An Overview (Allergie alimentaire :
vue d'ensemble). http://www.niaid.nih.gov/topics/foodallergy/documents/foodallergy.pdf.
Publié en 2010. Consulté le 15 septembre 2014.
40.1.a
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que la cacahuète est l'un des allergènes alimentaires
les plus courants pour les enfants et les adultes.
40.1.b La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que le poisson est l'un des allergènes alimentaires
les plus courants pour les enfants et les adultes.
40.1.c
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que les crustacés sont l'un des allergènes
alimentaires les plus courants pour les enfants et les adultes.
40.1.d
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que le soja est l'un des allergènes alimentaires les
plus courants pour les enfants et notamment les nourrissons.
40.1.e
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que le lait est l'un des allergènes alimentaires les
plus courants pour les enfants.
40.1.f
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que les œufs sont l'un des allergènes alimentaires
les plus courants pour les enfants.
40.1.g
La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que le blé est l'un des allergènes alimentaires les
plus courants pour les enfants.
40.1.h La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique que les noix sont l'un des allergènes alimentaires les
plus courants pour les enfants et les adultes.
40.1.i La publication du NIAID « Food Allergy: An Overview » indique les personnes souffrant de maladie cœliaque sont
intolérantes au gluten.
Département de la santé et de l'hygiène mentale de la Ville de New York. Normes alimentaires.
http://www.health.ny.gov/diseases/cardiovascular/heart_disease/toolkits/docs/cafeterias_cafes_
implementation_guide.pdf. Publié en 2012. Consulté le 15 septembre 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
176
47.1.a 60
61
62
Département des services développementaux de Californie. Diet Manual (Guide de régime alimentaire).
http://www.dds.ca.gov/Publications/docs/DDSDietManual.pdf. Publié en 2010. Consulté le 15 septembre 2014.
48.1.b Le Diet Manual recommande un régime sans gluten pour traiter la maladie cœliaque.
48.1.c Le Diet Manual recommande un régime sans lait ou contrôlé en lactose pour prévenir ou réduire les symptômes
associés à l'ingestion de lait de vache ou de produits laitiers.
48.1.d
Le Diet Manual recommande un régime sans œufs pour les personnes allergiques aux œufs.
48.1.e Le Diet Manual recommande un régime végétarien pour tous ceux qui souhaitent retirer tout ou partie des produits
d'origine animale de leur alimentation pour des raisons religieuses, sanitaires, environnementales ou éthiques.
48.1.f
Le Diet Manual recommande un régime végétarien pour tous ceux qui souhaitent retirer tout ou partie des produits
d'origine animale de leur alimentation pour des raisons religieuses, sanitaires, environnementales ou éthiques.
Food and Drug Administration (FDA, Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux). How
to Understand and Use the Nutrition Facts Label (Comprendre et utiliser l'étiquette de valeur nutritive).
http://www.fda.gov/Food/IngredientsPackagingLabeling/LabelingNutrition/ucm274593.htm. Publié en 2004.
Consulté le 15 septembre 2014.
44.1.b Le document « How to Understand and Use the Nutrition Facts Label » de la FDA exige que les produits alimentaires
emballés indiquent la teneur en macro-nutriments en poids et en pourcentage de la valeur quotidienne recommandée.
44.1.c Le document « How to Understand and Use the Nutrition Facts Label » de la FDA exige que les produits alimentaires
emballés indiquent la teneur en micro-nutriments en poids et en pourcentage de la valeur quotidienne recommandée.
44.1.d
Le document « How to Understand and Use the Nutrition Facts Label » de la FDA exige que les produits alimentaires
emballés indiquent la teneur en sucre en poids.
Community Preventive Services Task Force. Technology-supported Multicomponent Coaching or
Counseling Interventions to Reduce Weight and Maintain Weight Loss (Interventions de coaching ou de
conseil sur plusieurs composants assistées par la technologie pour réduire durablement son poids).
http://www.thecommunityguide.org/obesity/TechnologicalCoaching.html. Mis à jour le 9 décembre 2013.
Consulté le 24 avril 2015.
94.1.b
63
64
Le document « Technology-supported Multicomponent Coaching or Counseling Interventions to Reduce Weight
and Maintain Weight Loss » de la Community Preventive Services Task Force recommande les interventions
employant des outils technologiques comme les podomètres.
Département de l'Agriculture des États-Unis (USDA). Organic Regulations (Réglementations organiques).
http://www.usda.gov/wps/portal/usda/usdahome?navid=organic-agriculture. Publié en 2014. Consulté
le 10 septembre 2014.
49.1.a Le document « Organic Regulations » de l'USDA exige que les produits organiques ne contiennent pas
d'ingrédients génétiquement modifiés et évitent les produits de synthèse comme les antibiotiques et les pesticides.
49.2.b
Le document « Organic Regulations » de l'USDA exige que les produits organiques ne contiennent pas
d'ingrédients génétiquement modifiés et évitent les produits de synthèse comme les antibiotiques et les pesticides.
Certified Humane. Humane Farm Animal Care Comprehensive Animal Welfare Standards
Comparison By Program (Comparaison par programme des normes relatives au bien-être animal
pour un traitement plus humain des animaux d'élevage). http://certifiedhumane.org/wp-content/
uploads/2014/01/Comp.Standards.Comparison.Chart_.wappendix.11.26.13.pdf. Publié en 2013.
Consulté le 15 septembre 2014.
49.2.a 66
Le guide de mise en œuvre des cafés et cafétérias du Département de l'État de New York recommande que les lieux
de restauration proposent au moins un plat sain ne contenant pas plus de 650 calories.
La Comparaison par programme des normes relatives au bien-être animal pour un traitement plus humain des
animaux d'élevage compilée par Humane Farm Animal Care exige que les animaux ne vivent pas en cage pendant
la durée de leur vie et ne soient pas exposés aux antibiotiques ou aux hormones.
Sloan Work and Family Research Network. Why is Employer-Supported Child Care an Important
Business Issue? (Pourquoi les aides de l'employeur à la garde d'enfants sont-elles un enjeu
professionnel important ?) https://workfamily.sas.upenn.edu/sites/workfamily.sas.upenn.edu/files/
imported/pdfs/EWS_ESCC.pdf. Publié en 2009. Consulté le 15 septembre 2014.
93.2.a L'étude « Why is Employer-Supported Child Care an Important Business Issue » du Sloan Work and Family Research
Network indique que les crèches accueillant les enfants sur site favorisent la fidélité à l'égard de l'organisation et
réduisent les temps de trajet des employés entre le travail et le domicile.
WELL Building Standard v1
Annexes
177
93.2.b
67
68
70
71
National Institutes of Health. Cooking Utensils and Nutrition (Ustensiles de cuisine et nutrition).
http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/ency/article/002461.htm. Publié en 2014.
Consulté le 15 septembre 2014.
46.1.a Le document « Cooking Utensils and Nutrition » du NIH recommande que les enfants ne soient pas mis en contact
avec les ustensiles de cuisson en céramique susceptibles de contenir du plomb.
46.1.b Le document « Cooking Utensils and Nutrition » du NIH identifie que l'apport en fer peut augmenter en raison de
l'utilisation d'ustensiles de cuisine en fonte.
46.1.c
Le document « Cooking Utensils and Nutrition » du NIH identifie les propriétés économiques, durables, résistantes à
la chaleur et inoffensives de l'acier inoxydable.
46.1.d Le document « Cooking Utensils and Nutrition » du NIH identifie les propriétés de résistance à l'abrasion et de
facilité de nettoyage des planches à découper en verre.
46.1.e Le document « Cooking Utensils and Nutrition » du NIH identifie les propriétés de résistance à l'abrasion, de facilité
de nettoyage et l'innocuité des ustensiles en aluminium anodisé.
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Guideline for Hand Hygiene
in Health-Care Settings (Directives relatives à l'hygiène des mains dans les centres de soins).
http://www.cdc.gov/mmwr/PDF/rr/rr5116.pdf. Publié en 2002. Consulté le 15 septembre 2014.
41.1.b Le document « Guideline for Hand Hygiene in Health-Care Settings » du CDC recommande l'utilisation de serviettes
jetables pour l'hygiène des mains.
41.2.a
Le document « Guideline for Hand Hygiene in Health-Care Settings » du CDC signale que le remplissage à ras bord
des distributeurs de savon peut engendrer une contamination bactérienne du savon.
Facility Guidelines Institute. Guidelines for Design and Construction of Healthcare Facilities
(Directives de conception et de construction des centres de soins). http://www.apic.org/Resource_/
TinyMceFileManager/Practice_Guidance/APIC-ASHE-Statementelectronic-faucets.pdf. Publié en
2011. Consulté le 15 septembre 2014.
41.3.a Les Guidelines for Design and Construction of Healthcare Facilities définissent le point de déversement des éviers à au
moins 10 pouces (25,40 centimètres) au-dessus du fond du bassin.
41.3.b Les Guidelines for Design and Construction of Healthcare Facilities définissent la surface de lavage des mains à au
moins 144 pouces carrés (929,03 centimètres carrés), et la largeur ou longueur à au moins 9 pouces (22,86 centimètres).
Food Standards Agency Northern Ireland. A Survival Guide to Food (Guide de survie alimentaire).
http://www.food.gov.uk/sites/default/files/multimedia/pdfs/survivalguidetofood.pdf.
Publié en 2014. Consulté le 15 septembre 2014.
42.1.a 72
Le guide « A Survival Guide to Food » de la Food Standards Agency in Northern Ireland recommande de conserver
la viande crue dans un espace de stockage distinct au bas du réfrigérateur.
International Living Future Institute. Manuel de l'utilisateur JUST. http://justorganizations.com/sites/default/
files/140808JUSTmanualRevisedwithoutBibliography.pdf. Publié en 2013. Consulté le 15 septembre 2014.
98.1.a 73
L'étude « Why is Employer-Supported Child Care an Important Business Issue » du Sloan Work and Family Research
Network indique que les allocations et les bons offrent des abattements fiscaux aux employeurs et réduisent les frais
personnels des employés.
Le programme JUST « offre une plateforme innovante de transparence de la justice sociale permettant aux
organisations de révéler leurs pratiques, notamment sur la manière dont elles traitent leurs employés et les endroits
où elles réalisent des investissements financiers et communautaires. »
Hanks AS, Just DR, Wansink B. Smarter Lunchrooms Can Address New School Lunchroom Guidelines
and Childhood Obesity (Des cantines réinventées peuvent répondre aux directives relatives aux salles
de repas des nouvelles écoles et aux enjeux liés à l'obésité infantile). 2013. The Journal of Pediatrics,
Volume 162, numéro 4, pp. 867-869.
38.2.b Le document « Smarter Lunchrooms Can Address New School Lunchroom Guidelines and Childhood Obesity »
recommande que les menus soient illustrés de photos en couleur de fruits et de légumes.
38.2.c
Le document « Smarter Lunchrooms Can Address New School Lunchroom Guidelines and Childhood Obesity »
recommande que les plats à base de légumes soient proposés dès le début de la ligne de distribution des plats.
38.2.d
Le document « Smarter Lunchrooms Can Address New School Lunchroom Guidelines and Childhood Obesity »
recommande que les fruits soient proposés à la fin de la ligne.
WELL Building Standard v1
Annexes
178
74
Département de la santé et de l'hygiène mentale de la Ville de New York. The Requirement to Post
Calorie Counts on Menus (Obligation de publier la teneur en calories des menus), Section 81.50.
http://www.nyc.gov/html/doh/downloads/pdf/cdp/calorie_compliance_guide.pdf. Publié en 2008.
Consulté le 17 septembre 2014.
44.1.a 75
76
Département de l'Agriculture des États-Unis (USDA). Cutting Boards and Food Safety (Planches
à découper et sécurité alimentaire).
http://www.fsis.usda.gov/wps/portal/fsis/topics/food-safety-education/get-answers/food-safetyfactsheets/safe-food-handling/cutting-boards-and-food-safety. Publié en 2013.
Consulté le 15 septembre 2014.
46.2.a L'USDA recommande que les consommateurs choisissent des planches à découper à surface non poreuse, comme
le marbre.
46.2.b
L'USDA recommande que les consommateurs choisissent des planches à découper à surface non poreuse, comme
le plastique.
46.2.c
L'USDA recommande que les consommateurs choisissent des planches à découper à surface non poreuse, comme
le verre.
46.2.d
L'USDA recommande que les consommateurs choisissent des planches à découper à surface non poreuse, comme
la pyrocéramique.
46.2.e L'USDA recommande que les consommateurs choisissent des planches à découper à surface non poreuse, comme
le bois. Les surfaces laminées peuvent se fissurer et se fendre.
Organisation mondiale de la santé. WHO Guidelines on Hand Hygiene in Health Care (Directives de
l'OMS en matière d'hygiène des mains dans les centres de soins de santé).
http://www.who.int/gpsc/5may/tools/who_guidelines-handhygiene_summary.pdf. Publié en 2009.
Consulté le 15 septembre 2014.
41.1.a 77
78
79
Le Département de la santé de la Ville de New York exige que tous les lieux de restauration de plus de 15 tables
publient les quantités de calories des plats sur les menus.
Le document « WHO Guidelines on Hand Hygiene in Health Care » stipule que les produits antibactériens n'offrent
aucun avantage supplémentaire par rapport aux savons non antibactériens. Le parfum n'est pas recommandé en
raison du risque d'allergies.
Département de l'Agriculture et Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
Dietary Guidelines for Americans (Directives alimentaires pour les Américains), 2010. 7e édition,
décembre 2010. U.S. Government Printing Office, Washington, D.C.
45.1.a Le document « Dietary Guidelines for Americans » publié par le Département de l'Agriculture des États-Unis établit
que les décisions liées à la nutrition et à l'activité physique sont influencées par le marketing et les médias.
45.2.a
Le document « Dietary Guidelines for Americans » publié par le Département de l'Agriculture des États-Unis établit
que les décisions liées à la nutrition et à l'activité physique sont influencées par le marketing et les médias.
45.2.b Le document « Dietary Guidelines for Americans » publié par le Département de l'Agriculture des États-Unis établit
que les décisions liées à la nutrition et à l'activité physique sont influencées par le marketing et les médias.
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Guide to Strategies for
Reducing the Consumption of Sugar-Sweetened Beverages (Guide des stratégies de réduction
de la consommation des boissons sucrées). http://www.cdph.ca.gov/SiteCollectionDocuments/
StratstoReduce_Sugar_Sweetened_Bevs.pdf. Publié en 2010. Consulté le 15 septembre 2014.
39.1.a Le document « Guide to Strategies for Reducing the Consumption of Sugar-Sweetened Beverages » du CDC établit
que la limitation de l'accès aux boissons sucrées peut réduire leur consommation et augmenter celle de boissons
meilleures pour la santé.
39.1.b Le document « Guide to Strategies for Reducing the Consumption of Sugar-Sweetened Beverages » du CDC établit
que la limitation de l'accès aux boissons sucrées peut réduire leur consommation et augmenter celle de boissons
meilleures pour la santé.
39.1.c Le document « Guide to Strategies for Reducing the Consumption of Sugar-Sweetened Beverages » du CDC établit
que la limitation de l'accès aux boissons sucrées peut réduire leur consommation et augmenter celle de boissons
meilleures pour la santé.
licht.de. licht.wissen 04: Office Lighting: Motivating and Efficient (Éclairage du bureau : motivant et
efficace). Francfort ; 2014 : 35.
WELL Building Standard v1
Annexes
179
80
81
82
55.1.b Le document « Office Lighting: Motivating and Efficient » note que pour éviter l'éblouissement causé par des
sources de lumières vives, les ampoules doivent être protégées. Pour une luminance d'ampoule de 20 000 à 50 000
cd/m², l'angle de protection minimum est de 15°.
55.1.c
Le document « Office Lighting: Motivating and Efficient » note que pour éviter l'éblouissement causé par des
sources de lumières vives, les ampoules doivent être protégées. Pour une luminance d'ampoule de 50 000 à 500 000
cd/m², l'angle de protection minimum est de 20°.
55.1.d
Le document « Office Lighting: Motivating and Efficient » note que pour éviter l'éblouissement causé par des
sources de lumières vives, les ampoules doivent être protégées. Pour une luminance d'ampoule de 500 000 cd/m² et
au-delà, l'angle de protection minimum est de 30°.
Administration des services généraux (GSA) des États-Unis. Facilities Standards for the Public
Buildings Service (Normes des installations du Public Buildings Service). Mars 2014, Washington, D.C.,
pp. 135-136.
56.1.a Le critère de Performance élevée de niveau 1 de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du
GSA US exige des stores ne masquant pas la vue.
56.2.a
Le critère de Performance élevée de niveau 1 de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du
GSA US exige des stores ne masquant pas la vue.
58.1.a
Le critère de Performance élevée de niveau 1 de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du
GSA US exige un IRC de 80 ou supérieur.
58.1.b
Le critère de Performance élevée de niveau 2 de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du
GSA exige un Indice de rendu de couleur R9 d'au moins 50.
59.1.a
La base de référence de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du GSA exige un indice LRV
moyen d'au moins 80 % pour les plafonds.
59.1.b Le critère de Performance élevée de niveau 2 de la norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du
GSA recommande un indice LRV moyen de 70 % sur les murs.
60.1.a
La norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du GSA constate que les commandes automatiques
des volets aident les occupants à gérer les niveaux de luminance.
60.2.a
La norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du GSA constate que les commandes automatiques
d'occupation permettent d'économiser de l'énergie.
60.2.b La norme Facilities Standard for the Public Buildings Service du GSA constate que les commandes automatiques
d'atténuation de la lumière du jour permettent d'économiser de l'énergie.
Ministère du Travail de l'Ontario. Computer Ergonomics: Workstation Layout and Lighting (Ergonomie
des ordinateurs : agencement et éclairage des postes de travail). Toronto : Ministère du Travail de
l'Ontario ; septembre 2004 : 16.
53.1.c Le rapport « Computer Ergonomics: Workstation Layout and Lighting » du Ministère du Travail de l'Ontario a établi
une liste de contrôle pour les ordinateurs des postes de travail stipulant notamment que les niveaux de lumière
soient compris entre 300 et 500 lux, et que des lampes articulées soient disponibles en cas de besoin.
57.1.a
Le rapport « Computer Ergonomics: Workstation Layout and Lighting » du Ministère du Travail de l'Ontario
recommande que le champ de vision de l'employé soit parallèle au plan des fenêtres.
Régimes d'assurance maladie Oxford. Gym Reimbursement (Remboursement du club de sport).
https://www.oxhp.com/secure/materials/Gym_Reimbursement.pdf. Publié en 2011.
Consulté le 17 octobre 2014.
65.1.b 83
Business + Institution Furniture Manufacturers Association. BIFMA Ergonomics Guideline Ultimate
Test for Fit (Directives d'ergonomie du BIFMA - Test de confort). Grand Rapids : Business + Institution
Furniture Manufacturers Association ; 2013 : 3.
73.1.a
84
Certains régimes d'assurance maladie prévoient le remboursement d'une partie des frais d'inscription dans un club
de sport si les employés s'y rendent au moins 50 fois sur une période de 6 mois.
L'ouvrage Ergonomics Guideline for Furniture Used in Office Work Spaces Designed for Computer Use (Directives
d'ergonomie en matière d'agencement du mobilier dans les bureaux conçus pour le travail sur ordinateur) du
BIFMA recommande que les moniteurs soient positionnés de sorte que les utilisateurs assis ou debout puissent les
voir en entier rapidement et sans effort.
Community Preventive Services Task Force. Obesity Prevention and Control: Worksite Programs
(Prévention et contrôle de l'obésité : programmes pour le lieu de travail). http://www.thecommunityguide.
org/obesity/workprograms.html. Publié en 2013. Consulté le 5 septembre 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
180
66.1.a 85
86
U.S. Green Building Council. Crédit pilote 75 : Construction propre. http://www.usgbc.org/
node/4810551?return=/credits/new-construction/v4/pilot-credits. Publié en 2013. Consulté le 18
octobre 2014.
24.4.a Crédit pilote 75 du LEED v4 d'USGBC : Construction propre - exige que les véhicules non routiers à moteur diesel
sur site d'au moins 25 chevaux vapeur respectent les normes EPA US en matière émissions de PM de niveau 4, ou
leur équivalent local.
24.4.b Crédit pilote 75 du LEED v4 d'USGBC : Construction propre - exige que 95 % de tous les véhicules à moteur diesel
des sous-traitants respectent les exigences stipulées dans les normes routières du modèle EPA US de l'année 2007,
ou leur équivalent local.
24.4.c
Crédit pilote 75 du LEED v4 d'USGBC : Construction propre - exige que tous les équipements, véhicules et
manœuvres de chargement/déchargement soient situés à distance des admissions d'air et des ouvertures des
bâtiments adjacents.
Walk Score. Walk Score Methodology (Méthodologie Walk Score). http://www.walkscore.com/
methodology.shtml. Publié en 2014. Consulté le 17 octobre 2014.
67.3.a 87
La Community Preventive Services Task Force recommande la mise en place de programmes d'activité physique sur
le lieu de travail, avec la mise à disposition d'installations sur site encourageant la pratique de ces activités.
®
Le classement Walk Score des villes et des voisinages signale qu'un Walk Score de 70 ou plus permet d'effectuer la
plupart de ses courses à pied.
Départements de la conception et de la construction, de la santé et de l'hygiène mentale, du
transport et de l'urbanisme de la ville de New York. Active Design Guidelines: Promoting Physical
Activity and Health in Design (Directives de conception active : Promotion de l'activité physique et de
la santé par la conception). Publié en 2010 : 4-7; 34; 43; 72-76; 85-87.
64.1.b Le document « Active Design Guidelines: Promoting Physical Activity and Health in Design » recommande la
présence d'une signalisation permanente encourageant l'usage des escaliers, à inclure dans le programme de
circulation dans le bâtiment.
64.2.c
Le document « Active Design Guidelines » recommande une stratégie rendant les escaliers suffisamment larges
pour être empruntés en groupe, ou dans les deux sens, une largeur d'au moins 56 pouces [1,50 m] devant suffire
à cette fin.
64.3.a
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies encourageant l'usage des escaliers grâce
à différents procédés, tels que l'intégration d'œuvres d'art dans l'environnement de l'escalier.
64.3.b
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies encourageant l'usage des escaliers grâce
à différents procédés, tels que la diffusion de musique dans les escaliers.
64.3.d
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies encourageant l'usage des escaliers grâce
à différents procédés, tels que la mise en valeur de vues intéressantes sur la nature ou les espaces intérieurs.
67.1.a
Le document « Active Design Guidelines » identifie le développement de rues conçues pour les piétons, dotées
notamment de bancs, comme une recommandation clé pour encourager les environnements actifs.
67.1.b
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies pour créer des espaces publics favorables
aux piétons et aux cyclistes, comprenant notamment l'installation de sièges fixes et amovibles.
67.1.c
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies pour encourager la marche, notamment la
mise à disposition d'éléments d'infrastructure tels que des fontaines d'eau potable et des postes de remplissage de
bouteilles d'eau le long des parcours de marche.
67.2.a
Le document « Active Design Guidelines » recommande des stratégies pour créer des espaces publics favorables
aux piétons et aux cyclistes, comprenant notamment l'installation de fontaines d'eau potable.
67.2.b
Le document « Active Design Guidelines: Promoting Physical Activity and Health in Design » recommande des
stratégies pour créer des esplanades agréables.
67.2.d
Le document « Active Design Guidelines: Promoting Physical Activity and Health in Design » recommande
l'intégration temporaire et permanente d'œuvres d'art publiques dans le paysage urbain afin d'offrir un
environnement plus séduisant et invitant à la déambulation.
68.1.a
Le document « Active Design Guidelines » recommande de fournir des espaces dédiés aux activités physiques tels
que des salles d'exercice, des aires de jeu et des espaces de divertissement polyvalents dans les bâtiments publics,
résidentiels et dédiés au travail.
68.2.a
Le document « Active Design Guidelines » recommande de situer les lieux de résidence et de travail à proximité
d'aires de divertissement, de chemins de promenade, de parcs et de fronts de mer existants.
WELL Building Standard v1
Annexes
181
88
U.S. Internal Revenue Service. Code fiscal (IRC) de 1986, § 132(f). Washington, D.C. : Internal Revenue
Service ; 1986.
65.1.a 89
Département de la Justice des États-Unis, division des Droits civils. Normes de conception accessible
ADA 2010. Washington, D.C. : Département de la Justice des États-Unis, division des Droits civils ; 2010.
72.1.a 90
La section 132(f) de l'IRC sur les avantages sociaux relatifs aux moyens de transport agréés permet aux employeurs
d'offrir aux employés la possibilité de réserver une fraction de leur salaire pour payer certaines dépenses de
transport.
Les Normes de conception accessible ADA datant de 2010 de la Division des Droits civils du Département de la
Justice des États-Unis définissent des règles d'accessibilité pour les nouvelles constructions et les rénovations.
Administration des services généraux (GSA) des États-Unis, Centre de la stratégie des lieux de travail,
Service des bâtiments publics. Sound Matters: How to Achieve Acoustic Comfort in the Contemporary
Office (Questions de son : comment veiller au confort acoustique dans les bureaux modernes).
Washington, D.C. : 2012: 11, 29, 32, 33, 36.
75.1.a Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande d'apporter un soin
particulier à l'effet sur les postes de travail voisins au moment de positionner les activités de soutien, à savoir les
salles de reprographie, les salles de restauration, les entrées des salles de conférence.
75.2.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un bruit de fond maximum
de NC 40 dans les espaces de travail ouverts.
75.2.b
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un bruit de fond maximum
de NC 35 dans les bureaux particuliers.
75.2.d
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un bruit de fond maximum
de NC 20 dans les salles de téléconférence.
78.1.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un RT60 de 0,6 secondes
dans les salles de réunion.
79.1.a Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande que le masquage sonore
soit envisagé comme technique de confort acoustique dans les bureaux modernes.
79.2.a Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un masquage sonore
de 45-48 dBA dans les espaces de travail ouverts.
79.2.b
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un masquage sonore
de 40-42 dBA dans les bureaux particuliers.
80.1.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur CRB pour les
espaces de travail ouverts.
80.1.b Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur CRB pour les
salles de réunion et les salles de téléconférence.
80.2.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande un CRB minimum de 0,8 sur
au moins 25 % de deux murs adjacents pour les espaces de travail fermés.
80.2.b
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur CRB pour les
espaces de travail ouverts.
80.2.c Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur CRB pour les
bureaux ouverts calmes possédant des murs à hauteur d'homme.
81.1.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur NIC pour les
bureaux particuliers.
81.1.b
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande cette valeur NIC pour les
salles de téléconférence.
81.2.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande la pose de joints de porte
pour empêcher l'intrusion du bruit dans les bureaux.
81.2.b Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande la pose d'un balai ou d'un
joint d'insonorisation sous la porte.
81.2.c
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux rappelle qu'en matière d'acoustique, les
portes à âme creuse ne sont pas recommandées.
81.3.a
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande de calfeutrer les partitions
en plaques de plâtre comme moyen efficace de blocage du son.
81.3.b
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande de décaler les partitions en
plaques de plâtre comme moyen efficace de blocage du son.
WELL Building Standard v1
Annexes
182
81.3.c
91
Greenbaum E., Meinert E. Vaccinating Against the Flu: A Business Case (Vaccination contre la grippe :
analyse de rentabilité).
http://www.businessgrouphealth.org/pub/f3137df6-2354-d714-5143-de37eb0ecd7c. Publié en 2010.
Consulté le 16 octobre 2014.
92.1.d 92
93
94
96
Le rapport « Vaccinating Against the Flu: A Business Case » du National Business Group on Health suggère de
proposer aux employés de se faire vacciner contre la grippe sur site.
ASHRAE. Norme 55 : Conditions environnementales thermiques pour l'occupation humaine, Atlanta, État
de Géorgie : American Society of Heating, Refrigerating and Air-Conditioning Engineers ; 2013 : 4; 8-13.
21.2.b La norme ASHRAE 55 fournit des directives concernant les systèmes de ventilation par déplacement pour le confort
environnemental thermique.
76.1.a Norme ASHRAE 55 : Conditions environnementales thermiques pour l'occupation humaine - définit les pratiques
recommandées favorisant le confort thermique dans les bâtiments.
76.2.a
Norme ASHRAE 55 : Conditions environnementales thermiques pour l'occupation humaine - définit les pratiques
recommandées favorisant le confort thermique dans les bâtiments.
Département de l'Énergie des États-Unis. Radiant Heating (Chauffage radiant). http://energy.gov/
energysaver/articles/radiant-heating. Publié en 2012. Consulté le 15 septembre 2014.
83.1.a Le Département de l'Énergie identifie les systèmes de chauffage radiant comme plus efficaces et moins susceptibles
de distribuer des allergènes que les systèmes à air chaud pulsé.
83.1.b
Le Département de l'Énergie identifie les systèmes de chauffage radiant comme plus efficaces et moins susceptibles
de distribuer des allergènes que les systèmes à air chaud pulsé.
83.2.a
Le Département de l'Énergie recommande les systèmes de chauffage radiant plutôt que les systèmes à air chaud
pulsé car ils sont plus efficaces et ne distribuent pas les allergènes.
83.2.b
Le Département de l'Énergie identifie les systèmes de chauffage radiant comme plus efficaces et moins susceptibles
de distribuer des allergènes que les systèmes à air chaud pulsé.
National Heart, Lung, and Blood Institute. The Practical Guide: Identification, Evaluation, and
Treatment of Overweight and Obesity in Adults (Guide pratique : identification, évaluation et
traitement du surpoids et de l'obésité chez les adultes). http://www.nhlbi.nih.gov/files/docs/
guidelines/prctgd_c.pdf. Publié en avril 2000. Consulté le 24 avril 2015.
94.1.a 95
Le document « Sound Matters » de l'Administration des services généraux recommande de boucher les trous
comme moyen efficace de blocage du son.
Le « Practical Guide: Identification, Evaluation, and Treatment of Overweight and Obesity in Adults » du programme
NHLBI Obesity Education Initiative indique que l'autosurveillance d'un comportement entraîne habituellement le
changement de ce comportement dans la bonne direction.
Marcus, C. C. & Sachs, N. A. Therapeutic Landscapes: An Evidence-based Approach to Designing
Healing (Paysages thérapeutiques : une approche de l'élaboration de la guérison basée sur des
preuves). Hoboken : John Wiley & Sons ; 2013.
100.1.b L'enquête de Marcus and Sachs, « Therapeutic Landscapes: An Evidence-based Approach to Designing Healing »
fournit des directives de plantation, notamment la mise à disposition de jardins présentant un ratio moyen de 70 %
d'éléments naturels du paysage (plantes) pour 30 % de matériaux inertes.
100.2.a
L'enquête de Marcus and Sachs, « Therapeutic Landscapes: An Evidence-based Approach to Designing Healing »
recommande d'offrir des opportunités de connexion avec la nature en intérieur, notamment au moyen de plantes en pot.
100.2.b
L'enquête de Marcus and Sachs, « Therapeutic Landscapes: An Evidence-based Approach to Designing Healing »
recommande d'incorporer de la végétation à différentes hauteurs, à l'aide de murs végétaux par exemple.
100.3.a
L'enquête de Marcus and Sachs, « Therapeutic Landscapes: An Evidence-based Approach to Designing Healing »
recommande d'offrir au moins un point d'eau.
Département de la planification de Nouvelle-Galles du Sud. The Residential Flat Design Code (Code
de conception de résidences plates).
http://www.planning.nsw.gov.au/~/media/Files/DPE/Manuals-and-guides/residential-flat-designcode-2002-02.ashx. Publié en 2002. Consulté le 15 septembre 2014.
99.1.a Le Residential Flat Design Code du Département de la planification de Nouvelle-Galles du Sud recommande une
hauteur de plafond minimum de 2,7 m pour toutes les pièces habitables et de 2,4 m pour toutes les pièces non
habitables.
WELL Building Standard v1
Annexes
183
97 Employee Assistance Professionals Association. Standards and Professional Guidelines for Employee
Assistance Programs (Normes et directives professionnelles pour les programmes d'aide au
personnel). http://www.valueoptions.com/providers/Handbook/treatment/EAP_Guidelines.pdf. Publié
en 2010. Consulté le 17 octobre 2014.
95.1.a Les Normes et Directives professionnelles de l'EAPA recommandent des programmes d'aide au personnel
prévoyant des services de conseil à court terme, de recommandation et de suivi aux employés ayant des problèmes
personnels ou professionnels.
119 CWT Solutions Group. Stress Triggers for Business Travelers: Traveler Survey Analysis (Déclencheurs
de stress des employés en voyage d'affaires : analyse de l'enquête menée sur les voyageurs).
http://www.cwt-solutions-group.com/cwtsg/publications-and-media-centre/research-and-view-points/
stress-triggers-for-business-travelers.html. Publié en 2012. Consulté le 24 septembre 2014.
91.1.c L'enquête « Stress Triggers for Business Travelers » du CWT Solutions Group établit que, par rapport à ceux qui
vivent seuls, les sondés vivant en couple trouvent plus stressant de voyager le week-end.
91.1.d Dans l'enquête « Stress Triggers for Business Travelers » du CWT Solutions Group, « ne pas pouvoir suivre un
programme d'entraînement sportif » était cité comme un facteur de stress moyen.
174 American National Standards Institute et Illuminating Engineering Society of North America.
American National Standard Practice for Office Lighting (Pratique d'éclairage de bureau de l'ANS).
New York, NY : Illuminating Engineering Society of North America ; 2012. RP-1-12.
54.1.b Le document « American National Standard Practice for Office Lighting (RP-1-12) » de l'ANSI/IES fournit des cibles
d'éclairement maintenu recommandées pour différents types d'espaces par groupe d'âge. Pour les bureaux de
réception, RP-1-12 recommande une cible d'éclairement maintenu de 150 lux pour la tranche des 25 à 65 ans.
55.2.a
Le document « American National Standard Practice for Office Lighting (RP-1-12) » de l'ANSI/IES note que les
luminaires à des angles de plus de 53° au-dessus de l'horizontale peuvent causer de l'inconfort et que ceux-ci
doivent avoir une luminance inférieure à 8 000 cd/m².
176 Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Moisture Control Guidance for Building
Design, Construction and Maintenance (Conseils en matière de contrôle de l'humidité lors de la
conception, de la construction et de la maintenance des bâtiments). Washington, DC : Agence
américaine de protection de l'environnement ; Décembre 2013. EPA 402-F-13053.
12.1.a Le document EPA 402-F-13053 note qu'un contrôle efficace de l'infiltration d'eau exige de diriger les eaux de pluie
et d'irrigation vers l'extérieur du bâtiment.
12.1.b
Le document EPA 402-F-13053 note de concevoir des bâtiments de sorte que le niveau du sol intérieur soit situé audessus de la nappe phréatique locale.
12.1.c
Le document EPA 402-F-13053 note de concevoir des murs extérieurs pour gérer l'eau de pluie.
12.1.d Le document EPA 402-F-13053 conseille de prendre en compte certains éléments clés du comportement de
l'humidité, y compris les mécanismes de transport tels que l'humidité suintant à travers les matériaux poreux.
12.2.a
Le document EPA 402-F-13053 note que les canalisations ou les réservoirs du système de plomberie peuvent fuir et
diffuser de l'eau.
12.2.b
Le document EPA 402-F-13053 note que les problèmes d'humidité incluent les fuites dans les canalisations et
conduits sous pression des appareils qui utilisent de l'eau.
12.2.c Le document EPA 402-F-13053 conseille de prendre en compte certains éléments clés du comportement de
l'humidité, y compris les mécanismes de transport tels que l'humidité suintant à travers les matériaux poreux.
12.2.d
Le document EPA 402-F-13053 note d'« éviter d'enfermer des matériaux humides dans de nouvelles constructions
en protégeant les matériaux sensibles à l'humidité et poreux » dans le cadre d'une stratégie complète de contrôle
du mouvement de l'eau liquide.
12.3.a
Le document EPA 402-F-13053 note que dans les bâtiments de faible hauteur, les caves humides et les vides
sanitaires peuvent ajouter de la vapeur d'eau à l'air.
12.3.b Le document EPA 402-F-13053 note que l'air qui s'infiltre par les brèches du bâtiment représente une des sources
d'humidité les plus importantes.
12.3.c
Le document EPA 402-F-13053 note que la condensation peut être causée par un « point de rosée excessivement
élevé, des surfaces inhabituellement froides ou une combinaison des deux ».
12.3.d Le document EPA 402-F-13053 note que les « systèmes de refroidissement surdimensionnés ne résolvent pas les
problèmes de contrôle d'humidité mais qu'au contraire ils en créent ».
WELL Building Standard v1
Annexes
184
12.4.a Le document EPA 402-F-13053 conseille d'utiliser des matériaux capables de tolérer des cycles répétés
d'humidification et de séchage dans les zones humides. Le document note également que dans les bâtiments sous
des climats froids, il est particulièrement important de tenir compte du potentiel de condensation des vitrages.
12.4.b
Le document EPA 402-F-13053 note qu'une isolation extérieure et d'autres mesures peuvent intercepter la majeure
partie de l'eau de pluie et la diriger à l'extérieur du bâtiment.
12.4.c
Le document EPA 402-F-13053 conseille d'utiliser des matériaux capables de tolérer des cycles répétés
d'humidification et de séchage dans les zones humides.
12.4.d
Le document EPA 402-F-13053 conseille d'utiliser un revêtement d'isolation et des apprêts d'intérieur à faible perméabilité.
177 ASHRAE. Proposition de nouvelle norme 188, pour la prévention de la légionellose associée aux systèmes
de distribution de l'eau. Atlanta, État de Géorgie : ASHRAE ; Juin 2011. Norme BSR/ASHRAE 188P.
36.5.a Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE exige de constituer une équipe
composée de membres qui comprennent les systèmes d'alimentation en eau du bâtiment et les principes du plan.
36.5.b Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE exige que les équipes élaborent au
moins deux schémas de circulation des fluides cartographiant l'admission, le traitement et la distribution de l'eau
aux occupants.
36.5.c
Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE pour prévenir la légionellose prévoit
de mener une analyse du danger dans le bâtiment.
36.5.d Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE prévoit d'identifier les points de
contrôle critiques.
36.5.e Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE pour prévenir la légionellose prévoit
de surveiller les points de contrôle identifiés dans le bâtiment et d'établir des procédures correctives.
36.5.f
Le plan Analyse du danger et Point de contrôle critique proposé par l'ASHRAE pour prévenir la légionellose prévoit
d'établir des procédures de documentation et de vérification.
178 O’Neill M, Knoll, Inc. Office Ergonomics Standards: A Layperson’s Guide.
https://www.knoll.com/knollnewsdetail/office-ergonomic-standards. Publié en 2011. Consulté le 5 mai 2015.
73.3.a Les normes HFES concernent au moins 90 % de la main-d'œuvre d'Amérique du Nord. Le BIFMA G1 fournit des
recommandations pour dimensionner le mobilier afin qu'il soit adapté du 5e percentile féminin au 95e percentile
masculin de la population d'Amérique du Nord.
73.3.b
Les normes HFES concernent au moins 90 % de la main-d'œuvre d'Amérique du Nord. Le BIFMA G1 fournit des
recommandations pour dimensionner le mobilier afin qu'il soit adapté du 5e percentile féminin au 95e percentile
masculin de la population d'Amérique du Nord.
180 Wansink B. Smarter Lunchrooms. In: Slim By Design: Mindless Eating Solutions for Everyday Life
(Mince sans y penser : solutions d'alimentation pour chaque jour). New York, NY : HarperCollins
Publishers ; 2014 : 185-224.
38.2.a Dans Slim by Design, Wansink note qu'en une seule intervention dans une école, qui a consisté à éloigner le bar
à salade du mur, les ventes de salades avaient augmenté de 200 à 300 pour cent en quelques semaines.
181 Global Reporting Initiative. G4 Sustainability Reporting Guidelines: Reporting Principles and Standard
Disclosures (Directives de reporting de développement durable G4 : principes de communication
et révélations standard). https://www.globalreporting.org/resourcelibrary/GRIG4-Part1-ReportingPrinciples-and-Standard-Disclosures.pdf. Publié en 2013. Consulté le 9 juin 2015.
98.1.b
Les Directives de reporting de développement durable G4 définis par le Global Reporting Initiative offrent un cadre
de reporting de durabilité normalisé.
182 La Maison blanche. Mémorandum présidentiel — Modernisation des politiques de congé fédérales
en termes de naissance, d'adoption et d'accueil familial pour recruter et retenir les talents et améliorer
la productivité. https://www.whitehouse.gov/the-press-office/2015/01/15/presidential-memorandummodernizing-federal-leave-policies-childbirth-ad. Publié le 15 janvier 2015. Consulté le 11 juin 2015.
93.1.a Un mémorandum présidentiel émanant de la Maison blanche en 2015 instruit les agences fédérales de veiller à ce
que les employés bénéficient de 240 heures (l'équivalent de 6 semaines de travail) de congés maladie payés dans
les circonstances prévues par la loi, notamment la naissance ou l'adoption d'un enfant.
183 The Society of Light and Lighting. Éclairage du cadre bâti - Lighting Guide 13: Lighting for Places
of Worship (Guide d'éclairage 13 : Éclairage dans les lieux de culte). Angleterre : The Lavenham
Press ; 2014.
WELL Building Standard v1
Annexes
185
89.2.b Le document « Lighting Guide 13: Lighting for Places of Worship » du CIBSE note que les ampoules avec une
température de couleur proximale de 2 700 à 3 000 K pour les lieux de congrégation peuvent contribuer à rendre
ces endroits plus « chaleureux ».
184 Cohen RA. Impact of type of insurance plan on access and utilization of health care services for adults
aged 18-64 years with private health insurance (Impact du type de plan d'assurance sur l'accès et
l'utilisation des services de santé chez les adultes de 18 à 64 ans disposant d'une assurance santé
privée) : États-Unis, 2007-2008. Synthèse du NCHS. 2010(28): 1-8.
92.1.b Une synthèse datée de 2010 du NCHS signale que d'après l'enquête de santé menée à l'échelle nationale, pour les
adultes dotés d'une assurance privée, disposer d'un compte de dépense flexible ou d'un compte d'épargne santé
est associé à une augmentation de l'utilisation de certains services de soins de santé.
92.1.c
Une synthèse datée de 2010 du NCHS signale que d'après l'enquête de santé menée à l'échelle nationale, les
adultes dotés d'une assurance privée ne disposant pas d'un compte d'épargne santé étaient plus susceptibles de
négliger certains besoins de santé, par rapport à ceux disposant d'un compte d'épargne santé.
185 Cohen RA, Martinez ME. Health Insurance Coverage: Early Release of Estimates From the National
Health Interview Survey (Couverture d'assurance santé : Publication anticipée des estimations
résultant de l'enquête de santé nationale). Janvier à mars 2012. Atlanta, État de Géorgie : Centres de
contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). 2013.
92.1.a Un rapport du Centre national des statistiques de santé a conclu, sur la base des réponses fournies lors de l'enquête
nationale, qu'environ 45,5 millions de personnes aux États-Unis ne disposaient pas d'assurance de santé, et parmi
eux 18,5 % des sondés possédaient un emploi.
187 Département de la santé du Minnesota. Water Treatment Using Carbon Filters (GAC) (Traitement de
l'eau à l'aide de filtres à charbon (charbon actif en granulés)). http://www.health.state.mn.us/divs/eh/
hazardous/topics/gac1.pdf. Publié en 2013. Consulté le 10 juin 2015.
36.1.a
Le Département de la santé du Minnesota note qu'« un filtre à charbon actif en granulés est un moyen éprouvé pour
éliminer certains produits chimiques, notamment organiques, de l'eau. »
188 Bureau de l'eau de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Alternative Disinfectants
and Oxidants Guidance Manual (Guide des désinfectants et oxydants alternatifs). http://www.epa.gov/
ogwdw/mdbp/alternative_disinfectants_guidance.pdf. Publié en avril 1999. Consulté le 12 juin 2015.
36.3.a Le document « Alternative Disinfectants and Oxidants Guidance Manual » de l'EPA note que la plage d'UV optimale
est comprise entre 245 et 285 nm, ce qui correspond au rayonnement UV-C (200-280 nm).
WELL Building Standard v1
Annexes
186
Annexe C : Tables
Les tables suivantes sont citées en référence dans différentes exigences de la norme. L'initiale du nom de la table
est celle du chapitre du concept auquel il est fait référence, par exemple, « A » comme Air.
Table A1 : Surfaces fréquemment touchées
Table A2 : Pesticides à risque réduit
Table A3 : Restrictions sur les matériaux
Table A4 : Protocole de nettoyage
Table L1 : Ratio mélanopique
Table L2 : Réponse mélanopique et visuelle
Table N1 : Température de stockage des produits alimentaires
WELL Building Standard v1
Annexes
187
Table A1 : Surfaces fréquemment touchées
Ce sont des surfaces qui exigent un nettoyage plus fréquent et plus complet. Les protocoles de nettoyage
doivent lister les surfaces de ce type présentes dans le projet et intégrer les instructions de nettoyage
appropriées. Données issues de la liste de contrôle environnemental du CDC pour contrôler la désinfection.
Non poreuses
Dessus de table
Poignées de porte
Boutons d'ascenseur
Téléphones
Appareils numériques et claviers publics
Interrupteurs
Chaises
Barres et robinets de salle de bain
Surfaces de salle de bain
Poignées et lunettes de toilettes
Baignoires et parois/sol de cabine de douche
Surfaces intérieures de douche et de baignoire
Poignées et robinets de cuisine
Plans de travail de cuisine
Appareils médicaux non jetables
Rampes de lit
Plateaux de service et tables de lit
Poreuses
Tapis
Tissus d'ameublement rembourrés
Rideaux en tissus
Serviettes
Literie : draps, taies et édredons
WELL Building Standard v1
Annexes
188
Table A2 : Pesticides à risque réduit
Voici la liste complète des pesticides à risque réduit (niveau 3, le moins élevé en dangerosité) du Département de
l'environnement de la Ville de San Francisco.
Adjuvant
Nom
Code EPA/SF
Ingrédients
Competitor
2935-50173
Oléate d'éthyle
Pentrabark
83416-50001
Heptaméthyltrisiloxane modifié polyalkylène-oxyde
Bond Spreader-Sticker
34704-50033
Latex carboxylé synthétique 50 %,
alcool oxyalkylé aliphatique primaire 10 %
CMR Silicone Surfactant
1050775-50025 [INACTIF]
Polyméthylsiloxane, non ionique
Nom
Code EPA/SF
Ingrédients
Agri-Fos Systemic Fungicide
71962-1
Phosphite de potassium 45,8 %
Actinovate
73314-1
Streptomyces lydicus WYEC 108
Nom
Code EPA/SF
Ingrédients
Advion Ant Bait Arena (Dupont)
352-664
Indoxacarb 0,1 %
Advion Ant Gel (Dupont)
352-746
Indoxacarb 0,05 %
Advion Cockroach Bait Arena (Dupont)
352-668
Indoxacarb 0,5 %
Advion Cockroach Gel Bait (Dupont)
352-652 Indoxacarb 0,6 %
Insecticides Bacillus thuringiensis (démoustication exceptée)
Multiples
Bacillus thuringiensis (différentes sous-espèces)
BestYet Cedarcide
exemptprod- 009
Huile de noix de cèdre, silice amorphe
BotaniGard ES
65626-8 [INACTIF], 82074-1 [ACTIF]
Souche Beauveria bassiana GHA 11,3 %
Eco Exempt/Essentria Jet Wasp et Hornet Killer
exemptprod- 007
Propionate de 2-phénéthyle 2 %,
essence de romarin 3 %
Terro Ant Killer II, Terro Ant Killer II Liquid Ant Baits, Terro-PCO Liquid Ant Bait
149-8
Tétraborate de sodium
décahydraté 5,4 %
Fongicide
Insecticide
Essentria IC3
exemptprod- 013
oléate
Essence de romarin 10 %, géraniol 5 %,
essence de menthe poivrée 2 %,
essence de Wintergreen,
huile de paraffine, vanilline, polyglycéryl
Gentrol Point Source Roach Control Device
2724-469 Hydroprène 96 %
Intice Thiquid Ant Bait
73079-7
Borax 5 %
M-pede Insecticide/Fungicide
62719-515
Savon à la potasse 49 %
Niban Granular Bait (équivalent du Terro
Multipurpose Insect bait)
64405-2-AA
Acide borique 5 %
OhYeah!
exemptprod- 002
Laurylsulfate de sodium
Organocide
exemptprod- 010
Huile de sésame 5 %
WELL Building Standard v1
Annexes
189
Répulsif de mammifères
Nom
Code EPA/SF
Ingrédients
Shake-Away Coyote Urine Repellant
exemptprod 014
Urine de coyote 5 %, calcaire 95 %
Detour
exemptprod- 015
Poivre blanc 3 %, huile de parffine 87 %,
silice 10%
Nom
Code EPA/SF
Ingrédients
Sluggo Slug and Snail Bait
67702-3
Acide phosphorique, fer (3+) sel (1:1) 1 %
Molluscicide
WELL Building Standard v1
Annexes
190
Table A3 : Restrictions sur les matériaux
Cette table spécifie les produits chimiques nocifs que l'on trouve dans les matériaux de construction et qui sont
proscrits par le WELL Building Standard dans les éléments ci-dessous.
Élément : Sécurité fondamentale des matériaux
Nom chimique
CONDITION PRÉALABLE
CAS
Polychlorobiphényle
Polychlorobiphényles 1336-36-3
Plomb
Carbonate anhydre neutre PbCO3
598-63-0
Sulfate de plomb Pbx SO4
15739-80-7
Sulfate de plomb PbSO4 7446-14-2
Dihydroxybis (carbonate) de triplomb 2Pb CO3-Pb(OH)2
1319-46-6
Amiante
Amiante 1332-21-4
Actinolite
77536-66-4/12172-67-7
Anthophyllite 77536-67-5/17068-78-9
Amosite
12172-73-5/12172-73-5
Chrysotile
12001-29-5/12001-29-5
Crocidolite
12001-28-4/12001-28-4
Trémolite
77536-68-6/14567-73-8
Élément : Réduction des matières toxiques OPTIMISATION
Nom chimique
CAS
Polyuréthane
Diisocyanate d'hexaméthylène
822-06-0
Diisocyanate de diphénylméthylène
101-68-8/9016-87-9
Diisocyanates de toluène 584-84-9
Phtalates
Phtalate de dibutyle
84-74-2
Phtalate de diisodécyle
26761-40-0/68515-49-1
Phtalate de benzylbutyle
85-68-7
Phtalate de di-n-octyle
117-84-0
Phtalate de di-2-éthylhexyle
117-81-7
Phtalate de diisononyle
28553-12-0/68515-48-0
WELL Building Standard v1
Annexes
191
Retardateurs de flammes halogénés
Pentabromodiphényléther 182346-21-0
Phosphate de tris(2-chloroéthyle) 115-96-8
Hexabromocyclododécane 25637-99-4
Octabromodiphényléther 446255-56-7
Décabromodiphényléther 1163-19-5
Tétrabromobisphénol-A 79-94-7
Phosphate de tris(2-chloroisopropyle) 13674-84-5
Déchlorane Plus 13560-89-9
Résines à base de formaldéhyde
Phénol-formaldéhyde 9003-35-4
Urée-formaldéhyde 9011-05-6
Mélamine-formaldéhyde 82115-62-6
WELL Building Standard v1
Annexes
192
Table A4 : Protocole de nettoyage
Évaluation des pratiques de nettoyage
Un protocole de nettoyage amélioré est atteint par l'intermédiaire d'une évaluation de base avant l'incorporation
des modifications appropriées. La pratique de nettoyage d'un projet doit être évaluée afin de mieux incorporer
les changements et/ou ajouts appropriés.
Matériel de nettoyage
Les projets doivent mettre en œuvre un programme pour l'utilisation de matériels de nettoyage à énergie durable qui soient conformes au
Green Seal 42, la norme environnementale du service de nettoyage commercial et institutionnel, ou à son équivalent local pour les projets
en dehors des États-Unis. De plus, les exigences suivantes doivent être satisfaites :
1. Pour les projets réalisés dans des climats humides, selon l'ANSI/ASHRAE/IESNA 90.1-2007, des systèmes de nettoyage des tapis à
base de poudre doivent être utilisés à la place des systèmes d'extraction traditionnels.
2. Les équipements alimentés par batterie doivent être équipés de 2 piles sèches préférables pour l'environnement.
3. L'équipement doit être conçu avec des protections, comme des roulettes ou des amortisseurs de caoutchouc, afin de réduire les
dommages potentiels aux surfaces du bâtiment.
4. Il faut utiliser à chaque fois que possible des équipements éliminant ou réduisant l'utilisation de produits chimiques et considérés
comme des appareils de nettoyage selon l'EPA lorsqu'ils sont utilisés avec de l'eau et sans produits chimiques, y compris les
équipements à vapeur d'eau et les systèmes de nettoyage à pulvérisation/aspiration sans contact.
Protocole du programme
Au-delà du choix de produits plus sûrs, un bon programme de nettoyage exige une formation adéquate et l'utilisation de matériaux et de
produits verts. Les projets doivent adopter un programme de nettoyage répondant aux exigences suivantes :
1. Mesure et dilution des produits chimiques : Un système de contrôle, par exemple un distributeur mural pour les concentrés, qui
limite le contact direct et l'exposition des employés aux produits chimiques, garantit la bonne dilution des mélanges en évitant la
surutilisation ou le gaspillage.
2. Formation aux procédures : Séquencement des étapes de nettoyage et utilisation d'un équipement de protection individuelle.
3. Formation à la sécurité : Formation visant à réduire et à éviter les blessures liées aux manipulations et l'exposition aux matériaux
dangereux.
4. Formation continue annuelle : Formation à l'utilisation de produits, matériaux et équipements de nettoyage certifiés verts.
5. Formation aux achats : Formation du personnel d'achat à la sélection de matériaux de nettoyage verts.
WELL Building Standard v1
Annexes
193
Sélection des produits de nettoyage
Certificateurs d'éco-label : Design for the Environment (DfE), EcoLogo et Green Seal abordent les aspects de
santé humaine, de toxicité écologique et de devenir environnemental des ingrédients chimiques utilisés dans les
produits de nettoyage. En établissant des spécifications qui donnent la priorité aux ingrédients les moins nocifs
de leur classe, ces certificateurs d'éco-label réduisent les dangers potentiels associés à l'utilisation de produits de
nettoyage. Lors de la sélection des produits de nettoyage, tous les projets doivent se conformer aux directives
ci-dessous (provenant du LEED de l'U.S. Green Building Council concernant les bâtiments existants : système de
classement Exploitation et maintenance version 4). Pour les projets réalisés en dehors des États-Unis, tout type
de programme d'éco-labélisation de type 1 comme défini par l'ISO 14024: 1999 et développé par un membre du
réseau Global Ecolabelling Network peut être utilisé à la place des normes Green Seal ou UL EcoLogo.
Produits de nettoyage par classe fonctionnelle
Les produits de nettoyage doivent être conformes à la norme pertinente pour leur classe fonctionnelle ou scénario d'utilisation, ou à un
équivalent local pour les projets réalisés en dehors des États-Unis.
1. Green Seal GS-37, pour les cas d'utilisation générale, les nettoyants de salle de bain, de vitres et de moquette à usage industriel et
institutionnel.
2. UL EcoLogo 2792, pour les composés de nettoyage et de dégraissage.
3. UL EcoLogo 2759, pour les nettoyants de surfaces dures.
4. UL EcoLogo 2795, pour l'entretien des tapis, moquettes et tissus d'ameublement.
5. Green Seal GS-40, pour les produits d'entretien du sol à usage industriel ou institutionnel.
6. UL EcoLogo 2777, pour l'entretien des sols durs.
7. UL EcoLogo 2798, pour les additifs de digestion pour le nettoyage et le contrôle des odeurs.
8. UL EcoLogo 2791, pour les additifs de vidange et les additifs intercepteurs de graisse.
9. UL EcoLogo 2796, pour les additifs de contrôle des odeurs.
10. Green Seal GS-52/53, pour les produits de nettoyage spécialisés.
11. Norme pour des produits de nettoyage plus sûrs du programme Design for the Environment de l'EPA.
Produits d'hygiène des mains
Les savons et les désinfectants pour les mains doivent être conformes à la norme pertinente pour leur classe fonctionnelle ou scénario
d'utilisation, ou à un équivalent local pour les projets réalisés en dehors des États-Unis.
1. Aucun agent antimicrobien (autre qu'un conservateur) sauf exigence contraire des codes de santé et autres réglementations
(notamment en matière de service alimentaire et de soins de santé).
2. Green Seal GS-41, pour les produits de nettoyage des mains à usage industriel ou institutionnel.
3. UL EcoLogo 2784 ou Design for the Environment de l'EPA, pour les savons et les désinfectants pour les mains.
4. UL EcoLogo 2783, pour les désinfectants pour les mains.
5. Norme pour des produits de nettoyage plus sûrs du programme Design for the Environment de l'EPA.
Produits de nettoyage et d'entretien
Les lingettes de nettoyage et d'entretien jetables et les déchets doivent être conformes à la norme pertinente pour leur classe
fonctionnelle ou scénario d'utilisation, ou à un équivalent local pour les projets réalisés en dehors des États-Unis.
1. Directives d'approvisionnement de l'EPA pour les lingettes de nettoyage et d'entretien.
2. Green Seal GS-01, pour les mouchoirs, essuie-tout et serviettes en papier.
3. UL EcoLogo 175, pour le papier hygiénique.
4. UL EcoLogo 175, pour les essuie-mains.
5. Exigences de gestion des déchets intégrée de Californie (Titre 14, Chapitre 4, Article 5 du Code de réglementations de Californie
ou Programme 42290-42297 de recyclage du contenu des sacs poubelle en plastique du SABRC) ou directives d'approvisionnement
complètes de l'EPA concernant les sacs poubelle en plastique
WELL Building Standard v1
Annexes
194
Désinfection et assainissement
Les surfaces fréquemment touchées présentent un risque plus élevé de contamination, particulièrement dans
les zones de grand passage. Un protocole de nettoyage doit prendre en compte le degré de nécessité de la
désinfection et de l'assainissement. Une désinfection et un assainissement inutiles peuvent affecter négativement
la santé du système immunitaire. Bien qu'une exposition réduite aux microorganismes et aux parasites puisse
réduire également les cas de maladie, elle est également de plus en plus liée à une prévalence en hausse des
désordres de l'hypersensibilité et des maladies autoimmunes, en particulier dans les nations industrialisées.
Nettoyage pour la santé
Les projets doivent limiter la désinfection aux surfaces fréquemment touchées dans les zones comprenant notamment les toilettes, les
salles communes, les gymnases et salles de sport conformément à la norme Green Seal 42 pour les services de nettoyage commercial et
institutionnel, édition 2.1, 2013.
1. Désinfection (Section 4.6, à l'exception de la spécification de produit de la sous-section 4.6.2)
2. Entretien des toilettes (Section 4.7)
3. Salles de repas et de repos (Section 4.8)
Maintenance des entrées
L'entretien et la maintenance des entrées sont essentiels pour réduire l'introduction de poussières et de polluants
provenant de l'environnement extérieur. Des entrées propres et bien entretenues peuvent contribuer grandement
à l'amélioration de la qualité de l'air intérieur.
Entrées et halls
Pour réduire la migration des contaminants dans le bâtiment, les projets doivent adhérer aux directives de nettoyage et de maintenance
ci-dessous pour les entrées et les halls :
1. Les paillassons, intérieurs et extérieurs, doivent être nettoyés à l'eau tous les deux jours et laissés à sécher avant de resservir.
2. Le dos des paillassons d'entrée doit être nettoyé au moins une fois par jour et deux fois par jour en cas de mauvais temps.
3. Les paillassons d'entrée doivent être aspirés avec un aspirateur à fonction de barre de battage dans les deux directions, au moins
une fois par jour et deux fois par jour en cas de mauvais temps.
4. Des produits de déneigement non toxiques et sans danger pour l'environnement (non corrosifs, non phosphatés) doivent être
choisis pendant les mois d'hiver.
Gestion du flux des déchets
La réduction, le recyclage et la gestion des déchets peuvent aider à réduire la quantité de déchets envoyés
dans les décharges et les incinérateurs et contribuer à préserver les ressources brutes et naturelles. Un projet
doit disposer d'un programme actif de réduction et de recyclage des déchets, prévoyant notamment le
réacheminement des déchets naturels.
Collecte et recyclage des déchets
Le recyclage et la collecte des déchets du projet doivent :
1. Être conformes à la norme Green Seal 42 concernant les services de nettoyage commerciaux et institutionnels, Exigences de la
procédure de nettoyage, Collecte et recyclage des déchets, Section 4.9.
2. Fournir un protocole pour le réacheminement des déchets naturels à l'aide d'une stratégie qui comprenne l'utilisation de tondeuses
hacheuses, le compostage ou d'autres moyens similaires à faible impact.
Évaluation du flux des déchets
Un audit, comprenant une évaluation documentée des données, doit être exécuté conformément à la règle LEED EBOM-2009 MRc6 :
Gestion des déchets solides Audit du flux des déchets pour :
1. Obtenir des opportunités concrètes de réduction des déchets à la source.
2. Éduquer les occupants du bâtiment et le personnel de nettoyage sur la base des résultats de l'audit, et offrir des moyens efficaces
de réduction du flux des déchets.
WELL Building Standard v1
Annexes
195
Table A5 : Limites du mercure
Cette table indique les limites de mercure autorisées dans les ampoules, comme mentionné dans l'élément Sécurité
fondamentale des matériaux. Valeurs du prérequis Réduction de PBT à la source - Mercure du LEED
Fluorescente
Ampoule Ballast intégral compact Ballast non intégral compact T-5, circulaire T-5, linéaire T-8, huit pieds T-8, quatre pieds T-8, deux et trois pieds T-8, en forme de U Teneur en Hg maximale
3.5 mg
3.5 mg
9 mg
2.5 mg
10 mg
3.5 mg
3.5 mg
6 mg
Sodium à haute pression
Ampoule Teneur en Hg maximale
400 W ou moins Plus de 400 W WELL Building Standard v1
10 mg
32 mg
Annexes
196
Table L1 : Ratio mélanopique
Cette unité Équivalent lumière mélanopique (EML) a été proposée par Lucas et confrères (Lucas et al., « Measuring
and using light in the melanopsin age » (Mesure et utilisation de la lumière à l'ère de la mélanopsine). Trends in
Neuroscience, Jan. 2014). Les auteurs ont fourni une boîte à outils qui, pour un spectre voulu, dérive des équivalents
lumière « α-opiques » pour chacun des cinq photorécepteurs de l'œil (trois cônes, bâtonnets et ipRGC). Les auteurs ont
sélectionné des constantes d'échelle de sorte que les valeurs soient identiques les unes aux autres et conformes à la
définition standard de lux comme spectre lumineux d'énergie parfaitement uniforme (Illuminant E standard de la CIE).
Pour un spectre de lumière, chaque équivalent lumière α-opique est lié aux autres par une constante. La table ci-dessous
montre les exemples de rapports entre l'équivalent lumière mélanopique et le lux visuel standard pour plusieurs sources.
Pour calculer l'équivalent lumière mélanopique (EML), multipliez le lux visuel (L) conçu pour ou mesuré dans un
bâtiment par ce ratio (R) : EML = L × R. Par exemple, si des lumières incandescentes fournissent 200 lux dans un
espace, elles produisent également 108 équivalents lumière mélanopique. Si la lumière du jour est modélisée pour
fournir la même luminosité visuelle (200 lux), elle fournira également 220 équivalents lumière mélanopique.
Des ratios mélanopiques similaires peuvent être déterminés en incorporant le spectre de la source voulue dans les
calculs de la Table L2. Les projets sont encouragés à utiliser cette approche pour obtenir des résultats plus précis.
Les auteurs de cet article et l'IWBI disposent de feuilles de calcul facilitant ce calcul.
Source lumineuse CCT (K) Ratio
0.45
0.45
0.54
0.58
0.76
1.00
1.02
1.10
1.11
2700 LED 3000 Fluorescente 2800 Incandescente
4000 Fluorescente 4000 LED 5450 E CIE (Énergie égale) 6500 Fluorescente 6500 Lumière naturelle 7500 Fluorescente WELL Building Standard v1
Annexes
197
Table L2 : Réponse mélanopique et visuelle
Pour calculer le ratio mélanopique de la lumière, commencez par obtenir le flux lumineux de l'ampoule à chaque
incrément de 5 nm, soit auprès du fabricant, soit en le mesurant à l'aide d'un spectromètre. Multipliez ensuite le flux
par les courbes mélanopiques et visuelles fournies ci-dessous pour obtenir les réponses mélanopiques et visuelles.
Enfin, divisez la réponse mélanopique totale par la réponse visuelle totale et multipliez le quotient par 1,218.
Bien que les ipRGC aient une sensibilité de pointe à environ 480 nm, la réponse mélanopique monte à 490 nm
dans cette table car elle prend en compte le cristallin de l'œil adulte qui transmet préférentiellement les lumières
de longueur d'onde plus longue.
Longueur d'onde
Flux lumineux
Courbe
mélanopique
Réponse
mélanopique
Courbe visuelle
380
0.00092
0.00004
385
0.00167
0.00006
390
0.00309
0.00012
395
0.00588
0.00022
400
0.01143
0.00040
405
0.02281
0.00064
410
0.04615
0.00121
415
0.07948
0.00218
420
0.13724
0.00400
425
0.18710
0.00730
430
0.25387
0.01160
435
0.32068
0.01684
440
0.40159
0.02300
445
0.47400
0.02980
450
0.55372
0.03800
455
0.62965
0.04800
460
0.70805
0.06000
465
0.78522
0.07390
470
0.86029
0.09098
475
0.91773
0.11260
480
0.96560
0.13902
485
0.99062
0.16930
490
1.00000
0.20802
495
0.99202
0.25860
500
0.96595
0.32300
505
0.92230
0.40730
510
0.86289
0.50300
515
0.78523
0.60820
520
0.69963
0.71000
525
0.60942
0.79320
530
0.51931
0.86200
535
0.43253
0.91485
540
0.35171
0.95400
545
0.27914
0.98030
550
0.21572
0.99495
555
0.16206
1.00000
560
0.11853
0.99500
565
0.08435
0.97860
570
0.05870
0.95200
575
0.04001
0.91540
WELL Building Standard v1
Annexes
Réponse visuelle
198
Longueur d'onde
Flux lumineux
Courbe
mélanopique
Réponse
mélanopique
Courbe visuelle
580
0.02687
0.87000
585
0.01786
0.81630
590
0.01179
0.75700
595
0.00773
0.69490
600
0.00507
0.63100
605
0.00332
0.56680
610
0.00218
0.50300
615
0.00143
0.44120
620
0.00095
0.38100
625
0.00063
0.32100
630
0.00042
0.26500
635
0.00028
0.21700
640
0.00019
0.17500
645
0.00013
0.13820
650
0.00009
0.10700
655
0.00006
0.08160
660
0.00004
0.06100
665
0.00003
0.04458
670
0.00002
0.03200
675
0.00001
0.02320
680
0.00001
0.01700
685
0.00001
0.01192
690
0.00000
0.00821
695
0.00000
0.00572
700
0.00000
0.00410
705
0.00000
0.00293
710
0.00000
0.00209
715
0.00000
0.00148
720
0.00000
0.00105
725
0.00000
0.00074
730
0.00000
0.00052
735
0.00000
0.00036
740
0.00000
0.00025
745
0.00000
0.00017
750
0.00000
0.00012
755
0.00000
0.00008
760
0.00000
0.00006
765
0.00000
0.00004
770
0.00000
0.00003
775
0.00000
0.00002
780
0.00000
0.00001
Réponse visuelle
Totaux
WELL Building Standard v1
Annexes
199
Annexe D : Types d'éléments et méthodes de vérification
Les parties du WELL Building Standard entrent dans l'une des trois catégories suivantes en fonction de
l'intervention requise pour leur exécution : éléments de conception, protocoles ou normes de performance.
Les normes de conception exigent l'utilisation d'une technologie ou d'une stratégie de conception spécifique.
Les protocoles sont également prescriptifs mais pour les politiques ou les calendriers des bâtiments ou des
entreprises. Les normes basées sur les performances exigent des conditions environnementales et sont dès lors
affectées par la conception et l'exploitation du bâtiment. Elles sont également neutres vis-à-vis de la technologie
et de la pratique, ce qui offre une certaine flexibilité quant à la manière avec laquelle un projet atteint les seuils
quantifiés acceptables.
La table suivante indique également le type de documentation pertinent (le cas échéant) pour chaque partie
d'élément. Les équipes de projet doivent consulter cette table pour savoir quels documents soumettre pour
démontrer que la partie a été satisfaite, ou pour savoir si aucune action n'est nécessaire car un évaluateur vérifiera
la partie sur site lors de la vérification des performances.
AIR
Lettres
de garanties
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 01 : NORMES DE QUALITÉ DE L'AIR
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
NORMES RELATIVES AUX SUBSTANCES VOLATILES
PARTIE 2 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
NORMES RELATIVES AUX MATIÈRES PARTICULAIRES
ET AUX GAZ INORGANIQUES
PARTIE 3 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
RADON
ÉLÉMENT 02 : INTERDICTION DE FUMER
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
INTERDICTION DE FUMER À L'INTÉRIEUR
PARTIE 2 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
INTERDICTION DE FUMER À L'EXTÉRIEUR
ÉLÉMENT 03 : EFFICACITÉ DE LA VENTILATION
PARTIE 1 (Conception)
MEP
CONCEPTION DE LA VENTILATION
PARTIE 2 (Conception)
MEP
VENTILATION À LA DEMANDE
PARTIE 3 (Conception)
RAPPORT DE
MISE EN SERVICE
ÉQUILIBRAGE DU SYSTÈME
WELL Building Standard v1
Annexes
200
Lettres
de garanties
AIR
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 04 : RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE COV
PARTIE 1 (Conception)
PEINTURES ET REVÊTEMENTS INTÉRIEURS
PARTIE 2 (Conception)
COLLES ET ENDUITS INTÉRIEURS
PARTIE 3 (Conception)
REVÊTEMENT DE SOL
PARTIE 4 (Conception)
ISOLATION
PARTIE 5 (Conception)
MOBILIER ET AMEUBLEMENT
ARCHITECTE
ARCHITECTE
ARCHITECTE
ARCHITECTE
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 05 : FILTRATION DE L'AIR
PARTIE 1 (Conception)
ESPACE PRÉVU POUR LES FILTRES
PARTIE 2 (Conception)
FILTRATION DES PARTICULES
MEP
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
MEP
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PARTIE 3 (Conception)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
SURVEILLANCE DE LA FILTRATION DE L'AIR
ÉLÉMENT 06 : CONTRÔLE DES MICROBES ET MOISISSURES
PARTIE 1 (Conception)
MEP
RÉDUCTION DES MOISISSURES DU SERPENTIN DE
REFROIDISSEMENT
PARTIE 2 (Performance)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
INSPECTION
VISUELLE
INSPECTIONS DES MOISISSURES
ÉLÉMENT 07 : GESTION DE LA POLLUTION DE LA CONSTRUCTION
PARTIE 1 (Protocole)
PROTECTION DES CANALISATIONS
PARTIE 2 (Protocole)
REMPLACEMENT DE FILTRE
PARTIE 3 (Protocole)
GESTION DE L'ABSORPTION DE COV
PARTIE 4 (Protocole)
RÉTENTION ET ÉLIMINATION DES POUSSIÈRES
SOUS-TRAITANT
SOUS-TRAITANT
SOUS-TRAITANT
SOUS-TRAITANT
ÉLÉMENT 08 : ENTRÉE SAINE
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
SYSTÈMES D'HYGIÈNE PERMANENTS AUX ENTRÉES
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ÉTANCHÉITÉ À L'AIR DES ENTRÉES
WELL Building Standard v1
Annexes
201
Lettres
de garanties
AIR
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 09 : PROTOCOLE DE NETTOYAGE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
PARTIE 1 (Protocole)
PLAN DE NETTOYAGE DES ESPACES OCCUPÉS
ÉLÉMENT 10 : GESTION DES PESTICIDES
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
PARTIE 1 (Protocole)
UTILISATION DE PESTICIDES
ÉLÉMENT 11 : SÉCURITÉ FONDAMENTALE DES MATÉRIAUX
PARTIE 1 (Conception)
RESTRICTION APPLICABLE À L'AMIANTE ET AU PLOMB
ARCHITECTE
RAPPORT
DE RÉHABILITATION
PARTIE 2 (Protocole)
RÉDUCTION DE LA TENEUR EN PLOMB
PARTIE 3 (Protocole)
RAPPORT
DE RÉHABILITATION
DÉSAMIANTAGE
PARTIE 4 (Protocole)
RAPPORT
DE RÉHABILITATION
RÉDUCTION DE LA TENEUR EN
POLYCHLOROBIPHÉNYLES
PARTIE 5 (Conception)
ARCHITECTE
LIMITATION DE L'UTILISATION DU MERCURE
ÉLÉMENT 12 : GESTION DE L'HUMIDITÉ
PARTIE 1 (Conception)
DESCRIPTIF
PROFESSIONNEL
GESTION DES EAUX LIQUIDES PROVENANT DE
L'EXTÉRIEUR
PARTIE 2 (Conception)
DESCRIPTIF
PROFESSIONNEL
GESTION DES EAUX LIQUIDES PROVENANT DE
L'INTÉRIEUR
PARTIE 3 (Conception)
DESCRIPTIF
PROFESSIONNEL
GESTION DE LA CONDENSATION
PARTIE 4 (Conception)
DESCRIPTIF
PROFESSIONNEL
SÉLECTION ET PROTECTION DES MATÉRIAUX
ÉLÉMENT 13 : RENOUVELLEMENT DE L’AIR
PARTIE 1 (Protocole)
SOUS-TRAITANT
RENOUVELLEMENT DE L'AIR
ÉLÉMENT 14 : GESTION DE L'INFILTRATION DE L'AIR
PARTIE 1 (Conception)
RAPPORT DE
MISE EN SERVICE
TEST DE FUITES D'AIR
ÉLÉMENT 15 : VENTILATION ACCRUE
PARTIE 1 (Conception)
MEP
ALIMENTATION ACCRUE EN AIR FRAIS
ÉLÉMENT 16 : CONTRÔLE DE L'HUMIDITÉ
PARTIE 1 (Conception)
MEP
HUMIDITÉ RELATIVE
WELL Building Standard v1
Annexes
RELEVÉS
PONCTUELS
202
Lettres
de garanties
AIR
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 17 : VENTILATION À SOURCE DIRECTE
PARTIE 1 (Conception)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
MEP
ISOLATION ET ÉVACUATION DE LA POLLUTION
ÉLÉMENT 18 : SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'AIR ET COMMUNICATION DE SUIVI
PARTIE 1 (Conception)
MEP
SURVEILLANCE DE L'AIR INTÉRIEUR
PARTIE 2 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONSIGNATION DES DONNÉES SUR L'AIR ET ACTIONS
CORRECTIVES
PARTIE 3 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
AFFICHAGE DES MESURES ENVIRONNEMENTALES
ÉLÉMENT 19 : FENÊTRES OUVRANTES
PARTIE 1 (Conception)
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE TOTAL
PARTIE 2 (Conception)
MESURE DE L'AIR EXTÉRIEUR
PARTIE 3 (Conception)
GESTION DU FONCTIONNEMENT DES FENÊTRES
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 20 : SYSTÈMES D'ALIMENTATION EN AIR EXTÉRIEUR
PARTIE 1 (Conception)
SYSTÈMES DÉDIÉS D'ALIMENTATION EN AIR EXTÉRIEUR
MEP
ÉLÉMENT 21 : VENTILATION PAR DÉPLACEMENT
PARTIE 1 (Conception)
CONCEPTION ET UTILISATION DE LA VENTILATION PAR
DÉPLACEMENT
PARTIE 2 (Conception)
MEP
MEP
PERFORMANCE DU SYSTÈME
ÉLÉMENT 22 : LUTTE ANTIPARASITAIRE
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
RÉDUCTION DES PARASITES
PARTIE 2 (Performance)
INSPECTION
VISUELLE
INSPECTIONS DES PARASITES
ÉLÉMENT 23 : PURIFICATION DE L'AIR AVANCÉE
PARTIE 1 (Conception)
FILTRATION AU CHARBON
PARTIE 2 (Conception)
ASSAINISSEMENT DE L'AIR
PARTIE 3 (Protocole)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
MEP
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'AIR
WELL Building Standard v1
MEP
Annexes
203
Lettres
de garanties
AIR
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 24 : MINIMISATION DE LA COMBUSTION
PARTIE 1 (Conception)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
INTERDICTION DES APPAREILS ET DU CHAUFFAGE
À COMBUSTION
PARTIE 2 (Conception)
MEP
SOURCES DE COMBUSTION À FAIBLE TAUX D'ÉMISSION
PARTIE 3 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
RÉDUCTION DES GAZ D'ÉCHAPPEMENT
PARTIE 4 (Protocole)
SOUS-TRAITANT
ÉQUIPEMENT DE CONSTRUCTION
ÉLÉMENT 25 : RÉDUCTION DES MATIÈRES TOXIQUES
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
LIMITATION DE L'UTILISATION DE COMPOSÉS
PERFLUORÉS
PARTIE 2 (Conception)
ARCHITECTE
LIMITES DES RETARDATEURS DE FLAMMES
PARTIE 3 (Conception)
ARCHITECTE
LIMITATION DE L'UTILISATION DE PHTALATES
(PLASTIFIANTS)
PARTIE 4 (Conception)
ARCHITECTE
LIMITATION DE L'UTILISATION DU POLYURÉTHANE
À BASE D'ISOCYANATE
PARTIE 5 (Conception)
RESTRICTION APPLICABLE À L'URÉE-FORMALDÉHYDE
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 26 : SÉCURITÉ AMÉLIORÉE DES MATÉRIAUX
PARTIE 1 (Conception)
SÉLECTION RIGOUREUSE DES MATÉRIAUX
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 27 : ACTIVITÉ ANTIMICROBIENNE POUR LES SURFACES
PARTIE 1 (Conception)
SURFACES FRÉQUEMMENT TOUCHÉES
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 28 : ENVIRONNEMENT NETTOYABLE
PARTIE 1 (Conception)
PROPRIÉTÉS DES MATÉRIAUX
PARTIE 2 (Conception)
NETTOYABILITÉ
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 29 : MATÉRIEL DE NETTOYAGE
PARTIE 1 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
MATÉRIELS ET PRODUITS DE NETTOYAGE
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
STOCKAGE DE PRODUITS CHIMIQUES
WELL Building Standard v1
Annexes
204
Lettres
de garanties
EAU
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 30 : QUALITÉ FONDAMENTALE DE L'EAU
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
SÉDIMENT
PARTIE 2 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
MICROORGANISMES
ÉLÉMENT 31 : CONTAMINANTS INORGANIQUES
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
MÉTAUX DISSOUS
ÉLÉMENT 32 : CONTAMINANTS ORGANIQUES
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
POLLUANTS ORGANIQUES
ÉLÉMENT 33 : CONTAMINANTS AGRICOLES
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
HERBICIDES ET PESTICIDES
PARTIE 2 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
ENGRAIS
ÉLÉMENT 34 : ADDITIFS À L'EAU COURANTE
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
DÉSINFECTANTS
TEST DE
PERFORMANCE
PARTIE 2 (Performance)
SOUS-PRODUITS DE DÉSINFECTION
PARTIE 3 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
FLUORURE
ÉLÉMENT 35 : TESTS PÉRIODIQUES DE LA QUALITÉ DE L'EAU
PARTIE 1 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
TEST TRIMESTRIEL
PARTIE 2 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONSIGNATION DES DONNÉES SUR L'EAU ET ACTIONS
CORRECTIVES
ÉLÉMENT 36 : TRAITEMENT DE L'EAU
PARTIE 1 (Conception)
ÉLIMINATION DES PRODUITS CHIMIQUES ORGANIQUES
PARTIE 2 (Conception)
FILTRE À SÉDIMENTS
PARTIE 3 (Conception)
ÉLIMINATION MICROBIENNE
PARTIE 4 (Protocole)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
MEP
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
MEP
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L'EAU
PARTIE 5 (Conception)
DESCRIPTIF
PROFESSIONNEL
CONTRÔLE DE LA LÉGIONELLOSE
WELL Building Standard v1
MEP
Annexes
205
Lettres
de garanties
EAU
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 37 : PROMOTION DE L'EAU POTABLE
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
PROPRIÉTÉS GUSTATIVES DE L'EAU POTABLE
PARTIE 2 (Conception)
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
ACCÈS À L'EAU POTABLE
PARTIE 3 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
ENTRETIEN DU DISTRIBUTEUR D'EAU
Lettres
de garanties
NUTRITION
Documents
annotés
Vérifications
sur site
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 38 : FRUITS ET LÉGUMES
PARTIE 1 (Protocole)
DIVERSITÉ DE FRUITS ET LÉGUMES
PARTIE 2 (Protocole)
ENCOURAGEMENT À LA CONSOMMATION DE FRUITS
ET LÉGUMES
ÉLÉMENT 39 : PRODUITS ALIMENTAIRES TRANSFORMÉS
PARTIE 1 (Protocole)
RESTRICTIONS APPLICABLES AUX COMPOSANTS
RAFFINÉS
PARTIE 2 (Protocole)
INTERDICTION DES ACIDES GRAS TRANS
ÉLÉMENT 40 : ALLERGIES ALIMENTAIRES
PARTIE 1 (Protocole)
ÉTIQUETAGE RELATIF AUX ALLERGIES ALIMENTAIRES
ÉLÉMENT 41 : LAVAGE DES MAINS
PARTIE 1 (Protocole)
MATÉRIEL POUR LE LAVAGE DES MAINS
PARTIE 2 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
RÉDUCTION DE LA CONTAMINATION
PARTIE 3 (Conception)
DIMENSIONS DES ÉVIERS
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 42 : CONTAMINATION ALIMENTAIRE
PARTIE 1 (Conception)
STOCKAGE AU FROID
ÉLÉMENT 43 : INGRÉDIENTS ARTIFICIELS
PARTIE 1 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
ÉTIQUETAGE DES SUBSTANCES ARTIFICIELLES
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 44 : INFORMATIONS NUTRITIONNELLES
PARTIE 1 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
INFORMATIONS NUTRITIONNELLES DÉTAILLÉES
WELL Building Standard v1
Annexes
206
NUTRITION
Lettres
de garanties
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 45 : PUBLICITÉ ALIMENTAIRE
PARTIE 1 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
PANNEAUX PUBLICITAIRES ET ENVIRONNEMENTAUX
PARTIE 2 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
MESSAGES NUTRITIONNELS
ÉLÉMENT 46 : MATÉRIELS DE PRÉPARATION DES ALIMENTS SANS RISQUE
PARTIE 1 (Protocole)
MATÉRIEL DE CUISINE
PARTIE 2 (Protocole)
SURFACES DE DÉCOUPE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 47 : TAILLE DES PORTIONS
PARTIE 1 (Protocole)
PORTIONS DES REPAS
PARTIE 2 (Protocole)
DIMENSIONS DE LA VAISSELLE
ÉLÉMENT 48 : RÉGIMES SPÉCIAUX
PARTIE 1 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
ALTERNATIVES ALIMENTAIRES
ÉLÉMENT 49 : PRODUCTION ALIMENTAIRE RESPONSABLE
PARTIE 1 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
AGRICULTURE DURABLE
PARTIE 2 (Protocole)
CALENDRIER
D'EXPLOITATION
AGRICULTURE PLUS HUMAINE
ÉLÉMENT 50 : STOCKAGE DES ALIMENTS
PARTIE 1 (Conception)
CAPACITÉ DE STOCKAGE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 51 : PRODUCTION ALIMENTAIRE
PARTIE 1 (Conception)
ESPACE DE JARDINAGE
PARTIE 2 (Conception)
AIDE À LA PLANTATION
ÉLÉMENT 52 : ALIMENTATION CONSCIENTE
PARTIE 1 (Conception)
PLAN
ARCHITECTURAL
ESPACES DE RESTAURATION
PARTIE 2 (Conception)
MOBILIERS POUR COINS DE DÉTENTE
WELL Building Standard v1
ARCHITECTE
Annexes
207
Lettres
de garanties
LUMIÈRE
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 53 : AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES EN TERMES DE QUALITÉ VISUELLE
PARTIE 1 (Conception)
ACUITÉ VISUELLE POUR LA CONCENTRATION
PARTIE 2 (Conception)
STRATÉGIES DE GESTION DE LA LUMINOSITÉ
ARCHITECTE
RELEVÉS
PONCTUELS
ARCHITECTE
RELEVÉS
PONCTUELS
ÉLÉMENT 54 : AMÉNAGEMENT DES ÉCLAIRAGES SELON LES RYTHMES CIRCADIENS
PARTIE 1 (Conception)
INTENSITÉ MÉLANOPIQUE DE LA LUMIÈRE POUR LES
ZONES DE TRAVAIL
RELEVÉS
PONCTUELS
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 55 : CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT DE LA LUMIÈRE ÉLECTRIQUE
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
PROTECTION DES AMPOULES
PARTIE 2 (Conception)
ARCHITECTE
MINIMISATION DE L'ÉBLOUISSEMENT
ÉLÉMENT 56 : CONTRÔLE DE L'ÉBLOUISSEMENT SOLAIRE
PARTIE 1 (Conception)
OMBRAGE DES FENÊTRES
PARTIE 2 (Conception)
GESTION DE LA LUMIÈRE NATURELLE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 57 : CONCEPTION D'ESPACE DE TRAVAIL À FAIBLE ÉBLOUISSEMENT
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
MESURES ANTI-ÉBLOUISSEMENT
ÉLÉMENT 58 : QUALITÉ DE LA COULEUR
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
INDICE DE RENDU DE COULEUR
ÉLÉMENT 59 : CONCEPTION DES SURFACES
PARTIE 1 (Conception)
RÉFLECTIVITÉ DES SURFACES DES ZONES DE TRAVAIL
ET D'APPRENTISSAGE
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 60 : COMMANDES AUTOMATIQUES D'OMBRAGE ET D'INTENSITÉ D'ÉCLAIRAGE
PARTIE 1 (Conception)
CONTRÔLE AUTOMATISÉ DE LA LUMIÈRE DU SOLEIL
PARTIE 2 (Conception)
VARIATEUR DE LUMIÈRE
ARCHITECTE
ARCHITECTE
ÉLÉMENT 61 : DROIT À LA LUMIÈRE
PARTIE 1 (Conception)
PROFONDEUR DU LOGEMENT
PARTIE 2 (Conception)
ACCÈS AUX FENÊTRES
WELL Building Standard v1
Annexes
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
208
Lettres
de garanties
LUMIÈRE
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 62 : MODÉLISATION DE LA LUMIÈRE NATURELLE
PARTIE 1 (Conception)
PLAN
ARCHITECTURAL
EXPOSITION SAINE AU SOLEIL
ÉLÉMENT 63 : FENÊTRAGE SELON L'ÉCLAIRAGE NATUREL
PARTIE 1 (Conception)
TAILLES DES FENÊTRES DANS LES ESPACES DE TRAVAIL
ET D'APPRENTISSAGE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
Documents
annotés
Vérifications
sur site
PARTIE 2 (Conception)
TRANSMISSION LUMINEUSE DES FENÊTRES DANS LES
ZONES DE TRAVAIL ET D'APPRENTISSAGE
PARTIE 3 (Conception)
TRANSMISSION UNIFORME DE LA COULEUR
FORME PHYSIQUE
ARCHITECTE
ARCHITECTE
Lettres
de garanties
ÉLÉMENT 64 : CIRCULATION INTÉRIEURE FAVORISANT L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ACCESSIBILITÉ DES ESCALIERS
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
INCITATION À L'UTILISATION DES ESCALIERS
PARTIE 3 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ESTHÉTIQUE FACILITATIVE
ÉLÉMENT 65 : PROGRAMMES D'INCITATION À L'ACTIVITÉ
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
PROGRAMMES D'INCITATION À L'ACTIVITÉ
ÉLÉMENT 66 : ENCADREMENT DE L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
PROGRAMMES DE FITNESS PROFESSIONNELS
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
COURS DE FITNESS
ÉLÉMENT 67 : CONCEPTION ACTIVE DES EXTÉRIEURS
PARTIE 1 (Conception)
AMÉNAGEMENTS PIÉTONNIERS
PARTIE 2 (Conception)
PROMOTION DE LA MARCHE À PIEDS
PARTIE 3 (Conception)
LIENS AVEC LE VOISINAGE
WELL Building Standard v1
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
Annexes
209
Lettres
de garanties
FORME PHYSIQUE
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 68 : ESPACES DÉDIÉS AUX ACTIVITÉS PHYSIQUES
PARTIE 1 (Conception)
PLAN
ARCHITECTURAL
ESPACES DISPONIBLES SUR LE SITE
PARTIE 2 (Conception)
ARCHITECTE
ESPACES EXTÉRIEURS D'EXERCICE PHYSIQUE
ÉLÉMENT 69 : PROMOTION DES TRANSPORTS ACTIFS
PARTIE 1 (Conception)
STOCKAGE ET ENTRETIEN DES VÉLOS
PARTIE 2 (Conception)
VESTIAIRES ET DOUCHES
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 70 : APPAREILS DE FITNESS
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ÉQUIPEMENT D'EXERCICES CARDIORESPIRATOIRES
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
APPAREILS DE MUSCULATION
ÉLÉMENT 71 : AMEUBLEMENT ACTIF
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
POSTES DE TRAVAIL ACTIFS
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
PRÉDOMINANCE DES BUREAUX DEBOUT
Lettres
de garanties
CONFORT
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 72 : NORMES DE CONCEPTION ACCESSIBLE ADA
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
RÉGLEMENTATIONS ADA
ÉLÉMENT 73 : ERGONOMIE : VISUELLE ET PHYSIQUE
PARTIE 1 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ERGONOMIE VISUELLE
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
FLEXIBILITÉ DE LA HAUTEUR DES BUREAUX
PARTIE 3 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
FLEXIBILITÉ DES SIÈGES
ÉLÉMENT 74 : INTRUSION DU BRUIT EXTÉRIEUR
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
NIVEAU DE PRESSION ACOUSTIQUE
WELL Building Standard v1
Annexes
210
Lettres
de garanties
CONFORT
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 75 : BRUIT GÉNÉRÉ À L'INTÉRIEUR
PARTIE 1 (Protocole)
ARCHITECTE
PLANIFICATION ACOUSTIQUE
PARTIE 2 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
NIVEAUX SONORES DES ÉQUIPEMENTS MÉCANIQUES
ÉLÉMENT 76 : CONFORT THERMIQUE
PARTIE 1 (Conception)
ENVIRONNEMENT THERMIQUE VENTILÉ
PARTIE 2 (Conception)
ADAPTATION THERMIQUE NATURELLE
MEP
RELEVÉS
PONCTUELS
MEP
RELEVÉS
PONCTUELS
ÉLÉMENT 77 : CONFORT OLFACTIF
PARTIE 1 (Conception)
PLAN
ARCHITECTURAL
SÉPARATION DE LA SOURCE
ÉLÉMENT 78 : TEMPS DE RÉVERBÉRATION
PARTIE 1 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
TEMPS DE RÉVERBÉRATION
ÉLÉMENT 79 : MASQUAGE SONORE
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
UTILISATION DU MASQUAGE SONORE
PARTIE 2 (Performance)
TEST DE
PERFORMANCE
LIMITES DE MASQUAGE SONORE
ÉLÉMENT 80 : SURFACES D'ATTÉNUATION DE BRUIT
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
PLAFONDS
PARTIE 2 (Conception)
ARCHITECTE
MURS
ÉLÉMENT 81 : BARRIÈRES SONORES
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
SPÉCIFICATIONS DE LA CONSTRUCTION DES MURS
PARTIE 2 (Conception)
ARCHITECTE
CARACTÉRISTIQUES DES PORTES
PARTIE 3 (Conception)
SOUS-TRAITANT
MÉTHODOLOGIE DE LA CONSTRUCTION DES MURS
ÉLÉMENT 82 : CONTRÔLE THERMIQUE INDIVIDUEL
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT
DE POLITIQUE
EMPLACEMENTS LIBRES
PARTIE 2 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
APPAREILS INDIVIDUELS DE CONFORT THERMIQUE
WELL Building Standard v1
Annexes
211
Lettres
de garanties
CONFORT
Documents
annotés
Vérifications
sur site
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 83 : CONFORT THERMIQUE PAR RAYONNEMENT
PARTIE 1 (Conception)
MEP
HALLS ET AUTRES ESPACES COMMUNS ET PUBLICS
PARTIE 2 (Conception)
MEP
BUREAUX ET AUTRES ESPACES RÉGULIÈREMENT
OCCUPÉS
Lettres
de garanties
ESPRIT
ÉLÉMENT 84 : SENSIBILISATION EN MATIÈRE DE SANTÉ ET DE BIEN-ÊTRE
PARTIE 1 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
Guide WELL Building Standard
PARTIE 2 (Protocole)
INSPECTION
VISUELLE
BIBLIOTHÈQUE SUR LES THÈMES DE LA SANTÉ ET DU
BIEN-ÊTRE
ÉLÉMENT 85 : CONCEPTION INTÉGRÉE
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
CONSULTATION DES PARTIES PRENANTES
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
PLAN DE DÉVELOPPEMENT
PARTIE 3 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
ORIENTATION DES PARTIES PRENANTES
ÉLÉMENT 86 : ENQUÊTES POST-OCCUPATION
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
CONTENU DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES OCCUPANTS
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
COMMUNICATION DES INFORMATIONS
ÉLÉMENT 87 : ESTHÉTISME ET CONCEPTION I
PARTIE 1 (Conception)
ESTHÉTISME ET CONCEPTION RÉFLÉCHIE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 88 : BIOPHILIE I - ASPECT QUALITATIF
PARTIE 1 (Conception)
INTÉGRATION DE LA NATURE
PARTIE 2 (Conception)
INTÉGRATION D'UN MODÈLE
PARTIE 3 (Conception)
INTERACTION AVEC LA NATURE
WELL Building Standard v1
Annexes
212
Lettres
de garanties
ESPRIT
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 89 : ESPACES ADAPTABLES
PARTIE 1 (Conception)
GESTION DES STIMULI
PARTIE 2 (Conception)
CONFIDENTIALITÉ
PARTIE 3 (Conception)
GESTION DE L'ESPACE
PARTIE 4 (Protocole)
AIDE AU SOMMEIL SUR LE LIEU DE TRAVAIL
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 90 : BONNES PRATIQUES DE SOMMEIL
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
AIDE AU SOMMEIL HORS DU LIEU DE TRAVAIL
ÉLÉMENT 91 : VOYAGE D'AFFAIRES
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
POLITIQUE DES DÉPLACEMENTS
ÉLÉMENT 92 : MISE EN PLACE D'UNE POLITIQUE DE SANTÉ
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
PRESTATIONS-MALADIE
ÉLÉMENT 93 : SOUTIEN FAMILIAL SUR LE LIEU DE TRAVAIL
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
CONGÉ PARENTAL
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
AIDES DE L'EMPLOYEUR À LA GARDE D'ENFANTS
PARTIE 3 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
AIDE AUX FAMILLES
ÉLÉMENT 94 : AUTOSURVEILLANCE
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
CAPTEURS ET DISPOSITIFS PORTATIFS
ÉLÉMENT 95 : GESTION DU STRESS ET DES DÉPENDANCES
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
SOUTIEN MORAL ET COMPORTEMENTAL
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
GESTION DU STRESS
ÉLÉMENT 96 : ALTRUISME
PARTIE 1 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
ACTIVITÉS CARITATIVES
PARTIE 2 (Protocole)
DOCUMENT DE
POLITIQUE
DONS CARITATIFS
WELL Building Standard v1
Annexes
213
Lettres
de garanties
ESPRIT
Documents
annotés
Vérifications
sur site
ÉLÉMENT 97 : TRANSPARENCE DES MATÉRIAUX
PARTIE 1 (Conception)
ARCHITECTE
INFORMATIONS SUR LES MATÉRIAUX
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
INFORMATIONS ACCESSIBLES
ÉLÉMENT 98 : TRANSPARENCE ORGANISATIONNELLE
PARTIE 1 (Protocole)
PARTICIPATION TRANSPARENTE AU PROGRAMME
DOCUMENT DE
POLITIQUE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
PLAN
ARCHITECTURAL
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 99 : ESTHÉTISME ET CONCEPTION II
PARTIE 1 (Conception)
HAUTEUR DE PLAFOND
PARTIE 2 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
ŒUVRE D'ART
PARTIE 3 (Conception)
INSPECTION
VISUELLE
FAMILIARITÉ SPATIALE
ÉLÉMENT 100 : BIOPHILIE II - ASPECT QUANTITATIF
PARTIE 1 (Conception)
BIOPHILIE EXTÉRIEURE
PARTIE 2 (Conception)
BIOPHILIE INTÉRIEURE
PARTIE 3 (Conception)
POINT D'EAU
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ARCHITECTE
CONTRÔLE
ALÉATOIRE
ÉLÉMENT 101 : ÉLÉMENT D'INNOVATION I
PARTIE 1 (Innovation)
PROPOSITION
D'INNOVATION
INNOVATION 1 - PROPOSITION
PARTIE 2 (Innovation)
PROPOSITION
D'INNOVATION
INNOVATION 1 - SOUTIEN
ÉLÉMENT 102 : ÉLÉMENT D'INNOVATION II
PARTIE 1 (Protocole)
PROPOSITION
D'INNOVATION
INNOVATION 2 - PROPOSITION
PARTIE 2 (Innovation)
PROPOSITION
D'INNOVATION
INNOVATION 2 - SOUTIEN
WELL Building Standard v1
Annexes
214
Annexe E : Similarités avec LEED v4
L'IWBI et l'USGBC partagent des processus de certification et des intentions d'éléments communs, notamment
en ce qui concerne la qualité de l'air et l'éclairage naturel. Étant donné leurs intentions partagées, l'obtention
d'éléments WELL peut aider à gagner certains crédits LEED. Toutefois, en raison de leurs différences de structure
et de légères variations de contenu, la conformité à l'un ne garantit pas le crédit chez l'autre.
01 Normes de qualité de l'air
Crédit pilote 68 : Test des performances de la qualité de l'air intérieur
02 Interdiction de fumer
Prérequis QE : Contrôle de la fumée de tabac environnementale
03 Efficacité de la ventilation
Crédit QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 2)
Prérequis QE : Performances de qualité de l'air intérieur minimales (Option 1)
05 Filtration de l'air
Crédit QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 1)
07 Gestion de la pollution de la construction
Crédit QE : Plan de gestion de la qualité de l'air intérieur de la construction
08 Entrée saine
Crédit QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 1, pour les espaces à ventilation
mécanique)
13 Renouvellement de l'air
Crédit QE : Évaluation de la qualité de l'air intérieur (Option 1)
14 Gestion de l'infiltration de l'air
Crédit EA : Mise en service améliorée (Option 2)
15 Ventilation accrue
Crédit QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 2, pour les espaces à ventilation
mécanique ou mixte)
16 Contrôle de l'humidité
Crédit QE : Confort thermique
17 Ventilation à source directe
Crédit QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 1, pour les espaces à ventilation
mécanique)
18 Surveillance de la qualité de l'air et communication de suivi
QE : Stratégies d'amélioration de la qualité de l'air intérieur (Option 2)
24 Minimisation de la combustion
Crédit pilote 66 : Prévention des contaminants dans la communauté - diffusions aéroportées
Crédit pilote 75 : Construction propre
WELL Building Standard v1
Annexes
215
25 Réduction des matières toxiques
Crédit MR : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des matériaux (Option 2)
26 Sécurité améliorée des matériaux
Crédit MR : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des matériaux (Option 2)
51 Production alimentaire
Crédit pilote 82 : Production alimentaire locale
53 Aménagement des éclairages en termes de qualité visuelle
Crédit QE : Éclairage intérieur (Option 2)
55 Contrôle de l'éblouissement de la lumière électrique
Crédit QE : Éclairage intérieur (Option 2)
56 Contrôle de l'éblouissement solaire
Crédit QE : Lumière naturelle
58 Qualité de la couleur
Crédit QE : Éclairage intérieur
59 Conception des surfaces
Crédit QE : Éclairage intérieur
61 Droit à la lumière
Crédit QE : Vues de qualité
62 Modélisation de la lumière naturelle
Crédit QE : Lumière naturelle (Option 1)
64 Circulation intérieure favorisant l'activité physique
Crédit pilote 78 : Conception pour des occupants actifs
67 Conception active des extérieurs
Crédit LT : Densité environnante et variété des usages
68 Espaces dédiés aux activités physiques
Crédit CD : Espace ouvert
69 Promotion des transports actifs
Crédit LT : Garage à vélos
73 Ergonomie : Visuelle et physique
Crédit pilote 44 : Stratégie ergonomique
74 Intrusion du bruit extérieur
Crédit pilote 57 : Performance acoustique améliorée : Contrôle du bruit extérieur
75 Bruit généré à l'intérieur
Crédit QE : Performance acoustique
76 Confort thermique
Crédit QE : Confort thermique (Option 1)
WELL Building Standard v1
Annexes
216
78 Temps de réverbération
Crédit QE : Performance acoustique
79 Masquage sonore
Crédit QE : Performance acoustique
81 Barrières sonores
Crédit QE : Performance acoustique
82 Contrôle thermique individuel
Crédit QE : Confort thermique
97 Transparence des matériaux
Crédit MR : Divulgation et optimisation des produits de construction - Ingrédients des matériaux (Option 1)
WELL Building Standard v1
Annexes
217
Annexe F : Chevauchement avec le Living Building Challenge 3.0
L'IWBI encourage les projets à rechercher la conformité au Living Building Challenge en plus du WELL pour
promouvoir à la fois la durabilité environnementale et la santé humaine. Pour faciliter le processus pour les projets
engagés dans les deux programmes, l'IWBI a organisé le WELL Building Standard de sorte que les impératifs
spécifiques au LBC soient clairement mappés sur les éléments WELL. Si l'IWBI ne peut garantir que la conformité
aux éléments WELL engendrera une certification LBC, les rapprochements sont relativement aisés. Il est important
de noter que la recherche de conformité pour certains éléments du WELL peut permettre aux projets d'atteindre
entre 15 à 35 % des impératifs du LBC.
01 Normes de qualité de l'air
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC exige que la qualité de l'air intérieur soit testée avant et neuf mois après
l'occupation des lieux. Cette intention est directement en lien avec les normes de
qualité de l'air du WBS dans la mesure où la certification exige un test de qualité de
l'air pendant l'audit sur site.
02 Interdiction de fumer
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
Le LBC interdit de fumer dans les limites du projet. WELL exige également une
signalisation sur les dangers du tabagisme si fumer est autorisé au-delà de 7,5 m
des entrées du bâtiment.
03 Efficacité de la ventilation
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC et le WBS exigent la conformité à la version la plus récente d'ASHRAE 62.
04 Réduction des émissions de COV
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC exige que tous les produits de construction intérieurs soient conformes à
la méthode standard CDPH v1.1-2010, le WBS exige des peintures, revêtements et
enduits à faible émission de COV.
08 Entrée saine
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC exige une approche d'entrée qui traite la question de la réduction des
particules qui sont transportées à l'intérieur du bâtiment par les chaussures. WELL
exige que des méthodes similaires soient utilisées pour réduire les particules dans
les entrées, à savoir des paillassons, des dispositifs de capture de la poussière et
des grilles.
09 Protocole de nettoyage
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC exige une description du protocole de nettoyage et que tous les produits
utilisés à cet effet soient conformes au programme Design for the Environment de
l'EPA. Ceci est directement en lien avec les exigences de protocole et de produits
chimiques de nettoyage WELL.
17 Ventilation à source directe
Impératif 08 : Environnement intérieur sain
Le LBC exige une évacuation d'air dédiée des espaces de stockage des produits de
nettoyage et d'entretien. WELL a la même exigence.
WELL Building Standard v1
Annexes
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
218
19 Fenêtres ouvrantes
Impératif 07 : Environnement civilisé
SATISFACTION TOTALE
26 Sécurité améliorée des matériaux
Impératif 10 : Liste rouge
Le LBC exige que tous les projets soient conformes à la Liste rouge. Réaliser le
pétale Matériaux du LBC est une méthode qui permet d'atteindre cet élément
WELL.
64 Circulation intérieure favorisant l'activité physique
Impératif 04 : Vivre à l'énergie humaine
Le LBC exige de favoriser les escaliers par rapport aux ascenseurs par l'agencement
intérieur et la qualité des escaliers. Cette exigence est directement en lien avec
la Partie 2 – Promotion des escaliers de l'élément Circulation intérieure favorisant
l'activité physique.
65 Programmes d'incitation à l'activité
Impératif 04 : Vivre à l'énergie humaine
Le LBC exige une allocation de transport qui est en phase avec la Partie 1.b de
l'élément Programmes d'incitation à l'activité.
69 Promotion des transports actifs
Impératif 04 : Vivre à l'énergie humaine
Le LBC exige des garages sécurisés pour les véhicules non motorisés (vélos), ainsi
que des douches et des vestiaires accessibles pour tous les occupants du bâtiment.
Ces exigences du LBC sont directement en lien avec la Partie 1 - Stockage et
entretien des vélos et la Partie 2 - Vestiaires et douches de l'élément Programmes
d'incitation à l'activité.
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION PARTIELLE
87 Esthétisme et conception I
Impératif 19 : Beauté et esprit
SATISFACTION TOTALE
88 Biophilie I - Aspect qualitatif
Impératif 09 : Environnement biophilique
SATISFACTION TOTALE
97 Transparence des matériaux
Impératif 12 : Industrie responsable
Le LBC exige que tout le bois d'oeuvre soit certifié par le Forest Stewardship
Council (FSC) et que les projets fournissent un produit Declare pour chaque 500
mètres carrés du projet. L'élément Transparence des matériaux du WBS promeut
l'utilisation des produits Declare et d'autres programmes d'information sur les
produits comme la Déclaration sanitaire de produit (DSP).
98 Transparence organisationnelle
Impératif 18 : Organisations JUST
WELL Building Standard v1
SATISFACTION PARTIELLE
SATISFACTION TOTALE
Annexes
219
Annexe G : Réviseurs externes
L'IWBI exprime sa profonde gratitude aux personnes externes ci-dessous pour le temps qu'elles ont consacré
à relire et à améliorer ce document.
Jennifer Berthelot-Jelovic Bill Browning Lisa Cohen, PhD Lisa Colicchio Mary Davidge Jason Garay Chad Groshart Kevin Hall, PhD Samer Hattar Beth Heider Hormos Janssens Caroline Karmann Thomas Knittel Jonathan Little, PhD Nadav Malin Timothy McAuley, PhD Robert Oexman Lisa Petterson Richard Piacentini Dave Pogue Christopher Pollock Kirsten Ritchie Keith Roach, MD Andrew Rundle, DrPH Charles Salter Megan Schwarzman, MD Susie See Thomas Sheridan, ScD Eric Soloday Katherine von Stackelberg, ScD Ellen Tohn Ted Van Der Linden Kathy Wardle Lauren Yarmuth Peter Yost Experts en développement technique Experts en processus de certification WELL Building Standard v1
A SustainAble Production
Terrapin
Beth Israel Medical Center
CBRE
Google
Cancer Care Ontario
Atelier Ten
National Institutes of Health.
Johns Hopkins University
Skanska
Interface
UC Berkeley, Center for the Built Environment
HOK
UBC, School of Health and Exercise Sciences
Building Green
Consulting for Health, Air, Nature and a Greener Environment
Sleep to Live Institute
SERA Architects
Phipps Conservatory
CBRE
Cerami Associates
Gensler
Weill-Cornell Medical College
Columbia University, Mailman School of Public Health
CM Salter
University of California, Berkeley
WSP Flack + Kurtz
Massachussets Institute of Technology
Integral Group
Harvard, School of Public Health
Tohn Environmental
DPR Construction
Perkins and Will
YR&G
Building Green
U.S. Green Building Council
Green Business Certification Inc.
Annexes
220
Annexe H : Références des concepts et des éléments
Les pages suivantes listent les sources utilisées pour les statistiques et autres éléments d'information dans les
descriptions des concepts et des éléments du WELL Building Standard.
Air
Joshi SM. The Sick Building Syndrome. 2008. Indian Journal of Occupational and Environmental Medicine, Volume 12, Issue 2,
pp. 61-64.
Abdullahi KL, Delgado-Saborit JM, Harrison RM. Emissions and Indoor Concentrations of Particulate Matter and its Specific
Chemical Components from Cooking: A Review. 2013. Atmospheric Environment, Volume 71, pp. 260-294.
Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis. Healthy People 2010: Leading Health Indicators.
www.healthypeople.gov/2010/document/html/uih/uih_4.htm. Consulté le 16 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Indoor Air Facts No. 4: Sick Building Syndrome.
http://www.epa.gov/iaq/pdfs/sick_building_factsheet.pdf. Publié en février 1991. Consulté le 16 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). An Introduction to Indoor Air Quality (IAQ): Volatile Organic
Compounds (VOCs). http://www.epa.gov/iaq/voc.html. Mis à jour le 9 juillet 2012. Consulté le 16 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Normes nationales de qualité de l'air ambiant. 40 CFR, Partie 50.
http://www.epa.gov/air/criteria.html. Révisé en octobre 2011. Mis à jour le 14 décembre 2012. Consulté le 16 septembre 2014.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Exposure Factors Handbook: 2011 Edition. EPA/600/R-090/052F.
Publié en septembre 2011.
Organisation mondiale de la santé. 7 Million Premature Deaths Annually Linked to Air Pollution.
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2014/air-pollution/en/. Consulté le 16 avril 2015.
01 Normes de qualité de l'air
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Indoor Air Pollution: An Introduction for Health Professionals.
http://www.epa.gov/iaq/pubs/hpguide.html. Mis à jour le 3 juillet 2012. Consulté le 22 avril 2015.
02 Interdiction de fumer
American Lung Association. What’s in a Cigarette? http://www.lung.org/stop-smoking/about-smoking/factsfigures/whats-in-a-cigarette.html. Consulté le 11 février 2015.
Jamal A, Agaku IT, O’Connor E, King BA, Kenemer JB, et al. Current Cigarette Smoking Among Adults—United
States, 2005-2013. 2014. Morbidity and Mortality Weekly Report, Volume 63, pp. 1108-1112.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Indoor Air Pollution: An Introduction for Health Professionals.
http://www.epa.gov/iaq/pubs/hpguide.html. Mis à jour le 3 juillet 2012. Consulté le 22 avril 2015.
03 Efficacité de la ventilation
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Make Your House a Healthy Home. EPA-908-K-10-001.
January 2012. http://www2.epa.gov/sites/production/files/2014-05/documents/healthy_homes_brochure_english.pdf.
Consulté le 19 mai 2015.
04 Réduction des émissions de COV
Krzyzanowski M, Quackenboss JJ, Lebowitz MD. Chronic Respiratory Effects of Indoor Formaldehyde Exposure.
1990. Environmental Research, Volume 52, pp. 117-125.
McGwin G, Lienert J, Kennedy JI. Formaldehyde Exposure and Asthma in Children: A Systematic Review. 2010.
Environmental Health Perspectives, Volume 118, pp. 313-317.
International Agency for Research on Cancer. IARC Monographs: Chemical Agents and Related Occupations.
Volume 100F. 2012. WHO Press, Geneva.
WELL Building Standard v1
Annexes
221
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). An Introduction to Indoor Air Quality (IAQ): Volatile
Organic Compounds (VOCs). http://www.epa.gov/iaq/voc.html. Mis à jour le 9 juillet 2012. Consulté le 16 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Benzene. http://www.epa.gov/ttnatw01/hlthef/benzene.html.
Mis à jour le 18 octobre 2013. Consulté le 22 avril 2015.
05 Filtration de l'air
Kunzli N, Jerrett M, Mack WJ, Beckerman B, LaBree L, et al. Ambient Air Pollution and Atherosclerosis in Los
Angeles. 2005. Environmental Health Perspectives, Volume 113, pp. 201-206.
Chen LH, Knutsen SF, Shavlik D, Beeson WL, Petersen F, et al. The Association Between Fatal Coronary Heart
Disease and Ambient Particulate Air Pollution: Are Females at Greater Risk? 2005. Environmental Health
Perspectives, Volume 113, pp. 1723-1729.
Pope CA, Burnet RT, Thun MJ, Calle EE, Krewski D, et al. Lung Cancer, Cardiopulmonary Mortality, and Longterm Exposure to Fine Particulate Air Pollution. 2002. Journal of the American Medical Association, Volume 287,
pp. 1132-1141.
06 Contrôle des microbes et moisissures
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Chapter 1: Introduction to Molds.
http://www.epa.gov/mold/moldcourse/chapter1.html. Mis à jour le 8 mars 2012. Consulté le 22 avril 2015.
09 Protocole de nettoyage
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). An Introduction to Indoor Air Quality (IAQ): Volatile Organic
Compounds (VOCs). http://www.epa.gov/iaq/voc.html. Mis à jour le 9 juillet 2012. Consulté le 16 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Indoor Air Facts No. 4: Sick Building Syndrome.
http://www.epa.gov/iaq/pdfs/sick_building_factsheet.pdf. Publié en février 1991. Consulté le 16 avril 2015.
10 Gestion des pesticides
Gilliom J, Barbash JE, Crawford CG, Hamilton PA, Martin JD, et al. Pesticides in the Nation’s Streams and Ground
Water, 1992-2001. U.S. Geological Survey Circular 1291,172 p.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Atrazine. Chemical Summary.
http://www.epa.gov/teach/chem_summ/Atrazine_summary.pdf. Mis à jour le 24 avril 2007. Consulté le 21 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Basic Information about Glyphosate in Drinking Water.
http://water.epa.gov/drink/contaminants/basicinformation/glyphosate.cfm. Mis à jour le 9 février 2014.
Consulté le 22 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Basic Information about Atrazine in Drinking Water.
http://water.epa.gov/drink/contaminants/basicinformation/atrazine.cfm#eight. Mis à jour le 17 septembre 2013.
Consulté le 22 avril 2015.
11 Sécurité fondamentale des matériaux
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Asbestos.
http://www.epa.gov/airtoxics/hlthef/asbestos.html. Mis à jour le 18 octobre 2013. Consulté le 22 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Lead Compounds.
http://www.epa.gov/ttnatw01/hlthef/lead.html. Mis à jour le 18 octobre 2013. Consulté le 22 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). America’s Children and the Environment, Third Edition
(ACE3) – Polychlorinated Biphenyls (PCBs). http://www.epa.gov/ace/pdfs/Biomonitoring-PCBs.pdf. 2013.
Consulté le 22 avril 2015.
13 Renouvellement de l'air
Rutgers Center for Green Buildings. New Jersey Green Building Manual: Building Flush. http://greenmanual.
rutgers.edu/newcommercial/strategies/buildingflush.pdf. Mis à jour le 17 mai 2011. Consulté le 22 avril 2015.
WELL Building Standard v1
Annexes
222
16 Contrôle de l'humidité
Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC). Workplace Safety & Health Topics:
Handling Irradiated Mail.
http://www.cdc.gov/niosh/topics/irr-mail/opm-letter.html. Mis à jour le 5 octobre 2012. Consulté le 1er mai 2015.
Parthasarathy S, Maddalena RL, Russell ML, Apte MG. Effect of Temperature and Humidity on Formaldehyde
Emissions in Temporary Housing Units. 2011. Journal of the Air Waste Management Association, Volume 61,
pp. 689-695.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Indoor Air Pollution: An Introduction for Health
Professionals.
http://www.epa.gov/iaq/pubs/hpguide.html. Mis à jour le 3 juillet 2012. Consulté le 22 avril 2015.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA). Chapter 1: Introduction to Molds.
http://www.epa.gov/mold/moldcourse/chapter1.html. Mis à jour le 8 mars 2012. Consulté le 22 avril 2015.
Organisation mondiale de la santé. Guidelines for Indoor Air Quality – Selected Pollutants. Genève : Organisation
mondiale de la santé ; 2010 : 141-142.
17 Ventilation à source directe
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