Lycée Montaigne MPSI32016-2017
Mathématiques, kholle 19 (06/03/17)
Chapitre 1 : Éléments de logique
Chapitre 2 : Nombres complexes
Chapitre 3 : Calculs algébriques
Chapitre 4 : Fonctions usuelles
Chapitre 5 : Généralités sur les fonctions
Chapitre 6 : Équations différentielles
Chapitre 7 : Applications, relations
Chapitre 8 : Les réels
Chapitre 9 : Suites numériques
Chapitre 10 : Arithmétique
Chapitre 11 : Limite d’une fonction
Chapitre 12 : Continuité
Chapitre 13 : Dérivation
Chapitre 14 : Développements limités
Chapitre 15 : Structures algébriques
Chapitre 16 : Polynômes
Chapitre 17 : Arithmétique des polynômes
Chapitre 18 : Fractions rationnelles
À revoir : la méthode de Gauss, celle-ci doit être connue.
Chapitre 19 Espaces vectoriels
Définition d’un espace vectoriel, règles de calculs, exemples de référence, défini-
tion d’un s.e.v, intersection de s.e.v.
Applications linéaires : définition, exemples, vocabulaire (endomorphisme, iso-
morphisme, automorphisme, groupe linéaire, forme linéaire).
Propriétés des applications linéaires. Structure de (L(E,F),+,.) de (GL(E),) et de
(L(E),+,).
Définition du noyau d’une application linéaire, caractérisation de l’injectivité.
Sous-espaces vectoriels et applications linéaires :images directes, réciproques par
une application linéaire. Définition des hyperplans (noyau d’une forme linéaire
non nulle). Le noyau et l’image d’une application linéaire de E vers F sont des s.e.v
de E et F respectivement.
Sous-espace engendré : combinaisons linéaires d’une famille finie de vecteurs,
combinaisons linéaires d’une famille quelconque de vecteurs, propriétés, sous-
espace engendré par une famille de vecteurs, notation Vect[· · · ]. Définition d’une
droite vectorielle, d’un plan vectoriel.
Somme de deux sous-espaces vectoriels : définition, somme directe (unicité de la
décomposition), caractérisations d’une somme directe de deux sous-espaces. Dé-
finition de deux sous-espaces supplémentaires. Caractérisations des hyperplans.
Projections vectorielles, symétries vectorielles : définition, propriétés.
Extensions : combinaisons linéaires d’une famille quelconque de vecteurs, sous-
espace engendré. Somme de s.e.v. : définition de F1+ · · · + Fp, somme directe (uni-
cité de la décomposition), caractérisations d’une somme directe.
Chapitre 20 : Dimension finie
Familles génératrices, familles libres, familles liées : définitions, propriétés. Défini-
tion d’un espace de dimension finie (il y a une famille génératrice finie). Théorème
fondamental (si on a une famille génératrice de cardinal nalors toute famille de
cardinal supérieur est liée).
Questions de cours
Anciennes :
Calcul d’une partie polaire relative à un pôle double.
Montrer qu’une intersection de s.e.v d’un e.v. est encore un s.e.v.
Montrer que la composée de deux applications linéaires est linéaire.
Montrer que la réciproque d’une application linéaire bijective est linéaire.
Montrer qu’une application linéaire est injective si et seulement si son noyau est
réduit au vecteur nul.
Noyau et image d’une application linéaire : définition et structure (à démontrer).
Image directe (ou réciproque) d’un s.e.v. par une application linéaire.
Nouvelles :
Soient E un Kespace vectoriel et (x1,...,xn)En. Montrer que Vect[x1,...,xn]est
un sous-espace vectoriel de E contenant les vecteurs x1,..., xn, et que c’est le plus
petit au sens de l’inclusion.
Si E =FG, définir la projection psur F parallèlement à G, et démontrer ses pro-
priétés : pL(E), p2=p, G =ker(p), F =Im(p)=ker(pidE).
Montrer que si fest un endomorphisme de E tel que f2=f, alors E =ker(fidE)
ker(f), et fet le projecteur sur ker(fidE) parallèlement à ker(f).
Montrer que si fest un endomorphisme de E tel que f2=idE, alors E =ker(f
idE)ker(f+idE), et fet la symétrie par rapport à ker(fidE) parallèlement à
ker(f+idE).
Montrer que la somme F1+ · · · + Fpde s.e.v. de E est un s.e.v. de E, et qu’elle est
directe si et seulement si (x1,...,xp)F1× · · · × Fp, si x1+ · · · + xp=0 alors x1=
· · · = xp=0.
Montrer qu’une application linéaire est injective si et seulement si elle transforme
toute famille libre en une famille libre.
Montrer qu’une application fL(E,F) est surjective si et seulement si elle trans-
forme une famille génératrice de E en une famille génératrice de F.
Montrer que Kn[X] est de dimension finie mais que K[X] est de dimension infinie.
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