•Postulat : La vraie question éthique à propos de l’euthanasie ne
se poserait réellement que si l’homme était immortel.
•Il n’y a pas une éthique mais des éthiques (cf. déontologisme,
conséquentialisme, arétaïsme, etc…)
•Tension autonomie et bienfaisance
•Toute décision médicale aura un impact sur la vie du patient :
«agir ou ne pas agir, c’est toujours faire… ».
•Toutes les décisions humaines ne sont pas systématiquement
raisonnées (cf acrasie et « inconscient »)
•Dans la demande d’euthanasie, on exige subitement du patient
qu’il ait une réflexion et une position aigüe en matière d’éthique.
• « Opposition » historique soins palliatifs/ euthanasie
•L’opposition manifestée vis-à-vis de l’euthanasie s’appuie sur des
arguments intangibles non universalisables, mais aussi fallacieux
•La nature n’est pas morale (cf « mort naturelle »)
•Ne pas recouvrir ce qui est juste et injuste par ce qui est bien ou
mal.
•Le Serment d’Hippocrate n’est qu’une référence partielle