La souffrance psychique est personnelle, il en existe autant que de personne, il est donc difficile de
faire de généralisation. Selon les sujets les signes cliniques de la maladie mentale varient, ce qui
complique les repères en matière de diagnostique
Les symptômes ont un sens propre a chacun, la signification des symptômes ne supporte pas la
généralisation.
Autre point la question de l’origine des troubles, elle est souvent insaisissable et non univoque (il n’y
a pas qu’une seule explication à l’existence de la souffrance humaine et mentale, il y a souvent
plusieurs cause, des causes plurivoques.)
C’est après coup en se penchant sur l’histoire psycho affective du sujet que l’on peut saisir le sens du
symptôme. La psychanalyse nous apprend que le sujet ne se réduit pas à l’état d’un simple corps,
corps objet en quelque sorte, qu’il faut soigner. Le sujet ne se réduit pas non plus à un être sociale,
même s’il est vrai que le sujet se constitue dans le sociale. La psychanalyse nous apprend que le sujet
est muni d’une vie psychique dominé par l’inconscient. Celui ci concerne nos désirs les plus profonds,
et inavouable, la partie la plus archaïque de notre vie psychique. Cette inconscient nous échappe et
se pose à la source même de nos symptômes.
Il faut renoncer à l’illusion de tout saisir dans un seul mouvement.
A l’heure d’aujourd’hui on a réussit a diagnostiqué trois grande catégories de troubles psychiques
Le champ des névroses
Le champ de psychoses
Le champ de pathologies frontières (champs des pathologies du narcissisme)
Le repérage sémiologique et la pose du diagnostique relève plutôt du champ de la psychiatrie (de sa
démarche) et cela depuis les débuts de la médecine.
La psychopathologie occupe un terrain commun entre la psychiatrie et la psychologie. La
psychopathologie se définit comme une science de la souffrance psychique. son objectif est de
chercher à comprendre l’origine des mécanisme des troubles psychique et s’intéresse aux conduites
pathologiques, a l’étude des maladies mentales, aux troubles et dysfonctionnement des conduites de
la personnalité. Et ceci dans un double but, dans le but d’établir un diagnostique et un but
thérapeutique.
La psychopathologie est un domaine qui génère différent de courants théoriques qui sont parfois
contraire. Par exemple la psychanalyse, le comportementalisme, le cognitivisme etc.
II les grands moments de l’histoire de la psychologie
« L’histoire de la folie à l’âge classique
Introduction à la psychologie »
Dans l’antiquité, la médecine commence à employer un vocabulaire choisi pour invoquer les signes
de la folie. La maladie de l’âme était comprise comme une traduction de la maladie du corps. Cela
voulait dire qu’il fallait soulager l’âme et le corps. On cherche à soigner les maux d’âmes par les
lectures ou le théâtre comme procédé thérapeutique.
Au moyen âge, la folie est relié avec la notion de mal et de pécher. Les fous sont accusés d’avoir
pactisés avec le diable et c’est la terrible époque ce l’inquisition. Le discours médical est totalement
confondu avec le discours théologique. Une seule solution est envisageable, la purification par le feu
(oh yeah)
La renaissance est caractérisée par ce que l’on appelle le grand renfermement. Cela signifie que l’on
va regrouper dans les même lieux, ceux qu’on appelle les insensés dans un même lieu. La folie est
considérée comme une dérive marginale, au même titre que le vagabondage, la mendicité et la
prostitution. Il faut donc débarrasser d’eux pour que l’ordre public soit conservé. Ils sont regroupés
dans de grands hôpitaux généraux où ils sont enfermés.