Spé Tle Année scolaire 2009-2010
A LA DECOUVERTE DE L'ENSEIGNEMENT DE SPECIALITE...
L'enseignement de spécialité : quel objectif ?
L’enseignement de spécialité vise à approfondir l’étude de certains des thèmes du programme obligatoire à partir de
la découverte de textes de quelques-uns des auteurs qui ont joué un rôle essentiel dans le développement des sciences
sociales.
En aucun cas il ne s’agit de mener une étude exhaustive des travaux des auteurs retenus. Seule une problématique
caractéristique de la pensée de chacun d’entre eux et en rapport avec le programme du tronc commun est retenue. Les
contenus de cet enseignement ne sauraient donc être confondus avec un enseignement du type “histoire de la pensée”.
L'enseignement de spécialité est donc articulé autour de l'étude d'extraits de textes d'auteurs (économistes et
sociologues) qui ont contribué, par leurs idées, à apporter des réponses à des débats économiques et sociaux.
En voici des exemples :
L'Etat doit-il intervenir dans la vie économique et sociale ou au contraire, doit-il limiter son intervention à certains
domaines ?
L'insertion dans les échanges internationaux est-elle favorable au développement ?
La montée de l'individualisme constitue-t-elle une menace pour le lien social ?
Comment expliquer la montée de l'abstentionnisme ?
L'enseignement de spécialité : quelle démarche ? (cf programme ci-joint) : Pour chaque thème abordé, il s'agira de :
- présenter l'auteur se rapportant au thème
- présenter et étudier sa problématique ainsi que le contexte dans lequel elle a été élaborée
- s'interroger sur l'actualité de la pensée de l'auteur ainsi que sur ses prolongements contemporains
L'enseignement de spécialité : quelle évaluation au bac ?
Pour toi public élève qui a choisi la spécialité SES au bac, l'épreuve de SES dure 5h (coef 9) durant lesquelles vous devez
traiter :
- un sujet obligatoire : choix entre une dissertation et une question de synthèse
- un sujet de spécialité : choix entre deux sujets (cf exemples de sujets ci-joints)
A LA DECOUVERTE DE L'ENSEIGNEMENT DE SPECIALITE...
L'enseignement de spécialité : quel objectif ?
L’enseignement de spécialité vise à approfondir l’étude de certains des thèmes du programme obligatoire à partir de
la découverte de textes de quelques-uns des auteurs qui ont joué un rôle essentiel dans le développement des sciences
sociales.
En aucun cas il ne s’agit de mener une étude exhaustive des travaux des auteurs retenus. Seule une problématique
caractéristique de la pensée de chacun d’entre eux et en rapport avec le programme du tronc commun est retenue. Les
contenus de cet enseignement ne sauraient donc être confondus avec un enseignement du type “histoire de la pensée”.
L'enseignement de spécialité est donc articulé autour de l'étude d'extraits de textes d'auteurs (économistes et
sociologues) qui ont contribué, par leurs idées, à apporter des réponses à des débats économiques et sociaux.
En voici des exemples :
L'Etat doit-il intervenir dans la vie économique et sociale ou au contraire, doit-il limiter son intervention à certains
domaines ?
L'insertion dans les échanges internationaux est-elle favorable au développement ?
La montée de l'individualisme constitue-t-elle une menace pour le lien social ?
Comment expliquer la montée de l'abstentionnisme ?
L'enseignement de spécialité : quelle démarche ? (cf programme ci-joint) : Pour chaque thème abordé, il s'agira de :
- présenter l'auteur se raportant au thème
- présenter et étudier sa problématique ainsi que le contexte dans lequel elle a été élaborée
- s'interroger sur l'actualité de la pensée de l'auteur ainsi que sur ses prolongements contemporains
L'enseignement de spécialité : quelle évaluation au bac ?
Pour toi public élève qui a choisi la spécialité SES au bac, l'épreuve de SES dure 5h (coef 9) durant lesquelles vous devez
traiter :
- un sujet obligatoire : choix entre une dissertation et une question de synthèse
- un sujet de spécialité : choix entre deux sujets (cf exemples de sujets ci-joints)
Spé Tle Année scolaire 2009-2010
INTRODUCTION
Indications du programme
L’introduction n’est centrée sur aucun auteur. Elle se donne pour objectif de préciser quelques concepts que les élèves auront
à manier durant l’année d’enseignement de spécialité (sciences, sciences sociales, théorie, concept, paradigme). Elle n’a pas
vocation à constituer, en tant que telle, le support d’une évaluation au baccalauréat.
En se référant à quelques-unes des questions abordées en classe de première, on montrera que l’activité scientifique se
caractérise par la formulation d’hypothèses et par une double préoccupation de cohérence interne et de corroboration par
confrontation au réel. On insistera sur le fait qu’une théorie n’est pas un ensemble de certitudes, mais une série cohérente de
propositions et de résultats provisoires résultant d’investigations analytiques et empiriques, susceptibles d’éclairer les
décisions des acteurs publics et privés. On soulignera que la diversité des approches théoriques répond à la diversité des
questionnements et constitue la source des débats propres à accroître la compréhension des phénomènes économiques et
sociaux. Si le professeur l’estime utile, il pourra présenter, à partir de quelques extraits de textes d’auteurs de référence,
quelques-uns des clivages qui permettent de distinguer ces approches, qu’il s’agisse, par exemple, de la place accordée à
l’individu (individualisme/holisme, notions étudiées en classe de première) et/ou de celle accordée à l’histoire
(naturalisme/historicisme).
Durée : 2 séances de 2 heures
Objectif de l'introduction : préciser des concepts que vous devez connaître et maîtriser avant d'aborder l'étude des auteurs
de spécialité. Il convient en effet de comprendre que les sciences économiques et sociales ont pour vocation de fournir une
explication scientifique des phénomènes économiques, sociaux et politiques. Cependant, divers courants coexistent en leur
sein, apportant des explications différentes à ces phénomènes.
Il est donc impératif de comprendre :
- ce qu'est une science
- la spécificité des sciences économiques et sociales
- qu'il existe différents courants et méthodes d'analyse en économie et en sociologie
Introduction
L'économie et la sociologie sont des sciences dites « sociales », dont l'étude est relativement récente.
Elles ont pour objet d'étude les hommes vivant en société.
Le mot « économie» apparaît pourtant dès les VIIe-VIIIème siècles avant J.-C. chez le poète grec Hésiode, associant
les termes oikos désignant la maison et nomos signifiant la loi ou la règle. Ce sens originel de « bonne gestion de la maison »
évoluera progressivement vers le sens actuel d'étude de la production, de la répartition et de la consommation des richesses
afin, principalement, de conseiller les gouvernements. Cependant, ce n'est qu'à partir de la fin du XVIIIe siècle avec Adam
Smith et les économistes « classiques» que cette étude s'affranchit de la tutelle politique ou religieuse pour se définir comme
scientifique, à l'image de la physique moderne qui se construisait depuis Newton (1642-1727).
De son côté, le terme « sociologie» a été formé de toutes pièces en 1836 par le philosophe français Auguste Comte
pour désigner l'étude (logos en grec) de la vie des hommes en société ou en groupe (societas, en latin) d'où l'importance du
contexte social. Ce terme sera repris par Emile Durkheim à la fin du XIXe siècle pour une discipline qui cherche une légitimité
en se voulant scientifique, à l'image notamment de la biologie moderne qui se veloppe au XIXe siècle (la société est décrite
comme ,un corps composé d'organes chez Durkheim).
Les deux disciplines ont donc en commun cette ambition de
scientificité, mais également la coexistence de grands courants de pensée qui
s'influencent mutuellement ou suivent parfois une évolution parallèle, sans que
jamais un courant ne l'emporte définitivement sur les autres.
Problématique : Qu'est-ce qui fonde le caractère scientifique des sciences
économiques et sociales ? Pourquoi existe-t-il plusieurs courants en leur sein ?
Quels sont ces différents courants ?
Spé Tle Année scolaire 2009-2010
PLAN DE L'INTRODUCTION
DOCUMENTS
OBJECTIFS DE SAVOIRS ET
SAVOIR-FAIRE
I. ECONOMIE ET SOCIOLOGIE SONT-ELLES DES SCIENCES
COMME LES AUTRES ?
A. Pour être scientifique, une théorie doit
respecter des conditions
B. Les SES présentent cependant des spécificités
II. DIVERSES APPROCHES ET COURANTS D'ANALYSE SONT
AU COEUR DES SES
A. Des approches différentes
B. Des courants d'analyse multiples
Doc 1
Travail de
groupe (docs
Théorie
Concept
Paradigme
Microéconomie/macroéconomie
Individualisme méthodologique/holisme
I. ECONOMIE ET SOCIOLOGIE SONT-ELLES DES SCIENCES COMME LES AUTRES ?
Les sciences sociales procèdent, comme les sciences de la nature, par la formulation d'hypothèses pour expliquer les
phénomènes observés. Mais à quelles conditions les théories construites peuvent-elles être qualifiées de scientifiques ?
Existe-t-il des spécificités liées à l'objet même des sciences sociales ?
A. Pour être scientifique, une théorie doit respecter des conditions
Document 1 : La théorie procède par abstraction et simplification
Au premier contact avec l'analyse économique, on est sans cesse tenté d'objecter que, dans le monde réel, les choses ne se
passent pas toujours comme dans la théorie. Mais ce reproche est souvent déplacé. En effet, par définition, aucune théorie
n'est réaliste. L'analyse théorique ne cherche pas à simplement décrire la réalité : ce n'est pas un reportage ! Toute théorie
procède par abstraction. Il s'agit en effet de disposer d'un modèle suffisamment simple pour être maniable. Or la simplicité
n'est pas de ce monde ; la réalité est complexe, et c'est précisément cette complexité qui rend nécessaire l'abs¬traction
théorique pour construire une interprétation intelligible du monde. Ceci dit, il ne suffit pas d'un raisonnement abstrait
parfaitement logique pour constituer une théorie scientifique ; celui-ci doit en outre être confronté aux faits. Mais ce sont les
conclusions de la théorie qui sont soumises à l'épreuve des faits et non ses hypothèses de départ.
Par exemple, on construit la théorie de la production à partir d'une hypothèse très simple : les dirigeants des entreprises
cherchent à maximiser leur profit. Comme nous le verrons, cette hypothèse n'est pas toujours réaliste ; il existe chez les
dirigeants bien d'autres motivations que le profit. Mais le problème de l'économiste n'est pas de savoir ce qui se passe dans la
tête des dirigeants; il cherche seulement à construire un modèle du comportement des entreprises qui lui permette
d'expliquer correctement leurs décisions. Si ce modèle permet d'expliquer correctement la façon dont la production réagira à
une modification du SMIC, de la TVA ou des taux d'intérêt, il sera retenu, quel que soit le degré de réalisme ou d'irréalisme
de ces hypothèses.
Jacques GÉNÉREUX, Introduction à l'économie, Éditions du Seuil, 2001.
1) Les dirigeants d'une entreprise sont-ils seulement guidés par la recherche du profit maximal ?
Non. Les dirigeants salariés cherchent avant tout à augmenter leur rémunération, salaire ou stock options, parfois au
détriment du profit de l’entreprise et des intérêts des actionnaires.
Ils peuvent également être motivés par des considérations politiques et leurs actions peuvent être orientées par des valeurs
ou des traditions.
2) Pourquoi la théorie économique pose-t-elle souvent comme hypothèse simplificatrice que les entreprises sont guidées par la
recherche du profit ?
Il ne s’agit pas de mimer exactement le mode de raisonnement des dirigeants, mais de construire une représentation
simplifiée qui permette de raisonner logiquement et donc d’expliquer correctement leurs décisions. Le réel est complexe et il
faut le simplifier pour le rendre intelligible.
3) Quelles sont les deux conditions que doit remplir une théorie pour être qualifiée de «scientifique» ?
Une théorie est « scientifique » si le raisonnement qui relie ses hypothèses à ses conclusions est cohérente logiquement (pas
de contradictions) et si ces conclusions sont confrontées au réel.
Théorie = ensemble constitué d'hyp, de concepts, et de raisonnements logiques permettant de construire une explication d'un
ensemble de phénomènes (ex : la théorie néoclassique du marché du travail qui fournit une explication du chômage).
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Une théorie n'est donc pas un ensemble de certitudes mais une série cohérente de propositions et de résultats provisoires
susceptibles d'éclairer les décisions des acteurs publics et privés.
Résultats provisoires => une théorie scientifique doit être réfutable (Karl Popper) : une théorie non réfutable n'est pas
scientifique.
Exemples : "une intervention divine est à l'origine de la création du monde" => pas réfutable, car pas observable ; pas
nécessairement faux, mais pas scientifique, du ressort des croyances.
"le libre-échange profite à tous les pays sans exception" => réfutable, si un pays observé ne bénéficie pas de son
insertion dans le commerce international.
Remarque de vocabulaire : Concept = représentation mentale générale et abstraite d'un objet (ex le concept d'arbre sert à
représenter tous les arbres quelle que soit leur essence).
A retenir : Pour être considérée comme scientifique, une théorie doit vérifier plusieurs conditions :
- les éléments constitutifs de la théorie doivent avoir une cohérence logique entre eux, ne pas se contredire
- les conclusions de la théorie doivent être confrontées au réel lors de tests réguliers pour vérifier sa validité
B. Les SES présentent cependant des spécificités
* Le sociologue ou l'économiste doit faire preuve d'objectivité (ne pas avoir de préjugés ou prénotions) et
"considérer les faits sociaux comme des choses" (Durkheim).
* En sciences sociales, l'expérimentation est rarement possible, en raison de leur objet.
Un comportement humain est inséparable de son contexte social et historique et il est donc difficile de faire des expériences
en isolant les individus ou des phénomènes pour raisonner "toutes choses égales par ailleurs".
Les sciences sociales s’intéressent à la vie des hommes en société. De ce fait, l’expérimentation est beaucoup plus délicate
qu’en sciences de la nature, les individus ne pouvant pas être isolés de leur contexte social.
Ces difficultés expliquent pourquoi il existe plusieurs paradigmes qui coexistent, sachant qun'paradigme = selon K.
POPPER, est un ensemble cohérent de concepts et de méthodes, admis par l'ensemble des membres d'une communauté
scientifique à un moment donné.
Ce terme est un synonyme de « courant » ou d’« école de pensée ».
En économie, il y aurait des paradigmes néo-classique et classique, keynésien, marxiste, et d’autres paradigmes «
térodoxes ».
En sociologie, il y aurait principalement le paradigme de l’individualisme méthodologique et celui du holisme
méthodologique, mais également d’autres paradigmes cherchant à réconcilier ces deux tendances (bourdieusien par exemple).
Cela correspond donc à une vision du monde. Les paradigmes peuvent se succéder ou coexister (exemple :
classiques/keynésiens).
Transition : Les théories des sciences sociales ne sont jamais définitivement réfutées et leur validité est toujours restreinte
à un contexte historique particulier. Par conséquent, les paradigmes coexistent et s'influencent mutuellement et plusieurs
découpages sont alors possibles pour identifier les grands courants.
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II. DIVERSES APPROCHES ET COURANTS D'ANALYSE SONT AU COEUR DES SES
La ligne de partage essentielle se situe en économie autour de la question de la régulation ou de l'autorégulation du marché
alors qu'en sociologie, elle concerne les relations entre l'individu et la société.
Problématique : La sociologie et l'économie sont traversées par de nombreux courants, souvent rivaux. Quels sont ces
courants ? Quels clivages en sont à l'origine ?
Consignes du travail de groupe : La moitié de la classe travaille sur la partie économie, l'autre moitié sur la partie
sociologie.
* Travail préalable à faire au brouillon :
- répondez aux questions du dossier documentaire ci-dessous
- recherchez dans un dictionnaire de SES des informations concernant les auteurs et autre
* Travail à rendre par groupe : fiche de synthèse
- une introduction qui présente de façon globale le sujet et la problématique.
- une synthèse respectant le plan donné ci-dessus et comportant les réponses données dans le travail
préalable fait au brouillon
- le schéma complété
* Travail à l'oral : un groupe ayant travaillé sur l'économie et un autre ayant travaillé sur la sociologie viendront
présenter leur travail
A. Un clivage central en économie
Document 2 : Approche macroéconomique ou microéconomique ?
Lexemples d'actes et de faits sociaux [...] font apparaître l'existence de deux types de problèmes. Il y a, d'une part, des
problèmes microéconomiques, c'est-à-dire ceux qui concernent le comportement des unités décisionnelles individuelles comme,
par exemple, l'achat d'une voiture par un individu, la cessation de paiement d'une entreprise, et, d'autre part, des problèmes
macroéconomiques, c'est-à-dire ceux qui concernent les ensembles comme la communauté nationale ou internationale. Les
exemples de problèmes macroéconomiques utilisés depuis le début de cette lecture sont l'inflation, le chômage, le revenu
national, la croissance économique, la crise pétrolière de 1973, la dette extérieure, le sous-développement. [...]
L'approche micro économique consiste notamment à examiner comment l'agent économique fait ses choix dans le domaine de la
consommation ou de la production, compte tenu de son budget ou de sa contrainte de revenu. Il s'agit donc d'un problème
d'allocation de ressources susceptible de s'appliquer aux décisions privées comme aux décisions publiques. [...]
L'approche macroéconomique a pour objet l'analyse des flux globaux et des grandeurs globales, sans se préoccuper des unités
qui composent cette globalité. C'est l'ensemble des ménages, l'ensemble des entreprises, l'ensemble des banques qui
intéressent la macroéconomie, et non pas chaque ménage, chaque entreprise et chaque banque.
Chaque approche est caractérisée par une logique propre qui empêche la transférabilité des résultats de l'une vers l'autre. Ce
problème de coupure ou de no bridge - appelé encore sophisme de composition - indique que qui est vrai en microéconomie
ne l'est pas nécessairement en macroéconomie, et réciproquement. Par exemple, si un individu est rationnel lorsque, voyant un
incendie à bâbord sur un bateau, il s'en écarte pour aller à tribord, en revanche, l'effet serait désastreux si ce comportement
était adopté par tous les voyageurs. Ahmed SILEM, Introduction à l'analyse économique, © Armand Colin, 1989.
1) Pourquoi existe-t-il deux types d'approches différentes en économie ? Construisez un tableau afin de les comparer.
Il existe deux approches, selon ce qui est étudié : le comportement d’une unité décisionnelle ou des problèmes économiques
globaux.
2) À quel type d'approche les théories suivantes correspondent-elles ?
a. Le chômage est là un refus des chômeurs d'accepter les salaires proposés sur le marché du travail (théorie
néo¬classique) => micro
b. Les cycles de la croissance sont liés à des vagues d'innovations (Schumpeter) => macro et micro
c. Les individus ont davantage intérêt à se spécialiser dans les pays riches et ouverts sur l'extérieur, et cette division
du travail permet en retour une productivité plus forte et donc une plus grande richesse (Smith) => macro
d. Le chômage est lié à une demande trop faible, qui pousse les employeurs à peu embaucher (Keynes) => macro
3) L'épargne que dégage un agent économique l'aide à financer ses investissements. Montrez cependant qu'au niveau de
l'ensemble de l'économie, une augmentation de l'épargne de tous peut décourager les entreprises à investir.
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