RAPPELS DE TRIGONOMETRIE Valeurs et formules remarquables x 0 cos x 1 sin x 0 6 3 2 1 2 4 2 2 2 2 cos x sin x 2 cos x sin x 2 3 1 2 3 2 2 Théorème de la médiane : soit ABC un triangle quelconque, BC 2 et I le milieu de [BC], on a AB 2 AC 2 2 AI 2 2 Dans un triangle quelconque, l’équivalent du théorème de Pythagore est la relation d’Al Kashi : a 2 b 2 c 2 2bc cos L’aire d’un triangle est donné par : 1 1 1 S bc sin ac sin ab sin 2 2 2 Dans un repère orthonormal, un cercle de centre x 0 ; y 0 et de rayon R a pour équation : tan a tan b 1 tan a tan b tan a tan b tan a b 1 tan a tan b tan a b cos2a cos 2 a sin 2 a 2 cos 2 a 1 1 2 sin 2 a sin 2a 2 sin a cos a On en déduit : sin sin sin a b c x x 0 2 y y 0 2 R 2 DERIVEE PRIMITIVE u Formules de linéarisation cos x cos x 2 ou x 2 sin x sin x 2 ou x 2 1 Formules d’addition Résolution d’équations 0 sin x cos x 2 sin x cos x 2 cosa b cos a cos b sin a sin b cosa b cos a cos b sin a sin b sin a b sin a cos b cos a sin b sin a b sin a cos b cos a sin b RAPPELS DE GEOMETRIE u u u u 2 u u e u v u .u u nu nu n 1u 1 1 tan 2 x 2 cos x cosax b sin ax b 2 u ln u 1 u eu v u u n 1 n 1 un tan x sin ax b a cosax b a 1/10 Notations trigonométriques et exponentielles COMPLEXES Equation du second degré z r cos i sin est la forme trigonométrique d’un complexe. On a Re( z ) r cos et Im( z ) r sin . z re i est la forme exponentielle. az² bz c 0 Formule de Moivre : e Formules d’Euler cos z1 b b² 4ac b et z 2 2a 2a az ² bz c a( z z1 )( z z 2 ) i : n e in e i e i 2 et sin e i e i 2i Utilisation en géométrie Module Considérons trois points distincts A, B et C dans un repère O, i , j . z x² y ² est la longueur qui sépare l’origine et le point d’affixe z. zz ' z . z ' z z' z z' (inégalité triangulaire) z z z' z' z zI Conjugué Le conjugué de z x iy est z x iy . On a les relations : z. z x ² y ² z.z' z.z' Re( z ) zz 2 1 z z z² z z z' z' Im( z ) zz 2 Arguments argzz ' arg z arg z' arg( z ) n arg z n AB z B z A ( x B x A ) i( y B y A ) donne l’affixe de AB . z A zB avec I le milieu de [AB]. 2 az bz B avec G le barycentre de zG A ab AB; AC argz A; a, B; b . z zA 2 z A argz B z A arg C zB z A z zA 02 AB et AC sont colinéaires arg C z z A B C z zA 2 AB et AC sont orthogonaux arg C zB z A 2 Transformations z arg arg z arg z ' z' arg( z ) arg z M(z) M'(z+a) est la translation de vecteur v (a). M(z) M ze i est la rotation de centre O et d'angle . z z A r définit le cercle de centre Az A et de rayon r. 2/10 LIMITES – ASYMPTOTES Formes indéterminées DERIVEE Nombre dérivé : factorisation du terme dominant (+ haut degré). : factorisation du terme dominant, simplification. 0 : factorisation du terme tendant vers 0, simplification. 0 0 : peut en général se ramener à ou 0 0 . Si des racines carrées interviennent, on pourra multiplier par la quantité « conjuguée ». f ' ( x 0 ) lim h 0 f ( x 0 h) f ( x 0 ) f ( x) f ( x 0 ) lim x x0 h x x0 Pour que f soit dérivable en x 0 , il faut que les nombres dérivés à gauche et à droite de x 0 soient finis et égaux. La tangente au point d'abscisse x 0 a pour équation y f ' ( x 0 )( x x 0 ) f ( x 0 ) Propriétés Bijection g ( x) f ( x) h( x) et lim g ( x) lim h( x) l lim f ( x) l lim f ( x) b et lim g ( y) l lim g f ( x) l f est dérivable est strictement croissante sur [a;b] donc f réalise une bijection de [a;b] sur f (a); f (b) et pour tout de f (a); f (b) l’équation f (x ) admet une solution unique dans [a;b]. f ( x) l g ( x) et lim g ( x) 0 lim f ( x) l xa y b xa Limites usuelles La limite d'une fonction polynôme en ou en est la limite du terme dominant. La limite d'une fonction rationnelle en ou en est la limite du quotient des termes dominants du numérateur et du dénominateur. sin x cos x 1 lim 1 et lim 0 x0 x 0 x x Asymptotes lim f ( x) asymptote verticale d'équation x=a xa lim f ( x) b asymptote horizontale d'équation y=b x lim f ( x) (ax b) 0 asymptote oblique d'équation y=ax+b Inégalités des accroissements finis f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a : m f'(x) M m(b-a) f(b)-f(a) M(b-a) |f’(x)| M |f(b)-f(a)| M |b-a| Position de la courbe par rapport à la tangente La position de (C) la courbe représentative de f par rapport à (T) la courbe représentative de g est donnée par le signe de h(x)=f(x)-g(x) h>0 : (C) est au dessus de (G) h<0 : (C) est au dessous (G) h=0 : intersection des courbes (C) et (G) x 3/10 RECURRENCE FONCTION PUISSANCES Soit une propriété P dépendant d’un entier n et n 0 un entier fixé. - Initialisation : Si P(n 0 ) est vraie, - Transmission : et si P (n ) P ( n 1) pour tout n n 0 , - Conclusion : alors P (n ) est vraie pour tout entier n n 0 . f ( x) x e ln x est définie et dérivable sur 0; . La dérivée f ( x) .x 1 est du même signe que d’où la monotonie de f. Pour 0 : ln x 0 x x lim lim x e x 0 x ex x x lim LOGARITHME NEPERIEN ln est une bijection strictement croissante de 0; sur ; ln x 1 ln x ln u u lim 1 lim n 0 n 0 x 0 x x u x ln( a n ) = n. ln a 1 ln a = ln a 2 ln( a.b) = ln a + ln b a ln = ln a - ln b b PARITE / SYMETRIE f est paire f est centré en 0 et f(-x)=f(x) f est impaire f est centré en 0 et f(-x)=-f(x) ( x 0 ; y 0 ) est centre de symétrie f ( x 0 h) f ( x 0 h) 2 y 0 x x 0 est axe de symétrie f ( x0 h) f ( x0 h) FONCTION EXPONENTIELLE exp est une bijection strictement croissante de ; sur 0; e u .e e a b = e a . e b u u ex 1 1 x 0 x lim lim x e na = e a n xn 0 ex e a b = n 0 EQUATIONS DIFFERENTIELLES y ay a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par f ( x) k.e ax avec a et k des réels. La solution de l’équation différentielle vérifiant la condition initiale y( x 0 ) y 0 est la ea eb fonction définie par f ( x) y 0 .e x x0 . y 2 y 0 a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par f ( x) A cos .x B sin . y avec , A et B des réels. La solution de l’équation différentielle vérifiant la condition initiale y( x 0 ) y 0 est la fonction définie par y ( x 0 ) y 0 . 4/10 INTEGRALES Intégration par parties Définition b a x a b a u(t ).v (t )dt u(t ).v(t )a u (t ).v(t )dt b b a f (t )dt F (t )a F (b) F (a) est l’intégrale de f entre a et b. Calcul de volumes f (t )dt est la primitive de f qui s'annule en a. Pour un solide dont l'intersection avec le plan de cote z a pour aire S(z), le volume entre les plans de cote a et b est donné par : b Si pour tout x a; b on a f ( x) g ( x) , alors l'aire de la partie du plan comprise entre les deux courbes et les droites d'équations x=a et x=b est donnée en unité d'aire par b V S ( z )dz a g (t ) f (t )dt . b a SUITES Propriétés b a f est paire f est impaire a f (t )dt f (t )dt b a a b a b (kf )(t )dt k f (t )dt a a 0 a a f (t )dt 0 c b b a a T a T f (t )dt 2 f (t )dt (relation de Chasles) ( f g )t dt f (t )dt g (t )dt (linéarité) b a a 0 f (t )dt f (t )dt f (t )dt b Suites arithmétiques a f (t )dt 2 f (t )dt f est périodique de période T c b a Théorème de la moyenne |f(x)| M b a a f (t )dt M(b-a) i 0 U U n 1 n(n 1) r n 0 2 2 U n 1 U n q U n U p q n p U n U 0 q n q 1 U n n’a pas de limite et diverge de U 0 0 q 1 U n converge vers U 0 b 1 f (t )dt ba a f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a : m f(x) M m(b-a) U i nU 0 La valeur moyenne de f est donnée par n 1 Suites géométriques b U n 1 U n r U n U p (n p)r U n U 0 nr q 1 U n tend vers 1 q n U 0 U n Ui U0 i 0 1 q 1 q n 1 f (t )dt M(b-a) 5/10 Suites monotones, bornées, périodiques Si la fonction f est croissante sur a; , la suite définie par U n f (n) est croissante pour n a . Attention : la réciproque est fausse (la suite peut-être croissante alors que la fonction ne l’est pas). Une suite à la fois majorée et minorée est appelée suite bornée. U n est périodique de période p lorsque U n p U n . Propriétés On peut changer l'ordre des points pondérés. On peut multiplier tous les coefficients par un nombre k 0 . On peut remplacer une partie des points par leur barycentre partiel affecté de la somme leurs coefficients (associativité). Les coordonnées ou l’affixe du barycentre sont données par : i z i n Limites de suites zG lim U n l 0 lim U n l U n l Vn et lim Vn 0 lim U n l V n U n Wn lim Vn lim Wn l n lim U n l (Théorème des gendarmes) x l n BARYCENTRE n i 0 v est constant, il est indépendant de M. i 0 i 0 et vérifiant les deux propriétés équivalentes : i GAi 0 i 0 n MG i MAi i 0 i 0 n i i 0 n yG i 0 n i i 0 Isobarycentre n i 0 il existe un point G appelé barycentre du système, n i xG i y i L'isobarycentre des points Ai 1i n est le barycentre de ces points tous affecté du même coefficient non nul. L’isobarycentre de deux points A et B est le milieu de [AB]. L’isobarycentre de trois points A, B et C est le centre de gravité du triangle ABC (point d'intersection des médianes). Ensemble de points n v i MAi est le vecteur associé à un système de points pondérés. i 0 n n i 0 lim U n l et lim Vn l ' et U n V n l l ' lim U n l et lim Vn l ' et l l ' U n Vn Les termes de U n appartiennent à l’intervalle de la fonction f : lim U n l et lim f ( x) l ' lim f (U n ) l ' i 0 i x i MG r dans le plan : cercle de centre G et de rayon r. dans l’espace : sphère de centre G et de rayon r. dans le plan : médiatrice de G1G2 MG1 MG2 dans l’espace : plan médiateur de G1G2 MG1 MG 2 0 plan : cercle de diamètre G1G2 espace : sphère de diamètre G1G2 n i i 0 6/10 DENOMBREMENT Propriétés des combinaisons Cnp Cnp 1 Cnp11 Cnp Cnn p (somme) C C n 1 n Cardinal d’un ensemble C C 1 Le cardinal d’un ensemble fini est le nombre d’éléments de cet ensemble. Soit A et B deux événements d’un univers fini . Dans tous les cas, Card A B Card A Card B Card A B . Si A et B sont incompatibles, Card A B Card A Card B . Si complémentaires, Card A B Card A Card B Card . Pour déterminer les cardinaux de certains ensembles, on s’aide de diagrammes, tableaux ou arbres ou schémas à case. Les C np sont données par le triangle de Pascal : 0 n n n 1 n (parité) n Arrangements Un arrangement est une liste ordonnée de p éléments distincts choisis parmi les n éléments d’un ensemble. On l’utilise par exemple pour un tirage avec ordre et sans remise. n! Anp n (n 1) (n 2) (n p 1) (n p)! Permutations Les coefficients des égalités remarquables sont ceux du triangle de Pascal. La formule du binôme de Newton les résume : a bn Cn0 a nb0 Cn1a n1b1 Cn2 a n2b 2 Cnn a 0b n p0 Cnp a n pb p n n Pour a=b=1, on a un cas particulier et Cnp Cn0 Cn1 Cnn 2n p 0 Une permutation est un arrangement des n éléments de l’ensemble. On l’utilise par exemple pour trouver tout les anagrammes d’un mot. Ann n! n (n 1) (n 2) 1 Le nombre de combinaisons d’un ensemble à n éléments est 2 n . Introduction aux probabilités Combinaisons Une combinaison est une liste non-ordonnée de p éléments choisis parmi les n éléments d’un ensemble (une combinaison est une partie). On l’utilise pour un tirage sans ordre et sans remise. n (n 1) (n 2) (n p 1) Anp n! p Cn p! p! p! (n p )! Les formules pour les probabilités sont similaires à celles du cardinal (incompatibilité, complémentarité…). Lorsque tous les éléments d’un univers ont même probabilités, il y a équiprobabilité. La probabilité pour chaque élément est Card A 1 et pour tout événement A, on aura p A . Card Card 7/10 PROBABILITES Etude d’une variable aléatoire Probabilités conditionnelles A et B sont deux événements et pB 0 . La probabilité conditionnelle de A sachant que B est déjà réalisée est définie se note : p A B p A B p A B pB p A B p B A et B sont indépendants lorsque p A B p A pB . On a donc : p A B p A et pB A pB On détermine la loi de probabilité de X en trouvant toutes les probabilités des événements associant une partie de l’univers aux différentes valeurs prises par la variable aléatoire. xi x1 x2 xn pi p1 p2 pn n p i 1 i p1 p 2 p n 1 La fonction de répartition est définie par F ( x) p X xi pour tout réel x. C’est une fonction en escalier qui présente des « sauts ». Elle est croissante, minorée par 0 et majorée par 1. L’espérance mathématique, ou moyenne de X, est définie par : n E X xi p i x1 p1 x 2 p 2 x n p n Arbres pondérés La somme des probabilités des branches issues d’un même nœud est toujours égale à 1. La probabilité d’un chemin est le produit des probabilités des branches de ce chemin. La probabilité d’un événement est la somme des probabilités conduisant à cet événement. i 1 La variance de la variable aléatoire est un réel positif défini par : n n 2 2 V X p i x i E ( X ) x i2 p i E X i 1 i 1 L’écart type de X est le nombre réel positif défini par : (X ) V (X ) Schéma de Bernoulli Variable aléatoire Une variable aléatoire X est une application de l’univers dans R. X : 1 , 2 ,, n X x1, x2 ,, xn X x i est l’ensemble des éléments de qui ont pour image x i . La probabilité de l’événement X x i est noté p X xi p i . Une épreuve de Bernoulli est une expérience aléatoire ne comportant que deux issues : le succès ou l’échec. Un schéma de Bernoulli est la répétition n fois, de façon indépendante, d’une épreuve de Bernoulli. La loi binomiale permet de calculer la probabilité d’obtenir k succès. Soit p la probabilité du succès à chaque épreuve et X la variable aléatoire qui compte le nombre de succès au cours des n épreuves : nk Pk Cnk p k 1 p 8/10 PRODUITS SCALAIRE - VECTORIEL Produit vectoriel Produit scalaire OA OB OA OB sin AOB O; OA; OB; OC est une base directe Le produit scalaire est une valeur numérique réelle. Soit H le projeté orthogonal du point B sur la droite OA : OA OB OA OH OA OB cos AOB u v v u ku v k u v u v w u v u w u u v u v u 2 v 2 u 2 u u u u v 2 u 2 u v 2 2 v 2u v 2 2 u v u v u v u v 0 u v 2 u u v 0 u et v sont colinéaires. AB AC 0 A, B, C sont alignés. 2 v 2 Un vecteur est normal à un plan si et seulement si il est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de ce plan. Deux plans sont perpendiculaires si et seulement si un vecteur normal à l’un est orthogonal à un vecteur normal à l’autre. L’ensemble des points M de l’espace tel que AM u 0 est le plan passant par A et de vecteur normal u 0 . Un repère est dit positif ou direct lorsque ses vecteurs unitaires respectent la règle des trois doigts de main DROITE. Soit u x; y; z et v x ; y ; z dans un repère orthonormal, on a : u v xx yy zz u x2 y2 z 2 Orientation de l’espace u v w u v u w Expression analytique 2 ku v k u v 2 Orthogonalité dans l’espace u v v u Colinéarité et alignement Norme et produit scalaire Le produit vectoriel de deux vecteurs est un troisième vecteur normal au plan formé par les deux autres vecteurs : y X z z u v Y x x Z y y yz zy z z zx xz x x xy yx y u v yz zy i zx xz j xy yx k La norme du produit vectoriel de deux vecteurs est égale à l’aire du parallélogramme construit à partir de ces vecteurs. L’aire du triangle ABC est donc égale à la moitié de cette norme. 9/10 COURBES PARAMETREES Vecteur dérivé en un point S’il n’est pas nul, le vecteur dérivé vt 0 f (t 0 ); g (t 0 ) est un vecteur directeur de la tangente à la courbe en M t0 . f (t 0 ) 0 la courbe admet une tangente verticale en M t0 . g (t 0 ) 0 la courbe admet une tangente horizontale en M t0 . Représentation paramétrique d’une droite Le système d’équations paramétriques de la droite (D) passant par le point Ax A ; y A ; z A et de vecteur directeur u a; b; c détermine l’appartenance ou non d’un point de l’espace à la droite. x ta x A M x; y; z D y tb y A z tc z A Les coefficients du système sont les coordonnées d’un vecteur directeur de la droite. Equation cartésienne d’un plan L’équation cartésienne du plan (P) passant par le point Ax A ; y A ; z A et de vecteur normal na; b; c détermine l’appartenance ou non d’un point de l’espace au plan. M x; y; z P AM n 0 ax x A b y y A cz z A 0 ax by cz d 0 Les coefficients de l’équation sont les coordonnées d’un vecteur normal au plan. Astuce : si on connaît trois points non alignés du plan (P), on pourra se servir du produit vectoriel pour trouver un vecteur normal à (P). Courbes paramétrées Soient f et g deux fonctions définies sur un intervalle donné. Lorsque la variable t décrit cet intervalle, le point M(t) de coordonnées f (t ); g (t ) décrit une courbe paramétrée. x f t est la représentation paramétrique de la courbe. y g t Méthode pour tracer une courbe paramétrique : - rechercher l’ensemble de définition des fonctions f et g - réduire le domaine d’étude par périodicité et symétrie - faire un seul tableau de variation pour f et g - placer les points remarquables et les tangentes - joindre dans le sens des t croissants en lissant au mieux - compléter par les intervalles de symétrie et périodicité. ThAt’s aLL ! Ces fiches de cours ont été réalisées par SoULiAne <[email protected]> avec l’aide de quelques livres, du cours du prof et de l’excellent site http://xmaths.free.fr Faites attention tout de même et vérifiez toujours avec le cours de votre prof car je ne suis pas à l’abris des fautes de frappes !! Merci de me signaler les erreurs que vous trouverez en m’écrivant à l’adresse ci-dessus. Ensuite, quand vous aurez le bac, vous pourrez télécharger les fiches pour le DEUG MIAS sur http://mathinfo.free.fr (c’est mon site de cours). 10/10