Page 1 sur 7 File : Series-Fourier-Motivation-01 dqsdq sdsdq qsdqsd «»«»«»«» *********************************************************************** HERE Parler de la décomposiion d’un vecteur (ou d’une force ou d’’une vitesse) selon les 3 axes ; Eléments d’algèbre linéaire (voir File : Orthogonal-Sets-Basis) (p 99 et p 100 Schaum) Base orthogonale et expression d’un vecteur comme combinaison linéaire de vecteurs orthogonaux « 2 » à « 2 » Théo soit « ℬ = { l, 2, .., N } », un base orthogonale d’un espace vectoriel « V » => donc, on a un ensemble de « N » « vecteurs » « l » , « 2 », .., « N » de « V » , non nuls et orthogonaux « 2 à 2 » : « < , j > = 0 » lorsque « i j » où « i = 1, 2, .., N » et « j = 1, 2, .., N » ; « < i, j > 0 » lorsque « i = j » ; soit « », une élément quelconque de « V » ; Alors tout vecteur « » de « V », peut être écrit comme combinaison liinéaires de ces « N » vecteurs « l » , « 2 », .., « N » : = ( < , 1 > / < 1, 1 > ) . l + ( < , 2 > / < 2, 2 > ) . 2 + .. + + ( < , N > / < N, N > ) . N Les scalaires « ai = < v, i > / < i, i > » sont les coefficients de FOURIER de « v » par rapport à cette « ℬ = { l, 2, .., N } », par analogie avec les coefficients de FOURIER d’une fonctions ; Cas particulier soit « ℬ = { ul, u2, .., uN } », un base orthogonale d’un espace vectoriel « V ℝN » ; Donc, on a un ensemble de « N » vecteurs « ul » , « u2 », .., « uN » de « ℝN » , non nuls et orthogonaux « 2 » à « 2 » : « < ui , uj > = 0 » lorsque « i j » où « i = 1, 2, .., N » et « j = 1, 2, .., N»; « < ui, uj > 0 » lorsque « i = j » ; Page 2 sur 7 soit « v », une élément quelconque de « ℝN » ; Alors tout vecteur « v » de « ℝN », peut être écrit comme combinaison liinéaires de ces « N » vecteurs « ul » , « u2 », .., « uN » : v = ( < v, u1 > / < u1, u1 > ) . ul + + ( < v, u2 > / < u2, u2 > ) . u2 + .... +( < v, uN > / < uN, uN > ) . uN NB : dans « ℝN », il faut veiller à ce qu’il y ait bien « N » vecteurs « ul » , « u2 », .., et « uN » et qu’ils soient non nuls ; Les coefficients « ai = < v, ui > / < ui, ui > » constituent les coefficients de FOURIER de » v » par rapport à ces ces « N » vecteurs « ul » , « u2 », .., « uN » ; Ces coefficients jouent un rôle analogue à ceux d’une fonction dans le cas des séries de FOURIER ; Démonstration On écrit la combinaison linéaire : = a1 . l + a2 . 2 + .. + aN . N ; On a : < , i > = a1 . < 1, i > + a2 . < 2, i > + .. + aN . < N, i > ; Or : « < , j > = 0 » lorsque « i j » où « i = 1, 2, .., N » et « j = 1, 2, .., N » ; « < i, j > 0 » lorsque « i = j » ; Donc, ai = < , i > / < i, i > ; Donc, = ( < , 1 > / < 1, 1 > ) . l + ( < , 2 > / < 2, 2 > ) . 2 + .. + + ( < , N > / < N, N > ) . N ; C.Q.F.D Page 3 sur 7 Exemple (p 100 Schaum) Soit les 4 vecteurs de de R3 : u1 = (1, 1, 1), u2 = (1, -3 , 2), u3 = (5, - 1, - 4), v = (4, 14, - 9) ; Ecrire v comme une de la combinasion linéaire de u1, u2, u3, à l’aide des coefficients x, y, z => v = x . u1 + y . u2 + z . u3 ; Les 3 vecteurs u1, u2, u3 sont orthogonaux 2 à 2 car :: < u1, u2 > = 0 ; < u1, u3 > = 0 ; < u2, u3 > = 0 v = ( < v, u1 > / < u1, u1 > ) . ul + ( < v, u2 > / < u2, u2 > ) . u2 + .. + + ( < v, u3 > / < u3, u3 > ) . u3 ; Or : < u1, u1 > = XX ; < u2, u2 > = XX < u3, u3 > = XX < v, u1 > = XX ; < v, u2 > = XX ; < v, u3 > = XX ; Donc : v = (4, 14, - 9) = XX . (1, 1, 1) + XX . (1, -3 , 2) + XX . (5, - 1, - 4) ; *********************************************************************** *********************************************************************** **************************************************************** HERE Motivations dans le cadre de la Physique et Motivations d’odre mathématique Point de vue sur la série de Mac CLAURIN associée à une fonctrion « y = f (x) » En utilisant les séries de Mac CLAURIN, ont peut [ approximier / approché ] une fonction « y = f (x) » à l’aide d’un polynome « P (x) » de degré relativement élevé => les diverses puissances de x, constituent en quelque sorte des briques élémentaires qui interviennent dans la construction de l’approximatioa de cette fonction ; C’est analogue à la la construction d’un mur à partir d’un grand nombre de briques élémentaires toute du même type ou de type différents ; Page 4 sur 7 En prenant un autre point de vue, on peut dire que la fonction « y = f (x) » est décomposée selon les diverses puissances de x, au travers du choix de bons coefficients ; *********************************************************************** *********************************************************************** (CROFT – DAVISON p 595) [ combinaison linéaire / superposition / somme ] d’harmoniques Un signal « F (t) » périodique peut s’exprimer sous la forme d’une [ combinaison linéaire / superposition / somme ] [ d’harmoniques / de sinus (et de cosinus) ] ayant diverses fréquences, comme ceci : F (t) = 2 . sin (1 . t) + 0,8 . sin (2 . 1 . t) + 0,7 . sin (4 . 1 . t) ; Les pulsations des deux [ composantes spectrales / harmonique ] : 0,8 . sin (2 . 1 . t) ; et « 0,7 . sin (4 . 1 . t) » ; sont des multiples entier de la pulsation « 1 » de l’harmonique « 2 . sin (1 . t) » dont la pulsation « 1 » est la plus basse pulsation ; Cette composane spectrale « 2 . sin (1 . t) » constitue : l’harmonique fondamentale ; ou la 1ère harmonique ; et sa pulsation « 1 » est la pulsation fondamentale ; La compsante spectrale « 0,8 . sin (2 . 1 . t) » dont la pulsation est « 2 . 1 », est la 2ème harmonique ; Donc, toutes les pulsations sont des multples entiers de la pulsation fondamentale « 1 » ; Or, étant donné que : sin (1 . t) ; sin (2 . 1 . t) ; sin (4 . 1 . t) ; sont des fonctions périodiques => c’est pour cette raison que le signal « F (t) = 2 . sin (1 . t) + 0,8 . sin (2 . 1 . t) + 0.7 . sin (4 . 1 . t) » résultant de la superpostion de ces fonctions, est également périodique est sa période est égale à celle de l’harmonique fondamentale (à démontrer !!!) ; Donc, ce signal « F (t) » a la même pulsation « 1 » (à démontrer !!!) que l’harmonique fondamentale « 2 . sin (1 . t) » ; Dans un signal « F (t) » général qui s’exprime sous la forme d’une [ combinaison linéaire / superposition d’harmoniques, certaines harmoniques peuvent [ être absentes / manquantes ] ; Ici, dans le signal « f (t) = 2 . sin (1 . t) + 0,8 . sin (2 . 1 . t) + 0.7 . sin (4 . 1 . t) », Page 5 sur 7 la 3 ème harmonique est absente ; Divers signaux périodiques se manifestent en engineering (en plus des signaux harmoniques habituels) ; NB : dans certains cas, dans un signal « F (t) » périodique général, il arrive même que l’harmonique fondamentale soit [ absente /manquante ], mais cependant ce signal « F (t) » (résultant de la superposition d’harmoniques) a la même pulsation « 1 » que celle de l’harmonique fondamentale ; Ex : G (t) = cos (2 . 1 . t) + 0.5 . cos (3 . 1 . t) + 0.4 . cos (4 . 1 . t) ; Ici aussi, dans « G (t) », toutes les pulsations des composantes spectrale : cos (2 . 1 . t) ; 0,5 . cos (3 . 1 . t) ; 0,4 . cos (4 . 1 . t) » sont des multples entiers de la pulsation « 1 » de l’harmonique fondamentale qui ici est absente ; *********************************************************************** *********************************************************************** (CROFT – DAVISON p 594) p 594 : A présenter tout cela avec mes tournures de phrases à moi, qui sont plus précises !!! Analyse de FOURIER L’analyse de FOURIER est un outil mathématique qui permet aux : physiciens ; et ingénireurs ; de décomposer un signal « F (t) » (périodque) (une forme d’onde) assez général en ses [ diverses compsantes spectrales / divers harmoniques ] consitutives ; Cette décompostion constitue la décompostion de ce signal « F (t) » en sa série de FOURIER associée ; Cet outil mathématique permet ainsi de faire sur le plan mathématique à un signal, ce que sur le plan physique, un prisme fait (en quelque sorte) subir à un rayon lumineux : le prisme décomposer le rayon lumineux en ses « 7 » composantes spectrales : depuis la couleur rouge ; jusqu’à la couleur mauve / indigo ; Par ailleurs, l’utilité des série de FOURIER, c’est qu’elles permettent de reconstituer des signaux périodiques : signal carré ; signal triangle ; Page 6 sur 7 signal en dents de scie, ... ; au moyen de briques élementaires ; Ces briques élémentaires sont des sinusoïdes bien choisie c-à-d des sinusoïdes qui ont la bonne fréquence, la bonne amplitude maximale et le bon déphasage de l’une par rapport à l’autre ; Cette reconstition de signaux périodiques est réalisées au moyen [ de combinaison linéaire infinies <-> superposition d’un nombre infinie ] de ces sinusoïdes bien choisies ; En fait, l’idée des séries de FOURIER est la même que celle, en algèbre linéaire, qui consiste à exprimer tout vecteur de l’espace « 3-D » comme une combinaison linéaire des vecteurs d’un base quelconque de R3 ; Fondamentalement, l’idée des séries de FOURIER, c’est de représenter n’importe quel signal périoidque f (t) de période T,par une [ somme / superposition ] de fonctions « sinius » bien choisis, c-à-d des fonctions « sinius » qui ont la bonne vakeur de crête, la bonne fréquence et le bon déphasage de l’un par rapport à l’autre : n N « g (t) = Cn . sin (n . 1 . t + n) » n0 Dessin d’un signal trianulaire où la période T est représentée ; Les diverses sinusoïdes « Cn . sin (n . 1 . t + n) » s’appellent les harmoniques ou bien les composantes spectrales qui [ constituant le / entrent dans la fabrication du ] signal périodique f (t) ; L’ harmoniques « C1 . sin (n . 1 . t + 1) » s’appelle l’harmonique fondamentale (ou bien la fondamentale) et sa période est égale à la période du signal périodique f (t) ; L’ harmoniques « C2 . sin (n . 2 . t + 1) » s’appelle la 2ème ’harmonique ; L’ harmoniques « Cn . sin (n . 1 . t + n) » s’appelle l’’harmonique de rang « n » ; En fait, la fréquence de l’harmoniques de rang « n », est un multiple entier « n » de la fréquence « 1 » de l’harmonique fondamentale Exemple d’pplication concrète des séries de FOURIER Soit : un un système linéaire dont on connaît [ les / l’effet sur les ] réponses suite à l’application de divers compsantes spectrales individuelles ; un signal « F (t) » assez général résultant de la superpositon de divers composantes spectrales ; Il est ainsi possible de connaître [ le / l’effet sur la ] réponse de ce système linéaire suite à l’application de ce signal « F (t) » sur son entrée ; Page 7 sur 7 C’est pour cette raison que souvent : les physiciens ; et les ingénireurs ; trouvent utile de penser à un signal « F (t) » : en terme de ses composantes spectrales constitutives ; plutôt qu’en terme de sa répresentation dans le domaine temporel ; Ce point de vue « fréquentiel » qui est un point de vue alternatif par rapport au point de vue « temporel », [ consittue / s’appelle ] une representation du signal « F (t) » dans le domaine fréquentiel ; Ce point de vue « fréquentiel » est particulièrement utile lorsqu’on essaie de comprendre l’effet d’un filtre électronique sur un signal « F (t) » ; Les ingénieurs en télécommunication utilisent intensivement ces filtres électroniques dans les équipements électroniques de réception des signaux afin de filtrer les composantes spectrales indésirables présentes dans le signal reçu, c-à-d : enlever la portesue (the transmission signal) ; et ne garder que le signal audio qu’on a voulu transmettre ; Ces filtres sont également utilisés dans divers domaines de l’ingéniérie ; Ainsi, la capacité d’analyser des formes d’ondes de divers types, est une importante engineering skill surtout en « HF » ; *********************************************************************** HERE *********************************************************************** HERE