La personne (ou le moi) est capable d’apprécier des idées.
Les mots représentent les idées et permettent l’abstraction ou les idées générales
(concept).
D’où viennent les défauts de notre entendement ?
D’idées qui ne correspondent à aucune expériences sensibles.
De connexion (ou liaisons) fausses, mal fondées, illégitimes, entre nos idées.
Locke donne à ces défauts dans l’enchaînement de nos idées le nom de folie et il dit
que personne n’y échappe à un moment ou un autre de son existence.
Influence en Psycho :
Certaines théories psycho vont reprendre les idées des empiriques
Les processus mentaux reflètent – ou repose sur – les impressions externes
sensorielles externes.
Le programme Logico empiriste :
Théorise le « jugement synthétique à priori » : Le savoir commence par l’expérience et
cependant ne surgit pas d’elle.
L’esprit (le moi) est un organe actif de compréhension qui forme et coordonne les
sensations et les idées.
Ce « moi » dépend du monde extérieur et est stimulé par celui-ci.
Monde sensoriel concret qui ne peut pas être directement perçu. On ne connaît que des
représentations.
Subjectivité des sensations, intuitions. Notions de schèmes abstrait (règles, catégorie).
Influence sur la psycho :
Impossibilité de def la psycho comme une science :
o L’esprit est affecté quand il s’étudie lui- même
o On ne peut pas appliquer des lois math aux données empiriques
o La psycho s’intéresse à des lois sans dimensions (les idées pures).
Niveau de représentation
Déchiffrer une logique (vision de la syntaxe – ensemble de symboles et des règles
portant leur enchaînement – qui pourrait sous tendre les opérations de l’esprit).
Le cognitivisme :
Cartésianisme a le mérite d’avoir reconnu l’existence des états mentaux.
Critique de l’empirisme.
Certaines idées sont présentent dès la naissance.
Critique du dualisme
Fonctionnalisme (les ordinateurs peuvent avoir des croyances).
Il est possible d’étudier les états mentaux et leurs manipulations.