BILAN.
I. Interrogatoire – anamnèse.
A. Le patient.
1. Age.
2. famille : conjoint, enfant.
3. social : habitat, escalier.
4. travail, loisirs : interprétation des besoins.
5. taille et poids : surtout pour les MI.
6. latéralité pour le MS.
7. antécédents.
8. traitement médical : anti inflammatoire, anti coagulant : Novelox, décontracturant musculaire, cibacalcine
(SAD).
9. attentes.
10. profil psychologique.
B. La pathologie.
On va analyser les éléments touchés et les incidences MK.
1. Si c’est un ligament : intérêt = stabilité.
On va analyser le mécanisme lésionnel : souvent les muscles ont mal travaillé en excentrique donc il va falloir
les remuscler.
Savoir s’il s’agit d’un étirement ou d’une rupture partielle ou totale.
On doit respecter la cicatrisation : ne pas aller dans le mouvement de lésion avant la phase de cicatrisation
acquise.
Peut-il y avoir une compensation par les ligaments actifs ?
Attention, pour les ligaments croisés, on parle de ligamentisation.
Intérêt de la RNM +++.
Quand la cicatrisation est acquise, on fera des tests de stabilité.
2. Si c’est un tendon : action biomécanique : à quoi il sert, qu’est –ce qu’il fait ?
Mécanisme lésionnel : ouverture cutanée ou non.
Différence entre la lésion en traumatologie et en rhumatologie.
Savoir s’il s’agit d’un étirement ou d’une rupture partielle ou totale.
On doit respecter sa cicatrisation : attention aux étirements et à la contraction musculaire, on coulisse en course
interne uniquement et pas de contraction.
Principes : réhabilitation progressive : étirement progressif et contraction progressive.
3. Si c’est un muscle : action biomécanique.
Mécanisme lésionnel : ouverture cutanée ou non.
Savoir s’il s’agit d’un étirement ou d’une rupture partielle ou totale.
On va respecter sa cicatrisation : étirement / contraction musculaire.
Principes : réhabilitation progressive : étirement progressif et contraction progressive.
4. si ce sont des os : notion essentielle : ouverture cutanée ou non ?
Localisation anatomique :
- articulation touchée ?
- éléments à considérer : adapter la technique en fonction de l’analyse.
Ouverture cutanée associée ? : si oui, risque d’infection, de pseudarthrose avec un retard de
consolidation et des adhérences cicatricielles (diminution de la force musculaire et de la mobilité).
Risque nerveux : bilan sensitif et motricité du nerf qui risque d’être lésé.
Risque vasculaire : pouls pédieux et radial.
Risque musculaire : fracture ouverte ou déplacée : risque d’adhérence muscle – os + une diminution de
force si les fibres sont lésées.
Risque tendineux : dépend de la localisation de la fracture.
Risque ligamentaire.
Risque « osseux » : déplacement, cal vicieux, complexité de la fracture.
- traitement fonctionnel :