6. Etablir les équations horaires x(t) et y(t) de la position de la voiture dans le repère.
7. Quelle est l’équation de la trajectoire ?
8. Quelle est l’allure de cette trajectoire ?
9. Justifier le fait que les cascadeurs possèdent le même mouvement que le véhicule.
Confrontation avec la réalité (3 points)
1. Calculer la valeur de la vitesse au bout de 50 s.
2. La comparer avec la célérité du son (340 m.s-1) et commenter.
3. Calculer la hauteur de chute au bout de 50 s. Qu’en pensez-vous ?
4. La première hypothèse simplificatrice vous parait-elle justifiée ?
En fait, les composantes des vitesses sont tracées sur le graphe 1 en annexe.
5. Quelle est la vitesse maximale atteinte ?
6. La deuxième hypothèse simplificatrice est-elle justifiée ?
Seconde phase : descente verticale parachutée (3 points)
Le repère d’étude
a pour origine le point d’ouverture des parachutes, l’axe vertical
étant orienté vers le bas.
1. Faire le bilan des forces s’exerçant sur la voiture chargée de ses passagers.
2. A partir de la seconde loi de Newton, exprimer l’accélération
du véhicule.
3. Par projection sur l’axe vertical, en déduire l’équation différentielle du mouvement.
Au bout d’un régime transitoire d’environ 5 s, la vitesse verticale atteint une valeur limite.
On veut que la voiture se pose au sol avec une vitesse limite maximale de 10 m.s-1.
4. Compléter le graphique précédent au delà des 50 premières secondes.
5. Que vaut l’accélération lorsque le régime permanent est obtenu ?
6. En déduire l’expression du coefficient k, développé par les parachutes, en fonction de g,
vlim, M et m ? Calculer la valeur de k et préciser son unité.
Mouvement réel (1,5 points)
On donne l’évolution de l’altitude du centre d’inertie du système en fonction du temps sur le
graphe 2 en annexe.
1. A quelle altitude a eu lieu le largage ?
2. Compléter le graphique au-delà de 50 s en le justifiant.
3. En déduire la durée totale de l’opération.