5
Du point de vue thérapeutique :
Pharmacopée disponible pour les troubles psychiatriques
Sismothérapie (électrochocs)
Méthodes émergentes :
TMS : Stimulation externe, par bobine magnétique, d'une zone du cerveau,
pour "remettre en route" les réseaux "abîmés"
Stimulation cérébrale profonde (identique à celle utilisée dans le traitement
de la maladie de Parkinson) : méthode utilisée uniquement dans le domaine
de la recherche pour le moment
A l'hôpital, les deux courants (psychodynamique et neurobiolgique) sont très répandus. Ils cohabitent.
III-Psychologie cognitive :
Apparue dans les années 1960-1970, elle permet d'envisager le fonctionnement physiologique et le
fonctionnement pathologique du cerveau. On peut donc également parler de psychopathologie cognitive.
Elle considère qu'un être humain agit, pense et ressent. Le fonctionnement quotidien de l'individu est un
mélange de comportement, d'intellect et d'affect. Cette théorie repose donc sur le trépied Comportement-
Cognition-Emotions.
Cette méthode construit, à partir de comportements étudiés, des modèles théoriques de traitement de
l'information. On considère, avec cette théorie, que le cerveau fonctionne sur un mode computationnel,
comme un ordinateur.
C'est une méthode qui se veut scientifique et qui utilise l'observation, la construction d'une hypothèse puis
l'expérimentation pour rechercher une (des) corrélation(s) : il y a un rationnalité dans cette théorie.
On considère que les réseaux neuronaux peuvent traiter l'information.
Génétique, vulnérabilité au
stress (la première influençant
la seconde)
Neuroplasticité cérébrale, c’est à
dire effritement du système
cérébral par les évènements de la
vie. (Ex : A partir d’une certaine
diminution du volume de
l’hippocampe, certaines personnes
font des dépressions.)