1) Crises partielles simples :
o Sans rupture de contact.
o Avec Signes moteurs, somato sensitifs ou sensoriels, végétatifs, psychique.
(a) Crise somato motrice.
Clonies unilatérales : pouce, index, main, avant-bras, membre supérieur hémiface, membre
inférieure.
Dystonie.
Déficit post critique.
(b) CRISE versive.
Point de départ frontal.
L’aire motrice supplémentaire « oculo céphalogyre ».
Déviation de la tête et des yeux + élévation du membre supérieur et d’une vocalisation
interative.
(c) Crises sensitives et/ ou sensorielles.
Toutes ont en commun des hallucinations, illusions.
Elles sont bien identifiées et critiquées, contrairement aux hallucinations psychiatriques.
Sensitives :
o Paresthésies, progression.
o Crises visuelles.
o Crise auditive.
o Crises olfactives.
o Crises gustatives.
(d) Crises aphasiques ou phonatoires.
Intéressant les zones du langage.
Aire de Broca : aphasie.
Aire de Wernicke : jargonaphasie.
(e) Crises temporales.
Système essentiel pour l’élaboration des expériences affectives, la motivation, la mémoire.
Une décharge épileptique se manifeste par une expérience vécue dont le sujet garde un
souvenir prégnant bien que malaisément définissable et/ ou une activité psychomotrice dont
il ne garde pas de souvenirs.
Associe des sensations végétatives (striction abdominale, thoracique, laryngé).
Manifestations affectives (peur).
2) Les crises partielles complexes.
Avec troubles de conscience, survenant initialement ou retardé par rapport au début de la
crise, associé au non à des automatismes.
Comporte une altération de la conscience qui peut survenir d’emblée ou secondairement
après une ou plusieurs manifestations précédentes.