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exemple). Ces symptômes se retrouvent dans le tableau de l’hystérie mais on
peut aussi le retrouver dans d’autre structure (comme les phobies).
Les manifestations aiguë de ces symptômes de conversion se retrouvent dans
environ la moitié des névroses hystériques qui sont souvent associés à des
manifestations durable, elles sont en général des crises, brèves souvent, et qui
sont liés au niveau inconscient ou conscient à des situations conflictuelles. La
première décrite, et la + spectaculaire, est celle dite de « crise à la
Charcot » (assez typique, même si on la rencontre moins sous nos latitude mais
encore présent dans d’autres régions du monde), annoncé par des prodromes
(dans les jours précédent la crise, les éventuels symptômes de conversion
s’aggravent et le caractère change pour devenir + irascible ; on note également
des douleurs ovariennes), ensuite arrive la crise elle même composé de plusieurs
période :
- première période épileptoïde, ressemblant à une crise d’épilepsie, le
sujet perd conscience :
o une phase tonique, les membres se raidissent, se collent contre le
corps
o un arrêt respiratoire temporaire
o des secousses du corps, la phase dite clonique
o une période de calme
- ensuite vient la deuxième période de contorsion qui s’accompagne de
mouvements désordonnés et de cris comme si il y avait une lutte contre
un être imaginaire
- la troisième phase est celle d’attitudes passionnelles, le sujet mime des
scènes + ou – agréables d’allure érotique, une espèce de phase de
transe
- la période terminale où le sujet reprend progressivement conscience et
semble ne plu se souvenir de ce qu’il s’est passé, la honte pouvant
accompagné une quête de réminiscence si on essai de lui faire parler de
la crise.
Ces crises surviennent quand il y a un publique, jamais quand le sujet est seul.
Un autre type de crise est celle psychomotrice, banalement appelé une crise de
nerf, le sujet s’agitant de façon théâtrale sur un mode psychomoteur et parce
qu’il y a du public.
Il y a également les crises de spasmophilie ou de tétanie (quand réglé par un
médecin, il lui fait une piqûre supposant une carence, analogue de la pénétration,
résolvant le symptôme mais pas le problème).
Un autre type de crise est la syncope (tout les sujets en faisant ne sont pas
forcément hystérique cependant), le sujet se réveille au réveil ce qu’il s’est passé
cependant, le sujet fut souvent surpris par un affect qui la déstabilisé.
Un autre type est la crise convulsive, pour les distinguer des crises épileptiques
réside dans le fait que la crise se déclenche devant des tiers et ce de façon