Roneo`07

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Orély/Blondie
Le 25/02/2009
Chloé - Stéph
Médecine
16h-17h00
Armelle Diquelou
Aujourd’hui mes amis, en ne venant pas en cours vous êtes passés à côté du pantalon de boom
dont vous rêvez tous, Armelle a mis la barre très haut…Et oui, nous avons eu la chance de voir le
pantalon « rideau de camping-car qui t’arrache les yeux et t’hypnotise », tout en taille haute et
coupe slim. Une petite splendeur à l’état pur. Voilà, il fallait le mentionner. (photos à l’appui sur
demande)
L’ELECTROCARDIOGRAMME (SUITE)
 Troubles de la conduction
Il existe des troubles de la conduction lorsque l’influx n’est pas conduit correctement entre le
noeud sinusal et le nœud auriculo-ventriculaire.
Rappel : l’onde électrique au niveau du cœur part du nœud sinusal dans l’oreillette droite pour aller
au nœud auriculo-ventriculaire (NAV).
C’est au niveau du premier étage du cœur que les variations sont significatives, c'est-à-dire entre
le nœud sinusal et le nœud auriculo-ventriculaire.
Les problèmes peuvent être les suivants :
- des blocages : onde inexistante
- des conductions lentes
- des conductions intermittentes
 Ce sont des blocs atriaux ventriculaires (BAV)
Remarque : les BAV peuvent être physiologiques chez le cheval, surtout le BAV 2, lequel est
pathologique chez le chat et chien.
En résumé, il existe 3 degrés de troubles de la conduction :
-BAV 1 : ralentissement de la conduction
-BAV 2 : conduction intermittente
-BAV 3 : blocage de la conduction = non conduction permanente
Comment sait-on qu’il y a eu un influx dans le nœud sinusal ?
Quand un influx nait, il y a une dépolarisation atriale et naissance d’une onde P visible sur l’ECG :
l’information est donc née dans le nœud sinusal.

Etude des gradations du BAV :
 BAV 1 : une conduction présente mais ralentie
On peut observer que P-Q augmente par rapport aux valeurs usuelles. Pour cela, on mesure la
distance entre le début de l’onde P et le début de l’onde QRS.
-P-Q normal = 0,13 s (13ms) pour un chien
-P-Q normal = 0,08 s (8ms) pour un chat
L’intervalle P-Q peut varier selon le contexte/l’animal.
Remarque : faire attention à l’échelle de l’ECG lors de l’interprétation des valeurs et ne pas
confondre la conversion des ms en seconde et inversement avec la conversion des mètres !!
Médecine – L’ECG – page 111
0.01m=10mm
0.1s=10ms
N.B.: Suite au tolé général en amphi provoqué par cette révélation...«nous vous laissons méditer
quand à la véracité du délire professoral?»
L’intervalle PQ est plus long
 BAV 2 : conduction intermittente
Il y a eu intermittence dans la conduction de l’influx lorsque l’on peut observer sur l’ECG une onde
P qui n’est pas suivi d’une onde QRS.
Comment reconnait-on T ? Elle se situe après une onde QRS.
Remarque : il ne peut pas y avoir de QRS sans T car après une dépolarisation il faut une
repolarisation. Si il n’y a pas de repolarisation , il ne peut plus y avoir de dépolarisation.
Ce BAV est physiologique chez le cheval.
 BAV 3 : la conduction est bloquée
En temps normal, c’est le nœud sinusal qui commande car c’est le plus rapide à se dépolariser. En
quelque sorte il zappe tous les autres...le monde appartient à ceux qui se lève tôt !. Mais lorsque le
nœud sinusal ne fonctionne pas bien et donc ne transmet plus l’onde de dépolarisation au NAV, le
NAV prend le relais. Il peut alors se dépolariser tout seul mais à une fréquence différente et avec
une intensité plus basse que le nœud sinusal : c’est un rythme de secours. On obtient un rythme
d'environ 50 à 60 battements par minute chez le chien et entre 80 et 90 battements par minute
Médecine – L’ECG – page 211
chez le chat. L'animal est atteint de bradychardie, avec choc précordial et pouls concordants. Les
animaux sont en général fatigués et incapable d'augmenter leur débit cardiaque.
L’onde QRS est supra-ventriculaire (elle se crée au niveau du NAV).
La séquence QRS est alors plus fine car l’onde est passée par les faisceaux de His et Purkinje,
considérés comme des « autoroute » donc elle est plus rapide.
Aussi, les dépolarisations du nœud sinusal et du NAV sont indépendantes : « chacun vit sa vie ». Il
n’y a aucune relation entre P et QRS. On a donc des ondes P non suivies de QRS.
Pourquoi ne serait ce pas un BAV2 ? Parce qu’il n’a pas de PQRS identifiable et il n’y a aucune
relation identifiable entre le P et le QRS. En gros, sur l’ECG, on identifie les P et on peut se rendre
compte que les R sont placés n’importe où.
Pour pouvoir identifier un BAV 3 on identifie tous les P puis on place les QRS.
 Les troubles de l’excitabilité
Lors des troubles de l’excitabilité, il y a une désorganisation de l’initiation de la dépolarisation. On
a affaire à des cellules trop excitables. Elles se dépolarisent et initient des « trains d’onde » qui ne
sont pas coordonnés, il y a donc une transmission aléatoire de l’onde de dépolarisation au NAV.
On a des QRS normales.
Où la dépolarisation peut-elle se faire ?
- dans le nœud sinusal
- dans le NAV
- dans les ventricules
Ces 3 étages sont très fondamentaux, car en fonction de l’étage, différents anti- arythmiques sont
appropriés ! Si on administre le mauvais anti-arythmique cela peut avoir de graves conséquences.
 Fibrillation atriale
Il y a une désorganisation complète du réseau électrique au niveau des cellules atriales.
Des patches de cellules se dépolarisent aléatoirement : les trains d’ondes sont totalement
désorganisés.
Certaines cellules se dépolarisent créant un train d’onde qui va se propager jusqu’au moment où il
rencontre des cellules atriales réfractaires : pas de dépolarisation.
Médecine – L’ECG – page 311
Au niveau des oreillettes, il y a des trains d’ondes dans tous
les sens, il n’y a pas de réelles ondes P, car elles s’annulent
entre elles : sur l’ECG cela forme une ligne de base qui
tremblote.
De temps en temps, un train d’onde va aléatoirement
dépolariser le NAV, on a donc un QRS normal. Ce QRS passe
par le réseau de His et Purkinje, donc on a une
dépolarisation supra ventriculaire. On a généralement une
tachycardie car la probabilité qu’une dépolarisation arrive
au nœud est importante. En effet, on a un nombre
important de cellules qui se dépolarisent dans le temps ce
qui augmente les chances pour cette onde d’arriver au NAV.
La fibrillation atriale se caractérise par 4 éléments clés :
- Tachycardie due aux différents trains d’ondes
- Irrégularité car les trains d’ondes arrivant au NAV sont aléatoires
- Absence d’onde P
- QRS supra ventriculaire
Remarque : chez certains cas, on peut avoir un BAV 1 avec une tachycardie mais ici, on peut voir
sur le grand segment qu’il n’y a pas d’onde P. Comme il n’a pas d’onde P, on est certain que c’est
une fibrillation atriale.
 Extrasystole atriale : « premature contraction »
L’extrasystole atriale correspond à une systole surnuméraire prématurée qui nait dans l’oreillette.
Il s’agit d’une dépolarisation d’une cellule atriale qui entraine la formation d’une onde P.
Cependant, cette onde P n’aura pas forcément la même morphologie. Elle est généralement plus
petite et elle est conduite : on aura donc une onde QRST qui suit. L’espace PQ peut être modifié et
dépend de l’endroit où se trouve l’extrasystole surnuméraire. Les ondes surnuméraires sont
notées P’ et R’
Médecine – L’ECG – page 411
 L’extrasystole jonctionnelle
L’extrasystole jonctionnelle correspond à une systole surnuméraire prématurée naissant dans le
nœud atrioventriculaire ou au dessus de ce nœud : QRS supraventriculaire .Cette onde est
conduite dans le ventricule et passe par les faisceaux de His et de Purkinje, « les autoroutes ». La
vitesse de conduction est donc augmentée et l’onde QRS est fine. Généralement, soit on
n’observe pas d’onde P ou on observe une P négative, avec une QRS normale. L’ensemble QRS-T
est prématuré.
 L’extrasystole ventriculaire
L’extrasystole ventriculaire correspond à une systole surnuméraire prématurée naissant dans un
des ventricules (gauche ou droite). Cette onde de dépolarisation ne passe pas par les faisceaux de
His et de Purkinje, mais à côté, par les petits rameaux dans le ventricule, « elle passe donc par des
départementales » donc le trajet est plus long. On la reconnait par un QRS plus large.
Comment savoir si ce n’est pas un artéfact ou si cela ne provient pas des oreillettes ?
Tout d’abord, ce n’est pas un artéfact car elle se répète et c’est quelque chose de structuré. De
plus, ici il y a trop de force pour que ce soit auriculaire. Il faut quelque chose avec une forte masse
musculaire pour dégager cette onde.
Sur l’ECG, on observe un Q’R’S’ prématuré et qui dure plus longtemps. L’onde T est géante et
inversée à QRS, et il n’y a pas d’onde P.
Médecine – L’ECG – page 511
Il y a deux possibilités: soit une ESV gauche ou une ESV droite.

Pour une ESV gauche, le QRS est inversé (« pic vers le bas »= négatif) car la dépolarisation
part du bas du ventricule gauche. La dépolarisation se propage de gauche à droite et donc
dans le sens opposé à l'axe vectoriel D2, ce qui donne un R' négatif.

Pour une ESV droite, la dépolarisation nait à l’opposé, c'est-à-dire à gauche et se propage
dans le sens de l'axe vectoriel D2, ce qui donne un R' positif.
 ECG et variations morphologiques cardiaques
Remarque : pensez à retirer le maximum d’information sur l’ECG !
 Modification au niveau de l’oreillette
La P observée résulte de la sommation des dipôles de l’oreillette droite (côté noeud sinusal) puis
gauche (plus tard), donc on somme d’abord la P droite puis la P gauche.

Si on a une dilatation de l’oreillette droite, on parle de "P
pulmonaire". La masse de l’oreillette est plus grande. Ainsi, le trajet
est plus grand car il y a plus de masse musculaire. La P résultante de
droite va donc durer plus longtemps et la P gauche sera identique à
elle-même. La sommation de ces deux P sera donc plus grande mais
la durée ne change pas car même si la P droite dure plus longtemps,
elle va finir en même temps que la P gauche ou un peu avant. On a
donc une augmentation de l’amplitude mais une durée constante.
PS: schéma plus évocateur sur le ppt que nous n'avons pu récupérer mais sera
sans doute disponible sur le site de la ronéo.

Si dilatation de l’oreillette gauche, la P
gauche est modifiée : on a une P droite
inchangée et une P gauche plus longue, alors
Médecine – L’ECG – page 611
on aura une modification de la durée sans modification de l’amplitude : l’onde P gauche
finit même par se détacher de l’onde résultante (cf. flèche sur la courbe).
On a donc une augmentation de la durée et une amplitude constante.

Si on a une modification des deux P, on aura donc une modification de la durée et de
l’amplitude.
 Dilatation ventriculaire
QRS : onde résultante de tous les dipôles qui se créent au moment de la dépolarisation.
La quantité de dipôle dépend de la masse cardiaque mais aussi de la taille du cœur.
La dilatation du ventricule droit entraine une diminution de l’amplitude de QRS..
Cela peut se traduire par 2 profils : Qrs ou qrS. Dans ce cas le dipôle le plus important est à droite,
on a une tendance à QRS négatif.
Grâce à l’ECG on peut penser à une hypertrophie ou dilatation ventriculaire droite, mais ce n’est
qu’une aide, ça ne permet pas de confirmer un diagnostic, il vaut mieux pour cela une échographie
cardiaque.
La dilatation du ventricule gauche entraine une QRS augmentée (augmentation de l’amplitude
mais aussi de la durée).
3,5 mV est trop important même pour un dogue allemand, ce n’est
donc pas physiologique : il y a trop de monde en positif.
Pour les grandes races on peut aller jusqu’à 2,5-3mV.
Remarque : Sur un chien jeune, si l’ECG révèle une hypertrophie du cœur gauche, la sténose
aortique est fort probable. Si on a mis en évidence une hypertrophie à droite, c’est une sténose
pulmonaire que l’on va suspecter.
DELOR – HENRION
Steph - Chloé
Médecine
25/02/2009
17h-18h
Médecine – L’ECG – page 711
A. Diquelou
 Troubles de la Kaliémie
C’est important car le potassium est impliqué dans la dépolarisation myocardique. On l'observe
surtout chez les chats qui arrêtent d'uriner et du coup n'éliminent plus le potassium car ils
souffrent d'insuffisance rénale. Une hyper- ou hypokaliémie poseront des problèmes, car K+ est
toxique pour le coeur.
Rappel: Lors de la dépolarisation, il y a sortie de K+ de la cellule myocardique, lequel retourne
dans la cellule lors de la repolarisation.
-
-
Hyperkaliémie : si modérée, diminution de la phase P, et une T géante. Si sévère, on a
une P absente, troubles de la conduction et rythme jonctionnel, dans les deux cas on a
une bradycardie.
Hypokaliémie : bradycardie, allongement de QT et diminution de l’amplitude de T. On a
un trouble de la repolarisation et donc une période réfractaire plus longue.
Une modification de la kaliémie cause une bradycardie et une modification de l’ECG. Si on observe
une bradycardie, il faut donc réaliser un ECG pour voir s’il est modifié, si c’est le cas on dose la
Kaliémie.
On peut donc dans ce cas soigner la bradycardie, car elle risque d’entraîner une baisse du débit
cardiaque.
Ensuite la prof a comparé deux ECG vus précédemment pour voir dans quels cas on a concordance
du pouls et du choc précordial.
Tout d’abord il faut savoir que le pouls dépend de l’efficacité de la systole.
Sur l’ECG « BAV3 », on a concordance car la contraction ventriculaire est efficace car il y a
auparavant une diastole auriculaire et ventriculaire complète (cœur rempli de sang).
Sur l’ECG « Fibrillation atriale », on n’a pas forcément concordance, car le remplissage lors de la
diastole est trop court, de fait la contraction ventriculaire est moins efficace.
Conclusion :
Il est important de savoir faire un ECG, de savoir reconnaître un trouble de la conduction, mais
aussi de savoir reconnaître l’étage (supraventriculaire ou ventriculaire) d’un trouble de
l’excitabilité et enfin de savoir évaluer l’impact que peuvent avoir les troubles du rythme sur le
débit cardiaque.
Par exemple si l’on a une extrasystole isolée, ce n’est pas grave, mais si elles se répètent
fréquemment cela devient plus grave car cela diminue le débit cardiaque.
Sémiologie neurologique

Objectifs :
-
Savoir conduire un recueil d’anamnèse et de commémoratifs utilisables dans
une démarche de diagnostic neurologique
Savoir réaliser un examen neurologique
Médecine – L’ECG – page 811
-
Savoir présenter ces résultats afin de pouvoir les utiliser ensuite en
neurolocalisation
L’examen clinique renseigne sur la neurolocalisation (« le problème est là ») ; les
commémoratifs et l’anamnèse ne servent qu’après à établir le diagnostic différentiel entre les
affections pouvant apparaître à cette localisation.

Signalement :
-

Espèce
Race : exemple de l’épagneul Breton qui tremble vers 6-7 ans va souvent
présenter une dégénérescence du cervelet
Age
Couleur : exemple du tremblement du petit chien blanc.
Conditions générales de vie, passé médical (exemple : certains médicaments
sont neurotoxiques), vaccinations, traitement en cours…
Anamnèse et commémoratifs :
-
Quels signes ont été notés par le propriétaire ?
1- Troubles de l’équilibre : quand le propriétaire dit que son chien « tombe », il faut
chercher des précisions telles que de quel côté, et les circonstances.
2- Troubles de la démarche et du port de tête : ils ne sont pas toujours faciles à
détecter par le propriétaire, donc il faut lui apprendre à les déceler.
3- Mouvements anormaux et convulsions : les mouvements anormaux ne sont pas
forcément faciles à détecter, par contre les convulsions sont très impressionnantes
donc le propriétaire va toujours les trouver plus longues que ce qu’elles sont en
réalité. On a donc la possibilité de demander au proprio de chronométrer les crises
suivantes.
4- Troubles de la conscience.
5- Troubles du comportement : attention car ces troubles ne sont pas toujours d’origine
neurologique.
-
Quel est le mode d’évolution ?
1- Constant dans le temps
2- Exponentiel : pour bien cerner cette évolution il faut savoir ce qui s’est passé avant
la consultation et bien suivre le patient par la suite.
3- Inconstant : ce type d’évolution est classique dans les phénomènes tumoraux
4- Brutal puis amélioration lente : ceci correspond par exemple à des affections
vasculaires, le suivi dans le temps permet de différencier ce type d’évolution du type
exponentiel.
5- Crises courtes "spikes" : potentiellement moins dangereuses que lors d’évolutions
inconstantes, cependant les propriétaires y sont plus sensibles. Il y a néanmoins un
biais, car il existe un seuil de détection de l’anomalie par le propriétaire qui entre en
jeu.
Médecine – L’ECG – page 911
-
Quelle est la durée dévolution ?
1- De l’affection en général : elle est soit chronique, soit aiguë. Parfois le proprio
emploie l’expression « il le fait depuis toujours »
2- Des crises (convulsives par exemple) : Il y a toujours une notion de durée relative,
c'est-à-dire une minute de crise convulsive va sembler une éternité pour le proprio.
Exemple : une crise d’épilepsie normale dure de 5 à 10 minutes alors qu’une plus
difficile durera 15 minutes, il convient donc d’être le plus précis possible, on peut
utiliser le chronomètre.

Examen à distance :
123456-
-
Posture générale : regarder comment l’animal se tient, ex : xyphose, scoliose,
lordose, plantigrade… (A tes souhaits Armelle)
-
Démarche :
Ebrieuse : = démarche chancelante, ou démarche du chien bourré qui sort de boom
Hypermétrique : une exagération de l'amplitude du mouvement
Bruit de raclement : membres qui traînent
Pattes qui se croisent
Incoordination des membres
Pertes d’équilibre ou tourne en rond : savoir si ça touche un ou les deux côtés
Quand on met un symptôme en évidence, il ne faut pas s’y arrêter et poursuivre l’examen
jusqu’à son terme en essayant de ne pas être influencé par le problème que l’on vient de mettre
en évidence.
Le propriétaire voit et connaît mieux son chien que le vétérinaire, mais il n’est pas tellement
apte à juger ce qu’il observe.

Déroulement de l’examen :
1- On effectue tout d’abord l’examen à distance pendant le recueil de l’anamnèse et
des commémoratifs
Médecine – L’ECG – page 1011
2- Examen neurologique avec test des nerfs crâniens, réflexes spinaux et réactions
posturales.
3- Enfin on réalise les examens potentiellement algiques (sensibilités, flexions) car si
l’animal se braque cela peut clore l’examen.
Médecine – L’ECG – page 1111
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