Démonstration :
Démo thm 1 : _Supposons par exemples a différent de 0. L’ensemble des diviseurs
communs à a et b est non vide (car il contient 1) et est fini (car il contient que des entiers
comris entre 1 et a). Il admet donc un plus petit élement, qui est le plus grand des diviseurs
communs à a et b. (toute partie finie non vide de IN admet un plus grand élement) ADMIS !
(prop de la borne sup).
_L’ensemble des multiples communs de a et b est une partie non vide (elle
contient ab). Il admet donc un plus petit élement. (Dans IN, un partie non vide admet un plus
petit élement) (prop borne inf) ADMIS !
Démo Bézout : Supposons que a et b sont premiers entre eux. REFAIRE AVEC
RECURRENCE. Ou alors : on utilise les écritures de l’algorithme d’euclide.
a=b , on a
b= c’est de la forme voulu
Pas à pas, on exprime chaque reste comme combinaison linéaire entière de a et b jusqu’à
.
Réciproquement : s’il existe u et v tels que au+bv=1, un diviseur commun d à a et b divise
au+bv donc divise 1.
Par suite d=1 ou =-1. Donc PGCD(a,b)=1. Donc ils sont premiers entre eux.
Démo GAUSS : On a a divise bc donc il existe un entier relatif k tel que bc=ka. On a a
premier avec b donc par le thm de Bézout, il existe u et v tel que au+bv=1.
En multipliant par c, on obtient acu+bcv=c, cad acu+akv=c cad a(cu+kv)=c et cu+kv est un
entier. Donc a divise c.
Démo propriété : Si D=PGCD(a,b) alors D . D|a et D|b. Il existe donc a’ et b’ tel que
a=Da’ et b=Db’. Donc PGCD(a,b)=D*PGCD(a’,b’) (par homogénéité du PGCD).
Soit D=D*PGCD(a’,b’). Donc PGCD(a’,b’)=1.
Si a=Da’ et b=Db’ avec PGCD(a’,b’)=1. Et DIN* alors PGCD(a,b)=D*PGCD(a’,b’)=D.
Démo de la relation : D’après ce qu’on vient de montrer, on a a=Da’ et b=Db’ avec
PGCD(a,b)=1.
Concidérons l’entiers Da’b’. Da’b’ est uin multiple commun à a et b puisque Da’b’=ab’=ba’.
Soit n un multiple commun à a et b. On peut écrire n=a’=b’ où et sont des entiers
relatifs. Donc n=Db’=Da’ (*) qui entraine en simplifiant par D non nul, a’=b’
Donc a’|b’. Or a’ et b’ sont ptemiers entre eux. Par le thm de Gauss, on a donc a’|. Donc
=a’k où kZ.