2
1) Les r´eponses sont :
z2=−2√2 + i2√2
z2= 4ei3π
4
|z2|= 4 et arg(z2) = 3π
4.
2) zest une racine carr´ee de z2donc
z= 2ei3π
8ou z=−2ei3π
8.
Comme cos(3π
8)>0 et Re(z)>0, on en d´eduit que
z= 2ei3π
8.
3)
cos(3π
8) = Re(z)
|z|=p2−√2
2.
Exercice 4
Soit (un) la suite d´efinie par :
u0= 0
un+1 =ru2
n+ 4
3,∀n>0
1) Montrer que pour tout n>0, un>0.
2) Montrer que la suite (vn) d´efinie par vn=u2
n−2 est g´eom´etrique et pr´eciser sa raison.
3) Calculer vnen fonction de v0. En d´eduire la limite de (vn) puis celle de (un).
Correction de l’exercice 4 :
1) On d´emontre par r´ecurrence la propri´et´e (Pn) : un>0.
– Initialisation : u0= 0 >0 donc (P0) est vraie.
– H´er´edit´e : On suppose que (Pn) est vraie pour un certain n>0. Alors,
un+1 =ru2
n+ 4
3
est bien d´efini puisque u2
n+ 4
3>0 d’apr`es l’hypoth`ese de r´ecurrence. De plus un+1 >0 car la
fonction racine carr´ee est positive.
Donc, par r´ecurrence, pour tout n>0, un>0.
2) On a
vn+1 =u2
n+1 −2 = u2
n+ 4
3−2 = u2
n−2
3=1
3vn.
Donc (vn) est une suite g´eom´etrique de raison 1
3.
3) (vn) est une suite g´eom´etrique de raison 1
3et v0=u0−2 = −2 d’o`u
vn=−2
3n.
On en d´eduit que (vn) tend vers 0, et donc que u2
n=vn+ 2 tend vers 2. Comme un>0, on a un=pu2
n,
d’o`u (un) tend vers √2 (par continuit´e de la fonction racine carr´ee. . .) .
Exercice 5
Soit (un) la suite d´efinie par :
(u0= 1
un+1 =√2un,∀n>0
1) Montrer que pour tout n>0, un>0.
2) Montrer que pour tout n>0, un62.
3) Montrer que (un) est croissante (on pourra consid´erer le quotient un+1
un
).