des rapports d’influence réciproque entre la société et le langage. Désormais on « n’étudie plus
une langue comme structure isolé. On la voit comme une microstructure dont les composantes
essentielles sont : l’homme et la société » (Bayron)
la variation : techniquement parlant la variation se définie comme une production de deux
formes différentes d’une unité (seule et unique unité linguistique)(les 2 formes de production ont
le même sens ex (pri) (pRi). Pour que les deux formes d’une seule unité linguistique soient
concidérées comme variante, il faut qu’elles aient une fréquence élevée (production récurrente
et généralisée). Selon bayron : une variante doit être : 1 d’une fréquence élevée. 2 à l’abri de
suppression consciente. 3. Fait partie d’un sous-système . 4 être facilement quantifiée
la linguistique variationniste (sociolinguistique variationniste ) :
« 3 concepts clés forment : le changement linguistique, l’hétérogénéité …..
la variation sociale n’est que le résultat d’élements internes
22/11/2016
variation linguistique, linguistique variationnelle :
types et niveaux de variation :
selon Labov, la variation linguistique se manifeste à 2 points : 1 stylistique 2 sociale : «
l’ensemble des performances d’une communauté constitue une structure à deux dimension :
sociale et stylistique (..) les réalisation linguistique des variables sont co-reliés (…) avec la
position sociale de qui ceux qui parlent et avec les condition de production des discours qu’ils
tiennent »
· « la variation diachronique est liée au temps ; elle permet de contraster les traits selon
qu’ils sont perçus comme plus ou moins aincien/récent » (Maureau) on peut citer la
présence dans un état de langue donnée. D’unités linguistique concidérées comme des
archaismes à coté de nouvelle unité avec lesquelles elles entrent en concurrence dans
l’usage des locuteurs »
· la diatopique (origine géographique) : « la variation diatopique joue sur l’axe
géographique, la différentiation d’une langue relèvent de cette variation. Pour désigner
les usagers qu’en résultent, on parle de régiolecte, de topolecte, ou géolecte » on peut
citer, pour illustrer ce facteur de variation des exemples du lexique. Dans les différentes
région de la francophonie, on utilise des mots différents pour désigner la même réalité
exemple : remuer le sucre, touiller, tourner le sucre. Exemple 2 : petit déjeuner désigné
dans quelques régions par déjeuné
Remarque : la variation Géographique peut aussi être interprétée comme une variation
sociale, l’origine sociale/ appartenance à un milieu socioculturel ( diastratique).
« la variation diastratique explique les différences entre les usages pratiqués par les
diverses classes sociales. Il est question de ce cas de sociolecte »
l’étude de la variation des diphtongues a montré que les locuteurs des différentes classes
sociales de l’Ile Ma rta, n’utilisent pas de la même façon les différentes variantes de ces
diphtongues.
4- les circonstances de l’acte de communication (diaphasique) : « on parle de variation
diaphasique, lorsqu’on observe une diférenciation des usages selon les situations de
discours, ainsi la production langagière est influencée par le caractère plus ou moins formel
(officiel) du contexte d’énonciation et se coule en des registres ou styles différents » ce type
est à rapprocher de la stylistique de Labov
5- l’âge est un facteur qui agit et engendre des diversités d’usage dans une communauté
linguistique. Boyer pense que dans la communauté sociale, on peut considérer plusieurs
synchronies dont les différentes générations sont porteuses. Les différentes tranches d’âge
utilisent différentes variété d’une même langue. On peut citer l’exemple de ce qu’on appelle
le parlé des jeunes (argot).
6-le sexe : la plus part du temps H/M n’ont pas le même comportement langagier. Dans
certaines de ces études, Labova constaté que les femmes sont plus sensibles aux formes
de prestiges et aux variétés standards, elles utilisent moins que les hommes les formes
stygmatisées dans un discours surveillé