Remerciements
à la légendaire gentillesse et mes "fans" Caroline et Sylvie). Une pensée également
aux veilleurs de nuit du laboratoire pour ces sympathiques rencontres nocturnes à
l’IMB lors des derniers jours de la rédaction du manuscrit.
De nombreuses personnes ont rendu ce travail et les années d’étude qui l’ont
précédé très agréables et m’ont apporté la stabilité et la sérénité nécessaires pour
accomplir cette tâche. Merci donc à mes anciens camarades de promo : Léa, Aurélie,
Damien, Noémie, Gilles, Max,. . . . Merci évidemment à tous les amis doctorants de
Dijon : Thomas, PM, Christelle, Caroline, Carlo, Maciej, Great Ahmed, Gabriel,
Gautier, Jefe, Rafa, Réno, Etienne, Bilel, Moumou, Emmanuel, Vincent, Hugues,
Lionel et Moshere,. . . . Encore merci pour l’inoubliable "Opération Sucre" ! Un très
grand merci aux amis de Dijon et de Lato Sensu (Anne-Claire, Lucie, Ben, Sam,
Chris, Yo, Laurène, Esther, Pauline, Anastasia, Damien, Mamadou, Julie, Aurélie,
Nacer, Mélanie, Sylvain, Hugo et leur maman, . . . ), un "Dieuradieuf" sincère aux
amis sénégalais (Yankhoba, Moussa, Auguste, Assane, Ousmane, la famille Fall,
. . . ) et un énorme merci aux amis d’Auxerre et de toujours (Jessica, Fabien, Momo,
Gaël, Mathieu, Marlène, Marion, Martin, Stéphanie, Christophe, Chenda, Alexis,
Clément, Alexandre, . . . ). Il faudrait que je vous remerciasse un jour autant que
vous le méritez.
J’ai passé une grosse partie de la durée de ma thèse un casque sur les oreilles.
Par conséquent, je me dois de remercier Serj Tankian et System of a down, Blur
et Gorillaz, la rue Ketanou, les Wriggles, les Brindherbes, Pierre Pierre, Georges
Brassens, Yves Jamait, Christophe Rippert et Olivia Ruiz pour m’avoir accompa-
gné tout au long de ce travail.
Enfin, je n’ai pas de mot pour remercier à leur juste valeur mes parents, qui
m’ont tant donné et ont tant sacrifié pour moi ; ainsi que pour mon frère, qui m’a
ouvert la voie et a toujours été un modèle et un exemple pour moi. Et bienvenue
dans la famille à ma belle-soeur !