Au fond, une thèse est une histoire banale. Elle raconte l’histoire d’une vie,
d’une réflexion et exprime une grande quantité d’interrogations. L’intérêt vient
certainement dans une raison de les ordonner, de leur donner figure humaine.
Cette vie de recherche conquiert sans doute ce qui ne lui a pas été donné. En ce
domaine, la mienne a répondu strictement au postulat. Heureusement, elle aura
réussi à trouver une direction toujours mesurée et disponible. Je remercie ainsi
mon directeur de thèse grâce à qui tout est toujours resté possible.
Impensable et indispensable, la soutenance est l’exercice d’ouverture et de
fermeture des temps. Que le jury reçoive l’expression de ma gratitude, que
ceux-là soient ou non plus flagrants que ceux-ci.
Je pense indéfectiblement aux amis qui seront restés fidèles à une pensée
rebelle à l’ordre des choses. Les paris sont souvent risqués mais ils valent pour
découvrir et aimer les êtres sans autre fin. Bien sûr, il faut être là et certains le
font mieux que d’autres. Enfin, ce combat quotidien et usant fait l’œuvre qui
déchire la démesure des réalités du monde.
Qu’ils se reconnaissent donc, les René, Mouzaffar, Manu, Linda et Gérard,
Eusébio et Céline, David, Guillaume, François, Thierry, Maurice, Gérard,
Mustapha, Julien, Mylène et Françoise… Pêcheurs d’idéal, pourvu qu’ils
luttent encore tous pour la belle vie et que rien ne nous empêche de le faire
ensemble.
Ce travail n’aurait trouvé aucune issue possible sans l’aide du Service des
Sports et des Grandes Manifestations de la Ville de Tours. Je remercie les gens
avec qui j’ai eu plaisir à travailler depuis 2001 et mes amis de l’A3Tours qui
auront montré patience, gentillesse ou compréhension envers quelqu’un
d’assez fou pour être aujourd’hui un vieil étudiant. Tant qu’on a un travail,
hein !
Toutes les aides m’auront été précieuses. Rares, les plus belles ont toujours été
proches du cœur. Ma gratitude infinie s’envole auprès de celui de ma mère.
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