d o s s i e r Les scores de qualité de vie de l’incontinence urinaire de la femme ■ G. Amarenco* CONCEPTS ET DÉFINITIONS DE LA QUALITÉ DE VIE Rendre objective et mesurer une impression subjective perçue par le patient est une gageure. La normalisation et la mesure de ce concept sont d’autant plus difficiles que la notion de qualité de vie est très individuelle, dépendante de l’état émotionnel du patient, de ses expériences physiques et psychiques, de son éducation, de son statut social, de son environnement culturel et sociologique. Notion très égocentrique, spécifique de l’individu mais aussi de son environnement, ce concept multidimensionnel est difficile à appréhender. Diverses définitions ont pu en être données : état de bien-être en relation avec l’état de santé ; sensation de bien-être physique, psychique, émotionnel, intellectuel ; possibilité de participer aux activités familiales, sociales, professionnelles. La définition de la qualité selon le Petit Larousse [“propriété sensible et non mesurable qui détermine la nature d’un objet”] semble de prime abord antinomique avec la notion de score, d’échelles de qualité de vie où l’on essaye de quantifier cet état. Autrement dit, l’aspect qualitatif mis en exergue dans la définition même du concept contraste avec la notion quantitative, qui seule se prête à une mesure. Il s’agit de plus d’une valeur labile dont le caractère variable peut poser problème en termes de mesure, nécessitant la définition de bornes temporelles pour être analysable. * Service de rééducation neurologique et d’explorations périnéales, hôpital Rothschild, 33, bd de Picpus, 75571 Paris Cedex 12. e-mail : [email protected] 22 Derrière ce concept flou se cache pourtant un besoin d’évaluation simple : quel est le retentissement en termes psychologique, social, familial, professionnel et sur les activités de la vie quotidienne, des symptômes ? Cette question est une question fondamentale dans la mesure où l’on s’intéresse à une pathologie purement fonctionnelle (l’incontinence urinaire) où la problématique n’est que de l’ordre du confort au sens large du terme (confort psychologique, confort social). Les stratégies diagnostiques (décision d’examens complémentaires par forcément anodins en termes de pénibilité, d’effets iatrogènes potentiels ou de coût économique), et plus encore les stratégies thérapeutiques, doivent nécessairement s’appuyer sur une appréciation la plus objective possible de l’altération de la qualité de vie pour nuancer les diverses décisions. Les implications éthiques, médicoéconomiques et parfois médico-légales sont évidentes à toutes les étapes des processus décisionnels. L’existence d’outils validés permet de répondre en partie à ces questions. LA MESURE DE LA QUALITÉ DE VIE La grandeur mesurée (“la qualité de vie”) est une donnée multifactorielle et la mesure doit impérativement respecter cette caractéristique. Pour mesurer la qualité de vie des patients, plusieurs types d’outils (échelles) peuvent être utilisés. Ces échelles peuvent être générales (capables de fournir des données sur l’état de santé et la qualité de vie (QdV) quelle que soit la pathologie) ou bien spécifiques de l’affection. Les échelles générales présentent l’avantage de permettre des comparaisons avec des patients souffrant d’autres maladies ou encore de comparer des groupes de malades à des populations de référence non malade (Nottingham Health Profile, SF-36, Göteborg Quality Of Life Instrument, Sickness Impact Profile, EuroQol, échelles visuelles analogiques). Les échelles spécifiques se révèlent plus sensibles aux variations cliniques que les échelles globales. Quelle que soit l’échelle utilisée, la QdV des patients est mesurée au moyen de questionnaires. La mise au point de ces questionnaires est longue et fait appel à une équipe multidisciplinaire (médecin, psychologue, statisticiens, méthodologistes) qui travaille à l’élaboration de l’outil qui sera ensuite testé pour vérifier sa vali- Correspondances en pelvi-périnéologie - n° 2, vol. I - avril-mai-juin 2001 Scores de symptômes et de qualité de vie en pathologie pelvi-périnéale chez la femme RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1. Amarenco G, Kerdraon J, Perrigot M. Échelle d’évaluation du handicap pelvien : mesure du handicap urinaire (MHU). In : Rééducation vésico-sphinctérienne et ano-rectale. Pelissier J, Costa P, Lopez S, Mares P, Masson Ed 1992, 498-504. 2. Uebersax J, Wyman J, Shumaker S et al. Short form to assess life quality and symptom distress for urinary incontinence in women : the incontinence impact questionnaire and the urogenital distress inventory. Neurourol Urodyn 1995 ; 14 : 131-9. 3. Black N, Griffiths J, Pope C. Development of a symptom severity index and a symptom impact index for stress incontinence in women. Neurourol Urodyn 1996 ; 15 (6) : 63040. 4. Jakson S, Abrams P. The bristol lower urinary tract symptoms score. Br J Urol 1996 ; 77 : 805-12. 5. Berstein I. The danish lower urinary tract symptoms score. Int Urogynecol J 1996 ; 7 : 37-47. 6. Gaudeuz R. Der inkontinenz fragebogen, Geburstsh u Fränenheilkh 1979 ; 39 : 784-92. 7. Kauppila A. The detrusor instability Score. Acta Obstet gynecol Scand 1982 ; 61 : 137-41. 8. Wyman J, Harkins S, Choi S et al. Psychosocial impact of urinary incontinence in women. Obstet Gynecol 1987 ; 70 (3) : 378-81. 9. Grimby A, Milsom I, Molander U et al. The influence of urinary incontinence on the quality of life in ederly women. Age Ageing 1993 ; 22 : 82-9. 10. Schipper H, Clinch J, Powell V. Definition and conceptual issues. In : Spilker B. Quality of life assesments in clinical trials. Raven Press NewYork 1990 ; 2 : 11-24. 11. Hunskaar S, Vinsnes A. The quality of life in women with urinary incontinence as measured by the sickness impact profile. J Am Geriatr Soc 1991 ; 38 : 273-81. dité (capacité à mesurer ce qu’il est censé mesurer), sa fiabilité (capacité à donner des résultats comparables dans des situations comparables, encore appelée reproductibilité) et sa sensibilité. Les questionnaires peuvent être prévus pour être renseignés par le patient lui-même (questionnaires auto-administrés) ou par le médecin, voire par l’entourage. Ces outils ont enfin l’immense mérite d’être “écologiques”, de faible coût d’utilisation et non invasifs. Les modalités de réponse aux questions (dites items) diffèrent d’une échelle à l’autre : réponse de type oui/non, échelles visuelles analogiques ou modalités d’intensité croissante. Dans tous les cas, il est possible de calculer un ou plusieurs scores. Ce score pourra être global ou calculé pour chaque dimension explorée. Deux grands domaines sont en règle étudiés : d’une part, l’humeur et l’état psychologique et d’autre part, les différentes activités de la vie quotidienne. De manière détaillée, plusieurs aspects sont spécifiquement explorés : – les activités physiques (physical functioning), c’est-à-dire les capacités qu’a l’individu de participer aux activités de la vie quotidienne (soins corporels, cuisine, courses, tâches ménagères…) ; – l’état psychique (psychological functioning), c’est-à-dire l’état émotionnel et mental de bienêtre, incluant ainsi différents états de dépression, anxiété, inquiétude, culpabilité et, à l’inverse, joie, dynamisme, optimisme ; – les activités sociales, relations avec autrui (entourage, famille, amis), capacité de participation aux différentes activités de la vie relationnelle ; – la satisfaction globale (overall life satisfaction), c’est-à-dire le sentiment global d’avoir (ou non) une vie agréable ; – la perception de son état de santé (perception of health status), positive ou négative, souvent fonction de l’âge du sujet et de ses références temporelles vis-à-vis de son propre cheminement dans l’existence. D’autres domaines connexes sont souvent analysés : douleur, sommeil, état cognitif, satisfaction sexuelle (et, partant, troubles génitosexuels éventuels). La stratégie de validation psychométrique comprend différentes étapes qui sont maintenant codifiées et clairement identifiées. Il s’agit de démontrer que le questionnaire utilisé est un Correspondances en pelvi-périnéologie - n° 2, vol. I - avril-mai-juin 2001 véritable instrument de mesure qui, à ce titre, doit présenter des propriétés précises. Cette validation psychométrique répond à trois critères principaux : validité, fiabilité et sensibilité aux changements. La validation [validité de contenu (content/face validity)] consiste à démontrer qu’un questionnaire mesure ce qu’il prétend mesurer. Cela revient à démontrer que les items couvrent bien l’ensemble des domaines inhérents à la pathologie. Pour la validité de construction (construct validity), il s’agit de démontrer que le questionnaire est un véritable instrument de mesure. Il doit pouvoir ainsi distinguer les différents groupes (normaux vs malades/malades traités vs non traités…). La fiabilité (reliability) est la capacité du questionnaire à se comporter de manière fiable et donc de mesurer de manière reproductible la qualité de vie. La reproductibilité (reproducibility = validité externe) est la stabilité de la mesure dans le temps. La cohérence interne (internal consistency = validité interne) est mesurée par des coefficients qui apprécient l’erreur de mesure. Elle est appréciée par le calcul de l’alpha de Cronbach, ce coefficient indiquant dans quelle mesure les items d’une dimension étudient le même concept et avec quelle fiabilité. La stabilité (stability) est la capacité qu’a le questionnaire de mesurer les mêmes choses chez une même personne sur un laps de temps donné. La sensibilité aux changements (responsiveness) est la capacité du questionnaire à réagir, à “bouger” : c’est sa réactivité. Le questionnaire doit montrer une évolution de la qualité de vie d’un même groupe de patients dont l’état va changer (après traitement, par exemple). Quant à la validation linguistique d’une échelle, ce n’est pas une simple traduction. L’adaptation culturelle d’un questionnaire est en effet un processus complexe, le questionnaire en langue étrangère devant être en définitive équivalent sur le plan conceptuel à la version originale. LES DIFFÉRENTES ÉCHELLES DE QUALITÉ DE VIE Les scores généralistes Les échelles visuelles analogiques sont des index d’utilisation simple entrés dans la pratique quotidienne. Encore faut-il qu’ils soient explicites. On peut s’aider d’un référentiel de 23 d o s s i e r 12. Patrick D, Deyo R. Generic and disease-specific measures in assessing health status and quality of life. Med Care 1989 ; 27 (3) : S232 (suppl.). 13. Marquis P, Amarenco G, Sapede C et al. Elaboration et validation d’un questionnaire qualité de vie spécifique de l’impériosité mictionnelle chez la femme. Prog Urol 1997 ; 7 : 56-63. 14. Amarenco G, Jacquetin B, Marquis P et al. Development and validation of a disease specific quality of life questionnaire for urinary urge incontinence. Congres ICS Sydney 17-20 oct 1995. 15. Richard F, Haab F, Gattegno B et al. Development and validation of a new specific questionnaire to assess women health related quality of life in urinary incontinence. XIVth European Association Urology, Stockholm, 7-11 avril 1999. questions pour aider à faire prendre conscience à la patiente des domaines que l’on veut étudier. Ces exemples permettent une illustration pratique des implications des troubles mictionnels sur les deux grands domaines qu’évalue le concept de qualité de vie, à savoir d’une part, le retentissement sur l’humeur et l’état psychologique, et d’autre part, l’impact des troubles sur les différentes activités de la vie de tous les jours. D’autres scores généralistes ont pu être utilisés dans l’exploration des troubles mictionnels et de l’incontinence de la femme (Nottingham Health Profile, SF-36, Göteborg Quality Of Life Instrument, Sickness Impact Profile, EuroQol). Ces scores sont bien moins sensibles que les scores spécifiques. Les domaines les plus modifiés par l’incontinence urinaire sont ceux concernant les activités sociales et les réactions émotionnelles. Les scores spécifiques Ils sont nombreux : Incontinence Impact Questionnaire ; Symptom Impact Index ; York Incontinence Perception Scale, Stress Incontinence Questionnaire, Bristol Female Lower Urinary Tract Symptoms Questionnaires. Deux questionnaires sont utilisables chez l’homme et la femme : SEAPI QMM Incontinence classification system et Quality of Life in Persons with Incontinence. Un dernier questionnaire concernant en fait une mesure individuelle (l’individu identifie pour lui-même les aspects de sa vie les plus importants constituant ainsi sa propre qualité de vie, et les grades) : SEIQOL. Mais tous ces questionnaires ne sont validés qu’en anglais. En français, deux questionnaires sont disponibles (et publiés à ce jour) : l’échelle Ditrovie (expertisant le retentissement en termes de qualité de vie des troubles mictionnels de la femme à type d’impériosité, pollakiurie ou fuites sur urgence mictionnelle) ; et le questionnaire Contilife (expertisant l’ensemble des troubles mictionnels de la femme y compris l’incontinence urinaire à l’effort). LES ÉTUDES RÉALISÉES DANS L’INCONTINENCE URINAIRE À L’EFFORT Elles sont en fait peu nombreuses. Wyman ne retrouve pas de corrélations entre les données QdV fournies par l’Incontinence Impact Questionnaire (IIQ) et le pad-test ou le score de 24 symptômes (Urogenital Distress Inventory – UDI). Norton, en revanche, retrouve une corrélation entre les données cliniques et l’impact sur les activités de la vie quotidienne. Amarenco (1998, SOFMERR Lyon) a analysé 25 femmes de 28 à 83 ans se plaignant d’une incontinence urinaire à l’effort pure, sans impériosité, et a démontré une bonne corrélation entre l’importance quantitative des fuites au pad-test et l’impact en termes de qualité de vie. Le même auteur, sur une étude des corrélations entre scores de qualité de vie et données urodynamiques (Amarenco 1998, SIFUD Lisbonne) retrouve sur 26 femmes une bonne corrélation entre l’importance des symptômes et la positivité du VLPP ainsi que de la valeur de la pression de clôture. L’impact en termes de qualité de vie n’est corrélé qu’à la positivité du VLPP. Sander a bien démontré l’intérêt de l’étude de la qualité de vie pour évaluer l’efficacité d’un traitement (en l’occurrence, un dispositif intra-vaginal de continence). Dans cette étude, 55 femmes souffrant d’une incontinence urinaire à l’effort ont participé à une étude sur 3 mois. Étaient réalisés deux catalogues mictionnels, deux pad-tests à domicile de 24 h, une évaluation de la qualité de vie (SF36, IIQ) et une débimétrie. Cette étude démontre une diminution des fuites au padtest, une diminution de la fréquence des fuites sur le catalogue mictionnel, une amélioration de la qualité de vie sur le questionnaire spécifique (IIQ), alors que le questionnaire généraliste (SF36) ne bouge pas. Versi a aussi démontré l’efficacité d’un obturateur uréthral, et cela tant sur les paramètres cliniques (pad-test de 1 h et de 48 h, catalogue mictionnel) que sur la qualité de vie (IIQ). Fonda, en utilisant un questionnaire personnel non validé, a mis en évidence l’effet positif sur la qualité de vie de la rééducation périnéale chez les femmes âgées de plus de 60 ans. Sand a utilisé un questionnaire généraliste (SF36) pour démontrer une amélioration de la qualité de vie après mise en place d’un obturateur uréthral. Cette amélioration était corrélée aux résultats du pad-test et du catalogue mictionnel. Haab a pu démontrer, grâce au IIQ, l’amélioration en termes de qualité de vie après implantation d’un sphincter artificiel pour incontinence urinaire. Blanc, utilisant une version non validée du IIQ, a pu évaluer l’amélioration de la qualité de vie après chirurgie pour incontinence urinaire à l’effort. Correspondances en pelvi-périnéologie - n° 2, vol. I - avril-mai-juin 2001 Scores de symptômes et de qualité de vie en pathologie pelvi-périnéale chez la femme CONCLUSION L’évaluation de la qualité de vie fait désormais partie intégrante de l’analyse clinique globale des différents symptômes et maladies. Elle nécessite des outils validés, spécifiquement adaptés à la pathologie ou au syndrome considéré. Les procédures de validation de tels outils sont complexes, bien codifiées, expliquant que ces échelles et questionnaires soient longs à produire, le plus souvent très focaux en termes de population cible. Au-delà de leur utilisation clinique dans les processus de décision diagnostique (hiérarchie des examens complémentaires) et thérapeutiques (choix des techniques), ces outils sont indispensables dans la conduite des essais thérapeutiques et plus généralement dans les protocoles de recherche clinique. Échelle Ditrovie Au cours des 4 dernières semaines, vos troubles urinaires : (1) vous ont-ils gêné lorsque vous étiez à l’extérieur de chez vous ? (2) vous ont-ils gêné pour faire les courses ou les achats ? (3) vous ont-ils gêné pour porter quelque chose de lourd ? (4) ont-ils nécessité que vous interrompiez fréquemment votre travail ou vos activités quotidiennes ? Pas du tout 1 1 1 1 Un peu 2 2 2 2 Moyennement 3 3 3 3 Beaucoup 4 4 4 4 Énormément 5 5 5 5 Au cours des 4 dernières semaines, à cause de vos troubles urinaires, avec quelle fréquence : (5) avez-vous éprouvé un sentiment de honte, de dégradation ? (6) avez vous craint de sentir mauvais ? (7) avez-vous perdu patience ? (8) avez-vous craint de sortir de chez vous ? (9) avez-vous été obligée de vous relever plusieurs fois pendant votre sommeil ? Jamais 1 1 1 1 1 Rarement 2 2 2 2 2 De temps en temps 3 3 3 3 3 Souvent 4 4 4 4 4 En permanence 5 5 5 5 5 (10) Compte tenu de vos troubles urinaires, comment évaluez-vous actuellement votre qualité de vie ? (entourez la réponse de votre choix) 1 2 3 4 5 Excellente Mauvaise Total : Score global : somme des scores aux 10 questions divisé par 10 Interprétation du score : 1 : correspond à une patiente peu gênée dans ses activités, son psychisme, son sommeil et qui a une excellente qualité de vie. 5 : correspond à une patiente extrêmement gênée dans ses activités, son psychisme, son sommeil et qui a une mauvaise qualité de vie. Échelles visuelles analogiques : retentissement des troubles mictionnels Type d’évaluation : retentissement des troubles urinaires sur : les activités de la vie quotidienne, les activités professionnelles ou scolaires, les activités de loisir et de culture s l’humeur et l’état psychologique Score sur 100 Exemples : Vie quotidienne Vie professionnelle ou scolaire Vie de loisir et de culture déplacement : marche, transferts, s’accroupir, s’agenouiller, se relever, escaliers, positions couché-debout-assis • transport : sortir de chez soi ; attendre et prendre les transports en commun ; deux-roues, conduite automobile • alimentation : faire les courses ; préparer et prendre les repas • soins personnels : toilette (se laver), s’habiller • sorties diverses : administratives, soins (médecin, dentiste), faire la queue, achats divers • ménage : ranger, balayer, serpillère, vaisselle, linge, lit... • vie familiale : s’occuper d’autrui : enfants, adultes, animaux • activités de soin : kinésithérapie, gymnastique • contraintes de soin : infirmière, autosondage, médicament • activités diverses : soulever poids, rire, toux, éternuement • sommeil : qualité et durée activités professionnelles : réunions, travail, transport • activités scolaires : cours, école, récréation, transport, restaurant scolaire, jeux sortir chez des amis, en famille ; réunion familiale ou amicale, spectacle, cinéma, musée, restaurant, regarder TV, promenade, lecture, temps de repos, jardinage, bricolage, couture, peinture • activités physiques : sport, gymnastique, danse • vie sexuelle. Correspondances en pelvi-périnéologie - n° 2, vol. I - avril-mai-juin 2001 25