:::676067+%/2*6327&20 17 Rappel sur le calcul vectoriel II/ RAPPEL SUR LE CALCUL VECTORIEL $ $ $ $ !$ $ $ 1/ GRANDEUR SCALAIRE( $ $%&$ ) Une grandeur scalaire est toujours exprimée par une valeur numérique suivie de l’unité correspondante. Exemple : le volume, la masse, la température, la charge électrique, l’énergie… ) 2/ GRANDEUR VECTORIELLE( On appelle grandeur vectorielle toute grandeur qui nécessite un sens, une direction, un point d’application en plus de sa valeur numérique appelée intensité ou module. Exemple : le déplacement, la vitesse, la force, le champ électrique… 3/ REPRESENTATION GRAPHIQUE D’UN VECTEUR ( Un vecteur est représenté par un segment orienté (figure2.1). ): V : représente le vecteur (avec ses quatre caractéristiques). V = V = V : représente le module ou l’intensité du vecteur. :::676067+%/2*6327&20 V O Fig 2.1: représentation d’un vecteur ): c’est un vecteur de module égal à l’unité (le 4/ LE VECTEUR UNITAIRE ( nombre un). On peut exprimer un vecteur parallèle au vecteur unitaire sous la forme : V = uV = V u (2.1) u V O Fig 2.2: vecteur unitaire : 5/LA SOMME GEOMETRIQUE DES VECTEURS ( ) Cette opération fait appel au dessin, c’est pour cette raison qu’on la qualifie de géométrique. La somme de deux vecteurs : c’est une opération commutative. On calcule le module du vecteur résultant à partir de la loi des cosinus ( que nous démontrerons plus tard : D = V12 + V2 2 A.FIZAZI 2VV cos 1 2 Univ-BECHAR ! " #) (2.2) LMD1/SM_ST 18 Rappel sur le calcul vectoriel V2 V2 V V V = V1 + V2 V = V2 + V1 V1 V1 Pour déterminer la direction de V , il suffit de chercher la valeur de l’angle (figure 2.4). Raisonnons à partir du triangle ACD de la figure 2.5 : sin sin = = CD CD = AC V V V = 2 sin sin CD CD = BC V2 (2.3) = V 2 .sin V .sin C V2 V E 0 A V1 B D De même dans le triangle BEC nous avons : sin sin A.FIZAZI BE BC BE = AB = V2 V = 1 sin sin V2 .sin = V1.sin (2.4) :::676067+%/2*6327&20 Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 19 Rappel sur le calcul vectoriel De (2.3) et (2.4) nous pouvons en déduire la formule générale (2.5), appelée loi des sinus " #): (! V V V = 1 = 2 sin sin sin (2.5) V2 V1 La somme géométrique de plusieurs vecteurs : (voir figure2.5) Cas particulier : Si 2 = 2 alors V = V1 + V2 2 et tan = V = V1 + V2 + V3 + V4 + V5 V V3 V2 V4 V5 V1 O Fig 2.5: Somme de plusieurs vecteurs :::676067+%/2*6327&20 La soustraction de deux vecteurs : (" ' ( ) figure 2.6 Géométriquement, le vecteur D représente le résultat de la soustraction entre les deux vecteurs V2 et V1 . Nous pouvons écrire : D = V2 V1 Cette équation peut aussi s’écrire : D = V2 + ( V1 ) La soustraction de vecteurs est anticommutative, c’est ce qui ressort de la figure 2.6 : D'= D Le module du vecteur D : D = V12 + V2 2 A.FIZAZI 2VV cos 1 2 Univ-BECHAR (2.6) LMD1/SM_ST 20 Rappel sur le calcul vectoriel 6/ COMPOSANTES D’UN VECTEUR ( ) % ): Chaque vecteur peut être considéré comme étant la somme de deux vecteurs ou plus (le nombre de possibilités est illimité). Dans le plan, soit le repère R (O; i , j ) : En coordonnées rectangulaires : on décompose le vecteur V suivant l’axe des X et l’axe des Y, comme indiqué sur la figure2.7. Y V Vy V = Vx + Vy V x = V cos V y = V sin u j O i X Vx Fig 2.7: Composantes d’un vecteur En désignant les deux vecteurs unitaires i et j , respectivement dans les directions des deux axes OX et OY, nous pouvons écrire : Vx = i .Vx , Vy = j .Vy ; V = Vx + Vy ; V = i .Vx + j .Vy ; V = i .V cos + j .V sin (2.7) V = V (i .cos + j .sin ) Or V = u .V , d’où : A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 21 Rappel sur le calcul vectoriel u = i .cos + j .sin 2 Quant à la norme du vecteur V , elle vaut : V = V x + V y (2.8) 2 En utilisant les coordonnées x et y nous pouvons aussi écrire : V = x 2 + y 2 Exemple 2.1 : Trouver la résultante des deux vecteurs V1 x1 x ; V2 2 y1 y2 dans le repère R (O ; i , j ) . Réponse : ; V = i ( x1 + x2 ) + j ( y1 + y2 ) D V = ( x1 + x2 ) 2 + ( y1 + y2 ) 2 V = V1 + V2 Exemple 2.2 : Trouver la différence des deux vecteurs V1 x1 x ; V2 2 y1 y2 dans le repère R (O ; i , j ) . Réponse : V = V1 V2 ; V = i (x 1 x 2 ) + j ( y1 V = ( x1 y2 ) x2 )2 + ( y1 y2 ) 2 Dans l’espace : dans le repère R (O; i , j , k ) (base orthonormée), nous remarquons que V = V x + V y + V z V = i .Vx + j .V y + k .Vz . (figure 2.8) Z :::676067+%/2*6327&20 Vz r k i V j Vy Y Vx X Fig 2.8: composantes d’un vecteur Nous pouvons nous assurer géométriquement que : A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 22 Rappel sur le calcul vectoriel cos = sin = cos = sin = Vz r Vz = r.cos = r.sin ; r Vx Vy Vx = .cos Vx = r.sin .cos Vy = .sin Vy = r sin .sin En résumé : :::676067+%/2*6327&20 V x = V sin . cos (2.9) V y = V . sin . sin V z = V . cos Quant au module du vecteur V il est égal à : V = Vx 2 + V y 2 + Vz 2 Ou en coordonnées cartésiennes : V = x2 + y2 + z 2 Remarque : En notant par et les angles respectifs formés par le vecteur V avec les axes OX et OY , et de la même façon que nous avons obtenu l’équation 2.9, il vient : Vx = V .cos , Vy = V .cos (2.10) , Vz = V .cos Nous pouvons en déduire l’expression : cos 2 + cos 2 + cos 2 (2.11) =1 Exemple 2.3 : Trouver la distance qui sépare les deux points A (10, 4, 4 ) u et B (10,6,8 ) u , représentés dans le repère rectangulaire R (O ; i , j , k ) , avec u = unité . Réponse : En représentant les deux points dans le repère, on se rend compte que la distance demandée n’est autre que le module du vecteur D , qui est la différence entre les deux vecteurs : D = V2 V1 Soit : D = i ( x2 x1 ) + j ( y 2 y1 ) + k ( z 2 z1 ) D = ( x2 D = i (0) + j (10) + k (4) A.FIZAZI x1 ) 2 + ( y 2 y1 ) 2 + ( z 2 z1 ) 2 D = 116 = 10.77u Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 23 Rappel sur le calcul vectoriel Exemple 2.4 : Trouver la résultante des cinq vecteurs suivants : V1 = (4i 3 j ) u;V2 = ( 3i + 2 j ) u; V3 = (2i Réponse : V = (4 3 + 2 + 7 + 9)i + ( 3 + 2 6 8 + 1) j 6 j )u;V4 = (7i 8 j )u;V5 = (9i + j )u V = 19i 14 j V = 361 + 196 = 23.60u Vy Pour trouver la direction du vecteur V , nous partons de l’expression tan = , est Vx l’angle formé par le vecteur V et l’axe OX : = 14 tan 36,38° 0,737 19 7/ LE PRODUIT SCALAIRE ( * ): Définition : On appelle produit scalaire de deux vecteurs V1 et V2 le nombre réel V1 .V2 : V1.V2 = V1.V2 .cos(V1.V2 ) Ou V1.V2 = 1 V 1 + V2 2 2 V1 2 (2.12) V2 2 (2.13) Cas particulier : Si V1 = 0 ou V2 = 0 , alors V1 .V2 = 0 Si V1 0 et V2 0 , alors : V1 V2 V1 // V2 (V1 , V2 ) = cos = 0 V1.V2 = 0 2 2 (V1 ,V2 ) = 0 cos 0 = 1 V1.V = V1V2 Exemple: Le travail de la force F qui provoque un déplacement AB est donné par la formule W = F . AB. cos tel que = ( F ; AB) (on lit W est le produit scalaire de F par AB ), on écrit : W = F . AB W=F.AB.cos Démontrons à présent la relation (2.2) comme nous l’avons promise : 2 2 2 2 V = V1 + V2 ; V = V1 + V2 + 2V1V2 ; V 1 = V1.V 1 = V1V1 cos(V 1V 1 ) = V12 ; V 2 = V12 + V2 2 + 2VV 1 2 cos(V 1V 2 ) V = V12 + V2 2 + 2V1V2 cos(V 1V 2 ) Expression analytique du produit scalaire ( LM N OPM QRMRM S TU ) Dans le plan(+ , ) : Soit les deux vecteurs V1 et V2 contenus dans le plan, tel que : x x V1 1 ; V2 2 y1 y2 A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 24 Rappel sur le calcul vectoriel Dans le repère R (O ; i , j ) V1.V2 = ( x1.i + y1. j ) .( x2 .i + y2 . j ) = x1.x2 .i .i + x1. y2 .i . j + x2 . y1. j .i + y1. y2 . j . j i j .i = i . j = 0 j V1.V2 = x1.x2 + y1. y2 . (2.14) i .i = j . j = i 2 = j 2 = 1 :::676067+%/2*6327&20 Dans l’espace (* -. ,) : Soit les deux vecteurs V1 et V2 dans le repère R (O ; i , j ; k ) i . j = i .k = j .k = 0 i = j = k =1 x1 x2 V1 y1 z1 ; V2 y2 z2 V1 .V2 = x1 .x2 + y1 . y2 + z1 .z2 ( (2.15) /0 12) : Propriétés du produit scalaire ( * Commutatif ( ) V 1 .V 2 = V 2 .V 1 Non associatif ( : ) 3): V1. V2 .V3 n’existe pas car le résultat serait un vecteur. Distributif ( XYZ ) par rapport à la somme vectorielle : ( ) V1. V2 + .V3 = V1.V2 + V1.V3 Exemple 2.5 : Calculer l’angle compris entre les deux vecteurs : V 1 = 3i + 2 j k et V 2 = i + 2 j + 3k . Réponse : Partant de l’expression du produit scalaire, on peut écrire : cos(V 1V 2 ) = V1 .V 1 V1V2 Donc : V1.V 1 = 3 + 4 3 = 2 ; V1 = 9 + 4 + 1 = 3,74 ; V2 = 1 + 4 + 9 = 3,74 cos(V 1V 2 ) = 2 V1.V 1 = = 0,143 V1V2 14 = (V 1V 2 ) = 96,2° 8/ LE PRODUIT VECTORIEL ( * ): Définition : On appelle produit vectoriel de deux vecteurs V1 et V2 le vecteur W perpendiculaire au plan qu’ils constituent. Nous écrivons par convention : W = V1 V2 = V1 × V2 A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 25 Rappel sur le calcul vectoriel W V1 O V2 :::676067+%/2*6327&20 W Fig 2.9: produit vectoriel caractéristiques du vecteur W ( )4 ) W est perpendiculaire au plan formé par les deux vecteurs, son sens est déterminé par la règle de la main droite (l’index indiquant W ), son module est donné par la formule 2.16 : W = W = V1.V2 .sin(V1.V2 ) Important : i i = j j =k i j =k ;i i j = i (2.16) k =0 k = j ;j k = j k =i k =1 Remarque : la grandeur W = W = V1 .V2 .sin(V1 ;V2 ) représente l’aire du parallélogramme formé par les deux vecteurs, ce qui laisse sous entendre la possibilité de lier un vecteur à une certaine surface. Méthode utilisée pour calculer le produit vectoriel de deux vecteurs : x1 x2 V1 y1 ; V2 y 2 z1 z2 En utilisant les coordonnées cartésiennes dans le repère R (O ; i , j , k ) , on peut écrire : +i j W = x1 y1 z1 = i x2 y2 z2 W = ( y1 z2 +k y2 z1 ) i y1 z1 y2 z2 (x z 1 2 j x1 z1 x2 z2 x2 z1 ) j + ( x1 y2 +k x1 y1 x2 y2 x2 y1 ) k Le module du vecteur est donné par l’expression : A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 26 Rappel sur le calcul vectoriel (y z W= y2 z1 ) + ( x1 z2 2 1 2 x2 z1 ) + ( x1 y2 x2 y1 ) = V1 .V2 .sin(V1 ,V2 ) 2 2 Propriétés du produit vectoriel ( N OP ]^ _`) Anticommutatif ( ) V1 V 2 = V 2 V1 Non associatif ( Distributif ( (V 3): V1 2 V3 ) (V 1 V2 ) (2.17) V3 4 ) par rapport à la somme vectorielle : (V + V ) = (V V1 2 3 1 ) ( V2 + V1 V3 ) Exemple 2.6 : Calculer le vecteur W , produit des deux vecteurs : V1 = (2,1, 1) et V2 = (1, 0, 2) , en déduire l’angle Réponse : W = [ (1 × 2 ) (0 × 1)].i (2 × compris entre eux. 2) (1 × 1) . j + ( 2 × 0) (1 × 1) .k W = 2i + 3 j k V1 = 22 + 12 + 12 = 6 V2 = 12 + 0 + 2 2 = 5 W = 22 + 32 + 12 = 14 = 3,74 3,74 W sin = = 0,683 W = V1.V2 .sin = 3,74 sin = V1.V2 30 9/ LE PRODUIT MIXTE (( 2 = 43,06° ): * Le produit mixte de trois vecteurs V 1 , V 2 et V 3 est la quantité scalaire définie par : ( V1. V2 x1 V3 = x2 x3 ) y1 y2 y3 z1 z2 = ( y2 z3 z3 y3 z2 ) x1 ( x2 z3 x3 z2 ) y1 + ( x2 y3 x3 y2 ) z1 (2.18) 10/ MOMENT D’UN VECTEUR PAR RAPPORT A UN POINT DE L’ESPACE (* -. " ( 4 ) Définition : Le moment d’un vecteur par rapport à un point de l’espace est le vecteur défini par : ! O = OA V (2.19) Remarque : ! O = au double de l’aire du triangle AOB . (Figure2.10-a-) 11/ MOMENT D’UN VECTEUR PAR RAPPORT A UN AXE (UZ L Q b c d ef ) Première définition : Le moment d’un vecteur par rapport à un axe est égal à la projection de ce vecteur par rapport à un point quelconque de cet axe. A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 27 Rappel sur le calcul vectoriel Deuxième définition : Le moment du vecteur V par rapport à un axe " , d’origine O et de vecteur unitaire u , est égal au produit mixte : ( ) ! " = ! O .u = OA V .u :::676067+%/2*6327&20 (2.20) Remarque : Le moment d’un vecteur par rapport à un axe est une grandeur scalaire, par contre le moment d’un vecteur par rapport à un point de l’espace est un vecteur (Figure2.10-b-) !" !O !O u O !" O B ! O' B O' (") V A V A 12/GRADIENT, DIVERGENCE ET ROTATIONNEL (i UjO j O S klUOS ) : Définitions : On dit que la fonction f ( x, y, z ) est un champ scalaire si la fonction f ( x, y, z ) est un scalaire. On dit que la fonction V ( x, y, z ) est un champ vectoriel si la fonction est vectorielle. On définit l’opérateur ( mnL ) différentiel vectoriel #(nabla ) par : #= $ $ $ i + j+ k $x $y $z (2.21) Où : $ $ $ , et sont respectivement les dérivées partielles par rapport à x, y et z . $x $y $z Nous allons définir le gradient, la divergence et le rotationnel à l’aide de cet opérateur. A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 28 Rappel sur le calcul vectoriel LE GRADIENT (lUOS ): Si f ( x, y, z ) est une fonction scalaire, son gradient est un vecteur défini comme étant : $f $f $f grad f = #( f ) = i+ j+ k (2.22) $x $y $z Exemple 2.7 : Calculer le gradient de la fonction f ( x, y, z ) = f = 3 x y z . 2 3 Réponse : grad f = 6 xy 3 z.i + 9 x 2 y 2 z. j + 3x 2 y 3 .k LA DIVERGENCE (O S ): Si V = (V x ,V y ,V z ) est une fonction vectorielle, sa divergence est un scalaire défini comme étant : divV = #.V = $Vx $Vy $Vz + + $x $y $z (2.23) Exemple 2.7 : Calculer la divergence de la fonction vectorielle V ( x, y, z ) = 2 xyi Réponse : divV = 2 y 3 yz 2 j + 9 xy 3 k 3z 2 + 0 = 2 y 3z 2 LE ROTATIONNEL (i UjO ): Si V = (V x ,V y ,V z ) est une fonction vectorielle, son rotationnel est un vecteur défini comme étant : rot (V ) = # V = $Vz $y $Vy $z .i $Vy $Vx .j + $z $x $Vz $x $Vx .k $y (2.24) Démarche à suivre : a/ Etablir la matrice suivante : rotV = +i j $ $x Vx $ $y Vy +k $ = A+ B +C $z Vz b/ Pour calculer A, B, C il suffit de se rappeler de la règle du produit vectoriel : A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST 29 Rappel sur le calcul vectoriel +i $ $y Vy A= $ $Vz = +i $z $y Vz $Vy $z -j B= $ $x Vx $ $Vz = -j $z $x Vz $Vx $z k C= $ $x Vx $ $y Vy $Vy $x = +k $Vx $y c/ On arrive à l’expression finale (2.24) : +i j $ $x Vx $ $y Vy +k $Vz $ = +i $z $y Vz $Vy $z -j $Vz $x $Vx $Vz +k $z $x $Vx $z Exemple 2.7 : Calculer le rotationnel du vecteur : V ( x, y, z ) = 2 xyi 3 yz 2 j + 9 xy 3 k Réponse : ( rot (V ) = ( 27 xy rot (V ) = 27 xy 2 2 ) 6 yz ) .i 6 yz .i (9 y 3 0). j + (0 2 x).k 9 y3 j 2 xk 13/ LE LAPLACIEN (" 5 6) : Définitions : En coordonnées cartésiennes : Le Laplacien d’une fonction scalaire est égal à la divergence de son gradient : #.# ( f ) = # 2 ( f ) = A.FIZAZI Univ-BECHAR $2 f $2 f $2 f + + $x 2 $y 2 $z 2 (2.25) LMD1/SM_ST 30 Rappel sur le calcul vectoriel Le Laplacien d’une fonction vectorielle est égal à la divergence de son gradient : $ 2Vy $ 2 Vx $ 2Vz i+ j+ 2 k #.# V = # (V ) = $x 2 $y 2 $z ( ) 2 (2.26) REMARQUE Vous trouverez, à la fin de ce document en annexe, un formulaire regroupant le gradient, la divergence, le rotationnel et le laplacien dans les différentes coordonnées : cartésiennes, cylindriques et sphériques. :::676067+%/2*6327&20 A.FIZAZI Univ-BECHAR LMD1/SM_ST