Une « erreur juridique grave » ?... L'USPPM n'a pas pour habitude d'alimenter les polémiques stériles toutefois certaines déclarations publiées méritent des réponses précises Réponse de l'USPPM suite au communiqué de presse : http://www.sdpm.net/article-erreur-juridique-grave-de-l-usppm-87408145.html Si ce juriste soutien que faute d'avoir publié l'acte querellé peut être attaqué au delà du délais de 4 mois par les tiers auxquels il fait griefs, il serait alors intéressant dans une affaire qui celui-ci a conduite devant le TA de BORDEAUX, qui a fait l'objet d'un Appel, le juge s'est appuyé sur les dispositions de l'arrêt Coulibaly ? Nous pourrions le renvoyer à l'analyse faite par des puristes sur une revue juridique bien connue... En effet, même si un acte fait grief à un tiers et s'il est possible à ce tiers d'en demander l'annulation à l'administration, l'administration ne peut retirer cet acte devenu créateur de droit, même à défaut de publicité que dans le délai de 4 mois c'est la solution reconnu par le Conseil d'Etat, question de sécurité juridique des actes. Bien entendu, cette solution ne me satisfait pas, elle autorise ainsi les administrations à tenir secrètes des décisions, faute d'assurer leur publication ce qui est obligatoire, et ainsi permettre à un quidam de bénéficier d'une décision illégale, devenue créatrice de droit, même si elle devait faire grief à un tiers. En outre, il faut savoir que la jurisprudence admet que le Maire s'auto-atteste de l'affichage de l'acte pour opposer le délais opposable. Le manque d'humilité occulte parfois certaines évidences, en tout état de cause les « luttes intestines » au sein des syndicats corporatistes ne devraient pas avoir lieu, il y a bien d'autres moyens de fédérer, vouloir exercer une quelconque concurrence et tenter de dénigrer l'autre ne semblent pas des plus appropriés. Le bureau national de l'USPPM