Corrig´
e
CNC MP 2003, Math 1
Partie I
1. a) La fonction t7−1et
test continue sur ]0, α]prolongeable par continuit´e en
0, elle est donc inegrable sur ]0, α]
b) La fonction tet
test continue sur [x, +[et t2et
t
t+
0.
donc elle est int´egrable sur [x, +[.
2. x]0, +[, ϕ(x) = Z+
x
et
tdt.
a) Faites bien attention ici, les in´egalit´es demand´ees sont strictes.
Soit x > 0.ϕ(x)> 0 car la fonction tet
test continue positive non nulle sur
[x, +[.
Ensuite t]x, +[,et
t<et
xdonc : ϕ(x)<1
xZ+
x
etdt avec Z+
x
etdt =
exdonc ϕ(x)<ex
x.
b) On peut ´ecrire ϕ(x) = Z+
1
et
tdt Zx
1
et
tdt.
La fonction x7−Zx
1
et
tdt est de classe C1sur ]0, +[d’apr`es le th´eor`eme
fondamental du calcul int´egral.
Donc ϕest de classe C1sur ]0, +[et pour tout x]0, +[,
ϕ(x) = ex
x.
c) pour un x > 0,
ϕ(x) + ln(x) = ϕ(1) + Zx
1
ϕ(t)dt +ln x=ϕ(1) − Zx
1
et
tdt +Zx
1
dt
t
=ϕ(1) + Zx
1
1et
tdt
La fonction t7−1et
test int sur ]0, 1], donc lim
x0+Zx
1
1et
tdt =
Z1
0
1et
tdt.
Alors lim
x0+(ϕ(x) + ln(x)) = ϕ(1) − Z1
0
1et
tdt.
d) La fonction ρ:x7−ϕ(x) + ln xest de classe C1sur ]0, +[, donc d’apr`es le thm
fondamental du calcul inegral on a pour tout x > 0
ρ(x) = ρ(1) + Zx
1
ρ(t)dt. Ce qui donne
ϕ(x) + ln x=ϕ(1) + Zx
1
1et
tdt =C+Z1
0
1et
tdt +Zx
1
1et
tdt =
C+Zx
0
1et
tdt.
Ensuite, en utilisant le DSE de la fonction exponentielle on a pou t6=0
1et
t=
+
X
n=1
(−1)n1
n!tn1.
(ce qui au passage permet de justifier que la fonction t7−1et
test prolonge-
able en une fonction de classe Csur R).
Et par primitivisation de la somme d’une s´erie enti`ere :
Zx
0
1et
tdt =
+
X
n=1
(−1)n1
n.n!xn.
Ainsi pour tout x > 0,ϕ(x) + ln x=C+
+
X
n=1
(−1)n1
n.n!xn.
3. x]0, +[, ψ(x) = 1
2ϕ(|x|).
a) ψest une fonction paire, il suffit de justifier son int´egrabilit´e sur ]0, +[.
Sur ]0, +[,ψest continue par continuit´e de ϕet d’apr`es la question (2.a),
ψ(x)<1
2
ex
xce qui justifie l’int´egrabilit´e de ψsur [1, +[. D’apr`es la question
(2.c) ψ(x)
01
2ln xdonc (x)
x00, ce qui prouve que ψest int´egrable sur
]0, 1]
Alors ψest inegrable sur ]0, +[.
b) Signalons un d´etail qui pose probl`eme : l’´ecriture Z+
ψ(t)eixtdt ”serait” in-
correcte puisque la fonction t7−ψ(t)eixt n’est pas CPM sur R(lim
0ψ(t)eixt =
+), Une convention dans de pareil cas est de poser b
ψ(x) = Z0
ψ(t)eixtdt +
Z+
0
ψ(t)eixtdt.
ϕest inegrable sur ]0, +[donc ψest int´egrable sur les intervalles ] − , 0[et
1
www.9alami.com
]0, +[. et on a pour tout x6=0,
b
ψ(x) = Z0
ψ(t)eixtdt +Z+
0
ψ(t)eixtdt
=Z+
0
ψ(−t)eixtdt +Z+
0
ψ(t)eixtdt
=Z+
0
ψ(t)(eixt +eixt)dt
=2Z+
0
ψ(t)cos(xt)dt =Z+
0
ϕ(t)cos(xt)dt
c) La fonction Ψ: (x, t)7−ϕ(t)cos(xt)est continue sur D=R×]0, +[,
et admet pour tout kNune d´eriv´ee partielle kΨ
∂xk: (x, t)7−
tkϕ(t)cos xt +kπ
2continue sur D. De plus pout tout (x, t)D:
|Ψ(x, t)|6ϕ(t)et ϕest inegrable sur ]0, +[.
kΨ
∂xk(x, t)6tkϕ(t).
La fonction t7−tkϕ(t)est continue sur ]0, +[. Elle est prolongeable par
continuit´e en 0car tkϕ(t)
0tkln tet donc tkϕ(t)
t00. Sur [1, +[on a
la majoration tkϕ(t)6tk1etet donc t2(tkϕ(t))
t+
0ce qui ach`eve la
justification de l’int´egrabilit´e de la fonction t7−tkϕ(t)sur ]0, +[.
Alors b
ψest bien d´efinie de classe Csur Ret pour tous kNet xR
b
ψ(k)(x) = Z+
0
tkϕ(t)cos xt +kπ
2dt
d) La fonction t7−ϕ(t)cos(xt)´etant int´egrable sur ]0, +[, une int´egration par
partie (en utilisant la suite exhaustive ([ 1
n, n])n>0)donne :
b
ψ(x) = lim
n→∞ Zn
1/n
ϕ(t)cos(xt)dt
=lim
n→∞ ϕ(t)sin(xt)
xn
1/n
1
xZn
1/n
ϕ(t)sin(xt)dt!
=1
xlim
n→∞ Zn
1/n
et
tsin(xt)dt =1
xZ+
0
et
tsin(xt)dt
Car d’un cot´e la fonction t7−ϕ(t)sin(xt)
xtend vers 0en 0et en +et de
l’autre la fonction t7−et
tsin(xt)est int´egrable sur ]0, +[.(les deux points `a
la charge du lecteur).
Ensuite
b
ψ(0) = Z+
0
ϕ(t)dt =lim [(t)]n
1/n Zn
1/n
(t)dt!=lim Zn
1/n
etdt =
Z+
0
etdt, soit b
ψ(0) = 1.
puisque (t)tend vers 0quand ttend vers 0et vers +
4. x]0, +[, Φ(x) = Z+
0
et
tsin(xt)dt =xb
ψ(x)
a) Premi`ere fa¸con : On utilise la fonction b
ψ
L’expression Φ(x) = xb
ψ(x)explique que Φest de classe C1sur ]0, +[et que
pour tout x]0, +[
Φ(x) = b
ψ(x) + xb
ψ(x) = b
ψ(x) − xZ+
0
(x)sin(xt)dt
Une int´egration par partie (`a faire correctement) donne :
xZ+
0
(t)sin(xt)dt =Z+
0
(ϕ(t) + (t)) cos(xt)dt =b
ψ(x) −
Z+
0
etcos(xt)dt
Et donc : Φ(x) = Z+
0
etcos(xt)dt
Deuxi`eme fa¸con : On utilise la formule de Leibniz.
La fonction k: (x, t)7−et
tsin(xt)et continue sur =]0, +[×]0, +[et sa
d´eriv´ee partielle ∂k
∂x : (x, t)7etcos(xt)est continue sur .
Via l’in´egalit´e |sin(u)|6usi u>0, on a pour tout (x, t),|k(x, t)|6xet.
Soit donc a > 0.
(x, t)]0, a]×]0, +[,|k(x, t)|6aet
(x, t)]0, +[×]0, +[,
∂k
∂x (x, t)6et
les fonctions t7etet t7aet´etant continues inegrables sur ]0, +[.
Alors Φest de classe C1sur ]0, +[et x]0, +[, Φ(x) =
Z+
0
etcos(xt)dt.
Maintenant la fonction t7−eteixt est inegrable sur ]0, +[puisque
eteixt=et. donc
Z+
0
etcos(xt)dt =ReZ+
0
eteixtdt=Re e(−1+ix)t
1+ix +
0!
=Re1
1+ix =1
1+x2
2
Alors : x]0, +[, Φ(x) = 1
1+x2
b) Pour tout x > 0,Φ(x) = 1
1+x2et la relation Φ(x) = xb
ψ(x)implique qu’en
fait Φest continue en 0puisque b
ψest continue sur R, et que Φ(0) = 0. Alors
Φ(x) = arctan x. Anisi
x > 0, b
ψ(x) = arctan x
x.
Ensuite l’´ecriture b
ψ(x) = Z+
0
ϕ(t)cos(xt)dt valable pour tout xnon nul im-
plique que b
ψest paire sur R. Donc
xR,b
ψ(x) = arctan x
x
Partie II
1. a) fune fonction CPM int´egrable sur R. Soit xR, l’in´egalit´e
tR,f(t)eixt6|f(t)|
montre que la fonction t7−f(t)eixt est inegrable sur R. Donc b
fest bien d´efinie
sur R.
Ensuite pour tout xR,b
f(x)6Z+
|f(t)|dt. Donc b
fest born´ee sur R.
b) Si fest continue, la fonction (x, t)7−f(t)eixt est continue sur R×Ret
(x, t)R×R,f(t)eixt6|f(t)|,|f|´etant continue int´egrable sur R.
Alors b
fest continue sur R.
2. a) La lin´earit´e de Fecoule de la lin´earit´e de l’inegrale.
b) Les fonctions b
faet b
afsont bien efinie puisque les fonctions t7−f(ta)et
t7−f(at)sont CPM int´egrables sur R.
Soit xR.
b
fa(x) = Z+
f(ta)eixtdt translation
=Z+
f(u)eix(a+u)du =eiax b
f(x).
et si a6=0et ǫ=sign(a)
b
af(x) = Z+
f(at)eixtdt u=at
=1
aZ+ǫ
ǫ
f(u)eixu/adu
=ǫ
aZ+
f(u)eixu/adu =1
|a|b
fx
a
c) Consid´erons la fonction g:t7−f(t)eiat. Soit xR,
b
g(x) = Z+
f(t)ei(ax)tdt =b
f(xa).
d) Ayant Z0
f(t)eixtdt =Z+
0
f(−t)eixtdt,b
f(x) = Z+
0
(f(t)eixt +f(−t)eixt)dt.
et donc :
b
f(x) = 2Z+
0
f(t)cos(xt)dt si fest paire.
b
f(x) = −2i Z+
0
f(t)sin(xt)dt si fest impaire.
e) Si fest une fonction r´eelle paire, b
fest paire et `a valeurs r´eelles. Si fest r´eelle
impaire, b
fest impaire et `a valeurs imaginaires pures.
3. fest une fonction de classe C1sur R, et fet fsont inegrables sur R.
a) fest inegrable sur [0, +[donc la fonction x7Zx
0
f(t)dt admet une limite
finie en +, comme Zx
0
f(t)dt =f(x) − f(0)ceci revient `a ce que fadmette une
limite finie en +. Soit lcette limite.
Supposons que l6=0, alors il existe A > 0 tel que :
x[A, +[,|f(x)|>1
2|l|.
La fonction constante x7−1
2|l|n’est pas int´egrable sur [A, +[donc fne serait
pas inegrable sur [A, +[. contradiction.
Alors l=lim
+
f=0. On obtient lim
f=0en appliquant ce dernier r´esultat `a la
fonction x7−f(−x).
b) Une int´egration par partie (`a ex´ecuter correctement avec des bornes finies) donne
pour tout xR:
b
f(x) = Z+
f(t)eixtdt =lim
t+
f(t)eixt lim
t
f(t)eixt +ix Z+
f(t)eixtdt.
f(t)eixt=|f(t)|donc d’apr`es la question pr´ec´edente lim
t±
f(t)eixt =0. Alors
b
f(x) = ixb
f(x).
c) D’apr`es (II-1.a), b
fest born´ee sur R. La relation b
f(x) = b
f(x)
ix implique alors que
lim
±b
f=0.
d) On suppose que la fonction g:t7−tf(t)est inegrable sur R.
Utiliser le th´eor`eme de d´erivation d’une int´egrale d´ependant d’un param`etre (for-
mule de Leibniz) pour justifier que dans ce cas b
fest de classe C1sur Ret que
pour tout xR.
b
f(x) = −iZ+
tf(t)eixtdt = −ib
g(x)
N.B : Ici on a juste besoin que fsoit continue int´egrable sur Ret que la fonction
t7−tf(t)soit inegrable sur R. Nul besoin que fsoit de classe C1et encore
3
moins que fsoit int´egrable comme peut le sugg´erer l’enchaˆınement des questions
de l’´enonc´e.
Par extension si fest continue sur R(CPM suffit) et pour tout kN, la fonction
t7−tkf(t)est int´egrable sur R, alors la transform´ee de Fourier b
fde fest de
classe Csur Ret :
kN,xb
f(k)(x) = Z+
tkf(t)eixtdt
Partie III
A.
On consid`ere la fonction h:t7−et2.
1. hest continue inegrable sur Ret la fonction t7−th(t)est int´egrable sur Rpuisque
lim
±
t3h(t) = 0. D’apr`es la question (II-3.c) b
hest de classe C1sur Ret pour tout xR
b
h(x) = −iZ+
t et2
eixtdt
Une inegration par partie donne alors
b
h(x) = i "et2
2eixt#+
+ix
2Z+
et2
eixtdt!= x
2Z+
0
et2
eixtdt =
x
2b
h(x)
b
hest donc une solution de l’´equation diff´erentielle
y+x
2y=0(1)
2. Les solutions de l’´equation (1)sur Rsont les fonctions de la forme x7−λex2/4 o`u
λR.
Il existe donc λRtel que pour tout xR,b
h(x) = λex2/4.
Comme b
h(0) = Z+
et2
dt =πalors λ=π. Ainsi
xR,b
h(x) = Z+
et2ixtdt =πex2/4
3. Soient ε > 0 et la fonction εh:t7−eεt2. D’apr`es (II-2.b),
xR,d
εh(x) = 1
εb
hx
ε=rπ
εex2/4ε
B.
fune fonction continue, born´ee et int´egrable sur Rtelle que b
fsoit inegrable sur R.
(εn)nune suite de r´eels strictement positifs qui converge vers 0.
1. a) vune fonction continue inegrable sur R. Si on pose vn(y) = v(y)eεny2, les
fonctions vnsont continues sur R, la suite de fonctions (vn)nCVS vers vsur R
puisque (εn)nconverge vers 0et vest continue sur R.
De plus yR,|vn(y)|6|v(y)|et vest inegrable sur R.
Le th´eor`eme de la convergence domin´ee s’applique ici, il donne :
lim Z+
v(y)eεny2
dy =Z+
v(y)dy.
b) Soit xR, le mˆeme th´eor`eme se base ici sur la domination :
w(x+εny)ey26Mey2
o`u M=sup
uR
|w(u)|. Il donne :
lim Z+
w(x+εny)ey2
dy =Z+
w(x)ey2
dy =w(x)π.
2. Z+
eiy(tx)−εny2
dy =[
εnh(tx) = rπ
εn
e−(tx)2/4εndonc
Z+
f(t)Z+
eiy(tx)−εny2
dydt =rπ
εnZ+
f(t)e−(tx)2/4εndt
En posant s=tx
2εn
, soit t=x+2sεnon obtient :
Z+
f(t)Z+
eiy(tx)−εny2
dydt =rπ
εn
.2εnZ+
f(x+2sεn)es2
ds
=2πZ+
f(x+2sεn)es2
ds
3. xu r´eel donn´e.
a) Soient ε > 0 et (p, q)N2.
Sachant que la fonction (y, t)7−f(t)eixyεy2iyt est continue sur [−p, p]×
[−q, q], le th´eor`eme de Fubini donne :
Zp
p
eixyεy2Zq
q
f(t)eiytdtdy =Zq
q
f(t)Zp
p
eiy(tx)−εy2
dydt.
b) Posons pour tout qN,Fq(y) = eixyεy2Zq
q
f(t)eiytdt.
Du au fait que Zq
q
f(t)eiytdt
q→∞ b
f(y), la suite de fonction (Fq)qCVS sur R
vers la fonction F:y7−eixyεy2b
f(y), fonction qui est continue puisque b
fest
continue sur R.
De plus pour tout yR,|Fq(y)|6eεy2Zq
q
|f(t)|dt 6Ieεy2o`u I=
Z+
|f(t)|dt.
4
la fonction y7−Ieεy2´etant continue int´egrable sur R.
Le th´eoreme de la convergence domin´ee donne alors lim
q→∞ Z+
Fq(y)dy =
Z+
F(y)dy, soit :
lim
q→∞ Z+
eixyεy2Zq
q
f(t)eiytdy =Z+
eixyεy2Z+
f(t)eiytdy
c) De fa¸con similaire on d´emontre que :
lim
p→∞ Zq
q
f(t)Zp
p
eiy(tx)−εy2dydt =Zq
q
f(t)Z+
eiy(tx)−εy2dydt
d) La fonction A:y7−eixyεy2Zq
q
f(t)eiytdtest inegrable sur Rpuisque
|A(y)|6Ieεy2o`u I=Z+
|f(t)|dt. Donc lim
p→∞ Zp
p
A(y)dy =Z+
A(y)dy.
En faisant tendre pvers l’infini dans la relation du (III-B-3.a) et via le r´esultat
d´emontr´e dans la question (III-B-3.c) on obtient :
Z+
eixyεy2Zq
q
f(t)eiytdy =Zq
q
f(t)Z+
eiy(tx)−εy2
dydt
Maintenant en consid´erant la fonction B:t7−f(t)Z+
eiy(tx)−εy2
dy, et
vu que fest int´egrable sur R:
lim
q→∞ Zq
q
f(t)Z+
eiy(tx)−εy2
dydt =Z+
f(t)Z+
eiy(tx)−εy2
dydt
La relation pr´ec´edente, via la question (III-B-3.b) donne alors :
Z+
f(t)Z+
eiy(tx)−εy2dydt =Z+
eixyεy2Z+
f(t)eiytdy
=Z+
eixyεy2b
f(y)dy
4. Soit xR. D’apr`es (III-B-2) et (III-B-3.c), en rempla¸cant εpar εnon obtient :
Z+
eixyεny2b
f(y)dy =2πZ+
f(x+2sεn)es2
ds
D’apr`es (III-B-1.b) lim
n→∞ Z+
f(x+2sεn)es2
ds =π f(x)
Et d’apr`es (III-B-1.a) lim
n→∞ Z+
eixyεny2b
f(y)dy =Z+
eixy b
f(y)dy
Alors : Z+
eixy b
f(y)dy =2π f(x).
R´esumons, Si fest continue inegrable sur Ret sa transforee de Fourier est aussi
inegrable sur R, alors on a la relation dite formule d’inversion de la transform´ee de Fourier :
xR, f(x) = 1
Z+
b
f(t)eixtdt
Fin.
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