III
même
essentiel
d'en
faire part
au
lecteur, afin
qu'il
comprenne
le
contexte
des
premières réflexions
menant
à
la
rédaction
de
ce mémoire.
Merci à Marie-Josée Boulanger, à Dominique Leclerc, à John Londono, à
lan
Mercier
et
à Julien Veronneau d'avoir osé plonger tête première
dans
la
création
de
« C'est
comme
un
photomaton
...
mais
en
mieux
».
Merci également à Sophie
Aubry
d'avoir
eu
le
courage
de
se joindre à l'équipe, à titre
de
photographe-performeuse,
juste
avant
la
vague des représentations
et
d'avoir
su
être une amie réconfortante
dès
les premiers remous
de
la
création. Merci à Jonathan Nadeau, ami
et
fidèle
collaborateur,
d'avoir
permis à «C'est
comme
un
photomaton
...
mais
en
mieux »
de
se
révéler dans
un
espace
et
une lumière
qui
correspondaient à ceux
que
je
m'étais
imaginés. Merci à Célyne
et
à Valérie, chères colocs
et
amies qui,
du
temps
du
4125
Papineau,
m'ont
écoutée, rassurée et
soutenue
même dans les moments
de
mer
agitée...
Un
merci tout spécial à Éric, habile monteur, sensible documentariste
et
aussi
ami précieux,
d'avoir
suivi discrètement, derrière
le
viseur
de
sa caméra,
l'intensité des moments précédant
le
début
des représentations afin
de
nous
offrir
un
court-métrage
empreint
d'une
humanité juste et
d'une
passion tangible. Merci à
ma
mère, lectrice privilégiée
de
ce mémoire,
qui
a
su
parfois ajouter fluidité
et
clarté à
certains passages plus nébuleux. Merci à mon directeur Michel Laporte,
pour
ces
nombreuses disputes plus
ou
moins simulées entre modernes
et
post-modernes
que
nous
sommes... Mine
de
rien, celles-ci
m'ont
permis d'enrichir mes réflexions
sur
le
théâtre
et
m'ont
surtout
aidée à me définir par
la
voie de l'opposition...! Merci à
Raymond
Naubert, Yves Gemme, Gilles Chartrand, Lucie Matte,
Guy
Rouillard,
Martine Beaulne, Jean Gervais, Frédéric Maurin, Jocelyn Bourquoin
et
son
équipe,
d'avoir, chacun à sa manière, contribué généreusement à
la
réalisation
de
ce
projet
et, ensuite, à sa poursuite. Enfin,
un
merci
tout
particulier à Anne-Marie Guilmaine,
précieuse âme-sœur
de
création
et
mère-pote
inconditionnelle qui,
tout
au long
de
cette traversée houleuse,
n'a
cessé
de
croire
en
moi. Sans son
appui
total
et
ses
encouragements généreux,
sans
ses questions remuantes
et
son écoute sensible,
sans