Ces produits apportent un plus uniquement lorsqu’ils sont faits avec du lait de croissance, il
faut bien décrypter les étiquettes.
Attention à :
Un repas trop rapide, ou trop lent.
Un repas mal adapté à la physiologie de l’enfant, à ses besoins.
La texture et le goût uniformes des petits pots.
Un apport de nutriments mal équilibré.
Être vigilent à ne pas développer une appétence au sucre.
Les pleurs du bébé ne signifient pas toujours qu’il ait faim, apprendre à les
reconnaître et aider l’enfant à retrouver son calme, pouce, doudou, suce…
L’enfant mange mal
Connaître les comportements alimentaires des enfants.
Le nourrisson s’approprie l’allaitement. La découverte de la cuillère doit se faire
quand l’enfant est prêt, ne pas forcer.
Jusqu'à 2 ans l’enfant découvre volontiers les aliments.
Entre 3 et 7 ans peuvent apparaître les néophobies (refus de goûter ce qui est
nouveau), ces phobies peuvent être liées aux comportements parentaux.
Entre 8 et 9 ans l’enfant est de nouveau dans une phase de découverte.
Quant à l’adolescent : « j’ai faim, je mange »
4) Le plaisir
Les repas ont une valeur hédonique. Le goût n’est pas le seul sens mis à l’œuvre dans
l’acte de manger, il y a aussi l’olfaction et les sensations ressentis dues à la texture. Il y a un
vécu de l’acte alimentaire.
Les petits plus
Une présentation attrayante et des quantités adaptées.
Un environnement propice, être présent, faire attention à ce qui se dit…
Avoir une attitude positive par rapport au repas.
Prendre le temps.
Les adultes mangent comme et avec les enfants.
Écouter l’appétit de l’enfant, accepter qu’il n’ait plus faim.
Privilégier la qualité, faire le marché, jardiner, cuisiner avec l’enfant.
Éviter le chantage.
Faire goûter mais ne pas obliger, on peut proposer plusieurs fois un aliment.
Nous n’avons pas tous, petits comme grands, les mêmes besoins, ainsi il y a des
petites et des gros mangeurs.