Les technologies numériques et les réseaux de communications créent
également la possibilité d'une économie sans frontières dans des secteurs clé. Au
cours de la dernière décennie, le coût des télécommunications et du matériel
informatique a considérablement chuté, alors que leur vitesse et capacité
augmentaient.
Cette économie sans frontières et de plus en plus basée sur l'information est
mieux symbolisée par l'Internet, un outil de communication globale et une
source de connaissances dont l'expansion double chaque année depuis sa
création.
D'autres technologies comme les marchés financiers informatisés, le courrier
électronique, les échanges de données électroniques et les opérations bancaires
par téléphone nous dirigent vers une économie sans frontières, tirée par
l'information.
Ce progrès phénoménal des technologies de l'information et des
communications représente à la fois un défi et une opportunité pour le
COMESA.
Indication du potentiel en ressources
- 90% des terres arables potentielles du COMESA sont encore à exploiter
- Certains des plus larges fleuves du monde (Zambezi, Congo, Limpopo ) et les
plus longs du monde (Nil) se trouvent dans la région, avec un énorme potentiel
d'exploitation (transport par voie d'eaux, énergie hydroélectrique avec un
potentiel de 700 milliards de KW, dont 96% sont innexploités, l'irrigation et la
pêche).
- Le COMESA a un des plus larges lacs d'eau douce (Victoria) et
certains des plus larges faits par l'homme (Owen Falls, Kariba,
Aswan)
- La région compte beaucoup de merveilles naturelles et faites par
l'homme du monde, telles que Great Pyramids, Great African Rift
Valley, serengeti Plains, Great Zimbabwe, Cradle of Mankind
(Kobi Fora, lac Turkana,etc…) qui sont des sites touristiques avec
un grand potentiel.
- Le COMESA a des ressources minerales estimées à environ 300
milliards de tonnes de phosphate, 105 milliards de tonnes de
minerai de fer, 200 milliards de tonnes de pétrole et de grandes
quantités d'uranium, de cuivre et de colbalt.
- La région du COMESA a 60 pour cent du cheptel africain (estimé
à 300 millions de têtes en 1997).·